This is a man's world

Notes : Je postes à nouveau cette mini fic qui était restée en suspens pendant plusieurs mois... Cette fois elle est finie, et j'espère que ça vous plaira...

Merci à Lilyrose pour ses corrections et sa patience !

Merci aussi à Lilie76 pour les idées qu'elle m'a donné il y a longtemps de ça mais qui m'ont été précieuses pour avancer dans cette histoire.

Bonne lecture et n'hésitez pas à me laisser une petite note de votre passage, merci d'avance !

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Chapitre 1 : Jane

POV Jacob

La vue était superbe, jamais je ne m'en lasserais. Je me tenais devant la baie vitrée de mon bureau, les mains dans les poches, les fesses nonchalamment appuyées contre mon gigantesque fauteuil.

Je dirigeai mon petit monde depuis près de cinq ans maintenant et j'étais un des plus riches PDG des États-Unis. Mes affaires fleurissaient en Europe et en Asie depuis quelques temps, ce qui m'avait donné du travail supplémentaire. J'étais donc parti en quête d'une personne pour me seconder, afin d'avoir plus de temps libre. Évidemment, j'avais choisi de prendre une femme, car je n'avais nullement besoin qu'un homme mette le nez dans mes papiers. J'étais exigent, peut-être trop, mais il fallait que je dégote quelqu'un de parfait et de diligent. Tanya m'avait, au premier abord, fait une bonne impression et je lui avais donné sa chance. Malheureusement, mon intuition s'était avérée fausse et je réfléchissais depuis un certain temps sur la façon de la virer.

Cette petite pétasse s'envoyait régulièrement en l'air dans les toilettes avec Edward Cullen, le mec de la sécurité et je ne pouvais plus tolérer ça. C'était impensable d'autant que je n'avais pas besoin d'une allumeuse dans mon entreprise mais d'une assistante qui ferait son boulot convenablement. Mais Tanya était nulle en tout, sauf au niveau sexuel si j'en croyais les bruits que j'avais entendus hier derrière la porte des toilettes.

Je quittai mon bureau pour aller dans celui de Tanya, qui n'était pas là. Ce ne fut pas une surprise puisqu'elle passait la majeure partie de son temps ailleurs. Je passai devant les toilettes, à tout hasard et serrai les poings quand j'entendis des couinements émaner de la pièce. « La garce ! » pensai-je. Je sortis mon trousseau de clés et trouvai la clé « spéciale ». Je l'introduisis dans la serrure et ouvris la porte. Tanya avait les deux mains posées sur le mur, les fesses en arrière, les jambes écartées et Edward Cullen était en train de la baiser comme un enfoiré. Ils s'arrêtèrent net en me voyant, complètement abasourdis.

- Vous êtes virés, tous les deux. Fichez le camp et n'espérez même pas obtenir quoique ce soit de ma part ! tonnai-je

Ils se rhabillèrent à la hâte et filèrent chacun de leur côté, rampant comme des insectes que j'aurais pu écraser en un rien de temps. J'aimais que mes employés filent droit, obéissent à mes désirs et à mes ordres. En aucun cas, ils ne devaient être irrespectueux comme ces deux cons l'avaient été ! Ils seraient licenciés, sans aucune indemnité. Point final.

Je retournai dans mon bureau, passablement énervé. La ville qui s'offrait à moi me calma et m'aida à remettre mes esprits en place. Je décrochai mon téléphone et composai le numéro d'Angéla, ma secrétaire.

- Angéla, il me faut une nouvelle assistante pour demain, sans faute ! beuglai-je presque.

- Oui Monsieur.

- Il va également nous falloir quelqu'un pour remplacer Monsieur Cullen. Préparez-moi sa lettre de licenciement ainsi que celle de Mademoiselle Denali. Qu'ils la signent et s'en aillent.

- Bien, Monsieur. Autre chose Monsieur ?

- Dites à Isabella qu'elle m'apporte mon café ! claquai-je avant de raccrocher.

