Titre : Ne me quitte pas
Chapitre : 1 + 2 bonus
Etat : [FINIT
Temps de postage : Rapide
Avertissement 1 : Les personnages de cette fiction ne m'appartiennent pas. Ils sont à Tôru Fujisawa, l'auteur de Great Teacher Onizuka – GTO – sous simple demande de l'auteur, je retire cette fic. Je ne touche aucune sommes d'argent pour l'écrire, et n'autorise pas la publication sans me poser la question.
Avertissement 2 : Certains personnages m'appartiennent.
Avertissement 3 : complètement yaoi et OOC ! Mais c'est une belle habitude chez moi.
Personnages : Mayu x Kikushi, Kikushi + Onizuka
Ce n'est pas terrible, mais je l'avais écrit depuis un bout de temps et comme Nathalie avait lu le début et voulait la fin, j'en profite. Hm. Pour une fois j'ai essayé de changer ma façon de faire les dialogues. Mouarf ! Ce sera mieux la prochaine fois.
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Yoshito Kikushi ne comprenait pas Mayu. Il ne l'avait jamais comprit parfaitement, mais depuis deux ans, il ne l'avait pas revu et ne pensait pas le revoir. Alors pourquoi ce mystérieux coup de téléphone et ce rendez-vous ? L'homme de 26 ans, ancien élève de la classe 3e4 grogna mentalement avant de tapoter du doigt sur la table. Le bar où son ancien camarade blond l'avait invité ne grouillait de personne peu recommandable, et ce n'était franchement pas le lieu d'une rencontre amicale. Le cuisiner à la grosse bedaine passait toutes les dix secondes ses doigts dans ses cheveux crasseux avant de les essuyer sur un tablier huileux et sales. Rien qu'à le voir faire, Yoshito avait l'étrange impression qu'il allait gerber devant eux.
Il regarda sa montre et constata que Mayu avait six minutes de retard. Ce n'était certes pas énorme, mais il commençait à s'impatienter. Par ailleurs, deux ans d'absence. Pas un mot, pas un coup de téléphone. Il aurait pu tout de même ne pas être en retard à un rendez-vous fixé par lui. Le scientifique eut un soupir fin. Il avait l'habitude que Mayu soit constamment en retard, c'était logique !
Il prit son téléphone et composa le numéro du secrétaire de son collègue afin de le prévenir qu'il ne rentrerait pas ce soir au laboratoire. Car, effectivement, la nuit allait être longue, si Mayu ne se présentait pas. Kikushi composa donc le numéro d'Akamu Dupreil : un jeune albinos aux cheveux blancs, aux yeux gris, tout en douceur, qui parlait en commettant des conneries. Une sorte de Tomoko à l'état masculin qui ne faisait que commettre des gaffes. Plus d'une fois Yoshito s'était demandé comment son inflexible collègue dur comme l'acier, pouvait garder comme secrétaire une personne aussi étourdie.
Le téléphone sonna.
Akamu : "Allo ? Bureau Indentshi, j'écoute ?
K : Akamu c'est Kikushi, je te téléphone pour prévenir que je ne viendrais pas ce soir.
A :
Kikushi ? Hooo ! Kikushi, mais … Mais …
K: Mais ?
A : Mais,
vous aviez dit que …
K : que je serais là. Mais je n'y
serais pas.
A : Mais …
K : Quoi ?
A : Mais vous savez bien que Keio attends votre retour pour se coucher !
Le scientifique poussa un soupir. Keio était une gamine de quatre ans. La fille d'Akamu qui lui avait été confié par la mère de l'enfant qui ne pouvait pas s'en occuper. Seulement, Kikushi s'était vite rendu compte qu'Akamu Dupreil était un père irresponsable. Il laissait son enfant manger n'importe quoi, l'habillait n'importe comment, et avait tendance à l'oublier. Souvent, Kikushi avait retrouvé l'enfant en train de jouer dans un coin, pas traumatisé pour deux sous, qui attendait que son père se souvienne de son existence. Elle disait en souriant qu'il était comme les anges : qu'il avait toujours la tête dans les étoiles. Peut-être ! Mais malheureusement, c'était devenu vraiment compliqué. De sorte que Kikushi qui avait définitivement un grand cœur, avait accepté de s'en occuper bien souvent.
Kikushi : Et bien, passes-la moi !
Akamu : Keio, viens vite, c'est tonton Kiki au téléphone !
Un cri de joie se fit entendre, et Keio prit le téléphone : Oncle Kiki ?
Ki : Oui,
je vais rentrer tard ce soir !
Ke : Kiki tu ne viendras pas me
faire un bisou ?
Ki : Un
bisou ? Si, quand je rentrerais.
