Titre : Where is Croco ?

Auteur : Miss-Champi

Crédit : Les personnages de One Piece ne sont pas à moi, mais à Oda-sama !

Pairing : Crocodile X Doflamingo

Synopsis :

Crocodile était à Impel Down, puis s'est rendu à Marineford pour la grande guerre, et ensuite ? Where is Croco ? Croco is with Doflamingo !

Note de l'auteur : cet OS est la version réécrite de l'ancien, j'ai gardé l'idée de base ainsi que certain dialogue mais je l'ai grandement modifié. D'ailleurs je suis une grande adepte des LONG lemon (pas comme ceux qui font cinq lignes et hop terminé) donc régalez-vous mes amis et bonne lecture !

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Cela fait deux ans maintenant que la guerre de MarineFord a pris fin sur la supposé victoire de la Marine. Deux ans que les mémoires du célèbre Edouard Newgate, plus connu sous le nom de Barbe Blanche, et de son fils adoptif et second commandant de sa flotte, Portgas D. Ace, sont honoré. Deux ans que les Mugiwara ont disparu après leur disparition a Sabondy causé par Kuma. Il s'en est passé des choses en deux ans. Les Mugiwara se sont entrainés durement pour devenir plus fort, pour affronter l'avenir, le Shin Sekai ! Aujourd'hui, ils sont réunis, prêt a de nouvelles aventures !

Cependant, un minuscule détail nous a tous échappé. Souvenez-vous donc de cette guerre. Rien ne vous parait étrange ? Je vais vous éclairer. Il y avait de nombreux participant lors de cette guerre, Ivankof par exemple qui est retourné sur Okama Land et a même entrainé Sanji pendant deux ans, il y avait aussi Jimbé qui est retourné sur l'ile des Hommes poisson attendre Luffy et enfin Crocodile. Ah vous comprenez mieux peut être maintenant ? Savez-vous ou il est passé durant ces deux ans ? Ce qu'il a fait et ou il était ? Non, vous en êtes incapable car il a mystérieusement disparu sans laisser de traces. Et si nous retournions deux ans dans le passé, a la fin de la guerre, pour savoir ce qui s'est passé ?

Deux Ans Plus Tôt…

La Guerre est terminé, elle a pris fin avec l'arrivé du Yonko Akagami No Shanks. Mugiwara No Luffy s'est fait évacuer d'urgence grâce a la venue improbable du Chirurgien de la Mort Trafalgar Law. Les Pirates appartenant aux défunt Barbe Blanche se retiraient en emmenant les corps de leurs frères tombé au combat, les Marines faisaient de même, et tout ça dans un cesser le feu qui pourrait paraitre irréelle connaissant la haine viscérale de la Marine envers les Pirates. Pourtant la présence du Yonko calmait les ardeurs des soldats de la Marine. Buggy Le Clown et ses évadés reprirent rapidement la mer pour éviter de se faire capturer avec Mr 3en leur compagnie, Marco devint le capitaine provisoire des flottes et dictait les ordres à suivre. Les Capitaines Corsaires repartaient a leur tour un a un. Pourtant on pouvait apercevoir une silhouette immobile dans un coin du champ de bataille. Elle était assise sur un morceau de débris qui devait appartenir au mur d'enceinte. C'était un homme grand, muni d'un long manteau sombre, ses vêtement hors de prix étaient sales de poussières et de taches de sang. Ses cheveux plaqués vers l'arrière étaient emmêlé et collant de sueur et de sang. Son visage las barré de cette sinistre cicatrice semblait avoir toute la misère du monde sur ses épaules. Ses lèvres fines tenaient un énorme cigare fumant et odorant. Il semblait en pleine réflexion, son regard était lointain et vague, il ne se souciait plus de son entourage. Il repensait à son parcours. Il avait plusieurs objectif mais aucun n'eu de résultat. Il commençait à vieillir et il était las de passé sa vie à faire des plans qui de toute évidence seront déjoué. Il voulait de toute évidence continué a vogué sur les mers mais il était un éternel solitaire, il ne voulait pas d'un équipage. Pourtant il ne pourrait pas voler un navire et partir d'ici tout seul, il lui serrait impossible de faire voile tout seul. Alors que faire à présent ? C'est sur cette réflexion qu'une voix qu'il aurait préféré ne plus entendre retentit derrière lui.

