Bonjour voici la traduction que j'ai faite d'une histoire que j'ai adoré et que je voudrais partager avec toutes les personnes qui n'ont pas eu la chance de la lire. Cette histoire ne m'appartient pas. L'auteur est Halfrobotchicken alors tous les compliments lui reviennent. Par contre toutes les petites erreurs de traduction et de français sont de moi. =)


2859-Halfrobotchicken

Chapitre 1

Un hurlement fort et soudain de la chanson Paparazzi de Lady Gaga, qui venait de la table de chevet la tirait de son sommeil. Elle essayait d'émerger avant d'ouvrir ses yeux et de regarder le réveille. 01H57 était affiché dans l'obscurité. Si elle le laisse sonner, il s'arrêterait probablement. Ça peut attendre. Elle remuait de nouveau sur le matelas. La chanson de Gaga se calma et elle referma les yeux. Juste avant qu'elle ne s'endorme, la Lady frappa de nouveau. 'I'll follow you until you love me.' (Je te suivrais jusqu'à ce que tu m'aime). 'Papa-paprazzi'. Cela signifiait que se n'était pas bon. Elle s'asseyait et enleva ses cheveux noirs de son visage. Avec une vérification rapide, ses soupons c'était confirmés. Elle répondit à son téléphone avec un coup rapide de son pouce. « Bordel qu'est-ce que tu me veux, Puckerman ? »

« Salut, Lopez. » Il sortait comme si c'était normal. « J'ai eu ce que tu voulais pour toi, mon étoile d'or. »

Santana serra ses dents et tenta de bloquer les sirènes qui faisait écho en dehors de l'appartement. « Pourquoi tu ne peux pas être quelqu'un de normal salopard et de m'appeler le matin ? »

« Tu sais que je te traite bien. » Répliqua l'homme. « Nous avons des antécédents, donc je me sens obligé de t'informer. »

« Ouais, ouais, » Santana roulait des yeux avant de réaliser qu'il ne pouvait pas la voir. « Nous avons un passé commun, Noé. C'est pour ça que je n'envoie pas mes hommes de mains te mutiler. »

« Rachel Berry n'as pas encore d'homme de main. »

« Je n'ai jamais dit que c'était les hommes de mains de Rachel, j'ai dit que c'était mes hommes de mains. »

« J'appel ta connerie, de la connerie. »

« Puckerman, dit moi ce que tu as. Je dormais avant que tu me fasse chier, » Santana saisissa son ordinateur portable de l'autre côté de son lit, l'ouvrit, et rafraîchit l'onglet où était le site TMZ. Rien. Elle fit une vérification rapide sur le site de potin... rien du tout. Pourtant. « Je ne vois rien. Cela n'a pas intérêt à être comme la fois où tu l'a eu dans les toilettes, déjanté. »

« C'est une exclusivité, » l'informait Puck. « Rachel Berry s'en prend à une nana dans ce nouveau club sur la 92. Je l'ai eu. J'ai le garçon, Finni. J'ai la fille criant 'malade' à Berry lorsque cette dernière la menace avec une chaussure. J'ai ce billet d'or, lorsqu'elle pleure dans la rue. Et j'ai la vidéo de tout cela. »

« Oh, s'il te plaît, Puckerman. Elle s'embrouille avec son bon à rien de mari au moins une fois par semaine. Et elle fait toujours ses scènes de ménages en public. Tout le monde y comprit ses papas ont une vidéo où elle pleure et où elle est laide, chantant 'Celle Block Tango' a cappella et brandissant un stylo. Si je devais rembourser tout le monde, j'aurais la même dette que l'État. Appel moi quand tu as quelque chose de mieux. Ou, comme tu le sais, obtient toi un métier qui ne nécessite pas d'être plus méchant que le diable. »

« Je l'envoie à Sylvester alors. »

« Bien elle a besoin de travaille, » Santana ferma l'ordinateur portable, le poussant sous l'oreiller, et s'installa sous les draps. « Que Sue sache que l'on s'en fou et qu'elle peut utiliser cette merde toute la journée si ça lui chante. Je lui écrirais même un petit communiqué de presse pour aller avec les photos. Ça va rendre son très dure travaille, encore plus facile. »

« Je ne plaisante pas Lopez. Sue en offre une belle petite récompense. »

« Dépense la à bon escient, crétin, » Répondait-elle, avant de raccrocher.