Ke : veux que tu sois là,
tu me manques beaucoup !
Ki : Toi
aussi tu me manques beaucoup.
Ke : Je t'aime !
Ki : Je t'aime aussi.
Ke : Kiki, tu …
Kikushi ouvrit de grands yeux, fixant le doigt qui venait d'appuyer sur la touche éteindre de son portable symbolisé par un téléphone rouge. Il remonta lentement, voyant la main, le bras, puis le plus célèbre blond du Japon. Mayu eut un grand sourire éclatant devant le regard un peu fermé de Kikushi qui remit son téléphone dans sa poche.
Mayu Wakui était le modèle de beauté masculine. Blond aux yeux bleus, élégant, grand et séduisant. Il avait tout de l'homme qu'on rêve d'épouser. Il était le fils du soleil, du ciel et des nuages, et on aurait donné sa vie pour pouvoir le toucher une fois. Et on l'aurait perdu par la même occasion. C'était l'homme le plus célèbre au Japon, plus aimé que le président même. Une star internationale reconnue par tout le monde, qui avait débuté par les premières parties de Gackt avant de le dépasser.
Le blond croisa les bras et fixa Kikushi qui attendit patiemment. A bout de patience, il demanda finalement.
Kikushi : Mayu, pourquoi voulais-tu me voir ?
Le blond
eut un beau sourire, et observa Kikushi. Kikushi était le
contraire de lui-même. Sa peau était bronzée par
le soleil de cet été, ses cheveux bruns allaient sur le
noir, et ses yeux brillaient d'étoiles mais demeuraient
sombre, surtout à cet instant. Il semblait être le fils
de la nuit, lugubre et charismatique. Effrayant mais aimé.
Surtout aimé. Depuis le premier jour, le blond se souvenait
l'avoir aimé. Avoir eut envie d'être près de lui.
A l'époque, il n'avait que dix ans, ce n'était pas de
l'amour, mais ça y ressemblait. Et plus il a grandit, et plus
il a eut envie de lui. Mais Kikushi était sauvage, et surtout,
il n'était qu'un ami dans ses yeux. Combien de fois,
l'avait-il vu fuir ?
Mayu se souvenait parfaitement. D'abord, à
la découverte de l'informatique. Kikushi lui avait moins
parlé. Puis, il y avait eut ce mensonge de leur amie et leur
haine pour les prof. Et encore une fois, ils s'étaient séparés
dans leurs amitiés. Et puis, Kikushi était devenu
proche de "baleine des sables." Et Mayu l'avait détesté
! Il avait haït être préféré à
une machine. Et il avait encore plus haït voir Kikushi rougir,
aider, et aimer Onizuka. Mais, ils s'étaient rapprochés
à l'époque d'Onizuka, après, pour se séparer
de nouveau, à l'université. C'est pour cela, que Mayu
en le voyant hier, à la télévision, avait sentit
son cœur gonfler : il voulait le revoir. Juste une fois. Encore une
fois. Il voulait l'avoir !
Kikushi cligna des yeux. Il ne comprenait pas grand-chose, mais il avait vite envie d'en finir et de rentrer. Ce n'était pas que revoir Mayu le mettait en colère, au contraire, il était très heureux. Simplement, il était mal à l'aise. Il n'avait pas oublié leur dernière soirée ensemble, où Mayu lui avait solennellement demandé pourquoi lui le garçon le plus aimé de l'école n'avait jamais eut de petite amie et s'il était gay. Déjà, Kikushi savait pertinemment qu'il n'était pas "le plus aimé." Et ensuite, non. Il n'avait jamais eut de petite amie, à cette époque-là. Il n'en n'avait jamais ressentit le besoin. Seulement, Mayu ne s'était pas stoppé à cette seule question !
Kikushi : Mayu tu pourrais au moins répondre !
Mayu :
As-tu prit à boire ?
K : je t'attendais.
M : Tu aurais
du prendre à boire.
K : Tu ne réponds pas.
M :
commandons avant !
Mayu se mordit la lèvre. Il avait entendu la conversation avec "l'autre" qui était au téléphone avec Kikushi. De l'amour, des sentiments. Tous ce qu'il désirait et qu'il n'avait jamais eut. Il avait également lu dans les journaux que Kikushi était fiancé avec une jeune femme inconnue très belle et très riche. Tout cela, Mayu le savait. Tout cela, il avait tenté de l'accepter. Mais il le voulait. Juste une nuit, une nuit où il pourrait le toucher, l'embrasser, l'aimer. Le voir souffrir aussi. C'était juste ce qu'il demandait. Que Kikushi est un peu d'amour aussi pour lui, car c'était injuste qu'il soit le seul à avoir mal.
