ROOMMATES

Petit (long) mot de l'auteur avant de se lancer :

Hola everyone ! Me voilà de retour (à ce stade de non publication, je ne sais même pas si on peut appeler cela un retour) C'est terrible j'étais rendue à un tel point de « je laisse tomber l'écriture » que je ne sais même pas si ce site a toujours du succès, je ne sais même pas si mes quelques lecteurs de « d'un combini » ou du prologue de « Deep Sleep », lecteurs que j'affectionnais tant, sont toujours actifs. Je ne sais même pas si cette fiction sera lue ! Mais après tout, je le fais pour une seule raison un jour, il y a peu, l'inspiration m'est revenue comme une révélation ! J'ai écris, écris, sans m'arrêter (sauf pour dormir, manger, prendre une douche, vivre) de telle sorte que cette histoire, j'en ai déjà plusieurs chapitres sous le coude ! C'est un concept simple, efficace, surement pris, repris dans tous les sens, usé jusqu'à la moelle, mais voilà, il m'inspirait fortement la colocation ! D'ailleurs, je n'ai pas usé d'originalité pour le titre, je sais qu'il existe d'autres fictions nommées de la même manière, mais je ne pouvais pas trouver plus approprié, plus court, mieux.

Comme toujours, je parle beaucoup trop, j'ai trop envie de tout vous révéler sur mes idées, comment j'ai écris, tout ça, mais il faut que je fasse court, pour ne pas tout « gâcher ». Aussi, je vous laisse lire ce départ vers une aventure que je prévois folle et avec beaucoup d'émotions. Puis j'ajouterai ce qu'il y a ajouter à la fin.

Petite précision toutefois tous les personnages appartiennent au grand Masashi Kishimoto. L'histoire, les idées, les sentiments, sont de moi, même si cette histoire n'existerait pas sans mon amour inconditionnel pour Naruto depuis 11 ans déjà.

Voilà, sur ce, bonne lecture à vous et merci d'avance !

ROOMMATES

Chapitre n°1 : Lourdes valises et petit bouledogue.

Je poussai un lourd soupire, presque aussi lourdement que ma valise s'écroula sur le sol en sortant du train. En posant mes yeux sur cette dernière, je me demandai encore comment j'avais réussi à loger ma vie à l'intérieur ainsi que dans le gros sac en bandoulière qui me massacrait l'épaule, et le grand sac cabas beaucoup trop lourd que je tenais vainement d'une main. La chaleur s'abattue très vite sur moi. C'était donc vrai ce qu'on disait sur Konoha, une grande ville où il faisait bon vivre et qui ne connaissait pratiquement jamais l'hiver. Le soleil était pourtant en train de décliner doucement dans le ciel, nous étions en fin d'après-midi.

Je pris le temps d'observer le paysage qu'il m'était déjà donné de voir. D'ici, la ville avait des allures de village paisible. J'avais du mal à croire qu'elle était aussi agitée et presque autant peuplée qu'une capitale et que tout le monde se bousculait pour venir y vivre. D'un élan, je me penchai pour attraper ma valise, tirer la poignée et la faire rouler derrière moi.

Mon nom est Haruno Sakura. Cheveux longs et roses, yeux verts, je venais d'avoir 25 ans, et ma vie prit un tournant inattendu le jour où je décidai de répondre sans trop de conviction à une annonce pour un travail d'infirmière au célèbre hôpital de Konoha. Je quittais donc ma petite ville paisible, ainsi que mon job médiocre d'assistante au seul médecin du village. Ma situation était confortable mais était devenue invivable. Aussi m'étais-je peut-être trop brusquement jetée sur l'occasion, lorsqu'une après-midi un coup de téléphone m'annonçait qu'ils avaient vivement besoin d'une infirmière dans la section urgences de l'hôpital de Konoha.

