Chalut les sushis ! Vous allez bien ? Moi plutôt, ma fiction "Les opposés s''attirent" a dépassé les cents reviews, 114 pour être précis ! Et ceci, c'est grâce à vous mes sushis ! :)

Si j'ai décidé d'écrire ce petit recueil d'OS, de Drabbles et d'autres écrits faits par mes soins, c'est avant tout pour vous remercier ! Je poste ici les OS et Drabbles cadeaux pour mes reviewers, mais il se peut aussi je ce soit des compléments de mes fanfictions, je verrai sur ce point.

Tout est clair ? Non ? Ah... Bah... TT Relisez le début alors ! Et si oui, je vous invite à vous asseoir confortablement pour apprécier ces petites histoires courtes qui tourneront autour de vos personnages préférés de One Piece, le magnifique manga qui appartient au grand Oda-sama ! :) Ils vont tous y passer, que l'on parle des Marines, des Onze Supernovas, des Empereurs ou même d'OCs décrit par vos soins, il se peut même que vous souhaitez que mes propres OCs apparaissent ! Ils y passeront forcément tous à un moment ou à un autre ! (je suis désolé, les lemons, le yaoi et le yuri n'auront pas leurs places ici, je m'y suis essayé et c'est un désastre é_é ! Encore pardon !)

Je parle donc à mes fidèles lecteurs, et même à tous les autres, ceux qui mettent en favoris, qui follow et qui postent des reviews, sans vous, ceci n'aurait pu voir le jour ! Toutes ces reviews, elles m'encouragent à continuer ! ;) Continuez de reviewer, il en va de ma santé physique et morale ! XD et accessoirement, du remplissage de ce recueil d'OS et de Drabbles...

Bref, trêve de bavardages, je vous laisse sur ce premier OS qui j'espère vous plaira ! C'est un PDV Sanji, je précise ! :) Il faut cependant le lire avec la chanson "Photograph" d'Ed Sheeran, qui m'a beaucoup inspiré. Allez faire un tour sur la traduction et vous comprendrez ! Je remercie ma bêta Rustal D. Amandine pour l'avoir corrigé ! Tu me laisseras un petit mot hein ?! °w°

Je dédie entièrement ce OS à Arya Cahill ! :) Tu te reconnaîtras ma belle ! ;3 Merci d'avoir mis la centième review ! ;)

On se retrouve en bas ! ;)

Disclaimer : J'ai fait mes comptes, j'ai toujours pas assez d'argents pour racheter One Piece ! è-è

Enjoy ^^


NAKAMAS

OS n°1, Photograph

Ça y est, après deux longues années d'entraînement intensif sur l'île de Kédétrav, je suis enfin de retour sur l'Archipel Sabaody, tout comme toi. Il me tarde de savoir où tu étais et comment ces deux ans se sont passées. Mais pour l'instant, nous sommes en train de plonger, en route vers l'île des Hommes-Poissons. Cette merveilleuse île sous-marine, paradis de ces magnifiques créatures aquatiques que sont les sirènes.

Mais vois-tu, je me surprends à dire qu'elles sont moins merveilleuses que toi. Depuis quand suis-je devenu ainsi amoureux, et pour de vrai cette fois-ci ? En tout cas, c'est différent de ce cirque que je fais à Nami chérie et Robin d'amour. Ce qui est sûr, c'est que je suis amoureux depuis que tu es sur ce navire, ma belle dulcinée. Je t'observe depuis le pont de la cuisine, accoudée au bastingage. Tu es en train de t'extasier sur les nouvelles coupes de Franky. Il a beaucoup changé, en deux ans. Comme nous tous. Comme toi. Tes cheveux blonds sont plus longs maintenant, ils arrivent au milieu de ton dos courbé si magnifiquement. Tes formes ont pris du volume aussi, te rendant encore plus pulpeuse et voluptueuse qu'avant. Les courbes d'une femme sont un cadeau de Dieu, s'il existe. Ta main laiteuse se dirige vers son nez, que tu presses pour faire apparaître une nouvelle coupe de cheveux à notre charpentier cyborg. Tes yeux prennent la forme d'étoile, comme ceux de notre idiot de Capitaine au Chapeau de Paille, du petit renne et médecin, Chopper, et ceux de notre tireur d'élite pas courageux pour un sou, j'ai nommé Usopp.

