Disclamer : rien à moi, tout à JKR... sauf les scénarios ^^
Il y a quelques temps… je dirais entre deux et trois ans… Sur le forum sur lequel je suis, celle qui est ma béta sur ma Fic « En toute Simplicité » avait lancé un concours d'écriture PotterFiction. En fait elle en lançait très souvent. Et moi j'aimais bien les faire car je laissais mon imagination et surtout ma connerie prendre les commandes. Il y a quelques mois, je suis retombée dessus et j'ai redécouverts mes « grandes œuvres »… et je me suis dit que j'allais vous la montrer. L'énoncé est ci-dessous et la seule contrainte était d'écrire au moins 20 lignes … j'ai du me planter quelque part… vu qu'au final à a fait 20 pages … bref … Il y a pas moins de 24 personnages et comme indiqué c'est un crossover … donc même si j'ai essayé de facilité la compréhension, il vous faudra peut-être noter qui est qui pour ne pas vous y perdre. Certains des dialogues sont directement tirés de la série et je remercie une amie pour m'avoir prêté les DVD.
Je posterais peut-être à la suite d'autres des concours du même type (qui ont aussi été écrit il y a un certains temps) … enfin si je suis motivée ;)
Bonne lecture
PS : deuxième essai, cette fois j'espère que cette fois, la mise en page sera bonne. Je n'ai pas mis cet OS dans la catégorie crossover car si je mets quelques prochains textes, ils ne le seront pas.
Enoncé : Pour ce nouveau concours de potterfictions, vous devrez écrire un crossover entre l'univers Harry Potter et les personnages de deux séries (libre choix). Vous avez jusqu'à la fin du mois pour me les envoyer. (Nda : j'ai pris le problème à l'envers : j'ai mis les persos d'HP dans le décor d'une des séries … les persos de la deuxième série ne font qu'un passage éclair au milieu.)
Quelque part
La légende du roi Arthur, du Graal, de Merlin et de la dame du lac. Une histoire connue et méconnue à la fois. Une certaine dose de mystère, un peu de vérité et beaucoup de d'aventures. Telle est la vision du Noble roi Arthur et de ses chevaliers de la table ronde.
Oui mais là tout de suite, Harry et Ron ne demandaient qu'une seule et unique chose, qu'Hermione arrête de les endormir avec ce livre sur Arthur, dégoté au fin fond de la bibliothèque et qu'elle les laisse enfin finir leur nuit tout en évitant de se noyer dans leur petit déjeuner. Mais non, ce matin n'était décidément pas leur matin, car la jeune fille ne se lassait définitivement pas de leur raconter de long en large cette palpitante histoire.
La grande salle raisonnait de rires et de bâillements comme tous les matins. Les professeurs McGonagall et Chourave parlaient gaiement de leur surveillance le lendemain lors de la sortie à Pré-au-lard alors que le professeur Snape réfléchissait à la meilleure façon d'empoisonner la vie de ce clébard de Black. D'ailleurs personne ne l'avait remarqué mais Sirius se trouvait sous la table guettant avec attention tout bout de pain confituré qui pourrait accidentellement tomber à portée de son museau. Rémus, à nouveau professeur de défense contre les forces du mal était en pleine conversation animée avec son assistante et future femme, Tonks. Albus Dumbledore se resservit une quatrième fois de tarte au citron meringuée alors que Pompom Pomfresh lui disait bien des gentillesses sur son diabète bientôt existant.
A la table des rouge et or, Ginny Weasley grimaçait en lisant la lettre que sa charmante future belle sœur venait de lui envoyer. En rose… elle devrait être habillée en rose pour le mariage… avec ses cheveux flamboyants, le rose allait jurer de façon extraordinaire. Hedwige se posa devant Harry, tenant une lettre de sa charmante tante. Elle lui faisait remarquer que comme les autres années, il ne devait pas revenir dans le Surrey pour les vacances de Pâques. Ils avaient des invités de luxe et la présence du garçon était plus qu'interdite. Celui-ci soupira fortement et s'apprêtait à froisser la lettre quand les jumeaux Weasley arrivèrent comme des rois dans la grande salle.
Ils avaient un sourire à faire affoler tous ceux qui les connaissaient… ainsi que les autres d'ailleurs. Ils portaient un gros carton dans les mains. Certainement une de leurs nouvelles inventions peu communes et peu recommandées. Mais comme toujours quand tout se passe bien, un impondérable eut lieu. Trévor, charmant compagnon de Neville, s'échappa et surprit les jumeaux en leur sautant dessus. Ils échappèrent bien évidement leur carton. Une énorme détonation détonna et un énorme nuage de fumée les enfuma. Et avec le mot « les », nous inclurons bien évidement tous les présents dans la grande salle.
Le brouillard se dissipa progressivement. Des toussotements retentirent.
-Mais quel est l'abruti qui a détruit ce mur ?
-Mais mon oncle, vous nous avez dit de faire tomber les murs qui nous retenaient.
-Je parlais de ceux qui vous empêchent de réfléchir correctement. Je parlais des murs dans votre tête qui vous rendent tous plus idiots les uns que les autres.
-Alors là non, je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce que certains péquenots sont plus cons que leurs chaussettes qu'il faut tous nous mettre dans le même panier.
-Beau père taisez-vous ou je vous renvoie en Carmélide !
-Et vous vous laissez parler sur ce ton. Vous n'êtes vraiment qu'un bon à rien.
-Vous, retournez à vos affaires et laissez nous entre hommes.
-Vous, vous étonnerez pas si vous ressentez une vive douleur sur le sommet du crâne. C'est sûrement que vous aurez pris le plat à gigot dans la tronche.
-FERMEZ-LA … et surtout BAR-REZ-VOUS !
L'écho raisonna sur les murs toujours présents alors que le roi Arthur venait de se relever. A ses côtés, fièrement avachis se trouvaient Gauvain et Yvain les neveux et beau frère du roi. Debout et le dos raide, Léodagan et Dame Séli se fusillaient du regard. Arthur eut d'un coup une sensation étrange. Comme si la situation était surréaliste et peu commune. Mais bien vite il chassa cette idée car après tout, il était entouré de bras cassés et rien que ça était surréaliste.
Quelque part … plus loin dans une auberge de campagne, deux hommes bâfraient tout en essayant d'expliquer les joies de la chevalerie à l'aubergiste.
-Non mais vous ne pouvez pas comprendre. Nous on ne défend pas le château. On doit trouver le xur… xru … roxe …
-Bref on doit le trouver. Et c'est pas la même chose.
-Alors ça veut dire que si là tout de suite un braqueur entre dans mon auberge, vous ne ferez rien du tout pour m'aider.
-Tout de suite… Bien sur qu'on vous aidera. Au moins pour ranger la charcuterie avant qu'ils ne vous piquent tout.
-C'est pas bien rassurant tout ça quand même.
Quelque part… dans une chambre, à l'étage du château de Camelot, la reine Guenièvre était plantée devant un miroir et se lamentait.
-Oh Merlin. Mais c'est horrible. Ce n'est pas possible. Comment suis-je arrivée là ?
Elle sortit de la salle de bain de façon empressée. Elle passa une de ses belles tenues de tous les jours avant d'ouvrir la porte à la volée. Elle était bien décidée à remédier tout de suite à son problème. Mais pour cela, elle avait besoin de trouver la bibliothèque du château. Si seulement il y avait bien une bibliothèque ici. Elle courait presque dans les couloirs quand au détour d'un croisement, elle heurta quelque chose. Après avoir été projetée en arrière avant d'être retenue de façon très brusque et d'être attirer contre un large torse, elle se dit que le « quelque chose » devait certainement être un « quelqu'un ». Une fois son équilibre retrouvé, elle leva finalement les yeux. Ceux-ci s'écarquillèrent dans une expression de stupeur qui aurait pu être comique si un respect profond n'émanait pas de son interlocuteur.
-Ron ?
Quelque part … dans des couloirs pas si déserts que ça
-Ah Père Blaise, je vous cherchais.
-Bohort. Que se passe-t-il ?
-Je viens vous voir pour la fête des clans de la semaine prochaine.
-Je ne vois pas en quoi cela me regarde. De plus nous avons une réunion de la table ronde dans peu de temps et il faut que je me prépare.
-En fait j'aurais besoin de quelques étincelles de magie pour le final de la pièce de théâtre que nous préparons avec messires Yvain et Gauvain.
-Je ne suis pas sûr que les chefs de clan apprécient ce genre de spectacle.
