As a Girl
Written by Dairy22
Oo...pour me joindre...oO
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Résumé : UA. – Merde Ron, et je fais quoi maintenant ? Ce type est persuadé que je suis une nana de quinze ans ! – Bah, mon vieux, tu n'avais pas qu'à te créer une fausse identité sur ce chat -
Genre : Romance / Humour
Couple : Harry Potter & Draco Malefoy.
Disclamer : Tout est à J.K Rowling qui a su hisser la saga Harry Potter au rang de chef d'œuvres littéraire en créant un monde tout aussi fantastique que ses personnages.
Nombre de chapitres prévus : dix environ.
Posté le : 25 avril 2009.
Chapitre 1
Comment Harry prit connaissance des dangers d'internet…
Il était vers cinq heures quand Harry rentra des cours avec Ron, son meilleur ami. Comme chaque vendredi après-midi, Ron venait dormir chez lui. C'était devenu une habitude depuis leurs premières années du collège. Ils arrivèrent vers un immeuble Haussmann de Paris où résidait un chassé-croisé de véhicules en bas de la rue. Harry composa le code d'accès puis il poussa la lourde porte en bois massif. Ne prenant pas la peine de prendre l'ascenseur, ils montèrent les escaliers menant aux étages avec précipitation, leur pas étouffé par le tapis qui épousait les formes des marches.
Ils ne s'arrêtèrent qu'une fois au quatrième étage. Harry glissa sa clef dans la serrure et pénétra dans l'appartement familial. Il était plutôt spacieux, lumineux et assez bien décoré. Harry passa d'abord dans la cuisine où il sortit une bouteille de coca du frigo tandis que Ron prenait un paquet de gâteau qui traînait sur la table. Ils se faufilèrent dans le couloir puis entrèrent dans la chambre d'Harry.
Ronald se laissa choir lamentablement sur le lit deux places qui trônait au milieu de la pièce sur lequel une couette bleu était vaguement contorsionnée. Harry se dirigea vers sa chaîne-hifi et mit la radio. Ils mangèrent en silence en écoutant quelques bribes de paroles qui emplissait la pièce. Il régnait une sorte de plénitude que les deux garçons appréciaient. Néanmoins, cette osmose fut troublé par l'arrivé d'une autre personne.
La porte s'était ouverte en grand faisant apparaître une jeune fille qui devait avoir quinze ans environ. De larges boucles brunes tombaient en cascades sur son dos droit et ses yeux noisette envoyaient des étincelles. Elle portait une jupe écossaise plissée ainsi qu'un T-shirt manches courtes rouge vermeil. C'était Amy, la jeune sœur d'Harry. Elle détestait quand il mettait du rock à fond. Elle détestait cette musique qu'elle qualifiait de barbare. Son genre musical était plutôt porté sur le RnB où elle imitait des divas américaines devant son miroir avec sa brosse à cheveux. Elle avança vers son frère avec un air furibond en martelant le sol avec ses petits pieds nus.
- Je peux savoir pourquoi tu as mis ce bruit de dégénéré ? Cria-t-elle en pointant un doigt accusateur vers la radio. Baisse le son tu veux.
Harry haussa les épaules et avala une autre gorgée de soda. Ce n'était pas la première fois qu'elle venait lui redresser les bretelles pour ses goûts musicaux. Ron se redressa du lit et lui tendit le paquet de gâteau en souriant poliment. Amy renifla dédaigneusement et rejeta sa longue chevelure en arrière.
- Désolé je fais attention à ma ligne.
Elle se dirigea vers la sortie en se donnant de l'allure en bombant la poitrine.
- C'est moi où ils ont grossis ? Nargua Harry.
Amy fit volte-face et lui envoya un regard haineux tandis que ses joues prenaient une teinte pivoine. Ron déposa le paquet de gâteau sur la table de chevet de son meilleur ami et la regarda partir. La plupart du temps, Amy passait ses journées collée à son ordinateur dans sa chambre si elle n'était pas de sortie avec ses amies que son grand-frère qualifiait de pintades. Harry n'avait pas son propre ordinateur dans sa chambre. Il trouvait cela injuste puisque sa petite-sœur en avait un. Quelques mois plus tôt, cela avait déclenché la guerre froide entre les deux adolescents. Pourtant, les parents d'Harry n'étaient pas décidés à fléchir. Ils trouvaient que les résultats scolaires de leur fils étaient insuffisants. Harry avait enragé. Tapé des pieds. Crié. Rien n'avait résolut l'affaire. Au moins, il avait sa fidèle radio avec laquelle il faisait enrager sa famille.