Tout en marchant et en n'étant que trop peu sûre de l'endroit où je me dirigeai, mon cerveau ne put s'empêcher de faire tourner en boucle l'idée selon laquelle ce que je faisais était complètement irraisonnable. Je m'étais retrouvée à quitter mon travail il y a tout juste six jours. C'est il y a quatre jours à peine que je réalisai que je n'avais toujours pas de toit sous lequel vivre. Alors, une après-midi en grignotant un sandwich, et d'une sérénité inquiétante, j'avais tapé sur internet « annonces immobilières Konoha », avec l'idée de trouver une petite location sympa, qui me permettrait d'aller à pieds sur mon lieu de travail, qui était lui-même en plein centre de la ville à proximité de tout. Je failli m'étouffer plusieurs fois. La première fois fut quand je vis le prix exorbitant d'un appartement qui semblait parfait, je toussai un grand coup de surprise mais me dis que c'était un cas isolé, voire que l'appartement devait avoir une tapisserie plaquée or. Puis au fil de mes recherches, je réalisai bien vite que le travail de mes rêves trouvé était une chose, mais que si je voulais une location seule, les trois quart de mon salaire iraient dans le loyer. Je passai une soirée entière à me morfondre, et la nuit suivante à faire le tour de toutes les annonces trouvables sur internet en tentant de vider les pots de glace de mon frigo. Une fois que je revis pour la cinquième fois à peu près tous les petits appartements du marché, je décidai de changer de solution.

Le lendemain, alors que ma grande valise était posée ouverte à coté de mon lit, signe d'un départ proche et moyen de pression phénoménal, j'allai à la presse en bas de mon ancien chez moi pour attraper un magazine de petites annonces d'appartements. Ce midi là, en mangeant une salade composée des derniers restes de mon frigo, j'eu l'occasion de lire en long et en large quatre fois le livret. Mon désespoir prenait la forme d'un trou noir en voyant que je cherchais l'impossible, lorsque d'un coup maladroit je fis tomber ma lecture au sol. Le magazine tomba sur sa première de couverture et je pus m'intéresser au dos, seule page que je ne connaissais pas par cœur. En bas à droite, une publicité avec des couleurs vertes et jaunes peu attractives eut raison de moi. « Hatake immobilier, les meilleures occasions du marché, à votre portée » Bon sang, quel slogan à rimes ringard ! J'avais appelé.

Je me retrouvai donc, un peu essoufflée devant la façade de l'agence immobilière, aux mêmes couleurs repoussantes que la publicité, et je tirai la porte pour y entrer, tout en me remémorant le moment où ma joie de vivre avait basculé en deux mots, au téléphone.

-Résumons, vous cherchez un endroit en location près de l'hôpital et de tout autres commerces afin de pouvoir vous déplacer uniquement à pieds.

- C'est à peu près ça.

- Bien, pour votre budget, je ne vois qu'une seule solution.

- Je vous écoute ?

- La colocation.

Le local était petit, et je vis sur un bureau en bois, derrière un écran d'ordinateur une chevelure grise en premier lieu, puis un visage surpris et finalement souriant d'un homme d'une trentaine d'années passées, avec un masque blanc sur le visage, celui que les gens utilisent dans les grandes villes contre la pollution. Dans son bureau, il est sérieux ? Il se leva et me tendit la main.

- Bonjour, vous devez être mademoiselle Haruno.

- Oui, merci de me recevoir.

Il me fit signe de m'asseoir sur la chaise en face de lui.

-Bon, j'aurais quelque chose à vous proposer. Un bien qui n'est pas encore sur le marché, et ça pourrait être une bonne surprise.

- Dites-moi ?

- Je ne peux rien vous promettre pour le moment, laissez-moi le temps d'arranger ça et passez me voir à l'agence lorsque vous arriverez à Konoha.

Je me mis à taper du pied nerveusement en me remémorant la conversation téléphonique. Quel genre de personne s'aventure dans une grande ville pour un travail, sans endroit où dormir et avec toute sa vie dans une grosse valise et des sacs ? Parfois, j'étais vraiment naïve. En y réfléchissant, ça devait être une technique commerciale. En me mettant dans l'urgence, je pouvais difficilement refuser ce qu'il allait me proposer.

Je le vis concentré à taper sur son clavier, et d'un air détaché il m'annonça « bon, j'ai une bonne nouvelle » en ne quittant pas son écran des yeux, tel un homme d'affaire très occupé. Il s'arrêta un instant et son regard se planta dans le mien « ainsi qu'une mauvaise ».