-Qui n'aime pas la poésie et la nature et …
-Les chefs de clans principalement. Mais si votre souhait s'est posé sur cette manifestation, c'est votre choix.
-Justement. Je ne peux pas arriver seul à faire tout ce qui est en mon idée.
-Qu'attendez-vous de moi ?
-Peut-être accepteriez-vous de parler à Merlin ou à Elias afin qu'ils m'assistent dans cette tâche.
-Je veux bien leur demander mais ils ne m'écouteront pas. Déjà qu'ils n'écoutent pas le Roi.
-Croyez vous que je dois demander à notre bon Roi Arthur, de solliciter l'aide de nos deux enchanteurs ?
-Moi je ne crois rien du tout. En fait je suis pressé et je vais aller préparer mes enluminures pour la réunion.
Quelque part … dans d'autres couloirs vraiment pas si déserts que ça
-Ron ?
-Votre Majesté. Excusez-moi de vous avoir bousculée. Je suis navré de vous avoir surpris. J'espère que vous ne vous êtes pas fait mal.
-RON ! Merlin je suis contente de te retrouver !
Et Guenièvre se jeta à son cou.
-Reine Guenièvre. C'est assez incorrect comme situation.
-Mais enfin Ron ! C'est moi ! Hermione !
-Majesté, qu'avez-vous ? Je suis votre dévoué Lancelot. Et non ce « Ron » duquel vous m'affublez.
-Oh Merlin !
-Vous avez un souci ? Merlin doit être dans son capharnaüm. Voulez-vous que j'aille vous le chercher ?
-Par Mer… Par Lug. * Grande réflexion puis petit sourire décidé * Lancelot, je vous en prie. Rendez-moi service.
-Tout ce que vous voulez ma Reine.
-Enlevez-moi. Kidnappez-moi. Faites-moi votre prisonnière. Emmenez-moi loin d'ici, rien que vous et moi.
Après un regard dans tous les coins, Lancelot attrapa la reine Guenièvre ou Hermione, par la main et s'enfuit à travers les couloirs.
Quelque part … devant une fenêtre, Dame Séli à Léodagan:
-Mais, ce n'est pas votre fille qui fuit ainsi ?
-Ma fille, ma fille, ça c'est vite dit.
-Oseriez vous dire que j'ai été voir ailleurs ?
-Moi je dis juste qu'elle fuit avec Lancelot au su et au vu de tous. Un comportement aussi insouciant ne peut venir que de votre côté !
-Elle fuit, c'est surtout votre côté lâche.
-Insolente Gryffondor.
Un silence répondit à cette dernière remarque.
-Insolente quoi ? Mais d'où sortez-vous cette expression ?
-Bah je sais pas, c'est venu comme ça. Surement les champignons de midi qui n'étaient pas frais.
-C'est vous qui n'êtes pas frais.
-Ah non mais vous n'allez pas recommencer ou je vous renvoie dans votre famille chez les Pictes !
Quelque part … pas loin dans la cambrousse environnante.
-T'es sûre que c'est par là ?
-Evidement, c'est écrit sur la carte, c'est par là.
-Et tu sais la lire la carte ?
-Bien sûr, d'ailleurs, là il y a le dolmen qui est là et là c'est …
-C'est ?
-Je crois que j'ai lu la carte à l'envers.
-TU AS QUOI ? Et on est où là ?
-Et bien on est …. Je sais pas.
-Mais qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça…
Plus tard, quelque part … autour d'une table ronde.
Arthur : bon nous voici tous réunis pour une réunion de la table ronde.
Léodagan : et moi qui croyais qu'on était là pour cueillir des fleurs.
Arthur : ah beau père, ne commencez pas!
Bohort : mais certaines fleur sont vraiment très intéressantes.
Gauvain : oh oui mon oncle, certaines ont de jolies couleurs toute bleue.
Yvain : Ouaip et que même qu'on peut en manger.
Karadoc : manger des fleurs ? Non mais c'est quoi cette manie ? Déjà les légumes c'est limite pour être considéré comme nourriture
Bohort : c'est tellement jolie dans de beaux bouquets de fleurs.
Perceval : ben une fois mon cheval il a mangé une fleur et il est mort après.
Père Blaise : votre cheval est mort à cause d'une fleur ? Je croyais qu'il avait été abattu après une mauvaise chute ?
Perceval : oui mais il mangeait une fleur juste avant.
Karadoc : c'est dangereux les fleurs. Faut surtout pas manger cette cochonnerie.
Quelque part … dans une grande chambre.
-Je trouve le roi tendu en ce moment. Pas vous ?
-Si c'est vrai que quand il vient nous voir il est assez nerveux. Par contre quand il repart il est tout doux comme un agneau.
-C'est à cause de la Reine, je ne sais pas ce qu'elle lui fait mais elle le met dans un état !
-Mais elle ne lui fait rien !
-Ah ben je comprends mieux alors.
Demetra, Tumet et Azilis les jumelles du pêcheur et Aelis, les quatre maîtresses du Roi Arthur, observèrent une minute de silence face à la non activité conjugale de leur amant en présence de sa femme.
Quelque part … dans une forêt… un chevalier et une Reine couraient à en perdre l'haleine. D'un seul coup, cette dernière tira sur la main de son partenaire et le força à s'arrêter. Celui-ci étonné la regarda pour savoir ce qui se passait.
-Non attendez. On ne peut pas faire ça.
-Je vous aime Guenièvre. Depuis tellement de temps.
-Oui moi aussi … mais dans d'autres circonstances.
-Comment cela ?
-Lancelot, vous n'être pas Lancelot du Lac.
-Mais bien sûr que si. C'est ce que je suis depuis …
-Non vous ne l'êtes pas.
-Enfin ma Reine. Je sais encore qui je suis.
-Et moi je vous dis que non !
-Votre Majesté, je crois que vous auriez du aller voir Merlin pour qu'il vous donne un remède, vous semblez ne plus savoir ce que vous dites.
-BORDEL ! MOI, Hermione Granger. TOI Ronald Weasley et…
-J'aime pas quand tu m'appelles comme ça on dirait ma mère… * blanc * pourquoi j'ai dit cela ?
-Parce que tu n'es pas Lancelot mais Ron, mon ami, mon amour, mon ama… euh … mon petit ami …
-Mais, vous déraisonnez.
-Je vais t'en coller une comme à Malfoy et tu verras bien si c'est moi qui déraisonne !
-Qui est ce ...
-Tais toi et écoute. On est des sorciers, on vient de Poudlard. On est… non tu te tais… on est ami depuis plus de six ans. Notre meilleur ami c'est Harry Potter, survivant en chef, tueur de mage noir à ses heures, irréfléchi très souvent. Tes frères… oui t'as des frères ... t'en as plein et t'as même une sœur… tes frères... Les jumeaux en ont fait une et on a été transporté au temps du Roi Arthur… non pas un mot ! Quand elle est fâchée contre toi, ta mère t'appelle Ronald et non Ron… C'est pour cela que tu as réagi de façon étrange … parce que tes vrais souvenirs veulent revenir mais que tu les en empêches.
Un silence accueillit cette dernière phrase. Une intense réflexion vrillait le visage de Ron et Hermione se mit à penser que jamais elle n'avait vu ça sur le visage de son amant. Et que c'était décidément trop flippant pour le laisser réfléchir autant encore une fois…
-Pourquoi je n'arrive pas à comprendre ce que vous voulez me dire.
-Parce que tu es Ron et que tu ne comprends jamais rien quand je parle.
-Et toi tu n'es qu'une miss je-sais-tout qui passe plus de temps à la bibliothèque qu'à mes côtés ! … Oh Merlin … Hermione !
Un tintement de clochette se fit entendre avant que la jeune femme ne saute sur le garçon et l'embrasse à pleine bouche. D'un commun accord silencieux, ils décidèrent que finalement trouver une solution pour repartir pouvait bien attendre un peu alors que le lit de mousse verte et fraiche était très attirant.
Quelque part … au tour de la table ronde.
Bohort : et c'est pour ça que pour la fête des clans, nous avons prévu une petite surprise.
Gauvain : on a fait une pièce de théâtre.
Yvain : on a tout bien appris les mots par cœur.
Léodagan : pour une fois que vous aurez appris quelque chose.
Père Blaise : je ne voudrais pas couper cette charmante conversation mais on devrait peut-être revenir à l'ordre du jour ?
Léodagan : et quel est-il cet ordre du jour ?
Père Blaise : le récit du seigneur Dagonet de retour de son expédition en Orient pour découvrir des informations sur le dernier Horcruxe.