« Mon Crocodile préféré me semble bien pensif, peut être pensais-tu a moi ? Pourtant nous nous sommes vu il n'y a que quelque heures tout au plus~ »

Un profond soupire irrité passa la barrière des lèvres de l'homme sable et un regard froid et menaçant répondit a son interlocuteur a froufrou rose qu'était nul autre que Don Quichotte Doflamingo. Il avait tellement de réponse qui lui venait a l'esprit mais il se dit qu'il valait mieux ne pas s'énervé si tôt, le dialogue venait seulement de débuter.

« Qu'attends-tu de moi Dofla ? »

L'homme au manteau de plume rose leva les bras en croix, ses doigts se tordaient bizarrement et l'homme sable ne l'avait pas remarqué. Il était trop concentré sur l'immense sourire qui fendait le visage de son interlocuteur. Ce sourire était particulièrement perturbant, on pouvait y lire beaucoup de chose, l'amusement, l'irritation, la menace, l'ironie. Le désir aussi. Il était certes bien caché, mais bien présent. Le Corsaire s'avança d'un pas, ses lunettes blanche et rose glissèrent légèrement mais pas assez pour qu'on découvre son regard. Une douce brise insolente vint s'écraser sur les deux hommes, soulevant leur manteau respectif. Le brun sentit un danger imminent et voulu s'éloigner mais il était trop tard. Il ne pouvait plus bouger. Il fronça les sourcils d'irritation et se maudit de ne pas avoir anticipé le coup. Le blond bougea un doigt et l'instant d'après, l'homme sable s'avança contre sa volonté vers lui en grognant.

Lorsque l'ancien Corsaire fut assez proche de lui, le blond se pencha comme au ralenti et le brun put sentir le souffle chaud de l'autre homme sur sa nuque. Il eu un, non, deux frissons lui parcourant le corps quand la voix exécrable de son homologue s'éleva dans les airs. Pourtant, personne n'aurait put entendre ce qu'il disait. Seul Crocodile avait entendu. Il avait fait tomber son cigare et ses yeux s'étaient écarquillé.

Pourtant il n'eu pas le loisir d'ouvrir la bouche qu'il fut assommé par Doflamingo. Il ne se réveilla que quelque heure plus tard, attaché avec des chaines en Granit Marin au barreau d'un lit moelleux au drap blanc et propre. Il était tout seul dans ce qui semblait être une chambre. Ou une cabine plutôt, pensa-t-il en remarquant le hublot donnant sur un ciel bleu parsemé de petit nuage a l'aspect cotonneux. La cabine était vide, terriblement vide. Une commode a vêtement, un petit bureau, une table de chevet et le lit sur lequel il était attaché. Ce devait être une cabine très peu utilisé, et pourtant elle avait l'espace de celle d'un capitaine. Crocodile se redressa, un peu groggy et tira sur les chaines par reflexe. Cela eu juste le don de lui égratigné les poignets. Il grogna et remarqua enfin une chose importante, ses vêtements avaient disparu, il n'était couvert que du fin drap qui ne cachait rien de son corps musclé. Son crochet d'or reposait sur le bureau un peu plus loin et il avait une envie de fumé qui lui brulait la gorge. Son attention se reporta sur la porte qui venait de s'ouvrir dans un grincement aigu qui l'aurait presque fais sursauté.

Sur le pas de la porte se tenait Doflamingo, adossé à l'embrassure en bois avec un plateau en fer ou reposait un bol et une cuillère. Le Corsaire eu un léger rire puis détailla du regard l'ex Corsaire attaché au lit devant lui.

« Enfin réveillé mon Croco ? Tu as faim ? »

Crocodile le fusilla du regard et grimaça, il aurait voulu l'étrangler et le faire taire définitivement. Le blond s'approcha, s'assis sur le lit près de lui et lui tendit la cuillère qui avait plongé dans ce qui semblait être une soupe. Crocodile lui lança un regard qui signifiait qu'il ne mangerait rien dont il ne connaisse pas l'origine, et surtout pas venant du flamant rose. Le dit flamant rose soupira tristement et reposa le plateau sur la table de chevet.

« Ou sommes-nous Dofla ? Questionna le brun.