Je pris une grande inspiration. Dans quoi m'étais-je emportée ? Il était évident que ca sentait l'arnaque, son agence ressemblait à un placard, la décoration était médiocre et je n'étais même pas sûre d'être face à un vrai professionnel. Je baissai les yeux sur la souris de son ordinateur qu'il tapotait vivement. Son tapis de souris n'était autre qu'une photo d'un petit bouledogue avec un bandana bleu au cou. Un bouledogue. Avec un bandana bleu. Autour du cou. Qui c'est. CE TYPE. Alors que je commençais à paniquer intérieurement, je le vis se reculer et s'enfoncer dans son siège de ministre, ridiculement disproportionné au reste de la pièce. Il posa ses coudes de chaque coté du siège et croisa ses mains devant son visage, l'air sur le point d'entamer des négociations. J'avais l'impression d'être en face d'un responsable de la mafia.

Je déglutis. Je n'étais pas préparée à ça.

-La bonne nouvelle : c'est en plein centre. Et c'est grand. TRES grand.

Ca faisait deux bonnes nouvelles. S'il ne savait même pas compter correctement, combien de mauvaises allais-je avoir ?

- La mauvaise : c'est une colocation.

Comme je le craignais. Je ne pus retenir un profond soupir. Et je ne savais pas si c'était de désespoir parce qu'une colocation ne me convenait pas du tout, ou un soupir de soulagement parce que je m'attendais à quelque chose de pire comme : mais il va falloir tout payer d'un coup, et en liquide. Ou encore : mais il va falloir accepter qu'une pièce entière sera destinée à la confection de drogues.

- Vous êtes sûr qu'une colocation est nécessaire ?

Il hocha la tête

-Si vous voulez une surface suffisante pour vivre, certain.

Un deuxième soupir s'échappa de ma bouche, plus violent cependant. Je savais qu'il avait raison. La plupart des appartements dans mon budget étaient à peine plus grands que mon ancienne chambre, sans compter qu'ils assemblaient salle de bain, cuisine, salon/chambre. Il se releva légèrement et ses coudes vinrent se poser sur le bureau.

-C'est que… hésitai-je, ce n'est vraiment pas ce que je recherchais.

En effet, je n'ai jamais compris comment les gens pouvaient supporter de se mettre en colocation. C'était comme bafouer son espace vital, et résumer son intimité au seul espace d'une chambre. La colocation entre amis, pourquoi pas, mais avec des inconnus, partager des pièces comme la salle de bain, la cuisine, les toilettes, c'était à mes yeux tout sauf reposant. Et comme je préférais m'impliquer à 100% dans mon métier, j'avais besoin de repos outre mesure. Sans compter que je pouvais faire une croix sur mes habitudes, comme mettre de la musique à fond, et danser en cuisinant. Rester dans la salle de bain une heure, à lire un livre dans un bain chaud. Et bien sur, pouvoir se lever à toute heure de la nuit en cas d'insomnie et allumer la télé, en n'ayant rien à faire du bruit.

-Ecoutez, c'est une bonne affaire, je vous l'assure, reprit-il. Je peux vous promettre aussi que je garde un œil sur le marché pour vous trouver quelque chose seule et adéquat.

L'espace d'un instant, je me relâchai et acceptai de lui faire confiance. Je me rassurai également en me disant que si ça ne me convenait vraiment pas, je pourrai toujours partir à l'hôtel quelques jours et dans le pire des cas, trouver quelque chose plus loin. Mais comme j'allais avoir des horaires de garde, en pouvant travailler de jour comme de nuit, je ne pouvais pas me permettre de me reposer seulement sur les transports en commun pour me déplacer. Je ne pouvais pas non plus dépenser toutes mes économies en hôtel, j'étais donc coincée.

Devant mon air dépité, il me fit un sourire et se releva. « Venez, je vais d'abord vous montrer. »

Il me proposa de laisser ma lourde valise ainsi que mes sacs dans son agence et ferma la porte vitrée d'un tour de clé dans la serrure. Puis, il mit les clés dans sa poche en passant devant moi.