Perceval : mais l'orrchuse, C'est pas une tasse ?
Calogrenant : une tasse ? Mais on nous avait dit qu'on devait chercher une chaussure de ver.
Père Blaise : que des rumeurs tout ça et rien de concret. C'est d'ailleurs pour ça qu'on vous envoie chercher des infos !
Dagonet : il paraitrait qu'il serait un bijou mais personne ne le sais vraiment. Part contre j'ai trouvé plein de recettes nouvelles à vous faire découvrir.
Karadoc : rien de mieux que les bonnes vieilles recettes d'ici. Les autres sont souvent dégueulasses.
Dagonet : non non c'est un régal.
Calogrenant : mais alors finalement personne ne sait ce qu'il est ?
Père blaise : si on le savait on pourrait essayer de le trouver au lieu d'en parler.
Yvain : parler c'est nul.
Perceval : moi il parait que je parle trop.
Léodagan au roi : et vous ne dites rien ?
Arthur blasé : pfff. Dire quoi à des abrutis pareils. Qu'ils chantent, dansent ou crèvent. M'en tape. * grand silence * vous êtes tous que des blaireaux !
Léodagan : ah mais va falloir commencer à me parler meilleur !
Arthur : et vous, vous devriez vous rappeler que votre fille est reine grâce à moi et que vous et votre fils êtes chevaliers grâce à moi aussi !
Yvain : je suis chevalier ? woouuuu
Léodagan : fermez là ! Quant à vous, mon cher gendre, je tiens à vous rappeler que votre rôle est aussi de faire un héritier et que là-dessus pour l'instant c'est ceinture. Vous êtes peut-être impuissant ?
Arthur : il me semble que vous n'êtes pas dans mon plumard tous les soirs !
Père Blaise : euh bon je crois qu'on va alors en rester là …
- …
Bohort : euh, sinon avant de partir, j'aurais une requête pour la fête des clans. Nous aurions besoin de solliciter Merlin pour le final, avec un peu d'étincelles magiques.
Léodagan : s'il arrive à vous faire des étincelles sans rien brûler autour, ce sera miraculeux.
Arthur : et bien, vu que de toute façon cette réunion ne sert plus à rien, Bohort suivez moi, nous allons retrouver Merlin ou encore Elias.
Léodagan: commencez par retrouver votre femme. Car elle s'est faite la malle avec Lancelot.
Arthur : que voulez vous dire ?
Léodagan : mais rien du tout, je ne dis rien et je n'ai rien à dire.
Quelque part… au milieu du merdier de Merlin l'enchanteur imaginaire.
Merlin : mais qu'est-ce que vous avez fait à ma décoction d'invisibilité ?
Elias : quelle décoction d'invisibilité ?
Merlin : celle que je faisais depuis deux jours.
Elias : aaah, la flotte qui bouillait à gros bouillons ?
Merlin : comme ça de l'eau ? C'était de l'élixir de corne de chamois avec de l'eau bénite par les dieux.
Elias : une vulgaire soupe de poisson !
Merlin : comment oses-tu me parler ainsi. Elias de Kelliwic'h, dit « le Fourbe », Grand Enchanteur du Nord, commandeur des loups de Calédonie, pourfendeur du dragon des neiges… etc. Je te mets au défi.
Elias : Merlin, enchanteur de Bretagne, grand vainqueur de la Belette de Winchester, concepteur de la potion de guérison des ongles incarnés, auteur du parchemin « Le Druidisme expliqué aux personnes âgées », etc… je répondrais à ton défi.
Merlin : Elias es-tu prêt à …
Arthur : ah vous êtes là tous les deux ça tombe bien.
Merlin : sir ?
Elias : ah non. L'autre idiot allait me lancer un défi que je suis sûr de gagner. Alors vous sortez et vous revenez plus tard !
Arthur : ferme-là, je suis pas d'humeur à t'écouter geindre, Malfoy !
-…
Elias : qui ?
Merlin : qui est Malfoy ?
Arthur : chais pas… mais c'est venu du cœur. Comme si ça avait toujours été comme ça.
Merlin : et donc vous êtes venus pour quoi ?
Arthur : ah oui. Bohort. Je vous laisse vous expliquer.
Quelque part …. Quelque part !
Dame Séli : ah vous voilà enfin fille ingrat ! Après tout ce que votre père et moi avons fait pour vous faire asseoir sur le trône, je trouve que partir en douce avec le premier péquenot qui passe…
Guenièvre/Hermione : Professeur McGonagall ? Que faites-vous ici ?
Dame Séli : qui ? Non mais ça va plus ? Qu'est-ce que vous avez fait pour avoir oublier qui est votre mère !
Lancelot/Ron : Merde alors 'Mione ! McGo est ta mère ?
Guenièvre : Ron, ça suffit !
Dame Séli : Si je vous emmerde, faudrait voir à le dire !
Quelque part … dans la cour …
-Ah bonjour Monsieur. Voilà, ma femme est une gourde avec une carte routière et nous nous sommes perdus. Pouvez-vous nous indiquer la ville la plus proche.
Kadoc : où elle est la poulette ?
-Jean ! il m'a traité de poulette !
-Mais non.
Kadoc : à Kadoc
-Tu regardes ma femme autrement toi !
Kadoc : à Kadoc
-Jean ! Dis lui que je suis pas à lui ?
-En même temps, tu es tellement chiante que si je te laisse avec lui une journée, il va en avoir tellement marre que demain je te récupère sans problème.
-Non mais ça va pas ?
-Ah ben si Chouchou…
-Il n'y a pas de « Chouchou » qui tienne!
Kadoc : où elle est la poulette ?
-Loulou protège moi.
-Gardez-la monsieur et bonne chance.
Kadoc : ma tata, elle fait des flans.
Chouchou : il me prend pour sa tante maintenant !
Loulou : bon, viens Alex, on se tire. De tout de façon, c'est pas ici qu'on trouvera ta mère.
Chouchou : de toute façon tu ferais tout pour ne pas la retrouver.
Loulou : tu as raison. Mais si tu veux je te laisse là avec Monsieur.
Kadoc : à Kadoc.
Chouchou : ne m'abandonne pas iciiii !
Loulou très macho : alors monte faible femme, je vais bien m'occuper de toi.
Kadoc les regardant partir dans la charrette en ferraille pas du tout d'époque : où elle est la poulette ?
Quelque part … chez Enchanteurs et compagnie…
Elias : moi je veux bien le faire mais ça va vous couter 120 pièces d'or.
Arthur : hein ? 120 pièces d'or pour quatre bouts d'étincelle ?
Elias : après vous êtes libre de refuser.
Arthur : et vous ? vous ne dites rien ?
Merlin, je sais pas les faire les étincelles.
Arthur : et il y a quelque chose que vous savez faire ?
Elias : la soupe de poisson…
Merlin : Elias de Kelliwic'h, dit « le Fourbe », Grand Enchanteur du…
* sflou (bruit étrange d'apparition aquatique) *
-Alors c'est là que vous vous cachez ?
Arthur : je ne me cache pas !
Merlin : bien sûr que non, si vous vous cachiez, on vous verrait pas.
Arthur : je ne vous parlez pas à vous !
Bohort : vous parlez à qui Sir ?
Arthur : à la dame du lac.
Merlin : ah elle va venir ?
Arthur : non elle est là.
Bohort : ah bon ? Mais où ça ?
Arthur : Taisez-vous ! La dame du lac est là, elle veut me parler, vous ne la voyez pas, vous ne l'entendez pas, et si vous dites un mot je vous fais enfermer dans un cachot.
-…
Arthur : bon alors vous vouliez me dire quoi ?
Bohort : mais rien du tout.
Arthur : bouclez làààà !
La Dame du Lac : alors où en êtes vous de la quête de l'Horxcure ?
Arthur : je suis entouré de pécores, et vous passez votre temps à me faire passer pour un abruti parce que je donne l'impression de parler dans le vide.
Elias : mais vous parlez dans le vide.
Arthur : je sens que je vais m'énerver !
Elias : et tu crois que tu me fais peur Potter ?
-…
Merlin : il y a des trucs pas clairs qui se passent ici.
Arthur : comme si ça changeait de d'habitude !
La dame du Lac : donc moi il me faut des résultats car les dieux sont en colère.
Arthur avant de partir en claquant la porte : ben dites leur « Merde » et on en parle plus !
Bohort : et … pour mes étincelles ?