-En route vers Dressrosa. Pourquoi refuses-tu toujours mes avances mon Croco ? »

Crocodile grogna dangereusement, il ne voulait pas aller au Royaume de ce dégénéré. Tirant inutilement sur ses liens, Crocodile essaya de se reculer le plus loin possible de Doflamingo, sa question l'avais mis sur ses gardes. Ses efforts furent vains et ses forces prirent congés de son corps sous le sourire supérieur du bond qui en profita pour s'assoir sur les hanches de l'homme sable et l'empêcher de bouger. Ce dernier se débattit, sentant le danger imminent, mais son pire cauchemar se produisit.

« DOFLA ! ENLEVE TES MAINS DE MON CORPS IMMEDIATEMENT ! »

Les dites mains s'étaient amusées à retracer les abdos saillant sous elles et malgré la voix menaçante du brun, elles cheminèrent lentement vers ses pectoraux musclés. Le blond sourit perversement et continua à laisser ses mains baladeuses tripoté le corps d'Apollon qu'elles avaient sous la main avant de s'attardées a deux endroits bien précis.

L'homme sable serra la mâchoire pour ne pas donner le plaisir à Doflamingo de l'entendre gémir. Pourtant son corps semblait d'accord pour succomber à la tentation, ses boules de chair s'étaient durcies en si peu de temps et il sentait le sang afflué plus bas dans son anatomie. Mais il ne s'avouait pas vaincu et garda difficilement le silence jusqu'à ce que le blond vienne jouer de sa langue sur ses deux endroits si sensibles. Il ne put retenir un sifflement de surprise et ses joues lui brulèrent de honte. Il n'avait pas osé laisser échapper un tel son ?

Le blond semblait se délecté du son qui était sorti de sa bouche et tortura de nouveau les boules de chair rosies, les suçota et mordilla pour faire craquer sa proie. Et il eu ce qu'il voulait. Un nouveau son gênant sortie de la bouche de l'homme sable. Son corps le trahissait, il n'aurait pas du ignoré ses pulsions primaire pour ne pas réagir ainsi devant les attouchements du Corsaire. Car il fallait être fou pour réagir pleinement face a ce dégénéré, n'est-ce pas ? Crocodile murmura honteusement.

« C'est ce que tu attendais de moi. Connard, tu me paieras ca ! »

Il était conscient que le Flamant rose désirait bien plus que quelque caresse, il était bon pour passé à la poêle. Et avec les menottes en Granit Marin, il ne pourra pas échapper au viol. Le Croco soupira faiblement. Kidnappé, séquestré et bientôt violé, il avait atteint le fond, mais qu'est-ce qu'il avait envie d'un cigare !

« Crocodile, tu ne peux pas t'imaginer a quel point tu es adorable~ si tu me laisse te croquer, je te donne un cigare, d'accord ? Essaya d'amadoué le Flamant.

-Tu penses parler a qui connard ! Je ne vais pas te laisser mon cul aussi facilement ! »

La réplique de Doflamingo avait irrité le brun qui avait retrouvé sa combativité, vite calmé par les chaines en Granit Marin, mais qui avait eu le temps de faire reculer un peu le blond.

Blond qui se lécha les lèvres d'avance, il adorait quand son petit Crocodile s'énervait, il était plus excitant encore ! Le dit Crocodile se tortilla sous lui pour tenter d'échapper a son persécuteur mais ca ne faisait qu'excité le Flamant qui décida de commencé à dévorer sa proie prise au piège entre ses plumes. De sa langue il retraça les courbes de sa nuque, remontant a son oreille qu'il mordilla avant de redescendre en laissant sa marque au creux de sa gorge puis huma l'odeur sèche du sable qu'il aimait tant. Il sourit en entendant un léger grognement et sentit les battements de cœur de sa proie s'accélérer, ca lui faisait de l'effet. Le blond descendit encore sa langue jusque sa clavicule qu'il mordit d'un coup pour entendre le Crocodile gémir de surprise. Il sourit satisfait quand il eu ce qu'il désirait et se sentit trop étroit dans ses vêtements. Le flamant se déshabilla et l'alarme « danger » se remit en marche dans la tête de Crocodile qui gigota violement sous lui pour s'éloigné, sans aucun résultat.

« Arrête de gesticulé, si tu te débats ca ferra encore plus mal quand je te pénétrerais.