- C'est à deux pas de là.

Un nœud à l'estomac, je lui emboîtai le pas, tout en l'écoutant me détailler les lieux, puisque les choses étaient allées tellement vite que j'en avais oublié de demander un quelconque renseignement sur l'endroit où j'allais peut être emménager.

-C'est une maison, commença-t-il. Elle est d'un volume très respectable pour un bien en plein centre. Elle a même un étage.

J'ouvris grand les yeux, et failli trébucher.

-Attendez, combien de personnes vivent là-dedans ?

Il eut un rire amusé.

- Seulement deux personnes.

Mon instinct cria dans tout mon corps de partir en courant. C'était beaucoup trop louche. Il tourna d'un coup dans une ruelle à laquelle je trouvai un charme particulier et immédiat. Nous passâmes devant quelques boutiques, une échoppe de fruits et légumes frais, un fleuriste, un magasin de vêtements, et une délicieuse odeur s'échappait de ce qui semblait être un bar à ramen. Tous ces éléments me rassurèrent quelque peu.

-L'un des deux est propriétaire de la maison, un héritage.

J'haussai les sourcils. Pourquoi cette personne éprouvait-elle le besoin de s'encombrer d'autres locataires si la maison lui appartenait ? C'était de plus en plus étrange. Pourquoi fallait-il que les premières personnes que je rencontrai ici semblent bizarres ? Je priai intérieurement pour que tous les gens d'ici ne soient pas semblables à ça.

Il tourna à gauche, et nous nous retrouvâmes de nouveau dans une grande allée pavée avec des passants. Le coucher de soleil qui nous éblouis au passage caressa mes joues. Des enfants nous coupèrent la route en faisant la course et en riant à gorge déployée, quelqu'un salua amicalement M. Hatake d'un signe de la main et me souris. Mon cœur se réchauffa, l'ambiance était décidément suffisamment chaleureuse pour me permettre de me détendre. Il pointa du doigt un endroit à l'entrée colorée d'où s'émanait une musique entraînante ainsi que des voix, des rires. C'était un bar.

- Le deuxième locataire travaille ici.

Soudain, je sentis mes joues chauffer en comprenant un fait les deux habitants de cette maison étaient des hommes. Inconsciemment, j'avais préféré m'imaginer me retrouver avec des filles, ou au moins un garçon et une fille. Je m'étais trompée. Il vit mon air surpris par-dessus son épaule.

-Il est très jovial, et vous ne pourrez pas avoir meilleur accueil qu'avec lui.

Je ne savais pas si je devais me réjouir ou être mal à l'aise. Je n'avais pas forcément de mal à communiquer avec les garçons, même si j'étais capable d'être particulièrement gênée s'ils étaient séduisants, c'est juste que l'optique de vivre avec deux garçons ne m'enchantait pas. Ce n'est sûrement pas tous les jours que je pourrais leur demander de me dépanner un tampon ou leur étaler mes états d'âmes sentimentaux avec facilité. Je m'arrêtai un instant en réalisant que j'étais vraiment en train de déjà me projeter dans cette maison que je n'avais pas encore visité.

Je vis M. Hatake regarder au loin en continuant de marcher d'une manière détendue.

- En ce qui concerne le propriétaire… C'est une autre histoire, rit-il, il faut savoir l'apprivoiser.

Je me raidis. Il n'était décidément pas professionnel, à m'annoncer en bloc que je risquais d'être à coup sûrs mal à l'aise en compagnie d'un de mes possibles colocataires. Je me grattai la gorge nerveusement. J'essayai d'imaginer à quel genre de personne j'allais avoir à faire. J'espérais déjà que si j'avais un coup de cœur pour le lieu, je pourrais emménager assez vite. Voire immédiatement.

Il tourna à droite dans une autre ruelle avec beaucoup de charme. Mais il semblait plus y avoir des habitations. Puis, alors que je ne m'y attendais pas du tout, il s'arrêta. Je failli taper ma tête contre son dos, trop occupée à lever les yeux au ciel pour regarder les grandes fenêtres des appartements. Ce quartier était loin d'être malfamé.