C'était dans des moments comme ceux-ci qu'elle souhaitait avoir des hommes de mains. Noah Puckerman serait le premier sur sa liste. Les deux avaient l'habitude d'être copains, bien sûr. Quand tout était bien et amusant. C'était avant que Rachel fit sa grande audition, quand Santana était encore responsable de communication et Puck se prétendait photographe pour les journaux, il s'est surtout fait prendre pour un pigeon. Putain, c'était il y a longtemps.

Putain de Rachel ! Non, non, putain de Finn Hudson ! Santana bouillonnait juste en pensant à lui. Rester ensemble avec encore l'un des 'Rachel pète un câble' allait coûter cher. Ce n'était pas un problème. Puisque Rachel avait beaucoup d'argent. Mais, Santana voulait vraiment qu'elle arrête de donner un spectacle gratuit à Noah Puckerman, parce que ce gars là ne recevait pas un sous. Pas après s'être tiré une balle dans le pied et être passé du mauvais côté. Aucune chance.

Lorsque le téléphone de Santana sonna de nouveau, elle ne pensai même pas avant de répondre. « Et autre chose, clown de mon cul, arrête de dire que nous avons une histoire ensemble putain. Nous avons bu quelques bières ensemble, il y a quelques années. Je ne t'ai jamais donné d'argent pour courir autour de ma cliente et je ne le ferais jamais, et si jamais j'apprends pourquoi tu en a autant après nous... »

Quoi_ »

Elle entendit une réfutation à l'autre bout du fil, mais elle n'y a pas fait attention. En fait, elle jeta ses draps hors de son corps et elle continua. « Oh et aussi tes cheveux ressemble à une mouflette mutante inversée. C'est ridicule. Les gens se moquent de toi, Puck. Non seulement ils rient, mais ils en hurlent de rire. Littéralement. Et cette fille avec qui tu as couché ? Zizes. Oui je la connaît. Et je sais qu'elle a l'herpeste. Alors pourquoi ne vas tu pas te faire foutre et laisser quelqu'un te donner un bon coup de tondeuse et faire à tout le monde une putain de faveur. »

« Oh-kay. »

Santana s'arrêta dès qu'elle entendit la voix. Elle tira le téléphone de son oreille et lut le numéro quelques fois. « Qui est-ce ? »

« J'espère pas la personne que tu pensai que c'était. »

« Sauf si tu es un connard avec un vieux iroquois et que tu as des compétences en photographie. « Répondit Santana avec un ton glacial. « Mais tu m'appel toujours à deux heures du matin, alors maintenant tu es sur ma liste aussi. »

« Euh... mauvais numéros, je suppose. J'essayais d'appeler ma mère. »

« Ai-je la même voix que ta mère ? Ai-je un ton maternel ? »

« N-euh, non. »

« Eh bien, je n'ai pas vraiment le temps ou la patience de lire une histoire pour dormir avec une mystérieuse correspondante, d'accord. »

« Je suis désolée pour- »

« Pourquoi ? » Souffla la femme en colère. « Pour être autant grossière. La liste de ton téléphone ne te dis pas les bons numéros. Putain, appeler quelqu'un à deux heures du matin. »

« Je ne voulais pas. »