-Ne le dit pas à voix haute enfoiré ! »

Doflamingo glissa ses mains sous la couverture et alla à la rencontre de l'objet de ses désirs, aussi fièrement tendu que la sienne. Il avait tellement d'envie a l'instant qu'il ne savait pas comment débuter, finalement il opta pour un classique va et vient sur sa verge dur, son pouce taquinant le gland a chaque mouvement. Il s'émerveillait des petits soupirs étouffé que son fantasme laissait échapper par mégarde et en voulait plus, toujours plus. Il voulait l'entendre soupirer, gémir encore et encore, il voulait l'entendre crier, crier son nom de plaisir, le sentir collé contre lui, se mouver sensuellement ensemble chastement jusqu'à ce que son adorable Croco lui supplie de le pénétré et enfin ne faire qu'un avec lui. Il voulait aussi et surtout l'embrasser. Pourtant actuellement c'était impossible avec son Croco en colère, il devait l'amadoué. Son petit fantasme lui avait donné vraiment chaud d'un coup, la chaleur était insoutenable, et pourtant il se contient de se jeter sur lui et le violer purement et durement. Il voulait plus qu'un simple coup d'un soir même si Crocodile pensait le contraire.

Alors il prit son mal en patience et tortura sa proie par le plaisir. Sa main montait et descendait sa verge dure et pulsante, prête à exploser pendant que le brun se retenant à grand peine d'émettre un quelconque gémissement trop embarrassant. Et Doflamingo savait que son petit manège ne l'excitait que d'avantage, mais sa fierté l'empêchait de gémir devant lui.

« Dofla…arrête je vais… » Haleta le brun.

Le Corsaire cessa tout mouvement sur la verge de son partenaire et sourit grandement. Il ne pouvait pas jouir si tôt, ca n'aurait pas été drôle. Le blond se pencha sur la table de chevet et ouvrit le tiroir, il avait tout préparé. Crocodile ouvrit de grands yeux choqué et frémit, à la fois de gène et d'excitation. La suite promettait d'être douloureusement agréable. Doflamingo sortit plusieurs petit jouets que nous qualifierons de « mignons » et les montra un a un a son partenaire qui devenait de plus en plus rouge au fur et a mesure. Le blond enfila un anneau autour de la verge de l'homme sable qui l'empêchait de se libéré tant que le jouet n'était pas retiré, il montra ensuite un petit objet rond attache a une sorte de petite télécommande autrement connu sous le nom de vibromasseur, c'était le model le plus mignon. Et enfin quelque petites choses utiles pour la suite, du lubrifiant aphrodisiaque par exemple ou un bandeau opaque, ca pouvait s'avérer utile.

« T'es le pire obsédé sexuel que cette terre est porté Dofla. Rougit le brun.

-Si ca me permet de te faire du bien, j'en suis plus que fier. Répondit-il sur le ton de l'évidence. »

L'oiseau pervers se permit de lui enfilé le bandeau sur les yeux avant d'infiltré le vibromasseur a un endroit resté ignoré jusque maintenant. Le reptile retient un grincement mi douloureux mi plaisant et se tortilla de nouveau sous le Flamant. Il savait que d'ici peu de temps, il pourrait très bien se mettre à en réclamer plus et ca n'était pas dans ses intentions de supplier cet enfoiré.

Pourtant, toute les barrières au monde qu'il avait put ériger pour ne pas gémir furent balayé par une sensation qui lui fit cambré l'échine en lâchant un pur gémissement d'extase. Son corps appréciait particulièrement le traitement, trahissant sa volonté. Doflamingo jouait avec son corps et ses nerfs, il laissait les vibrations au minimum, juste de quoi faire réagir assez son petit Crocodile. Il décida de lui faire encore plus plaisir, et profitant qu'il ait les yeux bandé, il se pencha sur le sexe dur et gorgé de sang pour le cajoler de sa langue. Ses mains préférant jouer avec ses bourses, il fit tournoyer sa langue tout autour de sa virilité et taquina longuement le gland rendu sensible par les caresses. Le piège s'était refermé sur le reptile qui n'avait d'autre possibilité que de laisser échapper malgré lui ses gémissements, mais il se battait toujours et se refusait à supplier plus à son persécuteur.

En vain cependant. Plus le temps passait, plus il sentait ses défenses disparaitre peu à peu. Entre sa virilité au bon soin de la langue malheureusement douée de cet emplumé l'horrible jouet en lui qui lui faisait presque voir des étoiles mais surtout à cause de ce putain d'anneau qui l'empêchait de jouir oui il ne tiendrait pas longtemps.

