Bon, j'ai dit que je me retirait du monde de la fic, mais sur les conseils de GabrielleWalker ( Merci u.u ), j'ai continué d'écrire. Bon, vous allez lire quelque chose de plus noir, de moins drôle, mais je pense tenir ici ma meilleur fiction depuis le début.
Disclamer : Les personnage ne m'appartiennent pas, ils sont à Gatiss et Moffat, et à l'origine, à Doyle.
Note de moi : DESOLEE POUR LES FAUTES ! Ecoutez, ma béta ne donne plus de nouvelle (vacances?), et admettez, ceux qui écrivent aussi, que lorsque vous relisez votre texte une dizaine de fois, 1. ça vous saoul 2. vous ne voyez plus rien, et vous avez même le défault de survoler et de ne plus lire. Mais je vous pardonne, cet écarts pauvres brebis égarées...Amen.
Rating : Pour ma conscience personnelle (oui, j'en ai une!), le rating est T pour scène de torture mental, et je rajouterai que si des mineurs lisent, je mettrai '' Parental Advisory – Explicit Contents'', et après je leur dirais de faire ce qu'il veulent, mais que le plaisir est plus grand de faire un truc interdit ! :)
Enjoy it.
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Je me suis trompé sur l'espèce humaine, elle est encore plus méprisable. Les quatre murs gris qui m'entourent semblent se rapprocher et j'étouffe un peu plus chaque jour. Je n'ait pas de nouvelles de l'extérieur, personne de me rend visite, mon réseau a été démantelé, je ne sors jamais de ma cellule, je suis qualifié comme étant le spécimen le plus dangereux du pays, à tel point que je dois rester menottés à une barre de métal situé au dessus de mon lit -enfin au dessus de ma planche de bois. Je n'ait le droit qu'à un bout de pain par jour. D'ailleurs, je me suis beaucoup amaigris, et je ne dors quasiment plus, de peur de ne plus me réveiller. Il m'arrive de piqué des crise d'hystérie, je cogne donc contre les murs avec mes poings pendant des heures jusqu'à tombé évanoui de douleur. Mes phalanges sont constamment en sang et le béton qui m'entoure à pris une couleur rougeâtre. Je me sers de mon propre sang pour écrire sur le sol, je comptais d'abord les jours, puis je marquais des mots, des phrases, s'en suivirent des dessins, des croquis.
J'ai arrêter le jour où quelqu'un est venu nettoyer ma cellule, tout est partit, je recommençais à zéro dans cet endroit trop gris. Depuis ce jour, je suis devenu encore plus violent, au point d'avoir trois gardes au lieu de deux pour me surveiller. Ils pensent tous que je suis fou, peut-être, mais ce dont je suis sûr c'est que je suis bel et bien lucide et que je sais qu'il ne me reste plus longtemps. J'ai réussit à obtenir un cahier et une mine pour écrire, j'ai donc songer à écrire mes mémoires, les mémoires du plus grand criminel que la Grande Bretagne est connu. Sans doute mes mémoires ne seront jamais lu que par moi, mais elles seront là. Je viens de finir la première page, c'est un peu comme un prologue, mais je ne sais par quoi dois-je commencé : mon premier crime, mon premier meurtre, ma première bombe, ma première rencontre avec Sherlock Holmes ou bien tout simplement comme suis-je arrivé ici ?
Je vais écrire en chapitres, ce sera plus claire, alors :
Chapitre I : Mes débuts.
Vous l'aurez compris, je vais vous parler de mon premier meurtres, parce que certes, j'avais déjà mis le feu à des immeubles, braqués plusieurs banques, mais je n'avait jamais tuer de mes propre main. C'était un vieil homme, je n'ai jamais connu son nom, il rentrait dans sa petite maison à la périphérie de Londres. Je le suivait depuis deux mois pour connaître ses habitudes, et savoir s'il recevait beaucoup de visites. J'ai sonné à sa porte et j'ai prétexté une panne d'essence. Il m'a fait rentrer et ma tendu son téléphone. Je l'ai attrapé par le bras, l'ais mis au sol et lui ais briser la nuque. J'avais été déçu, parce que cela ressemblait trop à un accident, il aurait trébuché dans son tapis, serait tombé et se serait briser le cou.
J'ai donc ramené un couteau, et j'ai commencé à l'étriper, à l manière de Jack l'éventreur. Satisfait de mon œuvre, je l'ai prit en photo et j'ai l'ait envoyé à Scotland Yard, avec, au dos de l'image, marqué 'Jim Moriarty – A bientôt', j'en ris encore, car au départ, j'avais marqué 'James', mais je n'avait pas assez de place, j'ai du prendre une autre photo et j'ai changé 'James' en 'Jim', et depuis ce jour, j'ai gardé ce diminutif. Evidemment, j'avais écrit 'à bientôt', mais c'était juste pour les effrayés. Je commémore ce premier crime tous les 21 octobre, date de sa mort. Je ne l'ait jamais dit, mais à l'époque de ce massacre, j'avais quinze ans... et j'étais déjà irrécupérable. Je n'ai pas retuer directement pendant les dis années qui suivirent, je laissait mes hommes s'en chargés. Ah oui, parce que mon réseau criminel à été crées alors que je n'avait que seize ans, un génie précoce...