Ron, quant à lui, était plutôt songeur. Il continuait de fixer la porte par laquelle Amy était sortit quelques instants auparavant.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda Harry en lui passant la bouteille de coca.
Ron la prit sans broncher et but. Il déposa la boisson parterre entre ses jambes et fixa le sol. Au bout d'un moment il planta ses yeux bleus azur dans les émeraudes de son ami et dit :
- Ta sœur est toujours sur son ordi ?
- Il semblerait. Répondit Harry en se retournant pour regarder les passants par la fenêtre de sa chambre.
- Parce que tu sais… sur la toile il y a des dangers. Et je ne parle pas que de virus. C'est une termitière de gens pas net, voir pervers et… si ta sœur tombait sur l'un d'entre eux et qu'il… Enfin Harry, elle doit faire attention.
Harry éclata de rire et jaugea Ron du regard qui était rouge et paraissait confus.
- Et quand bien même elle tomberait sur un détraqué Ron, qui voudrait d'une pimbêche comme elle ? Plaisanta Harry.
Ronald bafouilla quelques choses à propos des pédophiles et avala une gorgée de soda pour se détendre.
- De toute manière, reprit Harry, ma petite sœur n'est jamais resté avec un mec plus de deux semaines. Elle est trop insupportable. Même mon père envisage de la mettre au couvent une bonne fois pour toute.
Ron eut un léger rire nerveux qui résonna dans la pièce alors qu'une mélodie plutôt douce pour du rock déclamait ses premières notes. Les deux garçons écoutèrent la chanson en silence alors qu'une voix suave s'élevait de la chaîne-hifi. Une autre voix, beaucoup plus nasillarde, s'éleva de l'autre côté du mur. Amy chantait un tube d'une de ses idoles. Harry réprima difficilement un grognement. Pourquoi n'était-il donc pas enfant unique ?
Le reste de l'après-midi se passa calmement. Harry et Ron avait parlé des filles désirables du lycée, du football et de rock. Ils avaient un groupe où Harry jouait de la guitare électrique tandis que Ron était le batteur. Il était plutôt doué et Harry le jalousait dans le fond. Au total, ils étaient cinq dans leur groupe et il n'y avait qu'une fille : Hermione. C'était une jeune fille studieuse le jour et une déjanté la nuit. Ils l'avaient connu au cours de leur dernière année au collège. Cela les avaient plutôt étonné de savoir qu'elle jouait de la basse depuis plusieurs années et qu'elle adorait le rock et plus particulièrement le métal. Les autres membres étaient un peu plus particuliers. Par exemple, Dean le chanteur, s'était teint les cheveux en violet et avait déjà plus de six piercings. Le dernier membre du groupe se nommait Neville Londubat qui n'était à l'aise que derrière un piano. Il avait une fâcheuse manie de casser tout ce qui lui tombait sous la main. Aussi, il ne s'habillait que dans les tons bleus ce qui lui valait le surnom de Schtroumpf maladroit.
La mère d'Harry n'appréciait pas du tout les moments où les réunions du groupe se déroulaient chez elle. Elle les qualifiait d'une bande de dégénérés. En fin de compte, Mrs Potter ne portait dans son estime - en dehors de Ronald - qu'Hermione Granger qu'on pouvait qualifier « d'à peu près normal ».
Vers dix-huit heures, Amy interpella finalement son frère pour lui dire qu'elle partait au cinéma avec quelques unes de ces amies. Harry adorait les moments où sa sœur passait ses journées à l'extérieur. Non pas pour le calme, mais pour l'ordinateur. Il avait alors un certain temps devant lui pour naviguer sur la toile en toute liberté. Quand il entendit la porte d'entrée claquer, il entraîna Ron dans la chambre de sa jeune sœur.
- La voie est libre mon vieux ! S'exclama Harry en parcourant le couloir de l'appartement.
