Ma 1ère fic Naruto, j'espère que vous allez l'apprécier ! Le début est un peu courtmais c'et juste histoire de lancer l'histoire.
Warning : ben comme l'indique le rating, M, va y avoir des allusions plus où moins osées –et explicites ! - ; la grande majorité des couples vont être yaoi ( bah oui sinon, c'est moins drôle !) mais je suis ouvertes à toutes vos demandes.
Genre : alors en vrac, romance, humour et pétage de câble totale !
Disclaimer : comme la majorité des habitants de cette terre, les gentils mignons pitits persos ne sont pas à moi !
Enjoy ! Reviewwwwwwwww !
"Une fête ?"
"Vi !"
Pour l'instant, ça avait l'air bien partit.
Tsunade n'avait pas renversé son bureau, il n'était pas cible d'une dizaine de meubles enragés, contaminés par l'irritation de leur propriétaire.
Mais surtout, au grand surtout, il ne s'était pas toujours pas prit de machine à sous sur la figure, ce qui était, sans aucun doute, le mobilier le plus présent dans la pièce. (et celui qu'elle lançait étrangement le plus volontiers sur les gens)
"PARCE QUE TU CROIS PEUT-ETRE QUE C'EST LE MOMENT !"
"…"
"Jyraya, sors de sous cette table, tu es ridicule !"
Tsunade pouvait être vraiment effrayante.
"Mais enfin… je pensais que c'était une bonne idée, histoire de marquer le coup…"
"Avec tous les problèmes qu'on a ?"
"Ben oui, c'est pas tous les jours qu'on met fin à une organisation du niveau d'Akatsuki, et comme il y eu beaucoup de perte…"
"ET TU PENSES PEUT-ETRE QUE C'EST EN SE SAOULANT QU'ON OUBLIERA TOUT ?"
"…"
"TU ES PATHETIQUE ! TU N'AS VRAIMENT PAS CHANGE !"
"…"
"Et bon dieu de m…., SORS DE SOUS CETTE TABLE !"
"Une fête ?"
"Vi !"
Le sennin se tenait devant un petit comité composé de Naruto, Sasuke, (ramené par la peau du c.. euh, hum, disons de force par une Sakura et une Ino plus hystérique que jamais) une Sakura gardant dans sa ligne de mire son « Sasukinouchet », une Ino veillant attentivement sur son « Sasukounichet » (à ne pas confondre avait-elle dit, avec « Sasukinouchet », surnom complètement débile qu'avait trouvé la fille-au-grand-front qu'on ne citera pas ici).
Il y avait aussi un Shikamaru qui avait un grand besoin d'un Neji –plus blanc que jamais- pour tenir sur ses jambes, un Choji, manifestement en très grande force, entamant son 5ème paquet de chips en moins d'une minute, pulvérisant par la même occasion son propre record… sous les yeux effarés d'une Tenten ayant déjà vomi tout ce qu'elle pouvait, devant le spectacle peu ragoûtant que lui offrait son ami se bâfrant bruyamment, sa bave dégoulinant sur son menton.
N'oublions pas aussi un Kiba, venant de tourner de l'œil après avoir sentit les émanations du vomissement de la jeune fille, un Shino étrangement bavard qui avait étonné tout le monde en alignant 7 mots de suite, et enfin une Hinata dont la sonnette d'alarme s'était brusquement déclenchée lorsqu'elle s'était rendue compte qu'elle se trouvait à moins de 200 mètres de Naruto.
Leur senseï était présent eux aussi, notamment une Kurénai qui n'avait pas remarqué qu'un bout de sa tunique était resté coincée dans sa culotte, provoquant par la même occasion une hémorragie nasale à un Asuma effondré dans une marre de sang, un Kakashi beaucoup plus intéresser par son « Paradis de batifolage next generation » avec photos incluses s'il vous plaît, un Gaï voulant paraître à son avantage qui éblouissait tout le monde avec ses sourires et un Iruka qui se demandait ce qu'il foutait ici et se posait franchement la question de savoir qui n'arrêtait pas de le mater depuis tout à l'heure.
"Et obaa-chan, elle est d'accord ?"
"Oui."
"Comment vous avez fait pour la convaincre ?" L'interrogea Sasuke, plus suspicieux que jamais.
"Il suffit d'insister un peu" –et la menacer de raconter qu'elle s'était fait massacrée au poker contre un gamin de 3 ans ne connaissant même pas les règles.
"Fetfefejarorù ?"
"Pardon ?"
"Il demande où est-ce que ce sera." Traduisit Shikamaru, habituait aux intraduisibles borborygmes de son ami.
"A l'auberge en sortit de la ville."
"Galèreeeeeee."
"Et c'est à quelle heure ?" Demanda Sakura, ravi de pouvoir monter à tous qu'elle était désormais capable de danser sans réduire les pieds des autres en charpie.
"Vous pouvez arriver vers 20 heures."
"Y aura de l'alcool ?" Questionna Kiba qui, même à moitié dans les vapes, ne perdait pas de vu l'essentiel.
"Oui…"
"Trop cool !" S'exclama ce premier devant les mines plusdubitatives de ses amis qui se souvenaient –eux au moins- parfaitement bien de ce qui s'était passé la dernière fois qu'il avait bu.
Naruto avait même juré de ne plus se moquer de lui lorsqu'il était saoul depuis que celui-ci, sous l'effet de l'alcool, avait essayé de l'étrangler à l'aide d'un pantalon tueur. Il en gardait d'ailleurs une profonde hantise et avait assuré, il y a peu, de s'être fait agresser par ses compatriotes, désireux de finir ce que leur copain avait commencé. (il aurait reconnu leur odeur entre mille, celle-ci étant absolument "unique" au monde)
"... Mais…"
Mais… personnes ne l'écoutaient, la majorité était repartit dans leurs activités favorites c'est-à-dire, en vrac, manger, se crêper le chignon, se prendre pour un gyrophare, rivaliser avec un frigidaire, regarder les pigeons, se causer à soi même (où en option, à son chien ), se plaindre, faire le con, réprimander le con en question, lire des choses pas très catho, pleurer dans les bras de son disciple qui venait de se pointer, agoniser dans une flaque de liquide rouge ou pester contre la perversité des hommes.
La rumeur des bruits –et dans certains cas, des claques- s'abaissant, Jyraya prit une grande inspiration et déclara le plus vite possible, histoire de mieux faire passer la pilule :
"...Maisj'aipromitàl'hokagequ'onsetiendraitenbonninjasageetrespectueux."
(Mais j'ai promit à l'hokage qu'on se tiendrait en bon ninja sage et respectueux)
GRAND BLANC
Ce que fit remarquer Shikamaru, à juste titre, c'est qu'avec Naruto et ses imbécilités, Sasuke et ses envies de meurtres, Néji et ses allusions louches avec « un oiseau qui n'arriverait pas à sortir », deux folles furieuses en présence de leur idole, un goinfre capable de tuer pour de la bouffe, un senpai au mauvais goût af-fli-geant, un autre obsédé sexuel, le dernier ne pouvant pas être un humain normal (vu le nombre de clope qu'il avait fumé dans sa vie, il aurait du mourir il y a bien longtemps déjà) ainsi qu'une auteur plus que douteuse, c'était mal barré.