Deux minutes plus tard, Isabella Swan m'apportait mon café. Elle ne dit pas un mot et me le servit comme d'habitude, ajoutant un sucre qu'elle mélangea avec la cuillère. Je ne la remerciai pas, je ne le faisais jamais. Tout le monde avait l'air de s'y faire alors pourquoi m'emmerder dans ce cas ? Elle quitta la pièce sans dire un mot et sa discrétion m'allait très bien, je ne voulais parler à personne. Je passai le reste de ma journée à signer des contrats, passer des coups de téléphone et allonger la pile de dossiers que ma secrétaire avait sur son bureau. Comme à mon habitude, je restai tard dans mon bureau, bien après tout le monde. Je n'avais rien d'autre à faire que travailler, et cela me convenait ainsi. Je ne souhaitais m'engager avec aucune femme car ça aurait été trop compliqué de gérer mon travail avec une nana dans les jambes. Les filles se succédaient dans mon lit chaque fois que j'en avais besoin et ça me convenait ainsi.

Le lendemain, j'avais trois prétendantes au poste d'assistante. En les voyant dans la salle d'attente, j'éliminai directement Lauren Mallory qui n'était, à première vue, qu'une pâle copie de Tanya. J'en informai Angéla qui la fit sortir immédiatement. Selon le dossier que j'avais dans les mains, il ne me restait qu'Alice Brandon et Jane Volturi. La première était une jeune-fille beaucoup trop agitée et bruyante pour travailler dans mon entreprise. Je ne l'aurais à coup sûr pas supportée. Après l'avoir entendue déblatérer cinq minutes sur ses soi-disant motivations, je lui sommai de quitter mon bureau, sans chercher à rappeler vu que je ne l'engagerai pas. Elle sortit en claquant la porte, ce qui me fit sourire.

Jane Volturi était une voluptueuse italienne qui semblait déterminée à avoir ce poste. Elle avait de la répartie et ne semblait ni minauder devant moi, ni me craindre. J'aimais ce caractère impulsif et décidai qu'elle pourrait faire l'affaire. Je lui serrai la main pour sceller notre accord et la dirigeai vers le bureau d'Angéla pour qu'elle signe son contrat. Moi qui aimais tout contrôler, j'avais le pressentiment que j'allais en chier avec elle, qu'elle allait m'en faire voir de toutes les couleurs mais étrangement, ça me plaisait. J'avais besoin de divertissement et Jane en serait un très croustillant, j'en étais certain.

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- Jacob, je vous assure que ce n'est pas du tout une bonne idée ! La signature avec les Japonais va nous passer sous nez ! s'énerva-t-elle.

- Jane, mon petit, je fais ce métier depuis plus longtemps que vous ! cinglai-je.

- Ce n'est pas la question et ne m'appelez pas 'mon petit' ! Ses poings étaient sur ses hanches et elle me dévisageait d'un regard noir.

- Et vous, arrêtez de sans cesse contrecarrer mes idées ! Faxez-moi ce putain de dossier dans la minute sinon je vous vire à grands coups de pieds au cul ! tonnai-je pour conclure la conversation.

Elle abdiqua, ne discutant pas plus longtemps. Cela faisait trois semaines que je l'avais embauchée et la garce était rude à mettre à l'épreuve. Elle ne voulait rien entendre, rien faire comme je lui disais... Malgré ça je ne souhaitais pas la virer, du moins pas encore. J'attendais le bon moment pour le faire, celui où elle ne s'y attendrait pas...

Toutes les personnes qui travaillaient ici me craignaient et m'obéissaient au doigt et à l'œil. J'avais voulu m'imposer dès le début comme un patron intransigeant et impénétrable. Nul n'osait me défier comme Jane le faisait depuis trois semaines. Cela faisait jaser du monde et des rumeurs commençaient à circuler quand à une quelconque relation entre nous deux. Foutaises ! Évidemment ! Je ne couchais pas avec mes employées, c'était ma règle d'or. Je préférais la petite serveuse du bar d'en face ou l'employée du cinéma du coin ! C'était beaucoup plus intéressant, et surtout je ne voulais pas mélanger le sexe et le boulot.

Jane refit son apparition quelques instants plus tard et me dit, très mielleusement, en faisant une petite courbette :

- Le dossier de sa Seigneurie a bien été faxé, à 14h05 exactement.

- Bien. Vous voyez quand vous voulez ! Mais évitez les singeries ou vous perdrez un mois de salaire ! la prévins-je d'un regard dur et empli de fureur.