« Si, tu le voulais. Tu voulais le faire. Tu as appuyé sur appeler, indifférente. Et maintenant je suis toujours réveillée et j'ai une conversation exponentiellement et totalement insignifiante avec toi. Tu gâche mon temps, le tient aussi, mais plus important, le miens. » Elle regarda vers l'horloge encore et serra le téléphone dans son poing. « Si j'avais des hommes de mains, crétine, je te les enverrais aussi. »

« Écoute, mademoiselle salope et chiante, » la brune était surprise par la vigueur de la tonalité de la voix. « C'était une erreur, pas fait exprès. Je suis désolée. Calme toi. Et je ne suis même pas sûr de savoir ce que signifie exponentielle, mais c'est toi qui est grossière. Tu es sans doute la pire personne qui m'ait répondu au téléphone alors que je n'ai pas fait exprès d'appeler. Alors... au revoir. »

Santana était impressionnée pendant une milliseconde et allait même le dire quand elle entendit le clic signifiant la fin de l'appel. Elle regarda à nouveau le numéro. « Hein, » dit-elle à personne en particulier. Elle posa le téléphone, mais elle s'était rapidement remémoré le numéro de téléphone. « Bizarre, » pensa-t-elle à haute voix. Elle étudia le numéro. Elle se fit une réflexion sérieuse pour la rappeler, mais contre son grès. Elle laissa enfin tomber son téléphone à côté d'elle et s'installa pour quelques heures de sommeil.

Qui était d'environs quatre heures.

Dormir était un luxe quand vous étiez agent de la 'plus grande star de cette génération'. Ce sont les paroles de Rachel, et certainement pas les miennes. C'était probablement vrai, mais Santana, jamais, au grand jamais, ne l'admettrait. Pas de son plein grès en tout cas. Bon, peut-être qu'elle avait écrit cette phrase mot pour mot, mais c'était les conneries de son travail. Quand elle regarda par la fenêtre de sa tour avec vue sur Manhattan, elle renifla dans sa tasse de café. Elle passait 18 heures par jour à faire un travail fou qu'elle pouvait à peine profiter de sa propriété irréprochable. Au moins la vue était belle. Rachel Berry ne payer certainement pas assez.

Au moment où Santana rentra dans la résident Berry/Hudson ce matin, Rachel très à la mode grâce à Kurt Hummel, elle buvait sa troisième tasse de café. « Comment était la nuit dernière ? » Santana demandait pendant qu'ils montaient l'escalier qui menait à l'immense dressing de Rachel.

Oui, un immense dressing.

Elle déplaça ses cheveux vers l'arrière avec son talent habituel de tout dramatiser, ce qui ennuyait Santana. « ça a dû être tout simplement horrible. J'ai vu les restes de Tony, il était brisé. »

« Disons simplement que ce n'est pas le cas, » répondit sarcastiquement Santana.

« Actrice vedette, » Kurt ouvrit la porte et attendit Rachel pour rentrer. « Il y en a d'autre. »

Santana prenait sa place habituelle sur le canapé tandis que Kurt faisait sa routine du matin. L'agent sirotait son verre en regardant le brun se torturer sur lesquels des mocassins en cuir étaient le plus susceptible de convenir à Rachel. « Que vont-ils dire aujourd'hui ? » Demandait Rachel.

Il tapotait son doigt sur son menton avant d'avoir un regard pensif. « Triste-mais-toujours-debout-grâce-à-son-homme ? »

« Oh, » Elle plissa son visage en y pensant. « Non, déprimée-car-mon-putain-de-mari-ne-veut-pas-arrêter-de-tripoter-les-gens-dans-les-toilettes ? »

« Non, les magazines people n'imprimerons pas ces âneries. »

« Il va nous faire passer pour des idiots, Kurt. »

« Pas nous, » disait l'homme avec désinvolture tout en comparant la couler des ceintures aux mocassins qu'il venait de choisir. « Elle. »

« Nous, » Santana insista. « Je suis celle qui doit parler à tous ces journalistes assoiffés de sang avec ce, ' mariage qui n'a jamais été aussi fort', baratin. »