Ils arrivèrent dans une chambre aux teintes lilas qu'Harry répugnait particulièrement. Il s'installa au bureau tandis que Ron prenait un tabouret. Il découvrit avec stupéfaction qu'elle avait laissé l'ordinateur en mode veille. Il secoua énergiquement la souris et la page d'accueil s'afficha :
- Tu ne peux pas savoir comme tu m'as manqué ma belle. Susurra Harry à l'écran de l'ordinateur comme si il s'agissait d'une fille très séduisante.
- Tu sais que tu fais peur quand tu parles à cette machine. Dit Ron avec un ton suspicieux en le regardant furtivement.
Harry haussa les épaules : il avait l'habitude qu'on le prenne pour un fou à lié. Tout à coup, une sonnerie assez étrange retentit. En bas, sur la barre d'état, un site de chat en ligne scintillait affichant qu'ils venaient de recevoir deux nouveaux messages.
- J'avais raison. Elle chat ta petite sœur. Prononça Ron en croisant les bras sur sa poitrine.
- Et qu'est-ce que ça peut me faire ? Répondit Harry en esquissant un mouvement pour fermer la fenêtre. C'est sa vie après tout.
La sonnerie redoubla d'intensité lorsque trois nouveaux messages apparurent. Pendant quinze minutes, Harry les ignora royalement consultant, à moitié absorbé, le site web du journal du rock, essayant de déceler quelques nouveaux artistes. Puis, sa rage éclata :
- Non mais ils ne vont pas nous laissés tranquille !
- Tu n'as qu'à fermé la fenêtre. Conseilla Ron.
- C'est ça, et ma sœur saura immédiatement que je suis passé par ici. Répliqua Harry. Non, j'ai mieux comme idée, je vais plutôt leur répondre.
- Mais tu disais que c'était sa vie ! S'exclama Ronald outré par la conduite de son meilleur ami.
- Si sa vie m'agace tandis que je passe un moment de détente, alors oui, là je peux intervenir. C'est mon boulot de grand-frère.
Harry cliqua sur l'encadré indiquant l'adresse du site et lu les quelques messages qu'on venait de lui envoyer.
' Biscottoboy envois : Coucou ma belle, tu as l'air trop mignonne. Ça te dirait de faire connaissance ? '
- Quel boulet, maugréa Harry, je n'ai même pas de photo sur mon profil ! Tiens voilà dans ta face.
Le jeune brun lui envoya alors :
' Lolita. malgré.moi envois : Ecoute Ducon, tu es peut-être un no-life qui n'a pas su mettre le grappin sur une meuf de toute ta vie mais je ne suis pas suicidaire au point de te causer. Ciao '
La réponse ne tarda pas à arrivé
' Biscottoboy envois : dis plutôt que t'es laide. Aller je me tire '
- Il n'a pas tout à fait tord. Rétorqua Harry. Tu l'as trouves belle toi ma sœur ?
Les joues de Ron devinrent aussitôt rouges.
- Disons qu'elle n'est pas moche.
- Peut-être. Souffla le brun après avoir répondit à un énième prétendant tout en jonglant sur le magasine qu'il lisait sur une autre page.
Le temps passa doucement et Ron finit par s'ennuyer. Il décida alors d'aller regarder un dvd dans le salon histoire de faire le guet pendant qu'Harry s'amusait sur l'ordinateur. Au moment où le rouquin franchit la porte, un autre message apparut :
' Paradis Artificiel envois : Bonjour.
En voyant cela, Harry resta méfiant mais décida de tout de même répondre pour voir – par simple curiosité – s'il s'agissait d'un autre malade mental.
' Lolita. malgré. moi envois : Salut.
' Paradis Artificiel envois : Comment vas-tu aujourd'hui ?
' Lolita. malgré. moi envois : comme un chaton qui vient de se faire écraser sur le bitume.
' Paradis Artificiel envois : Oh, je vois… Ce n'est pas la joie alors.
' Lolita. malgré. moi envois : ça tu peux le dire. J'ai le moral à plat. Comme si on m'avait vidé de mes forces vitales.
Harry avait envie de jouer son rôle à fond d'adolescente en crise. Et ça l'amusait. Il pianotait sur le clavier avec un sourire narquois.
' Paradis Artificiel envois : Je peux t'aider en quoi que se soit ?
' Lolita. malgré. moi envois : Pas vraiment non.
' Paradis Artificiel envois : Discuter te fera sans doute du bien. Je sais, pour toi je ne suis encore qu'un inconnu mais ça peut t'aider à déballer ton sac plus facilement. Je ne te ferai pas de mal.