Quelque part … à un endroit…
Dame Séli : par Merlin, comment allons nous sortir de là ?
Guenièvre : Il nous faut trouver la bibliothèque.
Lancelot : mais 'Miiiiiioneeeeeuh.
Dame Séli : Miss Granger a raison. Et surtout nous devons retrouver toutes les personnes qui sont dans le même cas que nous.
Guenièvre : toutes ? Il y en a d'autres ?
Dame Séli : bien sûr. Il y a déjà le professeur Sna… oh Merlin.
Guenièvre : qui a-t-il, professeur McGonagall ?
Dame Séli : Severus et moi sommes censés être vos parents Miss Granger.
Lancelot en ricanant : pas de chance.
Dame Séli : un problème Monsieur Weasley ?
Lancelot en rougissant : no-on, non, aucun professeur.
Dame Séli : alors direction la bibliothèque.
Lancelot : Mais au fait Hermione, comment toi tu as fait pour comprendre ?
Guenièvre : je l'ai toujours su en fait, depuis notre arrivée là j'ai toujours été moi… Surement parce que mon esprit est trop rationnel pour cela, ou parce qu'il fallait que quelqu'un reste avec ses souvenirs pour s'occuper des autres. Je ne sais pas trop.
Lancelot : Ah… tu ne sais pas … Mauvais jour alors, non? Ok, ok je ne dis plus rien… ah si, ils les cachent où les clochettes ?
Guenièvre : les clochettes ? Quelles clochettes ?
Lancelot : je sais pas. Je les ai entendues dans la forêt et quand on expliquait au professeur McGonagall. Mais j'ai beau regarder, j'en vois jamais.
Guenièvre songeuse : des clochettes … Professeur, vous devriez aller trouver le professeur Snape pour lui parler de la situation. Ron et moi nous nous occupons des recherches.
Lancelot en grommelant : et c'est quand qu'on me demande mon avis ?
Quelque part … en passant dans un couloir… Arthur découvrit par une porte entrouverte, deux des chevaliers en train de tenter de casser avec leur main, trois plaques de pierre épaisses posées sur des tréteaux. Par curiosité il entra et se retrouva pris au milieu d'une leçon un peu spéciale.
Karadoc en baissant sa main vers les plaques : Première chose. Essayer de concentrer sa force vers le bas…
Perceval : afin d'affiner le mouvement pour atteindre le point d'impact de façon péremptoire
Arthur : de façon péremptoire ?
Karadoc refaisant le mouvement de main : ben oui, la force elle vient dans ce sens là et les plaques sont péremptoires par rapport à l'axe.
Arthur : Perpendiculaire
Perceval : attention, nous on parle du croisement des axes.
Karadoc : non mais perpendiculaire ça marche aussi… Comme les plaques sont péremptoires ou perpendiculaires par rapport au sol …
Arthur : parallèle
Perceval : non mais nous on veut dire que ça tranche
Arthur : … ouais ben vous dites ça tranche alors, ce sera plus simple parce que … pff
Perceval : ça tranche, ça veut pas dire que ça se croise.
Arthur : attendez … hmm. Les plaques et le sol, ça se croise pas c'est parallèle. Si vous voulez du perpendiculaire, vous avez … le sol et les tréteaux par exemple
Karadoc : on s'en fout, on va pas casser les tréteaux…
Arthur avant de partir plus loin : et si je vous dis que vous êtes deux glands, là vous avez du péremptoire … c'est vous qui voyez…
Quelque part … dans un couple explosif.
Léodagan : ne venez pas la ramener ! Comme si la journée n'avait pas été assez à chier, faut encore que je vous aie sur le dos !
Dama Séli : Severus, je serais vous, j'éviterais ce langage. Dès que vous reprendrez vos esprits vous risquez de vous sentir très mal.
Léodagan : et qui est ce Severus ? Non parce que depuis le temps vous devriez connaître mon nom. Allez, foutez-moi le camp. Vous me gonflez.
Dame Séli : oh non je ne vais pas partir comme ça. Nous devons avoir une petite explication et si vous ouvrez encore la bouche, je vous attache à cette chaise.
Quelque part… devant la chapelle.
Père Blaise : mais qui êtes vous ?
Kadoc : Ma tante elle fait des flans.
Père blaise : pardon ?
Kadoc : à Kadoc.
Père Blaise : le Roi Arthur sait que vous êtes là ?
Kadoc : patte de canaaaaaaard…
Père Blaise : bon et continuez à bien jeter vos cailloux et surtout évitez de le faire sur les poules. Après elles rentrent dans ma chapelle et foutent des fientes partout.
Kadoc : où elle est la poulette ?
Quelque part … dans un grand vent de honte.
Léodagan : Seigneur. C'est un cauchemar.
Dame Séli : je vous l'avais bien dit que votre langage vous poserait problème.
Léodagan : taisez-vous donc un peu, vieille chouette. Donc récapitulons, nous sommes au temps du Roi Arthur et nous ne savons pas comment revenir chez nous.
Dame Séli : Miss Granger et Monsieur Weasley se chargent de trouver la bibliothèque.
Léodagan : Merlin nous garde, nous sommes perdus
Dame Séli : Severus !
Léodagan étrange : Minerva, savez vous combien de nos contemporains se trouvent avec nous ?
Dame Séli : à part nous deux et le couple de gryffondors, je ne pense pas qu'il y en ait d'autres…
Léodagan : et ben vous pensez mal.
Dame Séli : que voulez-vous dire ?
Léodagan : je veux dire que tout à l'heure à la table ronde, j'avais avec moi, Lupin, la paire identique de chez Weasley, Londubat, Thomas, Finnigan, Goyle, Crabbe et *ricanement* Black.
Dame Séli : Merlin ! tous ceux là ?
Léodagan : et bien sûr notre chez Harry Potter en la présence du Roi Arthur. Toujours à se faire remarquer celui-là.
Dame Séli : Severus, restez correct. Bon allons à la bibliothèque car nous allons avoir besoin d'informer nos jeunes amis * reniflement dédaigneux de son interlocuteur *
Quelque part …. Dans un lupanar
Arthur : ça fait du bien d'avoir un peu de tendresse dans ce château de fous.
Demetra : nous serons toujours prêtes à vous détendre Sir.
Aelis : et puis quatre belles femmes rien que pour vous…
Arthur extasié : c'est le pied….
Tumet : alors fermez les yeux….
Azilis : et laissez nous faire…
Quelque part … dans un bouiboui
Le tavernier : alors ? je vous remets une tournée ?
Karadoc : et n'oubliez pas le saucisson à la noisette.
Le tavernier : pas de problème. Il n'y a presque plus de clients, ça vous direz une partie de quelque chose ?
Perceval : on peut faire un slouby… à mais non, il faut être trois.
Karadoc : tant pis, on fera avec.
Le tavernier : mais comment cela se joue-t-il ?
Perceval : vous avez dix bâtons de 30, 40 et 50 cm ?
Le tavernier : non j'en ai pas.
Perceval : bon tant pis. Si vous avec un seau de dés ça ira…
Quelque part … bah dans la salle du trône.
Arthur : Père Blaise, j'espère que vous avez une bonne raison d'être venu me déranger en pleine réunion avec mes maitresses !
Père Blaise : votre mère a demandé audience.
Arthur : ma mère ? Alors je repars avant qu'elle …
Ygerne de Tintagel : Arthur ! Vous allez m'écouter !
Arthur : non !
Ygerne : on ne répond pas à sa mère !
Père Blaise : Dame Ygerne, si votre requête est personnelle, pourquoi avoir demandé une session de doléances ?
Ygerne hautaine : ce n'est pas personnelle, c'est une requête officielle du peuple de Tintagel.
Père Blaise : allez-y alors.
Ygerne : le peuple de Tintagel invite le Roi Arthur à la grande fête de l'automne.
Arthur : Nooooon !
Ygerne : Arthur ! si vous ne venez pas, je vais me fâcher !
Arthur : noooon je ne viendrais pas !
Père Blaise : mais c'est plus du officiel là. Donc …
Ygerne : ah ça suffit maintenant !
Arthur : nooooon !
Quelque part … au milieu de la poussière.
Guenièvre : tant que ça ?
Léodagan : êtes vous sourde miss Granger ? Je ne compte pas répéter les personnes que j'ai vues.
Dame Séli : sans compter qu'il risque d'y en avoir d'autre.
Lancelot : d'autres ? Mais combien ?
Dame Séli : si nous le savions… oh, Miss Granger, j'ai également entendu des clochettes lors de mon explication avec Severus.