« Uh huh, » chantonna Kurt tout en se glissant vers ses montres dans le coin accessoire. « C'est pourquoi je ne suis pas personnellement investit, Santana. Je viens et lui fait un look d'enfer puis je rentre chez moi. »

« Tu es une merde, Hummel, » disait la femme quand elle posa ses jambes vêtus d'un jean sur le canapé. « Tu as pleuré comme une petite fille pendant une semaine la dernière fois qu'il y avait eu une énorme publication. »

« Non, » il se retourna et lui fit face. « J'ai pleuré pendant une semaine parce qu'elle était sur la liste des plus mal habillé de M. Blackwell. C'était purement une coïncidence. »

« Oh oui, » souriait-elle derrière sa boisson du Starbucks, « comment es-tu rester engagé ? »

« Elle pense que ça l'énerve, » soupira Kurt.

« ça me rend nerveuse, » annonça Rachel quand elle rentra dans la pièce. « Mais c'est à mon avantage, ça fait croire que si je suis dans les plus mal habillé, ça montre qu'ils s'acharnent sur moi. Ça éveille le public, car tout le monde m'aime. Et honnêtement, les jupes plissées ne seront jamais démodées. »

« Je pensais que tu les avais toutes brûlées. » S'exclamait Kurt en panique, ses yeux cherchant n'importe où, où elles pourraient en avoir caché une.

La diva de Broodway l'ignorait. « De plus j'ai fais tout mon possible et je t'en serais reconnaissante d'arrêter tes commentaires sur mon mariage. »

« C'est mon travaille de faire des commentaires sur ton mariage, Rachel. » Santana se pencha en arrière. « Au faite, je commente ton mariage tous les jours, toute la journée, à différentes personnes, t'incluant. Donc, au cas où tu ne l'avais pas compris la première fois, je vais utiliser un terme que tu vas comprendre, ton mec est un crétin. »

« Il n'est pas crétin. »

« Oh que si. » Santana ce remit droite pour être prête à argumenter. « Qu'est ce qu'il a fait hier soir, Rach ? »

Elle l'ignorait complètement comme si Rachel avait un intérêt soudain pour ce que Kurt avait dit plus tôt. Elle chercha le collier en or où était écrit 'Rachel' et le mit en place pour aller avec sa tenu.

« Au fait, Puckerman a quelques photos impressionnantes de toi. » Déclara l'agent.

Rachel pointa son doigt vers un bijou dans la main de Kurt en hochant avec approbation. « Ah, ce qui explique l'odeur de marmotte et de saleté la nuit dernière. » Elle toussa un peut dans sa main. « J'ai encore le goût dans ma bouche. Peux-tu me prendre ma bouteille de Tasmanian Rainwater, Santana ? »

« Tient, Rachel. » Kurt lui donna sa boisson. « Pourquoi ne pas prendre un café et parler des choses qui fâchent plus tard.

« Sylvester va probablement avoir la vidéo cet après-midi, si elle ne l'a pas avant. » Continua Santana. « Je suis sûr que tous tes fans vont prendre du plaisir à te regarder improviser un hommage à 'Liaison Fatale' avec une pompe dans une main et un Cosmo dans l'autre. Je suis sûr que ce sera mieux lorsque Sue s'en occupera. Tu sais le changer, au niveau du contexte et du reste. »

« Elle ne vas pas sauter dessus, elle ne le fait jamais. »

« Rachel, elle ne le fait par ce que je suis toujours entrain de nettoyer derrière toi. »

« C'est exactement pourquoi je te paie aussi cher, Santana. » Répondit Rachel en se débarrassant de son pyjama et en prenant ce que Kurt lui tendait.

« Il faut se débarrasser d'Hudson avant que tout ça soit hors de mon contrôle. »

« Ce débarrasser de lui ? Je suis mariée avec lui bafoua Rachel quand elle leva les bras pour que Kurt puisse lui enfiler sa chemise.