-C'est ici !

Je fronçai les sourcils, il ne s'était même pas arrêté devant une porte. Soudain, il vira une fois de plus à droite pour monter les marches d'un escalier en bois massif. Je lui emboîtai le pas, curieuse. On arriva au premier étage, et je constatai le charmant agencement de l'immeuble. Un long couloir/balcon faisait le tour de la bâtisse. On était protégés par ce qui semblait être le palier du dessus. De larges poutres reliaient le premier et le deuxième tous les quelques mètres, et des pots de fleurs colorées apportaient une chaude touche de décoration. J'étais surprise, mais d'une manière si positive qu'en passant devant les différentes portes d'appartements numérotés, j'en oubliai que je n'étais pas sur le point de visiter un petit deux pièces rien que pour moi. Je m'étonnai alors.

- Vous êtes sûrs qu'on est au bon endroit ? C'est un immeuble d'appartements, ici…

Je l'entendis avoir un rire derrière son masque. Il s'arrêta, toujours les mains dans les poches, et ses yeux plissés en un sourire indiquèrent qu'il semblait fier de lui.

- Nous y sommes.

Je me mis à son niveau. Nous arrivions au bout de l'immeuble, cela semblait donc être la dernière habitation. Devant moi, une porte bleue, très noble, qui semblait plus épaisse que les autres et qui surtout, n'avait pas de numéro. Je compris alors. En tournant la tête légèrement à gauche, je remarquai une séparation entre la maison et le reste de l'immeuble. Sur environ 3 mètres de largeur, il y avait un couloir d'herbe, et en levant les yeux, des fenêtres sur les deux façades qui se faisaient face. D'un coté, celles d'appartements, de l'autre, celles de la maison. Comme pour bloquer l'accès au passage se dressait un grand bloc de boîtes aux lettres, avec tous les numéros des appartements, puis juste à coté, séparément, une unique boîte aux lettres, qui par sa seule présence faisait en sorte que personne ne confonde ces deux univers.

Mes yeux suivirent les doigts de M. Hatake sur la sonnette. Je lu rapidement « Uchiha » et en dessous « Uzumaki ». Lequel des deux est gentil, lequel ne l'est pas ?

Il sonna. Les battements de mon cœur s'accélérèrent, ainsi que ma respiration. Dans quoi m'étais-je lancée ?

Eh bien voilà pour ce premier chapitre. Vu que j'ai beaucoup écrit et que j'ai dû couper pour faire des chapitres, je ne suis que peu sûre que l'endroit où j'ai arrêté soit approprié, mais bon. Les choses intéressantes, évidemment, commenceront plus tard, même juste après. Maintenant que le contexte est posé, laissez-moi ajouter quelques précisions !

Cette fiction mettra à l'honneur un triangle amoureux, entre Naruto, Sakura et Sasuke. Je suis une éternelle amoureuse et passionnée du couple Sasuke / Sakura, je crois que je n'ai pas lu un scan ni vu un épisode de Naruto sans avoir en profond désir de les voir terminer ensemble (d'ailleurs, danse de la joie, extase ultime en lisant la fin de Naruto. C'est une VICTOIRE !) BREF, j'aime également par-dessus tout ce trio et ma passion dans les romances, c'est lorsque le personnage principal (ici Sakura) est tiraillé entre deux personnes, voit son cœur se décupler et battre différemment pour deux êtres. A la fin (je parle de fin alors que jusque là, j'ai été incapable de finir une fiction !) il y aura un choix de fait, mais j'en ai déjà presque trop dit.

J'espère par-dessus tout que cette escapade vous a plu, et que vous serez au rendez-vous pour la suite, qui ne saurait tarder, puisqu'elle est déjà écrite. Cependant, je n'ai qu'une seule requête : connaître votre avis ! Il est encore temps de faire des corrections, d'apporter des précisions, ou de continuer sur ma voie, donc lâchez vous, commentez ! Même un « jm b1 » m'ira, si c'est tout ce qui vous vient à l'esprit. Je vous répondrai, évidemment !

Sur ce, merci à vous, et à très bientôt !

Kiss

Auk.