Kikushi : Ok. Je rentre.
Mayu : Attends !
K : Tu es
déjà saoul ! Et j'ai du travail. Qu'as-tu à me
dire ?
Mayu : Je ne sais pas.
K : Tu n'as visiblement rien à me dire !
Le brun se leva. Il laissa de l'argent sur la table et sortit. Il se rendit vite compte que Mayu l'avait suivit, sans prendre le temps de remettre son manteau. Il lui couru après, la respiration un peu battante. Kikushi se stoppa, se retournant avant de lever les yeux au ciel. Si le blond avait vraiment quelque chose à lui dire ! Qu'il lui dise maintenant.
Kikushi : alors ?
Mayu : Buvons un
verre, avant.
Kikushi : Ca suffit !
Le
scientifique leva la main en direction d'un taxi, et lui indiqua la
route à prendre. Puis, il claqua la porte abandonnant le blond
sur la route. Mayu le regarda partir, et soudainement, il poussa un
cri, avant de tomber sur le sol, la respiration de plus en plus
difficile à tenir. C'était cette nuit, cette nuit ou
jamais et elle venait de se stopper.
Ce fut une main qui l'aida
à se relever. Mais pas celle espérait. Un homme à
moitié saoul, que Mayu repoussa faiblement. Il était
fort, habituellement, mais là, il n'avait pas envie de se
battre.
Homme : tu
as un nom mon mignon ?
Mayu : non, je n'en ai pas
Homme : Tu
ressembles à ce chanteur, là …
Mayu : je ne sais pas
Homme : et combien pour la petite gâterie ?
Mayu : Je ne sais pas
Et puis, il y eut ce bruit. Les insultes, et les coups. Mayu se sentit poussé dans un hôtel, et jeté lourdement sur un lit, pendant que Kikushi expliquait à l'aubergiste que son ami avait trop bu et qu'il payait d'avance. Il rentra dans la chambre, ferma la porte, et soupira. Mayu ne le regarda pas, fermant les yeux pendant qu'un mal de tête le prenait. Kikushi avait raison : il avait bu avant de venir, et il avait trop bu. Il le savait, et il avait envie d'en pleurer.
Kikushi :
Pourquoi ?
Mayu : Pourquoi ?
Kikushi : Pourquoi m'as-tu crié
de ne pas te quitter.
Mayu : ne me quitte pas.
Kikushi :
qu'est-ce que tu racontes ?
Mayu : ne me quitte pas encore !
Le brun haussa un sourcil fixant le blond en train de se lever et s'approcher de lui. Mayu l'attrapa fermement par le pull, le poussant contre le mur, soupirant, et respirant lentement, durement.
Mayu : tu vas encore partir !
Kikushi : Evidemment !
Mayu : ha … Avant, on regarde un film ?
Kikushi soupira doucement, mais répondit tout de même : d'accord.
Le blond
s'approcha de la télécommande et s'allongeant sur le
lit, il se mit à zapper. Kikushi s'approcha de lui, s'allongea
à son tour, et finit par fermer les yeux s'endormant à
moitié. Ce fut un bruit, qui le réveilla quelques
secondes plus tard, et il s'aperçu que la télévision
émettait un timbre singulier : un film pornographie était
diffusé. Une infirmière aux gros seins les glissait
contre le membre d'un médecin. Et, le brun remarqua rapidement
que l'angélique blond avait retiré son pantalon, et son
boxer, et qu'il se masturbait à une cadence moyenne. Le brun
referma immédiatement les yeux, mais difficile de se rendormir
maintenant que ses sens avaient consciences des bruits l'entourant
autant par la télévision que par l'onanisme solitaire
de son ancien meilleur ami.
Ce fut quelques secondes plus tard,
qu'il sentit un liquide se répandre sur son avant bras,
touchant son torse, et un cri de jouissance se faire entendre.
Kikushi
eut une grimace interne mais décida de ne pas bouger tant que
le blond ne se serait pas endormit, étant trop gêné
pour faire le moindre geste. Ce fut à cet instant, qu'il
sentit une langue taquine glisser sur son torse, puis sur ses bras
pour récupérer leurs dus. Kikushi eut un frisson mais
ne bougea pas, la langue continua lentement, venant l'embrasser.
Mayu sourit. Kikushi avait le sommeil vraiment lourd. Il ouvrit
les boutons de sa chemise, et glissa ses mains à l'intérieur
pour venir effleurer un téton gorgé de sang. Le corps
entier du scientifique se cabra, mais celui n'ouvrit pas les yeux.
Seule la bosse déformant maintenant son pantalon, fut une
réaction de réveil.
Mayu : Kikushi ! Kikushi !