« Et alors ? » L'agent riait. « Tu étais mariée à Jesse St James pendant 72 heures. L'as-tu oublié ? On dirait bien. Tu sais pourquoi ? Car je l'ai fait disparaître ? »

« Le mariage ou lui ? » Interroge Rachel. « Parce je n'ai toujours pas eu de nouvelles de lui. »

« Ce que tu ne sais pas ne te fait pas de mal. » Santana lui envoya un clin d'œil. « Les flics t'écraseraient comme un cafard, il est donc préférable que tu ne pose pas de question dont tu ne pourrait pas garder les réponses. »

Rachel la regardait curieusement et tournait son regard vers Kurt qui mimait un égorgement avec un couteau.

« C'est ce que je pensais. » Santana envoya un sourire rapide à Kurt. « Qu'est-ce qu'on fait de Funny Finny maintenant ? As-tu une chambre des secrets pour y enfermer Finn dedans ? »

« Je vais m'occuper de Finn, Santana. »

« Oh, tu vas t'occuper de lui ? Car je pensais que tu avais déjà essayé. »

« Sérieusement, tu dois vraiment me faire confiance. »

Santana regarda Rachel avec insistance. Kurt mettait la touche final sur sa tenue.

« Je ne peux pas. Pas quand je sais que tu prends les conseils vestimentaires d'un gars qui est recouvert d'un tas de vêtement qui viennent de l'armée du Salut, et dit aveuglément que c'est la nouvelle tendance. »

« Hey ! » Cria Kurt avec indignation. « Ne commence pas avec moi. »

« Arrête ça, Santana. Kurt Hummel est brillant en tant que fashion, » dit la star pendant qu'elle se regardait dans le miroir.

« Si brillant signifie avoir des vêtements de sans abris, alors carrément, c'est le plus brillant. »

Le jeune styliste jeta le pyjama qu'il venait de prendre. « Eh bien, juste pour que tu saches, tu ressemble à une lesbienne dans ce blazer. »

Elle fixa les vêtements derrière lui. « Je suis lesbienne, Kurt. »

« Et tu as fais du bon travail pour que tout le monde le sache, » dit-il en ramassant le pyjama et en le rangeant dans un tiroir.

Les vêtements dans le tiroir ne sont probablement jamais sortis de celui-ci. Ils sont probablement vendus aux enchères pour des fans désespérés sur eBay.

« Sérieusement, Santana, tu n'es pas allergique aux flatteries, n'est-ce pas ? »

Heureusement pour lui, un bourdonnement dans sa poche distrayait momentanément l'agent. Elle déverrouilla son téléphone et tomba sur un message.

Correspondante mystérieuse : Encore vraiment désolée pour la nuit dernière. J'espère que cela est une heure un peu plus respectable. Pardonne-moi de te dire cela mais tu devrais consulter.

Elle ne pouvait s'empêcher de sourire à l'audace du conseille.

Kurt remarqua sa concentration. « Tu sourie, qui est mort ? »

« Hein ? » Demandait-elle, en relisant le SMS. « Oh, c'est personne. Juste... la nuit dernière... » Elle se grattait le front pour réfléchir à sa réponse. « Faux numéro. Je... Ce n'est rien. »

« Et tu bégaie, » souri-t-il.

Dès que Rachel eut remarqué qu'elle n'avait plus toute l'attention, elle fut intriguée. « Est-ce que c'est un sexto ? Laisse moi voir. »

« Non ! »

« Aller, » la diva fit un mouvement pour atteindre le téléphone. Le mouvement félin et rapide surprit Santana et les yeux de Rachel se sont grands ouverts lorsque l'écran s'est allumé. Elle avait l'air ravi jusqu'à ce qu'elle voit le nom sur l'écran et le remit dans la main de son propriétaire. « Beurk, dégelasse, c'est Sue Sylvester. »

L'agent gémit et se prépara pour ce que allait être certainement une conversation à chier. « Je ne savais pas qu'il captait du réseau cellulaire dans les profondeurs de l'enfer. Est-ce que cet appel vient du cercle de l'enfer ? »

« Devine ce que j'ai, » Elle entendit la voix à l'autre bout du fil.

