Titre : L'amour nous va si bien

Auteur : Nera Merdlius

Pairing : HPxDM

Résumé : Harry se fait frapper à mort par son petit ami alors qu'il venait de rompre avec lui. Qui viendra le sauver ?

Rating : M (pour les prochains chapitres

Attention : Violence (soft), lemon(s) et relations entre hommes.

Disclamer : Je ne possède que l'histoire, le reste est à J.K Rowling.

Note de l'auteur : Une fiction Drarry, sans prétention. Je posterai irrégulièrement, mais je peux vous promettre de ne pas abandonner cette fiction. Bonne lecture !

Prologue

Le temps se fige, une main, suspendue, une joue rougissant sous l'impact, des yeux d'une couleur émeraude impérissable, troublés par la soudaine violence de son homologue et luisants de larmes prêtes à tomber. L'homme se trouvant en face de lui était, en apparence, une personne douce et de confiance. Son nom, c'était Aurélien, un français. Il l'avait sauvé du suicide après la guerre, et lui avait offert un cocon de chaleur. Il pensait être tombé amoureux de ce jeune homme, un moldu qui ne pouvait pas comprendre sa douleur mais qui le réconfortait. Sa carrure d'athlète, sa peau blanche et ses yeux gris l'avaient attirés dès qu'il l'avait vu se rapprocher de lui, au bord de la falaise.

« Donne-moi 24 heures pour te prouver que la vie en vaut la peine. »

Ces mots, il les avait maudits d'abord. Puis le garçon l'avait emmené dans une ville, lui montrant les enfants jouant dans le parc, lui achetant une glace, faisant de son mieux pour le faire sourire. Harry, le cœur gonflé de chaleur, s'accorda un « sursis », pour être aux cotés de cet homme joyeux. Ils se transformèrent bien vite en un couple heureux, d'accord sur presque tout. Presque. Car Harry refusait une chose : passer à l'acte.

Son petit-ami avait bien essayé de le faire changer d'avis sur cela, le suppliant. Mais Harry ne voulait pas se donner ainsi. Pourquoi pas à lui ? Il ne savait pas, jusqu'à ce jour. Il n'aimait pas Aurélien, en tout cas pas comme il l'aurait voulu.

Harry fixait son « ami », choqué de son geste. Mais il n'en fut que plus choqué lorsqu'il se reçu un coup de poing en plein dans le ventre, le mettant à genoux.

- Si je ne peux pas t'avoir, personne ne t'auras !

Aurélien le tapa, sans discontinuer, alors qu'Harry pleurait. Cette phrase, combien de fois ne l'avait-il pas entendu dans les films moldus ? Cette simple citation signait son arrêt de mort. Il essaya le lui lancer un sort, mais sa baguette était dans son armoire, et il était beaucoup trop faible pour faire de la magie sans baguette. Il se laissa donc faire, si Aurélien l'abandonnait, pourquoi vivre ? Il sentit une lame le transpercer, il écarquilla les yeux en hoquetant de douleur.

Sur le point de sombrer dans le noir pour l'éternité, il sentit une vague de bien être l'envahir. Quelle ironie! Aurélien allait lui porter le coup de grâce lorsqu'une tempête blonde jeta son bourreau sur le mur dans un fracas assourdissant. Son sauveur s'approcha de lui avec une rapidité hallucinante, et il ne pu distinguer que deux océans de mercure avant de sombrer.

Voilà, c'est ma nouvelle fiction. Je sais que le style n'est pas le même que l'OS, mais je ne veux pas que cette fiction soit poétique. Des avis sur ce commencement ? Merci de m'avoir lue. Amicalement,

Nera Merdlius.