Je t'aime, moi n'en plus
Prologue
Et si on commençait cette histoire par quelque chose de totalement banal, pas de "il était une fois " il n'y aurait pas de conte de fées ici, même si par moments on va s'en approcher.
Dans la capitale de l'Angleterre vivait une jeune femme de dix-sept ans Lana Wood qui venait de passer deux années loin des siens.
Elle était partie de son plein gré dans l'espoir de vivre de ces passions, la musique et l'art, mais très vite cette grande ville l'a dépassé et même si tout y était pour la faire rêver, elle ne voulait qu'une seule chose rentrée chez elle.
Ses parents avaient toujours été des personnes occupées, Pierre Wood le père était pilote d'avion dans une grande compagnie « air Fly »et Sarah Wood la mère était hôtesse de l'air. Les parents de Lana s'étaient rencontrés, il y a vingt ans sur un vol et depuis, il ne c'était plus quitté. Aussi difficile que c'était pour ces deux-là d'être séparé, ils n'avaient pas eu énormément d'hésitation à accepter le choix de leur fille d'aller vivre à l'étranger pour ces études.
Lana se demandait parfois qui de ses parents et d'elle était les plus adultes, ils étaient même allés jusqu'à lui dire « ne te fait aucun souci princesse, on aura toujours les fêtes pour se voir » leur métier ne leur permettant pas de prendre des vacances aux même périodes que leur fille, ils ont pensé qu'elle serait enchantée de cette petite proposition, mais c'était tout le contraire.
Lana était donc très heureuse de reprendre un rythme scolaire de base, se lever tous les matins dans son lit et voir ses parents, prendre le petit-déjeuner avec eux, pour ensuite se diriger vers son lycée calmement, se connaissant elle se disait plutôt « en courant ».
Lana avait un léger conflit d'intérêts avec les réveils, donc elle avait signé un contrat avec les horloges pour qu'il ne sonne jamais à l' rentrerait le soir exténué, prête à raconter toutes ces mésaventures à ses parents, seulement pour faire la conversation et garderait pour elle toute information qu'elle jugerait trop personnel de partager, sa devise « Donner l'impression aux parents que vous partagez votre vie avec eux, tout en gardon des cartes en mains ».
Lana venait d'arrivée dans sa maison à New York, elle avait pensé à tout un tas chose pendant son vol et le trajet en voiture jusque-là, elle s'attendait à recevoir un accueil chaleureux et bruyant, mais seul le silence lui répondit. Ses parents avaient l'air absent, une fois de plus, elle referma la porte de la maison derrière elle et sans prendre la peine de traîner ces bagages à sa suite, elle fit rapidement le tour de celle-ci. Mais il n'y avait personne, elle se dirigea alors vers sa chambre avec l'espoir fou que ses parents lui faisaient une simple farce. Ils c'étaient vu qu'à Noël et un mois pendant l'été en deux ans, le calculent était rapide, deux mois et deux Noëls, la belle affaire.
Une fois la porte de sa chambre ouverte, elle alluma d'un coup sec la lumière et rien, le vide le néon, elle souffla bruyamment, se traîna jusqu'à son lit et se jeta dessus les bras et les jambes en étoile. Quand elle sentit soudain quelque chose contre son dos, elle se redressa et saisit l'objet. Une fois dans ses mains elle l'identifia comme une enveloppe, elle l'ouvrit.
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très importe à lire avant la suite.
Lana était folle de rage, comment l'État avait pu laisser des personnes comme eux devenir des parents « papa et maman » la bonne blague, c'était deux enfants qui en mit au monde un enfant et qui les a battus niveau maturité assez rapidement.
Ces amis londoniens c'était moqué d'elle quand elle avait expliqué la raison de son retour à New York, elle commençait à se dire qu'ils avaient raison. Quel genre d'adolescente qui venait de recevoir l'indépendance, voulait la rendre aussi rapidement. Lana se disait qu'elle était folle, d'avoir mis sa vie entre parenthèses pour des personnes si égoïstes.
Qu'est-ce que c'était ce papier rose effrayons, elle avait passé l'âge. C'était encore là une preuve de la superbe maturité de ses parents. Lana était malgré tout contente de revoir sa tante, elles ont toujours été proches, c'est même grâce à Kira qu'elle avait découvert sa passion pour l'art et la musique, sa tante travaillait dans un cirque comme trapéziste et parfois comme danseuse contorsionniste, elle brillait de mille feux sur scène et involontairement ou justement à force d'avoir à charge Lana dans les pieds, elle avait fini par lui donner le même attrait pour le spectacle.
Une chose était positive elle n'avait pas à défaire ces bagages, son vol était pour ce soir dix-neuf heures, elle avait quatre heures à tuer. Ses parents avaient eu l'intelligence de penser à l'inscrire au lycée, même si elle était certaine que c'était sa tante qui c'était chargé de tout.
Elle n'allait pas se sentir trop seule là-bas, car elle s'y était fait une amie, sa meilleure amie maintenant il y a trois ans, elle était totalement déjantée et c'est ce qui la rendait si unique, elles avaient gardé le contact et échangeaient régulièrement pour ne pas dire tous les jours, sur Skype ou autres.
Elle n'allait rien lui dire de son arrivée, à « Sweet Diamond » et irait directement la voir pour lui faire la surprise, elle lui donnerait par la même occasion ces souvenirs en mains propres, la ville de sa tante était très originale, mais quasiment tout dans cette ville l'était, le voisinage, les personnes, tout, son séjour promettait d'être intéressant.
Alors ce prologue qu'est-ce que vous en pensez ?
Vous voulez la suite ?
Est ce que la lettre est tout de même lisible ?