Tu es vraiment belle, avec cette expression de ravissement sur ton joli visage entouré de mèches blondes comme les blés. Remarquant que je te t'observe, tu te retournes vers moi, tes cheveux si fins et soyeux balayant l'air, puis retombant allègrement sur tes fines épaules. Tu m'adresses un signe de main ainsi qu'un clin d'œil. Un sourire resplendissant traverse ton visage rosé. J'aime ce sourire. J'aime quand tu es heureuse. Je ne me souviens que trop bien de l'expression horrifiée que tu arborais lorsque nous avons accosté sur ton île natale, dévastée. J'ai tellement souhaité que tu recouvres ton beau sourire joueur et taquin ! Grâce à notre Capitaine, ta vilaine mine est partie aussi vite qu'elle est apparue. J'aurais aimé que ce sourire s'adresse à moi. Mais non, il était pour Luffy. Pourtant, je suis sûr qu'à présent, la forme que prennent tes lèvres pulpeuses et roses est pour moi, qu'elle m'est destinée tout particulièrement. Et j'en suis ravi.

Je t'aime, ma douce.

Mon regard se fait insistant, ainsi que le tient avec ses belles couleurs noisette, se teintant de reflets noirs de temps à autre. Sans lâcher des yeux tes iris noisette, ma main droite va toucher distraitement la petite poche située à l'avant de ma veste de costard bleue. Quand mes doigts touchent le bout de papier se trouvant à l'intérieur, mes traits se détendent. Quand je vois que tu fais de même, ta main allant chercher dans la poche de ton jean troué une photo, je ne peux m'empêcher de penser que tu n'as pas oublié et que toi aussi, tu as conservé cette photo.

Comment aurais-tu pu oublier ?

Tiens, tu te lèves, abandonnant tes nakamas. Luffy te demande où tu vas, tu lui réponds mystérieusement : « Quelque part… » Est-ce vers moi que tu vas venir, pour te lover dans mes bras, ta tête blonde dans mon cou, m'entourant amoureusement ? Je l'espère.

Tes pas gracieux t'emmènent vers la cuisine, où je décide de rentrer en t'attendant. Tu es bien venue me voir, cela me fait plaisir ! Quand tu débarques, poussant doucement la porte de tes mains dignes d'une poupée de porcelaine, trois gâteaux sont situés sur le plan de travail, ils n'attendent que toi !

Viens les voir ma belle, je les ai fait spécialement pour toi ! Tes belles prunelles regardent le fraisier, se dirigent vers la mousse puis finissent par s'attarder sur une tranche de forêt noire. C'est marrant, d'ordinaire, les gens qui s'attardent sur quelque chose le choisissent en général. Toi, c'est tout le contraire, quand tu observes trop longtemps quelque chose, cela veut dire que tu ne le prendras pas. Allez savoir pourquoi…

Finalement, tes mains gracieuses empoignent la coupe contenant la mousse au chocolat. Tu trempes un doigt dedans à défaut d'avoir une cuillère et le porte à ta bouche. Un soupir de satisfaction s'échappe de toi. Tu sembles transpirer le bonheur. C'est alors que je remarque une tâche marron sur la commissure de tes lèvres. On dirait un bout de chocolat posé sur une montagne de sucre.

« Toujours aussi gourmande, Iris-hime ! Je lance avec un sourire narquois, le tout en tirant sur ma clope.

- Et comment ! Ta mousse est délicieuse, Sanji ! »

Je ne peux résister à cette frimousse rosée qui me fait son plus beau sourire et me complimente. Je me dirige vers toi en une tornade de l'amour passionnée, yeux en cœurs.

« Arrête ça Sanji ! Tu m'avais promis de ne plus recommencer avec moi ! Fais-le avec Nami ou Robin si ça te chante, mais pas avec moi. Déjà que je tolère à peine le « Hime »… » Grommelles-tu.

Oh ! T'aurais-je vexé ? J'en suis désolé. Ma tornade de l'amour se stoppe immédiatement et je te fixe intensément. Tu fais de même. Ce regard me déstabilise au plus haut point.

« Qui a-t-il Sanji ? Me demandes-tu, sourcils froncés, comme en proie à une profonde réflexion intérieure.

- Je me disais juste que tu es devenue magnifique, encore plus qu'avant, Iris. »

Tu vois, j'ai fait l'effort de ne pas mettre le surnom affectif que je ne réserverai dorénavant qu'à Nami chérie ou Robin d'amour. Il faut croire que tu es heureuse, toi, mon sublime arc-en-ciel qui éclaire mes journées brumeuses et tourmentées. Tu te pares de rougeurs adorables. Ta main vient sortir de ton jean déchiré une petite photo, d'un article trouvé sur le journal. Je le connais bien cet article qui est apparu pendant ces deux ans, pour l'avoir lu et relu à de maintes reprises. En gros titre : « Sanji La Jambe Noire et Iris L'Ombre Insaisissable de l'Équipage des Mugiwaras sont en couple ! »

En effet, juste avant que nous soyons dispatchés à travers le monde, je t'avais embrassé comme nous ne nous étions jamais embrassés. Je sentais qu'une mauvaise chose allait se produire, mais j'ignorais qu'elle allait me séparer de toi pendant deux longues années. Je tire sur ma clope, mélancolique. Ces deux années n'ont fait que renforcer les sentiments que j'éprouvais à ton égard, à la place de les cueillir et les ranger au fond de mon cœur.