Mais comme si ce n'était pas encore assez, notre emplumé n'avais pas qu'un tour dans son caleçon. Il se dit en effet qu'il serait temps de préparé convenablement son adorable reptile. Doflamingo délaissa un instant la virilité de son soumis préféré pour chopper sous le lit une barre métallique ou deux attaches étaient accroché à chaque extrémités. Il plaça les chevilles dans les attaches qui écartèrent les cuisses de son adorable Croco qui s'était remis à grogner son mécontentement d'être ainsi dominé. Le Flamant prit ensuite le lubrifiant aphrodisiaque pour s'en asperger trois doigts, après tout s'il demandait a Crocodile de les lui lécher, il n'était pas sûr que celui-ci accepte… il se ferait une joie de les lui mordre et arracher sans doute. Reprenant sa délicieuse sucette en bouche, Doflamingo taquina l'intimité déjà dilaté par le vibromasseur avant de pénétré d'un premier doigt cet antre de chair qui lui était destiné et rejoignit le jouet vibrant. De son autre main il augmenta les vibrations pour éviter a son amant de trop sentir sa présence et lui faire mal, ça n'était pas son objectif.

Un gémissement lui parvint, puis un second, puis encore un autre. Le blond leva son regard sur le visage crispé de plaisir de son soumis et un sourire étira ses lèvres. Voilà ce qu'il désirait voir. Son Croco prendre du plaisir, son Croco apprécier ce qu'il lui faisait, même si c'était de force en effet. Il se sentit durcir a le voir ainsi. Un vrai fantasme à lui tout seul.

Son Croco. Menotté au lit. Les yeux bandés. Les lèvres rosées entrouvertes sur une délicieuse langue humide. Gémissant de plaisir. Le corps cambré. Les tétons dur et pointant. La virilité gonflée et dur de désir suintant de pré-sperme. Les cuisses écartées et semblant l'invité. Son intimité offerte, humide, chaude et douce entourant son doigt. Oui, un vrai fantasme.

« Dofla… Dofla ! Gémit l'homme sable pour attirer son attention.

-Oui mon Croco ? Se réveilla le blond de sa rêverie.

-Bouge… ! »

Le Corsaire eu du mal à ne pas le pénétrer a l'instant même où son amant lui avait enfin céder ! Il le désirait tellement qu'il en avait mal, sa propre virilité lui hurlait de lui donner plus d'attention mais il l'ignora difficilement, il voulait avant tout le consentement totale de son soumis. Il finit par faire de lent vas et vient dans son intimité, son doigt venant touché le jouet vibrant dans ses chairs. Doflamingo adorait aussi voir le corps de son reptile se cambrer violement, ses hanches secoué par des spasmes de plaisir et sa cage thoracique se soulevant et se rabaissant a une vitesse peut être alarmante. Sa respiration était chaotique en plus des gémissements de luxure que laissait échapper Crocodile.

Le blond se tendit soudainement quand son soumis étouffa un sanglot. Il ne comprenait pas, son brun lui avait dit de bouger, il semblait d'accord ! Doflamingo cessa tout mouvement et baissa le niveau de vibration. De sa main libre il enleva le bandeau des yeux de son soumis et sentit son cœur se briser en constatant ses yeux humides et son regard fuyant.

« Crocodile.. ? Est-ce que je t'ai fait mal ? »

Le brun écarquilla les yeux et ancra son regard dans celui du Flamant rose, surpris de l'entendre dire cela. Puis il sembla remarquer quelque chose. Doflamingo n'avait pas été violent ou brutal avec lui, depuis le début il n'avait fait que lui donner du plaisir, il le préparait minutieusement et ne l'avais pas maltraité. Et cette phrase. Doflamingo se souciait vraiment de lui ? Ou en avait-il juste pour son corps. Crocodile ne voulait ni de relation à long terme ni de romance empli de guimauve, car ce n'était que des illusions, l'amour faisait souffrir. Pourtant il savait que sa relation avec le blond avait toujours été ambiguë. Crocodile voulait des réponses, il voulait que Doflamingo lui disent sincèrement ce qu'il attendait de lui. Il se doutait surtout que l'emplumé n'étais pas aussi attentif avec toutes ses conquêtes.