Le brun était scotché. Cette personne lui proposait son aide sans rien en retour où il rêvait ? Il resta dubitatif et finis par accepter l'aide à son problème imaginaire.
' Lolita. malgré. moi envois : C'est vrai… Ca ne me coûte rien de tout te dire. Et bien voilà, je suis folle amoureuse d'un garçon mais pas lui. Je ne sais pas comment faire pour qu'il s'intéresse à moi.
Ben quoi ? Autant ne pas prendre un mensonge compliqué à gérer. Ca arrivait à toutes les filles ce genre de situation à ce qu'il savait !
' Paradis Artificiel envois : Je comprends. Ca ne doit pas être facile. Pour commencer je te dirai de jouer la carte de la subtilité. Les garçons n'aiment pas être brusqués dans leur entreprise et prennent le temps de réfléchir. Je pense que si tu veux l'avoir le plus rapidement possible détache toi de lui. Ca peut paraître fou mais plus tu seras distante et plus il se demandera pourquoi et ça le tracassera. Les hommes détestent être ignorés. Leur égo en prend un sacré coup.
Harry leva un sourcil inquisiteur. Ce type savait déposer des mots juste sur chaque émotion. Il était trop fin psychologue pour quelqu'un de jeune. Ou du moins, il était assez mature.
' Lolita. malgré. moi envois : Merci pour ce conseil judicieux. J'en prends bonne note. Cependant, j'ai encore une question.
'Paradis Artificiel envois : Dis-moi.
' Lolita. malgré.moi envois : Et s'il ne remarque rien ? Qu'est-ce que je dois faire ? Quelle attitude adoptée ?
' Paradis-Artificiel envois : Surtout pas la colère. Ca le braquerait plus qu'autre chose. Il se demandera pourquoi surtout étant donné que vous ne sortez pas ensemble.
' Lolita. malgré.moi envois : Tu as des conseils très avisés en amour. Tu es une fille ?
' Paradis-Artificiel envois : un homme.
' Lolita. malgré.moi envois : Et quel âge as-tu ?
' Paradis-Artificiel envois : Bientôt dix-huit ans. Et toi ?
' Lolita. malgré.moi envois : Quinze et des poussières. Ca doit te faire bizarre de discuter avec une gamine comme moi.
' Paradis-Artificiel envois : Pas du tout. Je te signale que je ne t'ai pas trouvé « gamine » pour le moment, loin de là.
' Lolita. malgré.moi envois : Tu risques de me faire rougir si tu continues.
' Paradis-Artificiel envois : J'y compte bien.
Harry était charmé. En quelques lignes seulement ce type avait réussis à réveiller sa part de féminité et à la mettre dans sa poche. Comment faisait-il tout ça ?
' Lolita. malgré.moi envois : Tu es un vrai charmeur en tout cas. Qu'est-ce qui te plait dans la vie ?
' Paradis-Artificiel envois : Je touche d'un peu de tout. J'adore écouté la musique provenant du monde entier. Je voyage beaucoup avec mes parents et ça doit venir de là. J'écris des bricoles que je publie sur internet monnayant un euro par ci par là. Mais ce que j'adore par-dessus tout s'est dessiner. Je suis aux Beaux-arts de Paris, en première année. J'ai sauté une classe au primaire.
' Lolita. malgré.moi envois : Tu dois être sacrément doué ! En tout cas bravo pour ton admission. On m'a dit que ce n'était pas du tout facile d'entrer dans ce genre d'école et encore moins à Paris. Je crois que s'est l'école d'art la plus prestigieuse du monde…
' Paradis-Artificiel envois : Je crois bien que ça l'est. Mais il y en a une pas mal à Londres. Je vais faire un stage là-bas pendant les vacances d'été.
' Lolita. malgré.moi envois : Tu m'enverras une carte postale ?
' Paradis-Artificiel envois : Encore faudrait-il que je sache où tu habites ma chère Lolita.
' Lolita. malgré. moi envois : Paris tu connais ? * rire *
' Paradis-Artificiel envois : Je vois vaguement où ça se trouve. J'aurais besoin d'une carte. Mon père est un radin ! Il ne me laissera pas son GPS. * éclate de rire *
' Lolita. malgré. moi envois : Tu vas me trouver bête mais je ne sais toujours pas comment-tu t'appelles.