Guenièvre : alors j'y ai un peu réfléchi. Je pense que lorsqu'on retrouve les souvenirs de notre vraie vie, des clochettes se font entendre.
Lancelot : c'est bien beau de savoir ce que sont les clochettes. Mais on fait quoi maintenant ?
Dame Séli : on retrouve nos compagnons et on les remmène à de meilleurs sentiments.
Lancelot : oui mais on fait quoi maintenant de façon plus clair ?
Léodagan : on va dire à tout le monde qui ils sont Monsieur Weasley.
Guenièvre : récapitulons : Les Seigneurs Calogrenant, Galessin, Dagonet et Bohort sont respectivement Rémus, George, Fred et Neville.
Dame Séli : Yvain, Gauvain, Perceval et Karadoc sont Dean Thomas, Seamus Finnigan, Vincent Crabe et Grégory Goyle.
Lancelot : Arthur c'est Harry.
Léodagan avec un sourire mauvais : sans oublier ce cher Clébard de Black qui se retrouve dans la peau d'un curé.
Lancelot : et ça vous fait rire, vieille chauve souris graisseuse ?
Guenièvre : RON !
Dame Séli : Mr Weasley !
Léodagan : langage Weasley !
Lancelot penaud : et on les trouve où?
Quelque part … seule au monde la Dame du Lac tentait de trouver Arthur qui passait son temps à la fuir, à fuir les pécores qui l'entouraient, à fuir sa mère, à fuir … Bref, il fuyait loin de ses soucis. Et la Dame du Lac avait beau parler, crier, hurler, pleurer, s'arracher les cheveux, personnes ne lui disait rien sur l'endroit où se trouvait le Roi… et pour cause… personne ne pouvait la voir, personne ne pouvait l'entendre… et pour une fois elle maudit les Dieux de cet état de fait.
Quelque part … autour d'une table ronde … mais sans le roi qui lui est introuvable.
Père Blaise/Sirius : et pourquoi moi je suis un curé ?
Léodagan/Severus : parce que tu le mérites Black.
Dame Séli/McGonagall : messieurs ça suffit.
Calogrenant/Rémus : Paddy, calme-toi. Ça ne fera pas arranger les choses de faire ta tête des mauvais jours.
Père Blaise : maiis Moonyyyy !
Léodagan : Mais arrêtez un peu de vous chamailler !
Galessin/George : en tout cas c'est très drôle comme situation.
Dagonet/Fred : tu te rends compte de tout ce qu'on a fait alors qu'on ne sait rien du tout de ce monde.
Yvain/Dean : oui mais nous on passe pour des abrutis.
Léodagan : vous êtes des abrutis.
Dame Séli : Severus, vous n'êtes plus dans votre rôle là. Reprenez-vous.
Père Blaise : tu parles. On peut pas le laisser là celui là ?
Calogrenant : Sirius !
Gauvain/Seamus : oui ben si on est des abrutis, c'est pas pire que Crabbe et Goyle, euh dans le genre cons ils se posent là.
Dagonet : c'est clair que dans notre monde ou pas c'est bien les mêmes !
Guenièvre : mais où ils sont ceux là ? On les pas trouvés dans le château !
Lancelot : les connaissant, je dirais en train de manger quelque part…
Yvain : on tente les cuisines ?
Gauvain : oh j'ai entendu parler d'une auberge pas loin.
Dame Séli : très bien, Severus et Rémus, vous allez à l'auberge. George et Fred vous allez en cuisine. Sirius vous vous asseyez et vous arrêtez de tirer sur votre soutane. Les autres, on retourne à la bibliothèque et on cherche comment repartir.
Bohort/Neville : euh… dites, j'ai vu d'autres personnes moi…
- …
Léodagan en persifflant : Continuez votre phrase Londubat !
Bohort : o-oui pro-professeur.
Calogrenant : Neville ne vous inquiétez pas. Severus ne peut rien vous faire ici.
Père Blaise très sadique : nous par contre ….
Léodagan : Black, ne me cherche pas. Ou je te menotte dans les cachots.
Bohort sans tenir compte de l'intervention : oui alors j'ai vu Tonks et Malfoy junior.
Dame Séli : où cela ?
Bohort : dans leur labo. Tonks était Merlin et Malfoy, Elias de Kelliwic'h.
Dagonet : Tonks en Merlin ? Tu parles d'une catastrophe.
Dame Séli : Bon alors il faut aller les retrouver. Sirius, vous m'accompagnez. Mr Londubat, vous nous montrez le chemin.
Père Blaise : ah ça me fait penser. La mère d'Arthur, je crois que c'est la sœur à Lily.
Léodagan : Pétunia Dursley ?
Père Blaise : non, Fudge avec une robe moldu à fleur… évidement que je parle de Pétunia Dursley ! Mais je ne l'ai vue qu'une fois en photo il y a très longtemps alors je ne suis pas sûr.
Lancelot : moi je la connais. Je l'ai vue une fois quand on est allé chercher Harry chez ses moldus avec Papa, Fred et George.
Galessin : oui c'est vrai je m'en souviens bien.
Dagonet avec regard entendu : moi je me souviens surtout du fils.
Dame Séli : alors Miss Granger et vous Mr Weasley allez à la recherche de cette Pétunia. Allons-y maintenant.
Père Blaise en dansant d'un pied à l'autre : … euh ..
Léodagan : Black, arrête de gigoter. Tu n'auras qu'à lever la patte sur un arbre en chemin.
Dame Séli en désamorçant les foudres de Sirius : Sirius que se passe-t-il ?
Père Blaise : j'ai vu Albus.
Dame Séli : Albus ? mais où ?
Père Blaise : c'est assez gênant… * se penche vers son oreille et lui glisse quelques mots*
Dame Séli poussant un cri d'indignation : Merlin tout puissant !
Père Blaise : je l'avais bien dit que c'était gênant…
Dame Séli : bon on verra pour Albus plus tard. Chacun a sa mission ? Alors on y va.
Yvain en montrant alternativement lui et Gauvain : et nous alors ?
Dame Séli : la bibliothèque messieurs Thomas et Finnigan…
Lancelot goguenard : quel malheur. Je vous plains… Mais que fait-on pour Harry ?
Léodagan : Potter est pour l'instant introuvable. On le cherchera en temps voulu. Nous avons d'autres chats à fouetter.
Père Blaise : fouetter… hein Servilus… Les menottes, le fouet et tout et tout … Je savais bien que t'étais S.M.
Quelque part … dans un endroit secret.
Arthur : non mais sérieusement ça ne pouvait pas attendre demain ?
La dame du Lac : et qu'auriez-vous fait à la place ?
Arthur : je sais pas mais je serais pas dans cette grotte sombre, à chercher un artefact surement imaginaire qui ne me rapprochera pas du dernier Horcruxe.
La Dame du Lac : qu'est-ce que vous en savez ? Et puis les Dieux ont besoin de savoir que vous êtes toujours digne de confiance.
Arthur : m'en fous des Dieux. Après la visite de ma mère j'aurais préféré la compagnie réconfortante de mes maitresses à celle des gobelins … Dites, il y a quoi dans cette grotte pour qu'il y ait des gobelins ?
La Dame du Lac : je vous l'ai dit, un indice sur le dernier Horcruxe.
Arthur : et ben il a intérêt à être moins pourri que celui de la dernière fois cet indice, car sinon la prochaine mission vous pourrez vous la foutre dans le baba !
Quelque part … dans un domaine magique par défaut.
Merlin : J'aimerais quand même savoir ce que tu as fait de ma potion !
Elias : ta tambouille, tu l'as renversée ce matin quand tu t'es pris les pieds dans le lierre grimpant que tu avais laissé trainer au sol.
Merlin : même pas vrai.
Elias : bien sur que si. Mais quand on est un moins que rien c'est normal que …
Dame Séli : Ah, vous voilà.
Merlin : Dame Séli, Père blaise, Bohort ? Un problème ?
Elias : mais c'est pire qu'un moulin ce laboratoire. Enfin c'est déjà une porcherie d'origine mais là c'est vraiment du grand n'importe quoi !
Merlin : Elias de Kelliwic'h, dit « le Fourbe », Grand …
Elias : oui bon ça va, je crois qu'on a compris maintenant !
Père Blaise : Et après c'est Servilus et moi qu'on incrimine d'être chiant.
Dame Séli : je dirais que c'est un trait de caractère de la famille Black.
Père Blaise renfrogné : j'avais oublié que blondie junior était mon petit cousin.