« Je sais exactement ce que tu as, Sue, et ont doit en parler immédiatement. »

« American inquisition va avoir la vidéo de Berry à deux heures, Lopez. »

« Génial, ai-je besoin de l'enregistrer pour les prochaines informations spéciales des tristes histoires inavouables dont mon abonnement est inexistant ? »

« American Inquisition de , » Grogna Sue. « Tu peux simplement cliquer sur le lien 'Rachel à finalement perdu'.

« D'accord, attend une seconde... temps mort... » Santana recula un peu son téléphone avant de crier, « Rachel attrape moi une feuille et un stylo... » Elle recula un peu plus son téléphone et mit sa main sur le micro juste pour rire. « Attends une seconde, Sue. Nous écrivons ces informations. Ok, qu'est ce que c'était au fait ce site ? Oh oui . .imbé .salopedecousindeseconddegré. . Je l'ai. Merci, Sue. »

« Insulte moi tant que tu veux... »

« Bien sûr. »

« Mais je vais l'envoyer. »

« Non, non tu ne vas pas le faire, » dit Santana en levant les yeux vers Rachel qui revenait avec du papier et un stylo. « Tu ne vas pas le faire parce que je vais te donner quelque chose de plus alléchant et tu le sais. C'est pourquoi tu m'appel. »

« Qu'est-ce que tu as à me proposer,Lopez ? » Sue avait carrément l'air étourdit. « J'ai déjà ta polly pocket juif entrain de ramper dans un bar et se jeter sur une jeune fille avec une bouteille vide de Cristal. »

Santana fusilla Rachel des yeux, « Vraiment ? » Elle marmonnait.

« Quoi ? » La star de cinémas haussait les épaules, complètement inconsciente de la discussion au téléphone et de ce qu'elle avait fait la nuit dernière. « D'accord Lucifer, nous allons te donner tout ce qu'on ta donné la dernière fois. »

« Le triple. »

« Oh mon Dieu, » Sue riait. « Maintenant, de tout voir en slow-motion. Je pensais qu le ticket d'or était un mythe. »

Santana se recula. « Nous te donnerons le double et une interview. »

« A la caméra. »

« Elle fera ses choses habituelles aujourd'hui. Tu sera capable de la trouver. En exclusivité. Devant la camé lui des questions sur son nouveau film et elle te donnera beaucoup d'extraits sonore. Mais aucune mention de la nuit dernière et ni de la vidéo. »

Il eut une longue pause avant qu'elle ne donne son accord. « Très bien. »

« Et envoie Jacob Ben Israël. Rachel accepte que JBI. Les autre rats que tu as sous tes ordres lui foutent la frousse. »

« Beau travaille, » Commenta Kurt quand elle appuyait pour raccrocher.

« C'est pour cela qu'elle me paie autant. » Dit-elle en dépoussiérant les épaules de son blazer de lesbienne.

« JBI, vraiment, Santana ? » Se plaignait Rachel. « Je t'ai dit qu'il me foutait encore plus la frousse que les autres. »

« Oh ? »

Kurt couvrait son rire avec sa main. « Honnêtement une erreur. »

« Honnêtement une erreur, » Elle répéta en cherchant pour trouver le dernier message qu'elle avait reçu. « Je vais... » Elle pointa la porte u doigt. « Je te retrouverais avant JBI, ok ?

« Bien sûr, » Rachel hocha la tête, déjà fascinée par le reflet des boucles d'oreilles que Kurt tenait de chaque côté de son visage.