Elle partit dans une rage folle et je ris à gorge déployée. Je décrochai mon téléphone et appelai Irina, ma conquête de la veille. Elle était partante pour un nouveau round chez moi ce soir et je m'en frottais les mains. J'avais des pulsions à évacuer car Jane m'en faisait trop voir ces derniers temps et ça me rendait nerveux. Je ne savais pas combien de temps j'allais tenir à ce rythme mais il faudrait que ça cesse à un moment donné...

Mon téléphone sonna, c'était Angéla.

- Monsieur, un fax en provenance d'Allemagne est arrivé pour vous.

- Apportez-le-moi tout de suite !

Je raccrochai et Angéla fit son entrée quelques minutes plus tard, me déposant le fax sur mon bureau avant de s'éclipser sans rien dire. Je parcourus les trois feuilles et me frottai les mains. Les affaires allaient bon train et après tout, c'est tout ce qui comptait pour moi !

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Au bout d'un mois, Jane demanda à me voir, en privé. J'avais été surpris de cette requête qu'Angéla m'avait transmise par une simple note posée sur mon bureau. J'attendis Jane de pied ferme, assez irrité qu'elle ait osé m'imposer un rendez-vous ! C'était moi qui fixais les rendez-vous privés et pas les employés. Ça allait chauffer pour son matricule.

Elle frappa légèrement à la porte et entra sans que je ne l'autorise à entrer. Elle portait un tailleur bleu nuit et des talons hauts, certainement pour compenser sa petite taille.

- Qu'est-ce que vous voulez ? claquai-je pour la mettre dans l'ambiance.

- Nous avons rendez-vous ! répondit-elle sans se laisser abattre.

- Il ne me semble pas en avoir fixé pourtant ! continuai-je sans me démonter.

- Mais moi oui ! Et c'est important !

Je frappai du poing sur la table. Comment osait-elle me défier ainsi ?

- Je suis le patron de cette foutue entreprise ! JE décide avec qui je prends des rendez-vous ou pas ! JE décide de qui vient dans ce putain de bureau ou pas ! Je crois que vous n'avez pas saisi que vous n'êtes QUE mon assistante et rien d'autre, bordel !

Elle resta un moment sans rien dire, le visage impassible. Elle s'approcha de mon bureau, posa ses deux mains dessus et se pencha vers moi, me donnant une vue directe sur son décolleté. Elle resta étrangement calme.

- Vous n'êtes qu'un mec arrogant et prétentieux ! Vous devez être sacrément dérangé ou alors sexuellement frustré pour être aussi con ! Personne ne vous supporte ici et personne n'ose vous le dire ! Moi je le fais sans aucun remord, croyez-moi ! Trouvez-vous une autre bonniche pour vous assister dans votre boulot de merde, moi je ne peux plus, je rends mon tablier ! Vaffanculo ! me cracha-t-elle avant de tourner les talons avec classe et de claquer la porte derrière elle.

Je souris. Ma réaction pouvait paraître inappropriée mais je souris, comme un benêt. Cette fille en avait dans le froc et ça me plaisait. Je décidai donc de la suivre, le plus tranquillement possible. Elle était toujours dans le couloir et tapait frénétiquement sur le bouton de l'ascenseur. Je me positionnai derrière elle lentement et lui dit dans le plus grand calme :

- Vous savez Jane, vous avez raison. Tout mes employés me craignent et peut-être même qu'ils me détestent. Tout ça me plaît, j'aime dominer le monde et avoir de l'influence sur les gens. Ici, je suis le Maître des lieux, je suis le Patron, le Chef d'entreprise et tout le monde m'obéit au doigt et à l'œil. Je jouis totalement de cette situation et j'avoue que le fait de vous voir vous dresser contre moi m'émoustille encore plus... Je posai ma main sur son épaule et lui susurrai dans l'oreille : Et j'adore ça, Jane. Te voir en colère tout à l'heure m'a complètement retourné...

Sa respiration avait changé et je souris de la voir perdue dans ses pensées.

- Je ne suis ni frustré, ni en manque. Je veux juste... le pouvoir. Dominer est mon Credo Jane et je ne vis que pour ça...

Ma main était désormais dans son cou et je caressai sa nuque du bout des doigts. Elle frissonna et mon autre main attrapa la sienne pour l'amener dans mon bureau. Elle me suivit sans rien dire et je fermai ma porte doucement derrière nous.