Dame Séli : Pourtant votre mère et votre elfe de maison semblent se faire une joie de le rappeler à tout le monde.
Bohort timidement : peut-être devrions nous finir notre mission avant de continuer cette discussion ?
Elias : ce serait une bonne chose. Surtout de vous voir dégager le plancher.
Dame Séli : Monsieur Malfoy un peu de respect !
Elias : mais pourquoi tout le monde veut m'appeler ainsi aujourd'hui ? C'est décidément un château de fous. Je vais repartir de là où je viens !
Merlin : c'est ça, cassez-vous !
Dame Séli : STOP ! On arrête là, on s'assoit et on écoute.
Quelque part … à « l'écurie » intérieure.
Lancelot : tu es sûre que c'est bien sa chambre ?
Guenièvre : oui Ron c'est celle là. Enfin c'est cette chambre qui est attribuée à Dame Ygerne de Tintagel …après savoir si c'est bien Pétunia Dursley qui est dedans…
Lancelot : bah t'as bien entendu Sirius ?
Guenièvre : alors d'abord, on parle de Sirius. Ensuite, il a vu la photo de Pétunia il y a longtemps… et son passage à Azkaban n'a pas dû arranger les choses !
Lancelot : ouais t'as raison… Tu frappes ?
Guenièvre : ah ben il est beau le chevalier !
Lancelot : euh … les dames d'abord non?
*Toc toc toc *
-Qui est là ?
Guenièvre : Mme Dur… euh … Dame Ygerne ? C'est Guenièvre, la Reine. Je me demandais si vous accepteriez de venir casser la graine avec moi.
Ygerne en ouvrant la porte de façon brusque : et c'est pour cela que vous me dérangez ?
Lancelot en murmurant : 'Mione, je la cloue au lit et tu lui parles.
Guenièvre : je crois que nous n'allons pas avoir le choix.
Lancelot : Désolée Madame face de cheval, mais là c'est cas de force majeur !
Ygerne : c'est une honte d'être traitée ainsi !
Guenièvre : faut vraiment qu'on trouve pourquoi on est là … Surtout elle…
Quelque part dans une « porcherie » civilisée.
Calogrenant : Severus, tu crois vraiment qu'ils sont là ?
Léodagan roulant des yeux : oui Lupin, j'en suis sûr. Ce sont mes élèves après tout. Même si pour ceux-là je n'en suis pas très fier.
Calogrenant : je suis presque sûr qu'on en trouve des moins intelligents. * regard sceptique * j'ai dit Presque.
Léodagan : tiens, regarde là-bas. Assis devant leur assiette pleine à craquer.
Calogrenant : félicitation. Tu connais bien tes poulains
Léodagan en grimaçant : faudrait que je pense à les noyer ceux là…
Calogrenant : je suis étonné de te voir blaguer.
Léodagan : parce que je ne suis pas en train de « blaguer », Lupin !
Karadoc : tiens, vous êtes là vous aussi ? Venez profiter de la nourriture. Oh Tavernier, vous nous remettez ça avec deux couverts de plus.
Léodagan : non nous n'avons pas le temps. Vous allez nous suivre rapidement et …
Calogrenant : moi j'ai un petit creux. Asseyons-nous un peu Severus. Après tout qu'on leur parle ici ou au château…
Perceval : alors qu'est-ce que vous faites ici ?
Léodagan : on doit vous parler sérieusement.
Karadoc : moi j'aime pas quand on parle sérieusement. Je comprends jamais rien.
Léodagan : au moins ça, ça n'a pas changé.
Le Tavernier : tenez votre commande. Messieurs. Vous êtes des amis à ces braves chevaliers ?
Léodagan : Zabini ?
Calogrenant : oui nous sommes des amis … Severus ?
Léodagan au Tavernier : asseyez-vous avec nous. Lupin, ne me regarde pas comme ça… c'est aussi un de mes élèves.
Le Tavernier : mais c'est que j'ai du travail.
Léodagan : Alors je vais flamber votre bouiboui et là vous aurez bien un peu de temps à nous accorder.
Le Tavernier s'asseyant rapidement : euh oui, bien sûr.
Calogrenant : Encore une surprise. Bref. Venons-en au fait.
Léodagan sarcastique : surtout que je sens bien que ça va être long avant d'entendre les clochettes…
Quelque part … « au paradis de Karadoc ».
Demetra en grignotant un quignon de pain: vous croyez qu'il a trouvé une nouvelle maitresse ?
Azilis : je sais pas mais la façon dont il nous a posé un lapin en prétextant que la Dame du Lac l'avait appelé…
Aelis : si ça se trouve elle n'existe pas. Après tout personne ne l'a jamais vue.
Demetra : j'espère qu'il reviendra vite, qu'on finisse ce qu'on a commencé tout à l'heure.
Tumet : oui mais lui seul avec nous quatre, il ne va jamais tenir. Je pense qu'il faudrait qu'il commence avec deux et après voir s'il veut des deux autres…
Aelis en les montrant une à une avec une saucisse : mais bien sûr. Et je suppose que c'est votre sœur et vous qui passeriez en premier ?
Azilis : bien sûr, nous sommes déjà deux.
*La porte s'ouvre en grand *
-Tiens mais il y a du monde ici !
-Ginny ?
Demetra : Ginny ? c'est la nouvelle maitresse alors ?
Galessin : mais enfin Ginny qu'est-ce que tu fais là ?
Demetra : euh, mon seigneur. Je ne veux pas être déplaisante, mais vous devez vous tromper de personne.
Aelis : mais qui êtes vous au juste ? Des Chevaliers de la table ronde ?
Galessin : … euh oui c'est ça … Fred, on a pas les deux balourds de serpentard mais on a trouvé quatre jeunes filles à nous. La pêche est meilleure que ce qu'on pensait.
Dagonet : bien dit mon frère. Donc Ginny, Cho Chang et les sœur Patil … venez mesdemoiselles, asseyez-vous nous devons parler.
Tumet : ils nous prennent pour des truffes les deux zigotos en armure ?
Azilis : ils peuvent aller se gratter les deux soi-disant chevaliers !
Dagonet : ça va pas être simple, mais on ne va pas avoir le choix … on a quatre clochettes à faire tinter !
Quelque part …. Dans une baignoire
Arthur : plus jamais je vous suis en mission ! Je veux plus vous voir !
La Dame du Lac : mais ce n'étaient que quelques Gobelins.
Arthur : « quelques »… ils étaient une cinquantaine ! et j'étais tout seul !
La Dame du Lac : mais j'étais avec vous.
Arthur : et qu'est-ce que vous avez fait ? Vous m'avez parlé et fait passer pour un con devant les autres affreux !
La Dame du Lac : mais non.
Arthur : ah mais si. Et d'abord vous pouvez pas vous tirer de là et me laisse prendre mon bain tranquille ?
La Dame du Lac : bon d'accord, je pars. Mais je reviendrais tout à l'heure.
Arthur : ouais c'est ça … à plus tard !
Quelque part … perdus dans les bouquins poussiéreux.
Dame Séli : bon Alors Madame Dursley, ravie de vous connaître.
Ygerne : et bien pas moi.
Dame Séli : bref. Nous avons donc récupéré Madame Dursley, Tonks et Monsieur Malfoy.
Elias : encore un mauvais coup de Potter ça. Il n'y a que des Gryffondors.
Galessin entrant dans la bibliothèque : erreur Malfoy, nous on a trouvé une Serdaigle en prime.
Dame Séli : Mesdemoiselles Chang, Patil, Patil et Weasley ? Merlin mais combien sommes nous ici ?
Père Blaise : ben il reste encore les deux abrutis de Serpentard, Albus et Harry.
Elias : des serpentards ?
Lancelot : oui tes deux gardes du corps. Tu sais, les deux pauvr'taches qui pensent qu'à bouffer.
Elias : ouais, ouais c'est bon.
Merlin : et vous nous avez dit que Snape et Rémus étaient là. Où sont-ils ?
Guenièvre : à la recherche des serpentards. En tant que leur directeur de maison, le professeur Snape était le plus désigné à le faire.
Père Blaise : Minerva, le temps qu'ils reviennent tous, si on s'occupait du sort d'Albus.
Dame Séli en pâlissant avant de partir : oui allons-y.
-…
Lancelot : moi je les suivrais bien. Je sais pas ce qui arrive au directeur mais ça doit valoir le coup.
Guenièvre : Ron ! … Suivons-les …
Lancelot : tu sais que je t'aime toi !