Elle se stoppa pendant une seconde pour réfléchir avant de se hâter sur son téléphone pour passer un appel.

« Bonjour ? » Fit une voix rauque à l'autre bout du fil.

Elle s'arrêta dans le grand escalier. « Euh... tu as une voix un peu moins féminine qu'hier soir. Elle ressemble un peu plus à celle de James Bond

« C'est Sean Connery et je parie que tu cherches à parler à Brittany, » elle entendit une voix sourde et une claque. La prochaine voix qu'elle entendit, elle l'a reconnaissait et elle était aussitôt surprise par la sensation de chaleur qui envahissait son corps. « Maman ? Je suis désolée, Sam est un crétin. Peu importe, je voulais juste que tu sache que Tina à examiné la tâche suspecte sur mon dos et c'est qu'une tache de rousseur. Donc tu peux ignorer ta messagerie vocale et la demande d'arrêter ta croisière. »

Santana souri, « ce n'est toujours pas ta mère. »

Il eut une longue pause et un autre claquement suivit d'un gémissement.

« Euh, » continua la jeune fille, mais cette fois pas aussi gaiement. « Tu es celle qui m'a répondu à hier soir ? »

« La correspondante mystérieuse qui m'a appelé ? »

« Brittany, au fait. »

« Ouais, j'ai compris grâce à ton cop-gars... qui fait un très mauvais Sean Connery, » Santana s'embourbait. « Tu devrais lui dire. »

« Je le ferais. » Répondit-elle fortement.

« Je voulais juste m'excuser pour la nuit dernière, j'ai été impolie. J'avais affaire à une... situation. Je n'ai pas l'habitude de crier sur les étrangers, donc je suis désolée, » offrit la brunette.

« Uhm. »

« Ce n'est pas assez bien ? » Demanda Santana quand elle laissait entrer des personnes dans l'ascenseur.

« Tu es sincère. »

« Je le suis, tu ne penses pas ? » Grimaça l'agent. « Eh bien pour ma défense je pensais que c'était quelqu'un d'autre. »

« Et cette personne méritait de ce faire engueuler ? »

« Oh absolument. »

« Je pense que je vais prendre c'est mots pour cette personne. » Dit la fille au téléphone après un soupir ludique.

« Et je vais prendre ton conseil en considération... Brittany. »

« Tu le feras. » Santana pouvait entendre le sourire dans la voix de la demoiselle. « Bon, maintenant que ça fait deux fois que je tombe dans l'embarras, dit moi au moins ton nom pour que je puisse m'excuser pour t'avoir réveillé. »

« Tu ne l'auras pas. Je te l'ai dit, je gère des affaires. » Déclara la New-yorkaise lorsqu'elle sortit de l'immeuble de Rachel Berry et qu'elle arriva dans la rue animée de la ville. « Et il n'y a aucune possibilité que je te donne mon nom, tu pourrais être une meurtrière à la hache ou quelque chose comme ça. »

« Ouais, d'accord. Je ne sais même pas où tu es. »

« NYC bébé, » dit Santana pendant qu'elle était dans le trafic sur le trottoir et levait son poing avec fierté.

« Ahhh, je suis à Seattle, donc tu es en sécurité. »

« Oh je n'en sais rien, » taquina la brune quand elle approchait de sa pizzeria préférée.

« Pas besoin de se sentir menacée. »

« Menacée ? Non. Disons simplement que tu es la première personne qui m'a remit à ma place depuis un long moment, » répondit Santana. « Je respecte cela. »

« Tu me respect maintenant ? C'est une amélioration par rapport à une grossière perte de temps. »

« Tu as du cran. J'aime le courage. » Santana entra dans Vic Diner en faisant signe à Vic. Elle regardait autour jusqu'à ce que des cheveux blonds attirent son attention. « Prend soin de toi, Brittany de Seattle. »


Si ce chapitre vous a plus faites le moi savoir avec une petite review.