Alors cette histoire m'est venu quand je lisais le dernier tome de Twilight. Comme j'étais en cr*** contre la fin toute fait, je me suis mise à créer ma propre version de ça. Mais j'ai chercher encore plus loin. Comme je suis une fan de Jacob, je me suis dit; "Qu'est qui c'est passer pendant qu'il c'est enfui de Bella?" C'est comme ça que je suis venu à cette histoire.

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Je courrais dans les bois pour me sauver d'elle. Elle qui en a choisi un autre. Non, pas seulement un autre, mais un ennemi, un sang froid, un vampire. En plus, il la met constamment en danger. L'entrainant de plus en plus, attirant des regards puissants et indésirables, la transformant. Je le déteste au point de vouloir le tuer pour de bon avec mes propres mains. Mais je ne peux pas le faire. Pas par manque de courage, mais par peur qu'elle replonge dans cet état catatonique où elle s'est si bien enfermée la première fois. Et si je ne pouvais pas la ramener. Si je ne pouvais pas la faire revenir vers moi. Qu'est-ce que je deviendrai? Je me déteste de ne pas avoir pu la protéger de lui.

Tout à coup, j'arrêtai ma course, car une odeur bien étrange monta à mon museau. Le parfum de la forêt en pleine tempête, un feu de joie, une rivière débordante de vie, ainsi que le soleil d'une journée hivernale au même endroit. Sans trop savoir pourquoi, je me dirigeai vers la source de toutes ses odeurs uniques. Mon corps, mes instincts prirent les actions contraires de ce que ma tête veut donner. L'ensemble distinct m'est si envoutante que je ne me suis pas rendu compte que je m'approche des sentiers qui tapissent la forêt. C'est alors que je découvris d'où provenait l'odeur qui m'a entrain dans cet endroit dangereux pour un loup; une fille.

Elle représente complètement l'environnement automnal qui nous entoure. Ces cheveux, comme les feuilles, traversent plusieurs couleurs; du blond au brun, en passant par le roux. Ces yeux de la même teinte des forêts boréales brillent de joie et de bonheur. Ces joues rougies par le vent complémentèrent bien sa peau dorée. La brise fit virevolter l'ancienne parure des arbres aux mille couleurs, ce qui déclencha son rire. Elle déposa une main sur son béret noir afin qu'il ne fasse pas comme le feuillage. J'arrêtai d'avancer en entendant cette impulsion de jubilation. Ce sentiment est si éloigner de ce que je ressentais il y a juste quelques moments.

-Dylan, je t'ai déjà dit de ne pas faire ça. Tu sais très bien que je sais quand toi ou les gars êtes près. Disons qu'avec cette température…

Elle arrêta de parler quand elle croisa mon apparence. J'oublie par fois que je suis un loup. Elle avança vers moi avec un air perplexe, mais son pas est sûr et décidé. Je n'arrivai pas à bouger. Mes pattes ne veulent pas m'obéir, comme si elles sont coulées dans le béton. La scène m'est vaguement familière, j'ai l'impression de l'avoir déjà vécu. Puis ça me revient; Bella. Pourquoi mes pensées dérivent-elles toujours vers elle? Je fermi les yeux afin de vider mon esprit, les rouvrirent aussitôt à cause d'une sensation inattendue; une main s'emmêler dans mon pelage près de mon museau. J'observai son visage, je n'arrivais pas totalement à le lire. Il est à la fois fermé, mais si ouvert. Ces yeux clos, un sourire au coin des lèvres qui s'étirèrent à mesure que les secondes passèrent, ces sourcils froncés et une respiration calme. Je ne ressentis aucune peur envers moi. Elle retira main à mon grand regret. Ce qui me surpris.

-Oups! Désolé! Je pensais que vous étiez un nouveau recruté par mon grand frère. Mais vous n'êtes pas d'ici je crois, n'est-ce pas? Du Sud, du moins c'est ce que je déduis. Car je ne crois pas qu'un loup du Nord aurait une fourrure aussi douce que la votre. Ou supporterait la chaleur d'ici.