Je plantai mes yeux dans les siens et à en juger par sa réaction, ils devaient être sombres et ténébreux, comme lorsque j'étais en colère ou excité. Mais elle ne flancha pas et son regard resta rivé au mien. Malgré tout, son corps était tendu, et je savais qu'elle appréhendait ce qui allait se passer.

- Détends-toi et ferme les yeux... Là, voilà c'est mieux ! Maintenant approche par ici, dis-je fermement en la guidant vers mon bureau. Tourne-toi ! ordonnai-je en ôtant la veste de son tailleur.

Elle posa ses mains sur le bureau, comme elle l'avait fait précédemment et je baissai la fermeture éclair de sa jupe qui tomba au sol, dévoilant ses longues jambes magnifiques. Une petite culotte en satin blanc moulait parfaitement ses petites fesses bombées et les mettait naturellement en valeur. Je les caressai, toujours du bout des doigts, puis lui intimai de se cambrer un peu plus en appuyant sur sa nuque. Elle obéit et dans la foulée, je fis claquer ma paume sur son joli petit cul. Elle sursauta et je recommençai. Cette fois, elle gémit, et je souris de satisfaction.

- Tu es une très vilaine fille, Jane...

- Oui... souffla-t-elle.

-Tu mérites d'être punie.

- Oui... répondit-elle naturellement.

Je souris encore et défis ma ceinture. Elle aimait jouer, je l'avais senti dès la première fois que je l'avais vue. Le cuir alla caresser ses fesses et elle frissonna. Cependant, elle se cambra un peu plus, m'offrant ses fesses en pâture, prête à être punie.

-Vas-y ! m'ordonna-t-elle doucement. Je suis prête à te servir, Jacob.

-Bien, tu as compris la leçon, je te félicite.

Je pliai ma ceinture en deux et la fit claquer sur ses fesses deux fois de suite. Sa peau rosit légèrement à ce contact et un gémissement suivi d'un couinement lui échappèrent.

- Tu sembles trop aimer ça pour que je continue. Je vais essayer autre chose... annonçai-je gravement.

Je m'approchai d'elle et la fit se relever, toujours dos à moi. Déshabille-toi entièrement ! claquai-je à son intention. Elle s'exécuta, de manière lente et sensuelle. J'en profitai pour attraper la télécommande de mon MP3 et l'enclencher. La voix du chanteur de Muse s'éleva dans la pièce.

- Tourne-toi !

Elle se tourna vers moi. Ses seins étaient magnifiques, bombés comme il le fallait, tels que je les aimais. Son corps était svelte et bien proportionné. Elle portait toujours ses talons hauts et c'était foutrement excitant. Je décidai cependant de garder le contrôle, de la dominer, comme j'aimais le faire avec mes partenaires sexuelles. Je la fis asseoir dans le fauteuil destiné aux clients et lui attachai les mains dans le dos avec des menottes que j'attrapai dans mon tiroir. Je lui bandai les yeux avec ma cravate afin qu'elle ressente tout sans le voir, au plus profond de son être. Je partis m'asseoir derrière mon bureau et décrochai mon téléphone, en prenant tout mon temps.

- Angéla, annulez tous mes rendez-vous de la journée et qu'on ne me dérange sous aucun prétexte.

Je reposai le combiné, ôtai ma veste de costume et ma chemise, puis ouvris mon tiroir secret. J'en retirai l'objet qui ferait fondre Jane Volturi en un clin d'œil entre mes mains expertes et m'approchai d'elle à nouveau. Elle semblait calme malgré le fait que ses jambes tapotaient nerveusement le sol. Elle était belle, nue et à ma merci et je souris de satisfaction. Je m'agenouillai face à elle et lui écartai doucement les cuisses. Sa chatte s'offrit à moi, légèrement humide et parfaitement épilée. Je m'en approchai dangereusement alors que la respiration de Jane se faisait plus intense. Mes doigts allèrent à la rencontre de ses petites lèvres et elle frémit à mon contact. Je me mis à jouer avec son petit bouton de plaisir et son corps répondit en quelques instants. L'excitation la gagna et la cyprine s'écoulait déjà d'elle. Elle devait être prête pour la suite, trempée de désir pour moi.