Chapitre II : Ma renommé
Car oui, il faut admettre que je suis le plus connu du milieu, et j'ai cent pour cent de réussite dans mes opérations. Je n'ai jamais foiré un seul de mes coups, et je suis réputé pour ne laisser aucune trace. Vous pouvez le constatez par vous même, tout Scotland Yard a déjà croisé mon nom dans un dossier, sans jamais avoir une autre information. On raconterait même que dès qu'un policier mentionne mon nom dans une affaire, cette dernière est immédiatement classé sans suite. Et j'ai dépassé les frontières, le monde entier me connait, et le monde entier me craignait. Tout était possible pour moi, et vous savez que dans un monde de portes closes, l'homme avec la clef est le roi, et j'avais cette clé.
Ce qui va suivre était classé secret défense, mais je buvais régulièrement le thé avec la Reine, elle m'appréciait beaucoup parce qu'il faut admettre que plus aucun criminel n'ose me faire face, alors toute la criminalité de pays me revient de droit, ce qui fait que je suis un pouvoir à moi seul, et que de ce fait, j'ai ma place dans la constitution du pays. Ceci était le secret royal, personne ne savait, et personne ne le saura jamais, car je doute encore que ce que j'écrive soit lu.
Vous savez, j'ai une petite anecdote : j'étais en Italie, pour une affaire touchant à la mafia, et c'était la première fois que je mettais les pieds sur ces terres. Et un type me bouscule la rue, je m'excuse, sûrement mon coté britannique qui ressort, et l'autre me demande qui je suis pour lui adresser la parole et que lui, il est le détendeur du réseau, et que de ce fait, personne n'a le droit de lui adresser la parole. Je lui réponds simplement que je suis Jim Moriarty et que s'il ma parle encore ainsi, je le tue. Et là, à mon grand étonnement, il me bredouille des excuses et se sauve en me laissant sa valise pleine de billet... Bon, je doit dire que c'est le type le plus pathétique que j'ai vu, mais j'ai été très flatter de sa réaction.
Mais la personne qui m'a le plus flatté est simplement un type que je hais, que je déteste, envers qui je déverse toute ma haine, mais qui à aussi tout mon respect : Sherlock Holmes. Que mon génie soit reconnu de tout les mortels est exceptionnel, mais que cet homme me considère comme son ennemi le plus dangereux, le plus coriace, et manifestement, le plus géniale, prouve que je suis bien un homme d'exception. C'est un combat sans merci que nous vivions lui et moi, le bien contre le mal, le noir contre le blanc, le ciel contre la terre, l'ange contre le démon, et si j'ai tout mon respect envers lui, c'est simplement parce que c'est le premier et le dernier homme sur cette terre a avoir battu James Moriarty.
Il m'obsède je doit admettre, son nom a été marqué sur mes murs et mon sol, et je reste convaincu qu'entre lui et moi, ce n'est pas terminé. Je ne désespère pas de le voir arrivé un jour devant ma cellule, dans une ultime confrontation. Puis je me convainc que jamais un type ne viendrait voir un autre type plus bas que terre dans son trou. Car il faut que je regarde la vérité en face, j'ai perdu toute ma grandeur et ma supériorité depuis que je suis ici, et même si je suis proche de la Reine, sa bonne conscience l'empêche de me libéré, on ne libère pas une ordure dans mon genre.
Chapitre III : …
Ces chapitres me saoulent, je pense n'écrire plus que des textes sans réel lien. Je vous ai dit plus haut que l'on me prenait pour fou, et il m'arrive de songer que c'est vrai. Puis je repense à tout les gens que j'ai tué : des meurtriers, des délinquants, des infidèles, des manipulateurs... et je me dis que je ne suis que la face cacher de la justice. Je ne me connaîtrait pas, je me dirait que j'ai des pensées malsaines, mais je crois que les faits sont là : je suis un démon du côté des anges, et je règles les conflits par le conflit ultime. Je vais arrêter d'écrire dans ce 'journal', je pense trop et ça ne me réussit pas.
Deux mois que je n'ai pas écrit, mais je dois le dire à quelqu'un, et puis je le répète, j'écris pour moi finalement. Donc je disais, on dit souvent que je suis le pire criminel, mais ce que les gens ne savent pas, c'est que j'ai éluder toutes les menaces terroristes, j'ai sauvé la vie des chefs de Scotland yard au moins trois fois, et j'ai permis à Sherlock, et toute sa petite fratrie de rester en vie sereinement. Et même si je sais qu'ils ne s'en sont jamais aperçu, j'imagine parfois que Sherlock le savait, et que d'en un dernier espoir, il vienne me remercier, mais cet homme ne s'excuse pas.