Elle rit de nouveau, mais cette fois-ci elle assourdit un peu le son en cachant sa bouche derrière sa main.

-Que suis-je sotte. Je serrais paniquer si une inconnue balbutiait sans arrêt. En plus, sans se présenter! Je m'appelle Amélee White. Heureuse de faire votre connaissance.

Elle me tendit la mais et attendit un geste de ma part patiemment. Son nom me fit sourire, comme si le destin aime me jouer avec moi. Elle est bien mon contraire, autant de noms que d'état d'âme. Black and White, noir et blanc. Je lui tendis ma patte en retour de sa main. Elle essaya de la serrer comme une poignée de main ordinaire sans trop de succès, ce qui ne fit qu'élargir mon sourire. Amélee abandonna le projet puis recula d'un pas.

-Vous devez avoir froid…

Elle se donna un coup avec la paume de sa main contre le front. J'essayai de retenir le rire qui veut sortir. Elle est si mignonne avec sa maladresse.

-Aujourd'hui, je ne pense pas avant de dire quelque chose. Bien sûr, vous n'avez pas froid. Mais si vous voulez, j'étais sur mon chemin vers la maison. Je peux vous prêter des vêtements. Pas les miens, celui de mon frère. Puis nous pourrons manger.

À la mention de manger, mon ventre grommela en signe d'approbation. Ça fait un petit moment que j'ai chassé quelque chose pour me nourrir. Son rire résonna encore comme une douce mélodie. Amélee commença à marcher ver l'un des sentiers. J'hésitai un peu avant de la suivre, mais mon ventre fit attendre qu'il n'est pas du même avis que ma tête et de marcher au contraire d'où elle se dirige. Alors, je suivis la jeune fille qui danse devant moi. C'est le seul mot qui me vit en la voyant marcher devant moi; danser. Amélee s'arrêta un instant pour prendre les sacs en tissus qu'elle a laissés à côté du sentier. Elle prit un moment pour les placer sur ces épaules, puis repartit d'un pas lourd et lent. Je déduis que ce sont les sacs qui l'alourdissent. Je frôlai mon museau contre sa main pour attirer son regard, et tournèrent mes yeux vers les sacs, puis j'ouvris ma gueule.

-Vous avez si faim? Attendez, je crois que j'ai quelques bouts de viande froide dans un de ces sacs. Si seulement…

Elle déposa ceux-ci au sol et commença à farfouiller pour trouver la nourriture en question. Je soupirai et roula les yeux, décidément elle n'a rien compris à mes intentions. Je pris trois des quatre sacs qu'elle a déposés par terre dans ma gueule pour pouvoir l'aider. Par la suite, je me suis mis à marcher dans la même direction où elle allait il y a quelques secondes. Comme je n'entendis pas un mouvement de sa part, je me retournai pour voir ce qu'elle fait; elle me regarda confuse. Je fis un signe vif de la tête vers la direction que nous allons prendre et la sortir de cette stupeur. Amélee sourit, prit le sac que je lui ai laissé, et me devança pour me montrer le chemin à prendre.

-Désolé, je suis si habitué à nourrir la meute par moi-même, que je ne me suis pas attendu que vous me proposiez votre aide. Pas que je n'apprécie pas, au contraire, mais vous voyez, c'est MA tâche. Ne pensez pas que les garçons ne m'ont pas offert de m'aider, mais je préfère qu'ils s'occupent d'autres choses. Disons qu'ils ne sont pas trop délicats.

Elle regarda droit devant, me fessant dos, la tête haute. Elle me parut plus mature tout à coup. Mais sa voix, douce et presque inaudible pour une personne ordinaire, ce qui la fit paraitre plus enfantine. Comme si elle me confiait un secret. Elle me laisse dans le noir. Amélee est deux choses complètement différentes à la fois.

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Voilà! C'est le premier chapitre! Je sais pas trop comment continuer mais je vais m'y mettre.

Est-ce trop long? Est-ce trop court? Est-ce que j'ai mal écrit? Est-ce que vous aimez? Est-ce que vous détestez? Dites-moi tout s'il vous plait!