Elias : Merlin mais arrêtez de vous papouiller ainsi !
Galessin/George : alors suis le mouvement, Malfoy, je suis sûr que ça va te plaire à toi aussi.
Quelque part … dans un futur asile de fous
Léodagan : je savais bien que ce serait difficile avec eux.
Perceval : mais je comprends pas. Si on est pas nous, qu'on est pas chez nous, on est qui et pourquoi moi je me vois moi alors que moi c'est pas moi.
Calogrenant : comment fais-tu pour jamais te chopper mal au crane ?
Léodagan : potion anti-migraine.
Calogrenant : là je vois l'avantage d'être un maitre de potions.
Léodagan : et ce n'est pas le seul… là je tenterais bien un petit poison bien dosé
Le Tavernier/Blaise : Professeurs. Et si nous rentrions voir les autres, peut-être qu'ils pourront nous aider à les faire comprendre.
Léodagan : bonne idée Zabini. Allons-y
Karadoc : ah mais on ne va pas encore au château maintenant. On en est qu'à notre troisième casse-dalle.
Perceval : et puis on en vient du château. On va pas déjà y retourner.
Léodagan : ordre du Roi, Réunion surprise de la table ronde.
Perceval montrant le Tavernier : mais et lui ? Il vient pourquoi ?
Léodagan : prisonnier de guerre. Allez tout le monde en route et tout de suite !
Quelque part … à zinzin-land. Kadoc jetait tranquillement des cailloux sur les poules et les canards en déblatérant sur les flans de sa tata.
Père Blaise : je vous l'avais dit.
Dame Séli : C'est navrant de voir un si grand sorcier ainsi.
Père Blaise : mais comment on fait pour lui faire comprendre le tout ?
Dame Séli : on improvise. Il s'appelle comment ici ?
Père Blaise : Kadoc.
Dame Séli en s'approchant : Kadoc, mon brave. Pouvons-nous parler ?
Kadoc : Pour savoir s'il va y avoir du vent, faut mettre son doigt dans le cul du coq.
Père Blaise : ben c'est pas gagné…
Quelque part … presque au même endroit mais cachés.
Elias : il est complètement taré le vieux fou glucosé !
Guenièvre : Malfoy ! Un peu de respect !
Lancelot : oui ben là il a pas tort, 'Mione… faut bien le reconnaître...
Guenièvre : Ron !
Dagonet : vous croyez qu'on pourra le faire chanter avec ça ?
Guenièvre : Fred !
Galessin : tu compte tous nous énumérer de cette façon, Hermione ?
Guenièvre : pfff
Quelque part … dans un point de ralliement.
Le tavernier : mais ils sont où tous ?
Léodagan : ça j'aimerais bien le savoir !
Perceval : bon s'il y a personne, on a qu'à aller faire autre chose et …
Calogrenant et Léodagan : nooon ! Posez-vous là et ne bougez plus !
Le tavernier : et parlez plus non plus … vous êtes lourds les gars … pires qu'à votre état normal.
Calogrenant : c'est un coup à se suicider d'avoir des élèves comme ça…
Léodagan : potion anti-crise-de-nerf… sans accoutumance.
Calogrenant : Je reconnais que tu as un courage fou de t'occuper d'eux.
Léodagan en grimaçant : ne me compare pas à un stupide gryffondor, Lupin !
*La porte s'ouvrit sur un troupeau de Gryffondor, un serpentard et une Serdaigle, totalement hilares*
Elias : Blaise ? que fais-tu là ?
Le Tavernier : comme toi je suppose. Par contre on a un souci avec ces deux là. Ils veulent rien comprendre.
Lancelot ironique : pourquoi ça m'étonne pas ?
Elias : et tu crois qu'avec le vieux fou ils vont s'en sortir ?
Calogrenant : un problème avec Albus ?
Dagonet/Fred : c'est un taré.
Léodagan : Weasley, langage et respect !
Merlin : non mais là il a raison. Il a vraiment trop grillé ses neurones.
Demetra/Ginny : c'est peut-être une surdose de bonbons au citron…
Quelque part ... Parmi les poulettes.
Dame Séli : Albus ? Vous êtes avec nous ?
Kadoc : oui, oui, bien sûr. Amusant comme aventure.
Père Blaise en tirant sur sa soutane : amusant… pas pour tout le monde.
Dame Séli : il faudrait retourner auprès des autres. Nous avons besoin d'une solution pour rentrer chez nous et avant cela nous devons retrouver Monsieur Potter.
Père Blaise : Harry est un ado de 17 ans… Arthur est censé avoir des maîtresses, non ? On devrait peut-être fouiller toutes les chambres du château non ?
Dame Séli indignée : Sirius ! Enfin ! Nous parlons d'Harry Potter là !
Père Blaise : oui et alors. Il n'empêche qu'il est un ado bourré d'hormones qui se prend pour le Roi Arthur qui lui a des maîtresses, la preuve, on en a trouvé quatre à nous… à sa place je me ferais pas prier pour prendre ce qu'on m'offre sur un plateau.
Kadoc : allons, allons, calmez vous tous les deux. Retournons auprès de nos compagnons. Nous trouverons une solution à ce moment là. J'en suis sûr. Quelqu'un a-t-il un bonbon au citron avec lui ?
Quelque part … sous un arbre.
Arthur : mais foutez moi la paix !
La Dame du Lac : non ! pas tant que vous ne serez pas aller chercher le parchemin que vous avez laissé là bas !
Arthur : c'est un vieux truc moisi qui ne nous sert à rien !
La Dame du Lac : bien sûr que si ! Sinon les Dieux ne vous enverraient pas le chercher !
Arthur : les dieux m'ont envoyé chercher le Marteau de Thor dans un sous terrain gardé par Un Dragon. Finalement, s'étaient trois Dragons qu'il y avait et c'était une vulgaire massue abandonnée par un péquenot du coin ! Alors votre parchemin vous avez qu'à vous le carrer où je pense !
La Dame du Lac : C'était une petite erreur, ça peut arriver à tout le monde.
Arthur : ben ça leur arrive un peu trop souvent aux Dieux de se planter ! Et à mes frais en plus !
La Dame du Lac : mais vous l'avez lu ce parchemin, vous pouvez donc me dire ce qu'il y avait dessus.
Arthur : Non !
Quelque part … au QG improvisé. Dame Séli, Père Blaise et Kadoc venaient de rentrer dans la bibliothèque. Tous les présents se regardèrent et tentèrent de cacher leur sourire ou leur fou rire (selon les personnes) comme ils le pouvaient. Jusqu'à ce qu'Yvain et Gauvain ne retiennent plus rien et éclatent de rire.
Kadoc : hey bien, quelle animation parmi vous. C'est bon de voir que malgré tout ce que nous traversons personne n'est traumatisé.
Merlin/Tonks : si traumatisme il y a, ce n'est pas celui d'être bloqué là …
Galessin/George : je pense que les poulettes sont bien plus traumatisées que nous *fou rire presque général *
Kadoc : oh, je vois. Oui c'est effectivement un moment très drôle de ma longue vie. Il faudra que je pense à la raconter un jour.
Dame Séli, tendue : et eux, pourquoi sont-il bâillonnés ?
Lancelot : parce qu'ils sont cons.
Guenièvre en roulant des yeux : Ron !
Léodagan et Calogrenant : Oh oui qu'ils le sont.
Père Blaise choqué : Moony ? Tu es d'accord avec un truc que Servilus dit ? Tu es malade ? C'est la pleine lune ? Tu as de la fièvre ?
Calogrenant : ola, Sirius, calme toi. Tout va bien. C'est juste qu'après avoir tenté de leur expliquer l'histoire, on a abouti à la même conclusion. Et crois moi que le mot « con » est parfaitement faible comparé à la réalité.
Ygerne énervée et impatiente : jeune fille vous trouvez quelque chose ou nous devons rester là sans rien faire encore longtemps ?
Guenièvre dans un vieux manuscrit : je pense avoir quelque chose…
Bohort/Neville : t'es la meilleure Hermione * grognement d'Elias*
Guenièvre : il faut retrouver tout le monde et qu'on ait tous conscience de la situation. En gros, lorsque que la dernière clochette aura retenti, nous serons tous projetés dans notre époque.
Léodagan : maintenant il nous reste plus qu'à mettre la main sur Potter, lui faire entendre raison et on repart. On va être coincé ici un moment alors. Surtout avant que Potter comprenne …
Lancelot méprisant en désignant Perceval et Karadoc : ça peut pas être pire qu'eux.