' Paradis-Artificiel envois : Tu vas trouver ça comique mais mon nom n'est pas du tout ordinaire. C'est Draco. Mes parents sont des adeptes de la civilisation latine.
' Lolita. malgré. moi envois : * morte de rire * Pas de bol pour toi. Je trouve pourtant que ton prénom sonne bien. Moi, s'est Sasha.
Oui, Harry enchainait mensonges sur mensonge mais il s'était pris au jeu.
' Paradis-Artificiel envois : Enchanté Sasha.
' Lolita. malgré. moi envois : Ca fait un peu nom d'homme. Excuse également le goût de mes parents.
' Paradis-Artificiel envois : Je n'ai pas à les excuser Sasha : ils ont très bon goût. Sasha c'est un nom de femme.
' Lolita. malgré. moi envois : Merci Draco.
' Paradis-Artificiel envois : De rien. Tout le plaisir était pour moi. Au fait, tu ne m'as pas dévoilé ce que tu aimais faire dans la vie ! J'ai envie d'en savoir un peu plus sur toi…
' Lolita. malgré. moi envois : Et bien, les sorties entre amis en tout premier. Puis le rock et tout ce qui tourne autour. Les concerts, les vêtements et les albums surtout ! J'ai un groupe où je joue de la guitare électrique.
Pour une fois, Harry se montra sincère.
' Paradis-Artificiel envois : Intéressant. J'ai une collection de vieux vinyles dans mon appartement. J'affectionne aussi ce style de musique. En tout cas, plus que la country * rire *
' Lolita. malgré.moi envois : On s'est donc trouvé un point commun !
' Paradis-Artificiel envois : Et de taille ! Je ne pourrais pas vivre sans musique et je crois que toi non plus.
' Lolita. malgré.moi envois : Effectivement. Je pourrais te demander quels sont tes groupes préférés mais je les trouve tous excellents.
' Paradis - Artificiel envois : Tu as parfaitement raison.
' Lolita. malgré.moi envois : Tu as dis tout à l'heure que ta collection se trouvait dans ton appartement. Sous entends-tu que tu as déjà ton domicile à toi tout seul ?
' Paradis - Artificiel envois : Perspicace à ce que je vois Sasha. Oui, j'ai déjà mon propre appartement. Je n'ai pas à me plaindre. Mes parents ne manquent pas d'argent et m'en font profiter.
' Lolita. malgré. moi envois : Tu en as de la chance ! Moi qui vis encore avec ma sœur ainsi que mes parents. Une vraie garce celle là !
' Paradis-Artificiel envois : La politesse t'étouffe * rire * Elle est si grave que ça ou est-ce de la simple jalousie ?
'Lolita. malgré. moi envois : De la jalousie, je l'admets Docteur Freud. En parlant de ça, je l'entends arriver ! C'est son ordinateur : il faut que je te laisse.
' Paradis-Artificiel envois : Ah, ok. Quand est-ce que tu crois pouvoir revenir ?
' Lolita. malgré.moi envois : Bientôt !
' Paradis-Artificiel envois : Au revoir Sasha.
' Lolita. malgré.moi vient de se déconnecter du chat.
Harry ferma les pages de discussion qu'il avait créer et redémarra le chat pour laisser une page vierge pour l'arrivée de sa sœur. Il prit la précaution de bloquer le contact Paradis Artificiel afin qu'il ne puisse lui parler que lorsqu'il sera là. Il sortie avec précaution de la chambre de sa sœur pour rejoindre la sienne.
Une fois à l'intérieure, il souffla un bon coup et s'allongea sur son lit. Finalement, ça avait du bon les chats. Ron avait tord sur certain point. Cet inconnu avait animé en lui une émotion qu'il ne connaissait pas encore. Ca lui faisait bizarre. Il était maintenant pressé de le rejoindre pour lui parler de nouveau. Au bout de cinq minutes, il se leva et se dirigea vers le salon afin de s'asseoir au près de Ron pour partager avec lui le film qu'il visionnait en piochant dans un large saladier remplit de pop corn…
oO…To be continued...Oo
Et voilà le premier chapitre de cette fanfiction ! J'espère que vous avez apréciez et que vous laisserez une petite reviews pour m'encourager ! Biz