« Qu'est-ce que ce que ça peut te foutre Dofla ! T'es en train de me violer ! »

Le brun se mordit la langue aussitôt d'avoir craché ça. Certes c'était la stricte vérité, mais au fond de lui, il regretterait si Doflamingo se montrait plus brutal après avec lui. Le piaf quant à lui était blessé des paroles de son brun et son mince rictus disparu complètement.

« C'est vrai, je suis en train de te violer car tu ne veux pas le faire avec moi, même si ton corps me réclame. En fait non, tu veux le faire avec moi, mais tu as peur. Crocodile, je sais que tu as une mauvaise opinion de moi, et il y a de quoi. Mais je ne veux pas d'un coup d'un soir. Et tant que tu ne l'auras pas compris, je te garderais séquestré dans ma chambre et je te ferais l'amour contre ton gré autant de fois qu'il le faudra pour que tu le comprennes. »

La déclaration du blond laissa l'homme sable complétement coi. Un morceau de sa tirade tournait en boucle dans sa tête. « Je te ferais l'amour ». Oui Crocodile avait peur, peur que ce que le blond désirait soit au-delà de ces capacités. Il ne voulait pas tomber dans le piège des sentiments, surtout pas avec Doflamingo. Il n'avait pas confiance en lui, il ne pensait pas ce piaf capable de sentiments amoureux et encore moins à son égard. Pourtant sa déclaration brillait de sincérité, Crocodile ne pouvait le nier. Un nouveau sanglot étouffé raisonna dans la chambre. Il avait trop de fierté pour lui expliquer cela.

« Tu attends quoi de moi ? Que je te saute dans les bras en te faisant des déclarations d'amour sulfureux ?! Bon sang Dofla réveille-toi ! Comment pourrais-je te faire confiance ? Donne-moi une bonne raison de te céder réellement ?! Explosa l'homme sable, des larmes s'échappant d'entre ses cils.

-tu m'as déjà céder Crocodile, tu ne veux pas te l'avouer mais tu es déjà tombé pour moi. Et je ne vais pas te donner une raison, je vais t'en donner plein. Je ne désire personne d'autre que toi, je veux que tu m'appartiennes corps et âme, je veux que tu me rejoignes que ce soit mon équipage ou ma famille, je ne veux plus voir de larmes dans tes yeux car ça me brise le cœur. Je ne suis pas un grand romantique, je ne suis pas mièvre et tu ne l'es pas non plus, mais s'il le faut pour que tu entendes mes sentiments, je te ferais moi ces déclarations sulfureuse, je ferais tous les clichés romantique qu'il faut pour te montrer que je suis sérieux. »

Doflamingo se pencha lentement sur son soumis, a quelque centimètre de son visage et murmura presque contre ces lèvres.

« J'ai peur que si je te détaches tu ne t'enfuis loin de moi. »

Mais contre toute attente, Crocodile grogna et parcourra les quelque centimètres qui séparaient leur lèvres. Le blond sentit son ventre faire des montagnes russes et glissa une de ses mains sur la nuque de son reptile et l'autre dans le creux de ses reins, collant leur corps bouillant l'un contre l'autre. Crocodile passait sa langue sur la lèvre supérieure du blond dont la jumelle vint rejoindre sa consœur pour échanger un baiser passionné. Leur premier. Apres quelque minute d'intense échange buccale, le reptile brisa le baiser pour respirer et ordonna d'une voix ferme malgré son manque d'oxygène et ses joues rouges.

« Enlèves ces putain de menottes. »

Le Flamant rose était subjugué par le regard intense et profond de son partenaire et son sourire revient immédiatement. Mais pas un sourire psychopathe et effrayant, non un simple sourire franc et presque tendre. Qui surpris grandement l'homme sable. Le blond détacha alors les menottes en Granit Marin en grimaçant à leur effet presque immédiat sur lui. A peine Crocodile eu les mains libres –enfin façon de parler- il entoura ses bras autour des épaules de l'oiseau et revient scellé leur lèvres dans un nouveau baiser qui laissa le dit oiseau pantois et aux anges. Jamais dans ses rêves les plus fou son adorable Croco acceptait un tant soit peu ses sentiments et leur laissait une chance ! Le brun profita du baiser intense et ardent pour retirer les lunettes de son –futur- amant et ouvrir les yeux pour tomber dans un regard noisette envoutant. Crocodile sentit son ventre se tordre agréablement, il était foutu. Doflamingo avait raison, il était déjà tombé pour lui mais sa fierté l'empêchait de le formuler à voix haute. Ce dernier semblait d'ailleurs surpris de ne plus sentir ses fidèles lunettes sur son nez, il n'aimait pas vraiment ses yeux, ni qu'on les voit. Mais si c'était Crocodile, il le laissait volontiers assouvir sa curiosité.

