Auteur : Voilà donc une nouvelle fic, que j'espère vous apprécierez. Je l'ai écrite l'année dernière et elle compte à ce jour 7 chapitres, invluant l'introduction que voici. Je rappelle que ce petit truc tout minuscule qui se situe plus bas n'est que l'introduction. La suite sera plus longue, je vous le promets.

Disclaimer : Les personnages et le monde du monde d'Harry Potter ne m'appartiennent pas. En revanche, l'histoire est à moi. Les chansons que j'utiliserai ne sont pas à moi. Si on fait le compte, il n'y a pas beaucoup de choses dont je suis propriétaire.

Avertissement : HP/SS, slash bien sur, romance, drame mais aussi basée sur des chansons ! Âmes sensibles s'abstenir !

Bonne lecture

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La vie en chanson

Introduction

J'ai mal. Tellement mal. C'est comme si quelqu'un prenait plein d'aiguilles pour venir les planter dans mon cœur et trouvait ça hilarant. Assez drôle pour recommencer et en tirer un malin plaisir. Et comme si ça ne suffisait pas, je suis obligé d'assister à cet ignoble spectacle. Pourquoi ici ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi MOI ? Et pourquoi LUI ? Je suis assis à la première place, condamné à assister à ma propre mort intérieur. Et je ne peux en parler à personne, je ne peux l'avouer à personne. Je suis enfermé dans une prison où on me torture jusqu'à ce que je décide enfin de lâcher prise. Mais, mes bourreaux ne se rendent pas compte des tourments qu'ils me font subir, tout en étant subjugués par l'un et l'autre. A vrai dire, mes bourreaux ne se rendent même pas compte que dans cette histoire, je suis martyre. Il n'y a personne à blâmer. Sauf moi.

J'aurais pu tomber amoureux de quelqu'un d'autre ? J'aurais pu aimer quelqu'un d'autre, nan ? Quelqu'un qui m'aurait aimé en retour, tout simplement. Toutes ces interrogations qui tournent dans ma conscience jusqu'à me rendre fou. Mettons les choses au clair et sachez tout de suite que je suis gay, mais maintenant que je prends en compte de la douleur que je ressens maintenant, j'aurais du me tourner vers les femmes. Peut-être aurait-ce été plus facile…Je n'en sais rien. Non, ce n'est pas l'homosexualité qui est pénible. C'est plutôt l'amour que je Lui porte qui l'est de plus en plus. Et puis, même si les prétendants, des deux sexes ne manquent pas de me rappeler leurs présences, je Le veux. Je l'aime. A en mourir.

Et bien évidemment, il faut que tout nous oppose ! Mon métier, mon âge, mon corps hideux que je tente de dissimuler derrière ces robes de couleur noire et ma détermination à lui cacher mes sentiments par ce masque de haine. J'ai tellement honte ! Je ne devrais pas avoir le droit de poser le regard sur lui, pas le droit de le contempler chaque jour, pas le droit de tomber amoureux de lui comme je l'ai fait. J'ai honte de moi, de ce que je suis. D'abord LUI, Harry Potter, si beau qu'on dit que les anges en pleurent, si doux et si bandant, faut bien l'avouer. Puis moi, Severus Snape, homme au physique désavantageux et haï de quasiment tous mes élèves, je ne fais pas bonne figure. Je le sais et j'en ai honte. Je voudrais me recroqueviller sur moi-même et oublier ce monde de souffrance dans lequel je vis.

Lorsque j'ai appris qu'il aimait les hommes, j'ai faillit m'évanouir. De bonheur. Mais lorsque j'ai appris qu'il sortait avec Blaise Zabini, étudiant de mon émérite maison qui plus est, je me suis évanoui. De jalousie. Depuis ce jour, je suis présent de leurs démonstrations affectives qui m'écoeurent. Mon beau ténébreux être tripoter, embrasser, enlacer,…A en chialer, j'vous dis. Et même si les larmes me montent aux yeux, je me redis que je suis un homme fort, que peut-être Harry ne l'aime et que peut-être, un jour, il sera à moi. Avant de reprendre mes esprits et de découvrir l'ampleur des mensonges que je me créée. Je suis un homme déchiré entre la souffrance, la raison et l'amour, la passion.

C'est comme ça que je me retrouve un Samedi à me concentrer sur un repas que je ne mange pas et une envie de vomir qui me pend à la gorge.

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Ne me tuez pas, ce n'est que l'intro. La suite viendra très vite et plus longue, je n'ai qu'à la poster sur l'ordi. En attendant, passez mettre un commentaire. Bezoox.