Kikushi : mhmh.
Le scientifique se tourna légèrement, comme un homme endormit bougerait, mais ne sachant pas pourquoi, il tourna du cote de Mayu, de sorte que son visage et son corps était exposé à la vue un peu perverse de Mayu, qui s'empressa d'ouvrir le pantalon, pour glisser sa main à l'intérieur du brun qui émit un petit gémissement plaintif, ouvrant les yeux, il plaqua sa main sur celle de Mayu.
Kikushi : … tu es saoul, imbécile !
Mayu : tu
es réveillé ?
Kikushi : Mon dieu … et si je
n'avais pas ouvert les yeux ? Mayu, tu aurais ?
Le blond eut un petit sourire doux. Celui qu'il savait si bien donné et il poussa le brun contre le lit, s'asseyant dessus. Il fit glisser ses mains sur son visage, et l'embrassa longuement, mêlant et enlaçant leurs langues
Mayu : Je ne suis pas saoul !
Kikushi :
Je vois, tu touches tous les hommes de cette façon !
Mayu
: Ecoutes-moi, je ne suis pas saoul.
Kikushi : Tu vas continuer
longtemps ?
Mayu : Kikushi, tu ne comprends pas. Je veux. .. Je
ne veux pas que tu me quittes. Encore.
Kikushi : tu l'as déjà dit, tu comptes, AH !
Poussant un cri, les deux mains de Kikushi s'accrochèrent au haut de Mayu, son regard se fermant, et son corps se contractant sous les doigts qui venaient d'oser entrer à l'intérieur de lui. Mayu eut un petit rire interne, et glissa ses doigts derrière la nuque de son homme pour l'embrasser de nouveau.
Mayu : Tu es si sensible, Kikushi. Comme une feuille !
Kikushi : … May, tu vas avoir de grands regrets. De très grands regrets.
Mayu : Non. Non … Je t'en supplie, Kikushi.
Kikushi :
quoi ?
Mayu : Kikushi, ne me quitte pas !
Kikushi : Ai-je fait
le moindre geste pour te quitter ?
Le brun resta interrogatif, mais très lentement il repoussa le blond, pour le faire asseoir. Son regard attentivement se mit à scruter celui du blond, et finalement il fit glisser ses doigts entre ses cheveux.
Kikushi :
Mayu, s'il te plait, cesses de jouer. Ca fait deux ans. Deux longues
années …
Mayu : C'est de ta faute !
Kikushi : Ma faute ?
Mayu : … Tu as toujours préféré les autres à moi !
Kikushi : Cesses tes enfantillages !
Mayu : Ce jour-là … Tu as dit que tu étais gay. Tu l'as dit ! Tu as dit que tu aimais Onizuka.
Kikushi : Voyons, Mayu. Tout le monde l'aimait !
Mayu : NON ! Moi, je t'aimais toi !
Kikushi n'eut aucune réaction, il hocha simplement négativement de la tête, avant de tendre la main, pour glisser ses doigts derrière la nuque de Mayu, le tirant doucement vers lui, avant de lui embrasser le front.
Kikushi : Imbécile, c'est
toi qui ma quitté. Qui est partit de l'école ? Qui a
choisit de devenir une star ? Qui n'a plus voulu se battre contre la
maladie ? Mayu je ne t'ai jamais quitté … C'est toi qui t'es
enfuit.
Mayu : Mais … C'est de TA faute.
Kikushi :
peut-être. Tu as peut-être raison. Que veux-tu de moi ?
Mayu : ne me quitte pas.
Kikushi : je ne te quitterais pas.
Mais, Mayu … c'est à toi de ne pas me quitter.
XXXXX
FIN – A Suivre les Deux Bonus [Comique et Lemon (+16 ans)
XXXXX
Histoire de Fin
Comme à chaque fin d'histoire, les personnages et l'auteur se mêlent.
L'auteur rentra dans le bar à moitié trempé. Maudissant cette pluie soudaine, elle alla s'installer dans un coin, demandant une tasse de chocolat chaud. Pendant qu'elle soufflait lentement sur sa tasse, elle vit un homme s'installait à sa table.
Onizuka
: Et bien, j'ai lu ta dernière fic. Plutôt raté
hein ?
Auteur : hm
Onizuka :
voir Naze hein ?
Auteur : hm
Onizuka : C'est la vieillesse !
Auteur : lève les yeux: Toi, prochaine fic : t'es mort !
Onizuka : Gloupss !
XXXXX
Instant de Pub Komoko en petite tenue et avec un grand sourire : "N'hésitez pas, laissez une reviews ! Et vous gagnerez une super Barbie doraémon qui chante quand on appui sur son ventre !