Nous somme le 21 octobre, vous vous souvenez de cette date ? En temps normale, je fêterait ça avec une bombe, mais là où je suis, j'ai seulement envie de pleuré, encore et encore, pleuré jusqu'à en crever, parce que putain de merde, je devrait être mort ! Je ne peux plus vivre avec tous mes souvenirs qui me hantent, du sang, des morts, des exécutions, des cadavres, des cris, ils tournent dans ma tête sans cesse, les cris... Je les entends, à toute heure, tel une rengaine, ils ne me lâchent plus, j'en devient fou -si on peut dire ça. Je tourne comme un lion en cage, et à mon tour je cris, afin de les faire cesser, mais ils reviennent, plus forts.
Que dois-je faire pour les stopper ? Payer pour ce que j'ai fait moi aussi ? J'ai arraché un bout de béton qui s'effritait, et je me suis tailladé les membres inférieurs et supérieurs, je regardait tous mon sang couler, et j'entendais les cris devenir encore plus violents. Je m'effondre en larmes et me recroqueville, en serrant les genoux sur mon torse, je me balance d'avant en arrières, et je supplie les voix d'arrêter. Depuis, je reste au lit, et j'écris mes dernières heures, car oui, je meurt, alors, j'écris cela et déclare que tous mes biens doivent être légués à la Couronne, et que mon corps soit récupéré par celui qui en voudra bien. Ces écrits, je veux qu'on les envoies à Sherlock Holmes. Pourquoi ? Parce que je sais que seul lui les mérite... ou du moins, seule lui aura les mérite de les comprendre.
James -Jim- Moriarty, le 25 octobre.
« Serlock, que ce passe-t-il ? Qu'est que c'est ?
-Un cahier, signé J.M.
-Et qu'est-ce qu'il nous veut celui-là encore ? Et pourquoi tu es dans un tel état ?
-Pour rien, je vais prendre l'air. »
Sherlock dû relire ce cahier plusieurs fois, ainsi, il le connaissait par cœur, et pour lui, l'évidence était qu'il récupère le corps de Moriarty. Il alla à la prison, et demanda à voir l'endroit où il avait fini ses jour, et ce fût avec la plus grande apréhension qu'il pénétra dans la cellule. Du sang. C'est tous ce qu'il voyait, du sang. Le sang de Moriarty. Le sang du défunt. Le sang. Et c'est dans un excès de rage qu'il sortir de la pièce, et partit droit à la morgue. Là, le légiste lui montra le corps, mutilé par son propriétaire.
« Mais merde Moriarty ! Te suicider ? Et tu me laisse dans ce monde, putain je te hais ! Si tu savait comme j'ai pleuré à l'annonce de ta mort, et j'ai été le seul. Tu peux pas partir, pas maintenant ! Reviens !
-Monsieur Holmes, il est bel et bien décédé, mes plus sincères condoléances, alors l'insulté ne vous servira à rien.
-Vous savez qui était cet homme ? Cet homme m'a sauvé la vie plus de fois que je n'ai sauvé la ville. Cet homme m'a permit de vivre des aventures irréelles. Cet homme était le seul qui me comprenait. Et cet homme à fini ses jour dans la pire torture qu'ils puissent être : ses remords. Alors je le pardonne, oh oui, je le pardonne, et je le vénérerais toute ma vie, c'est le plus grand génie de ce siècle. Je veux dire c'était le plus grand génie...
-Ecoutez-vous parler, et rendez-vous compte que vous n'êtes pas objectif, s'il vous plaît.
-Vous, et toutes la populations n'avez vu que la partit imerger de l'iceberg que représentait Moriarty, alors, qui est le plus objectif ? »
Sans attendre de réponse, il sortit du bâtiment, et rentra à son appartement. Il ne pût que se placer sur son sofa, dans sa position favorite, et pleuré en espérant que John ne verrait rien. Demain, il l'enterrerai, et il savait qu'il serait seul. Il lui choisit un cercueil noir comme ses yeux, et l'emplacement du cimetière était un emplacement à part de toute autre tombe, entourée d'herbe verte, et sa pierre tombale était elle aussi noire, avec gravé en rouge carmin ''Jim Moriarty – A bientôt'. Sherlock serait le seul à comprendre cet pierre, et il sourit en se rappelant que 'James Moriarty [...]' ne rentrait pas sur la pierre. Il avait payé l'équivalent d'une année de loyer pour s'assurer que l'endroit où il était enterrer resterai son endroit. Définitivement, cet homme avait laissé une trace indélébile dans l'histoire, et dans la vie du détective.
TBC...
°0OoO0°
Alors pour ceux qui aiment me dire que je ne respecte le caractères des persos (Je suis sûre qu'il y en a pour qui c'est une passion tout de même...), premièrement, je leur dis ''Zut'', et deuxièmement, que celui qui ose me dire que ce que Moriarty fait dans ma fic n'est pas digne de son personnage qui fait tout dans les extrême et qui, je le répète, est un perso théâtrale, s'avance d'un pas et m'expose ses arguments. Merci.
A part ça, et bien une suite est en cours d'écriture, j'essayerai de trouver une béta pendant ce temps, et je vous dis à bientôt mes brebis.