« J'aime tes yeux. »

C'est la seule chose logique que put avouer Crocodile, les joues rougissantes de son aveu. Doflamingo sourit grandement puis se redressa, enleva la barre qui entravait les jambes de son soumis qui pouvait désormais bouger convenablement sans entrave. Il rappela aussi rapidement son état d'excitation avancé en soulevant le bassin et frotter son érection douloureusement captive de ce fichu anneau et grogna d'impatience. Maintenant qu'il était consentant, valait mieux ne pas le faire changer d'avis ! Et puis le lubrifiant aphrodisiaque lui avait donné terriblement chaud, le brun ne voulait plus attendre.

« D-Dofla... dépêche-toi… »

La seule pensée qui passa par la tête de Doflamingo a cet instant fut « SI CA CE N'EST PAS UN APPEL AU VIOL JE CRIE MENSONGE ! » puis il versa de nouveau du lubrifiant sur ses doigts et reprit ou il s'était arrêté un peu plus tôt, montant un niveau du vibromasseur toujours dans les chairs accueillante de son amant. Le dit amant d'ailleurs n'hésitait plus à laisser échapper ses feulements d'excitation et de plaisir, bougeant même des hanches en rythme, quémandant physiquement plus de contact car sa fierté lui refusait des supplications orales. Après que Doflamingo ait fait jouer trois doigts dans l'intimité de son partenaire, il les retira et passa une bonne couche de lubrifiant sur sa propre virilité bien plus imposante que trois malheureux doigts. Ne pouvant plus se retenir, le blond souffla une parole encourageante a son soumis et agrippa fermement ses hanches avant de le pénétrer d'un coup de bassin qui fit crier son amant de douleur et plaisir mêlés.

« Putain de bordel de merde Dofla va crever ! »

Mais sa voix n'était pas menaçante ou furieuse, juste vengeresse. Il se promit de lui montrer un jour ce que ça faisait de se prendre CA dans le c… enfin nous n'allons pas vous faire un dessin. Le blond essaya de détendre au mieux son amant, revenant ravir ses lèvres de baisers profond et langoureux tandis que ses mains retraçaient le corps de l'homme sable. Ce fut après plusieurs minutes de jurons tous plus colorés les uns que les autres, qu'enfin le reptile daigna accorder un mouvement de hanche à son partenaire.

Ce fut le signal qu'attendait notre emplumé rose pour commencer à se déhancher langoureusement entre les cuisses du soumis, il se retint pourtant de laisser aller ses pulsions et y allait le plus doucement possible sous le visage crispé de Crocodile. Il avait mal tout et remercia intérieurement le blond de ne pas y avoir été plus brutalement, ça l'étonnait toujours.

Quand enfin le blond se rapprocha d'un endroit plus sensible que les autres, Crocodile écarquilla les yeux, se cambra contre le dominant et laissa échapper un juron sous le plaisir soudain. Il n'y avait plus aucune trace de douleur sur son visage, Doflamingo en profita pour accélérer le rythme tout en revenant vers cet endroit qui avait tant plus à son partenaire, recevant un nouveau juron d'une voix plus aigu que le précèdent.

« Gnh… retire ce foutu sourire de tes charmantes lèvres ou je te le fais bouf- Aaah ! »

En effet, depuis que le piaf rose avait trouvé ce délicieux endroit qui faisait presque crier son amant à chaque fois, un immense sourire à la fois sadique et pervers avait pris place sur son visage. Il se délectait de chaque gémissement, chaque juron poussé par cette voix de plus en plus aigu. Il se délectait de ce visage embarrassé et empli de luxure. Il se délectait de se corps luisant de sueur collé contre le siens, de ses bras autour de ses épaules. Il se délectait de la virilité dressé de son amant, de ses chairs se rétractant spasmodiquement sur son propre sexe. Il se délectait de ses lèvres aguichantes, de ses cheveux en pagaille, de ce regard brulant, de ces joues rougies, de ce filet de salive s'écoulant le long de sa mâchoire, de sa cage thoracique se soulevant rapidement à cause de la respiration haletante du brun. Il se délectait de cette vision indécente et excitante. Doflamingo en voulait encore plus. Il se lécha les lèvres et susurra a l'oreille de son soumis.