J'insérai deux de mes doigts en elle et entamai des mouvements de va-et-vient alors que mon pouce taquinait son bourgeon. Elle était tellement douce et chaude que je sentis mon sexe grossir à mesure que mes mouvements s'accentuaient et grandissaient. Je l'entendis gémir faiblement et respirer de plus en plus vite. Le moment ne pouvait pas être mieux choisi pour insérer l'œuf vibrant dans son antre. Je n'aurais même pas besoin de le lubrifier tellement elle était prête à le recevoir. Je le mis en route et l'approchai de son intimité. Elle sursauta à ce contact et se mordit férocement la lèvre inférieure. Je souris et fis tournoyer l'objet sur ses lèvres, accentuant ainsi son excitation. Je l'enfonçai en elle sans la prévenir, sans émettre un son et elle cria. De plaisir bien sûr mais sans pour autant jouir, pas encore.

- Cet œuf dispose d'une télécommande que je vais manipuler à loisirs sur toi. Les intensités varieront selon ton comportement... À présent, je vais te détacher de ce fauteuil et t'allonger sur un lit pour faire vibrer ton corps et te faire jouir comme jamais, lui promis-je dans un souffle rauque.

- Oui, Jacob, couina-t-elle.

- Bien. Tu comprends vite et j'aime ça ! J'étais plus que satisfait de sa performance.

Le lit dans mon bureau était caché dans une armoire qui, à première vue, semblait contenir des tonnes de dossiers classés. Je le dépliai puis allai chercher Jane pour l'y poser. Je grimpai à mon tour dans le lit et pris place entre ses jambes. Je caressai ses seins du bout de ma langue et en profitai pour augmenter légèrement l'intensité de l'œuf. Elle se cambra de surprise et parut déçue quand je réduisis les vibrations en guise de punition. Pour ma part, je m'en étais grandement réjoui. C'était un si beau spectacle de la voir ainsi, offerte à moi. Ses pointes étaient érigées à leur maximum, je les mordillai et les taquinai délicieusement. Je laissai ensuite traîner ma langue dans son cou, puis sur le lobe de son oreille. Je redescendis à nouveau sur sa poitrine offerte puis sur son ventre et enfin sur son nombril exquis où je plongeai allègrement ma langue. Entre temps, j'avais augmenté l'intensité de l'œuf à la puissance quatre. Il en contenait dix et j'avais bien l'intention d'aller jusque là pour voir Jane se cambrer comme une damnée et hurler mon prénom.

Je continuai la découverte de son corps avec ma langue et retrouvai sa petite chatte désormais toute excitée. J'y mis un coup de langue tout en appuyant sur le '+' de la télécommande par deux fois. Jane gémit et se cambra mais cette fois, j'augmentai à la fois l'intensité de l'œuf et de mes coups de langue. Elle céda et se lâcha complètement, criant mon prénom à plusieurs reprises tout en gémissant comme une louve en perdition et totalement à ma merci. Mon sexe était tendu comme un arc, prêt à la marteler sans aucun ménagement, jusqu'à épuisement total de nos deux corps.

J'ôtai l'œuf de son antre, ce qui la fit couiner légèrement puis je lui ordonnai de changer de position. Elle se retrouva à quatre pattes, exhibant son beau petit cul devant moi. Je le claquai avec la paume de ma main, à deux reprises, avant de glisser un doigt dans sa fente encore trempée et de le retirer, ce qui la frustra davantage. Je finis de me déshabiller et attrapai un préservatif dans mon tiroir. Je l'enfilai et revins me positionner derrière elle. Ma queue était raide et tendue à son paroxysme. Je la laissai traîner contre ses fesses, la faisant frissonner puis dirigeai mon gland vers son entrée, sans pour autant m'y enfouir. Tous les poils de son corps se hérissèrent de frustration alors je continuai mon petit manège sans pour autant oublier de titiller son clitoris encore gonflé par le désir avec mes doigts. Elle se liquéfiait complètement sous mes caresses lancinantes et je souris de la voir fondre comme neige au soleil. La femme forte qu'elle était au bureau n'était qu'une façade et je l'avais senti dès que je l'avais touchée pour la première fois. Je n'en étais pas très sûr avant ça mais désormais, je savais que j'avais tout pouvoir sur elle et que ça ne faisait que commencer !

- Il va falloir que tu me supplies pour obtenir ce que tu veux Jane.

- Je t'en prie... minauda-t-elle doucement.