Oui, cette photo contient tant de sentiments que nous avions besoin d'évacuer. Tu m'aimes, moi aussi, c'est aussi simple et c'est tout ce qui compte.

Et apparemment, un de ces foutus journalistes était présent et avait capturé avec son escargophone photographique un moment qui devrait rester intime, seulement connu des deux amants. Mais qu'importe. Cette photo de couverture, tu l'as découpé, et moi aussi. Elle m'accompagne depuis, dans la poche avant de ma veste de costard. Elle ne me quitte plus. Tu n'as pas l'air de vouloir t'en séparer non plus.

Je m'approche de toi et te retire la mousse déposée au coin de tes lèvres.

« Tu avais du chocolat, Iris. »

Comme simple réponse, tu rougis encore plus en serrant dans tes petites mains gracieuses et laiteuses la photo de nous deux, nous embrassant sous un arbre de Sabaody. Je souris tendrement puis finis par ressortir de la cuisine, toi à ma suite, gambadant sur le pont recouvert d'herbe, un sourire pur et innocent aux lèvres. Tu t'approches de Nami chérie et de Robin d'amour, tranquillement installées sur des transats malgré l'absence de soleil en raison de la profondeur à laquelle nous nous trouvons, la première sirotant un cocktail préparé par mes soins, une de ses mèches rousses entortillée autour de son doigt fin et manucuré, la deuxième lisant calmement, et riant doucement à l'agitation qui règne en maître sur le pont. Elles te lancent des regards très significatifs pour moi, et pour toi aussi, à en juger l'air que tu prends tout en discutant avec elles. Tu ranges discrètement et prestement la photo dans ton collier qui peut en effet contenir une photo, pour ne pas être assaillie de questions. Je repose près de ton cœur, pourrais-je sentir ses battements ?

Finalement, je finis par m'accouder au bastingage aux côtés d'une certaine tête de gazon, dormant profondément.

« On est amoureux, sourcils en vrilles ? Dit-il, sortant de son sommeil de plomb.

- C'est sûr que c'est pas à toi que ça risquerait d'arriver, tête d'algue ! Je réplique, voulant déjà me battre avec lui.

- L'amour, c'est pour les faibles, blondinette !

- Tu me cherches marimo ?

- Et comment love-cook de mes deux ! »

Nous sommes calmés par Nami qui est visiblement en colère, mais le fait de nous avoir frappés semble l'avoir calmée. Tant mieux, il faut éviter d'être dans les parages lorsque Nami chérie est en colère ! Mais de toute façon, elle est magnifique, en colère ! Mais pas autant que toi, Iris.

En parlant de mon petit arc-en-ciel, où es-tu ? Où est passé ton petit corps si voluptueux ? Ne me dit pas que ce squelette pervers t'incommode encore ?! Il est sûrement en train de te demander s'il peut voir ta petite culotte ! En effet, je m'approche de vous deux, toi qui termines ta mousse sur un transat, sourire joueur aux lèvres, et lui, qui s'apprête à te poser sa sempiternelle question qui me fait hérisser les poils lorsqu'elle s'adresse à toi.

« Ma très chère Iris, il ne me semble pas vous avoir posé la question depuis que nous nous sommes revus, alors je te la pose maintenant. Aurais-tu l'obligeance de me montrer ta petite culotte ? »

Alors que je m'apprête à cogner bien fort cet imbécile heureux qui vient t'importuner, je suis coupé par ta voix si chantante qui répond vivement, ne me laissant pas le temps de donner une bonne correction à notre musicien pervers.

« Mais qui te dis que j'en porte une, Brook ? » Répliques-tu malicieusement.

La seule chose dont je me souviens ensuite, c'est d'une effusion de sang, d'un squelette volant grâce à son fluide vital dégoulinant de son nez, d'ailleurs, il n'est pas censé avoir les deux vu que c'est un squelette, ainsi que toi, en train de te rouler par terre, tombée à cause de tes éclats de rire.


Voilà ! Verdict ? Normalement, si vous avez lu assez lentement, mais pas trop non plus, vous devriez avoir terminé de lire en même temps que la chanson prend fin ! J'espère de tout mon cœur que la personne à qui j'ai dédié cet OS est contente, et j'espère que vous aussi, petits sushis ! :) Au fait, Iris veut dire arc-en-ciel en grec ! :)

A plus pour le prochain OS, qui arrivera quand nous aurons atteint les 150 reviews sur ma fiction "les opposés s'attirent" ! ;) Alors reviewez bien les sushis ! :3

Reviews et ananas (Marco XD), j'vous aime putin !

Hug, votre auteure dévouée.