« Crocodile, chevauche-moi. »

Ces trois mots eurent pour effet de rendre les joues de notre reptile complétement rouge. Il se sentit tellement embarrassé qu'il s'étranglât dans le gémissement qu'il poussait. Avant même de comprendre ce qu'il se passait il se retrouva au-dessus de l'emplumé qui lui tenait les hanches de ses grandes mains d'homme et Crocodile sentit juste le puissant coup de reins de son partenaire qui eut le don de le faire gémir et renverser la tête en arrière. Il posa sa main à plat sur le ventre du blond pour tenir en un équilibre précaire tandis que son partenaire lui mit une petite fessée provocatrice.

« Aller Crocodile, bouge sur moi. »

Doflamingo avait un sourire pervers mais son regard était plus doux, ces paroles n'étaient pas des ordres, plutôt un encouragement à mettre sa gêne de côté pour se laisser aller avec lui entièrement. Crocodile prit une grande inspiration et souleva son bassin, laissant son partenaire voir ce qui se passait entre ses cuisses, puis le rabaissa lentement. Il s'empalait lui-même sur la hampe dur et dressé de son amant. Et Crocodile trouvait ca terriblement bon et excitant. C'est comme s'il avait un tant soit peu le contrôle de leur ébats, et Crocodile préférait savoir qu'il avait du contrôle, aussi infime soit-il. Le brun prit confiance en lui et commença à se déhancher plus franchement sur son amant, a gémir outrageusement, à se faire plus sauvage et passionné sous le regard appréciateur de Doflamingo. C'est comme ça qu'il avait toujours imaginé son reptile et lui faire l'amour.

Après de longues minutes à se déhancher avec passion, l'homme sable se sentit faiblir sous l'effort qu'il effectuait. Le Flamant le senti et décida de prendre la relève, empoignant fermement la taille de son amant et prenant appui sur ses mollets pour commencer à pénétrer sauvagement et puissamment cette entre chaude et accueillante. Crocodile se cambra presque immédiatement sous l'intensité du plaisir qui déferlait dans ces reins, il n'y avait pas photo. Plus les minutes défilaient, plus les deux amants étaient essoufflés et luisaient de sueurs de leurs activités nocturnes. Enfin, matinale dans ce cas présent. Pourtant ils étaient toujours aussi passionné et sauvage, sensuelle et érotique, langoureux et ardent, fougueux et provocateur, dois-je continuer ? Leur ébats pervers et luxurieux continuèrent ainsi pendant plusieurs heures langoureuses, se retenant de jouir chacun leurs tours pour faire durer le plaisir autant que possible avant d'exploser tous deux de jouissances ensemble en gémissant le nom de l'autre.

L'équipage n'avait plus revu leur capitaine pendant presque plus d'une journée avant que celui-ci ne ressorte frais comme un lardon pour aller chercher un énorme plateau repas et de disparaitre à nouveau pendant plus d'une journée dans sa cabine isolé. En fait la quasi-totalité du voyage jusque Dressrosa se déroula ainsi, quand le navire amarra au port, on ne vit à peine le Corsaire qui escortait son compagnon jusque son palais et lui faire rencontrer sa nouvelle famille.

Crocodile avait été d'abord réticent, avec un chef barge l'équipage devait l'être tout autant, et il avait eu raison. Pourtant après plusieurs semaines à cohabiter avec ces drôles de personnages, Crocodile se rappela son organisation Baroque Works et les subordonnés tout aussi étrange qu'il avait eu à son service. Notamment Mr.1 qui lui manqua affreusement soudainement. Il se prit alors d'affection pour sa nouvelle « famille » qui lui avait fait serment de le protéger, comme avec leur « jeune maitre ». À sa plus grande surprise, trois semaine plus tard il reçut la visite de Mr.1 qui lui redemandait de renouveler son contrat et de le reprendre à ses côtés. Crocodile se fit un plaisir ce soir-là de remercier le cadeau de son amant. Il allait rester là un bon bout de temps après tout.

The End