- Tsss... Ça ne suffit pas ! Tu peux faire beaucoup mieux que ça ! la sermonnai-je durement.

- Prends-moi Jacob, je t'en prie ! Prends-moi durement, je veux te sentir en moi ! S'il te plaît Jacob ! me supplia-t-elle d'une voix plus que sensuelle.

- Supplie-moi encore ! grognai-je en frottant mon sexe contre sa fente plus qu'humide.

- S'il te plaît ! Pour l'amour de Dieu, baise-moi Jacob!

Sa voix rauque et impatiente me fit tellement d'effet que la pénétrai aussitôt sa phrase terminée. Elle était excitante, sûrement la conquête la plus intéressante que j'avais eue jusque-là. Il me semblait être en symbiose parfaite avec elle tellement je me sentais bien à l'intérieur de son antre. Son petit nid douillet était chaud, humide et agréable pour mon sexe tendu, gorgé de sang et prêt pour elle. Cependant, j'entamai tout d'abord de lents mouvements de va-et-vient afin de la faire languir. Je l'entendis grogner et lui mis une fessée pour lui faire comprendre d'arrêter ça. Elle obtempéra et se calma, se contentant de haleter doucement. J'accentuai mes coups de butoir au fur et à mesure, prenant un rythme saccadé et entraînant. Jane respirait vite et gémissait sous mon assaut. Je la sentis sur le point de venir à plusieurs reprises mais ralentis le rythme pour qu'elle ne jouisse pas. Moi seul déciderais du moment venu et elle l'avait bien compris en ne me signalant pas son désaccord.

Ma queue coulissait allègrement en elle, lui arrachant de plus en plus de gémissements. Il devenait difficile de la contenir et je devais avouer que je me retenais de plus en plus difficilement. J'attrapai ses cheveux et les réunis dans une de mes mains. Je tirai dessus fortement et lui fis relever la tête vers le haut. De mon autre main, j'agrippai son épaule et lui dis :

- Je vais te prendre encore plus vite et plus fort et quand je te le dirai, tu jouiras en criant mon prénom... C'est compris ? ordonnai-je.

- Oui Jacob, couina-t-elle.

- Bien. Un sourire satisfait s'afficha sur mon visage.

Je m'exécutai dans la seconde, la martelant de toutes mes forces, tirant sur ses cheveux et agrippant son épaule menue autant que je pouvais pour ne pas lâcher prise. Je sentis ma verge gonfler, prête à exploser.

- Maintenant, Jane, maintenant, Nom de Dieu ! hurlai-je.

Elle se perdit en hurlant mon prénom. Son vagin se contracta et enserra mon pénis comme dans un étau, ce qui engendra aussitôt mon éjaculation et ma jouissance.

- Oooh Jane, oui ! C'est bon ! murmurai-je

- Jacob ! Oh ouiiiiiiiiiiii, Jacob ! C'est bon !

Je lui assénai encore deux coups de butoir et la laissai s'effondrer sur le lit avant de faire pareil sur elle, en essayant de ne pas l'écraser. Toujours enfoui en elle, je relâchai ses cheveux et glissai ma main sur ses seins puis sur son ventre, tout en la caressant doucement. Nos respirations étaient fortes et hachées alors que nous essayions de retrouver un rythme cardiaque normal.

Au bout de quelques instants, je me dégageai d'elle, me nettoyai et me rhabillai. Je lui tendis ses vêtements pour qu'elle fasse pareil et elle s'exécuta sans chercher à discuter. Nous n'avions pas échangé un mot depuis nos cris orgasmiques et je voyais qu'elle était un peu gênée. Je décidai donc de mettre les pieds dans le plat et de finir cette entrevue de manière définitive :

- Mademoiselle Volturi, sachez que je ne couche jamais avec mon personnel. Par conséquent, vous êtes virée. Je vais de ce pas avertir ma secrétaire afin qu'elle prépare les papiers nécessaires. Veuillez disposer à présent, je vous prie, claquai-je sévèrement en la regardant droit dans les yeux.

Ses poings se serrèrent, des larmes perlèrent au coin de ses yeux et elle quitta la pièce, furieuse d'avoir été prise au piège. Lorsqu'elle fut sortie de mon bureau, je me mis à rire de manière tonitruante et sarcastique.