Léodagan en grimaçant : certes.
Dame Séli : mais il faut aussi savoir s'il ne manque que Mr Potter ou si d'autres de nos contemporains ne sont pas également ici.
Le Tavernier : faut aussi qu'eux comprennent qu'ils ne sont pas des chevaliers looseurs de la table ronde.
Kadoc : je propose qu'on parte par groupe de trois, à la recherche d'Harry. Nous ferons six groupes : Severus, Rémus et Sirius *protestations étouffées de deux d'entre eux * Miss Granger, Mr Weasley et Miss Tonks. Messieurs Thomas, Finnigan et Londubat, Messieurs et Miss Weasley, Miss Chang, et Patil. Et enfin Minerva, Madame Dursley et moi-même. Messieurs Zabini et Malfoy, je vous laisse avec vos amis afin de leur faire entendre raison. Retrouvons nous tous ici dans deux heures. Sauf si tout le monde a repris ses souvenirs avant et dans ce cas, nous nous retrouverons tous à Poudlard.
Ygerne : sauf que moi je n'étais pas dans votre école de fous. Comme cela se fait-il que je sois ici avec vous ?
Guenièvre : euh … en fait, je pense que le produit qui a déclenché le voyage n'a fait qu'une certaine sélection. Donc une partie de ceux qui étaient dans la grande salle à ce moment là. Ne me demandez pas pourquoi nous et pas les autres, je ne sais pas. Et quand l'explosion a eu lieu, Harry tenait dans ses mains une lettre que vous veniez de lui envoyer Madame, je pense que comme Harry est passé ici, par le travers de la lettre il vous a entrainé avec nous.
Ygerne : sale petit vaurien. Toujours à faire n'importe quoi pour se faire remarquer.
Père Blaise : n'insultez pas mon filleul !
Léodagan : elle a pourtant raison !
Père blaise : Snape ferme là.
Calogrenant : Sirius calme toi. Severus, respire.
Demetra/Ginny : euh dites ... si Hermione a raison …moi j'avais dans mes mains une lettre de Fleur… la fiancée de Bill… vous croyez qu'elle est ici aussi ?
-…
Kadoc en tirant sur sa grande barbe : tout est possible. Ouvrez tous bien vos yeux, afin de repérer tous ceux qui pourraient être de notre monde.
Quelque part …. Ailleurs…
La Dame du Lac : Alleeeeez, qu'est-ce qu'il y avait sur ce parchemin ? Dites le moi !
Arthur : noooooon ! Foutez moi la paix !
La Dame du Lac : Dites moi et je partirais tout de suite après.
Arthur : c'est du chantage ?
La Dame du Lac : mais non, juste un échange de bons procédés.
Arthur : et si je veux pas ?
La Dame du Lac : Alors je reste à vous harceler.
Arthur : c'est du chantage.
La Dame du Lac : Oui.
Arthur : très bien. Je vais vous le dire. Mais après vous décarrez d'ici et vite fait !
La Dame du Lac : Promis juré.
Arthur : il n'y avait qu'un dessin. Une sorte de médaillon avec un S en forme de serpent dessus. Maintenant disparaissez !
-…
-Harryyyyyy !
Arthur en criant : putain mais y a-t-il un moyen pour être tranquille dans ce château de merde ?
Léodagan : Langage Potter !
Arthur : beau père je vous emmerde. Et c'est quoi « potter » ? Une nouvelle insulte tout fraichement sortie de chez vous ?
Calogrenant posant sa main sur le bras de son voisin : Severus calme toi. Laisse nous gérer ça.
Léodagan en sifflant : Lupin, vire tes sales pattes de moi !
Père Blaise avec un ton pompeux: Sir, faut qu'on parle. Suivez nous c'est urgent.
Arthur : Urgent ? Mais Urgent comment ?
Père Blaise : … euh … du nouveau sur le dernier Horcruxe.
Arthur : et bien qu'est-ce qu'on fait encore là ! Allons voir ça tout de suite.
Calogrenant : l'informateur nous attend dans la bibliothèque Sir.
Arthur avant de se diriger vers le château : encore un illuminé quoi.
Léodagan : je suis épaté Black, je ne t'aurais pas cru capable d'une telle répartie.
Père Blaise : c'…
Calogrenant : non mais c'est exceptionnel. Un jour à noter d'une pierre blanche.
Père blaise : mais Moonyyyy !
Arthur de loin : bon vous ramenez vos fesses ou faut que je vienne vous chercher ?
Léodagan : rester calme, rester calme…
Quelque part … dans un congrès au sommet.
Arthur : woaw, quelle histoire. Alors on est tous là à cause d'une boulette des Jumeaux, qui s'est combiné on ne sait comment avec le livre qu'Hermione lisait et zou nous voici tous ici.
Léodagan : quelle éloquence Mr Potter.
Arthur en reniflant à la remarque : bref et on rentre comment alors ?
Calogrenant : quand tout le monde aura retrouvé ses esprits.
Le Tavernier montrant les deux serpentards : ce qui n'est pas encore gagné.
Père Blaise : les autres ne devraient pas tarder à arriver maintenant. Et si on s'occupait d'eux ?
Elias : Si on les frappe, ça peut marcher non ?
Léodagan choqué : Malfoy ! Les pécores du coin déteignent sur vous !
Elias en grimaçant : possible, mais là ces deux là m'exaspèrent au plus haut point.
Père Blaise en enlevant les baillons : bon alors que pouvons nous faire de vous.
Karadoc : nous nourrir, j'ai faim, je n'ai pas fait mon encas de 14 heures, ni celui de 16 heures et …
Le Tavernier : oh ça va on a compris !
Perceval : c'est une kidnaption !
Elias : une quoi ?
Arthur et Léodagan en soupirant : un kidnapping.
Le Tavernier : Draco a raison, un bon coup derrière les oreilles ça peut pas leur faire de mal.
Calogrenant : Malheureux, et si ça les rend plus stupides qu'ils ne le sont déjà ?
Père blaise : paix à nos âmes.
Léodagan en ricanant : t'es bien dans ton rôle Black.
Père Blaise : oh la ferme !
Arthur : tiens faudrait peut-être qu'on pense à contacter la Dame du Lac.
Elias : et pourquoi ?
Arthur : parce que c'est Fleur Delacour.
Quelque part … au même endroit mais plus tard… au retour des autres
Kadoc : que vous arrive-t-il mes amis ?
Guenièvre : Oh vous avez retrouvé Harry !
Calogrenant maussade : oui on l'a retrouvé…
Dame Séli : un souci avec des deux là ?
Léodagan : oh non, la méthode de Mr Malfoy est assez efficace.
Père Blaise : quelques calottes bien placées et le tour était joué.
Le Tavernier : l'électrochoc des souvenirs avec Pansy a bien aidé aussi.
Elias en grimaçant : ouais ben vu qu'ils l'aiment beaucoup, je la leur laisse, la Sangsue, … moi ça me fera des vacances !
Merlin/Tonks : alors c'est quoi le problème.
Arthur : ben j'ai jeté la dame du Lac tout à l'heure… et là elle répond pas à mes appels.
Lancelot : mais pourquoi tu l'appelles, on s'en fout d'elle ?
Arthur : Parce que c'est ta future belle-sœur.
Demetra : je savais bien qu'elle nous poserait problème un jour où l'autre celle là !
* Quelques longues minutes plus tard *
Guenièvre : faut l'appâter.
Azilis/Pavarti : et tu sais comment on appâte une Dame du Lac toi ?
Guenièvre : avec ce qu'elle veut le plus au monde.
Lancelot : fais des phrases entières Chérie, là je suis pas le seul à ne pas comprendre.
Guenièvre : et pourquoi elle a fait la table ronde ?
Arthur : pour trouver le dernier Horcruxe…. D'ailleurs c'est pas censé être le Graal ?
Guenièvre : si mais c'est encore un télescopage avec notre époque je pense.
Calogrenant : donc pour en revenir au sujet, faut lui parler de l'Horcruxe pour la faire venir.
Guenièvre : je pense oui.
Arthur : YOUhOU ! DAME DU LAC ! J'AI TROUVE LE DERNIER HORCRUXE ! C'EST LES DIEUX QUI VONT ETRE CONTENTS !
* sflou (bruit étrange d'apparition aquatique) *
La Dame du Lac : Vous avez trouvé le médaillon ?
Arthur : oui mais faut que je vous explique un truc avant de vous le donner.
La Dame du Lac : Ah non les Dieux sont pressés !
Arthur : ben, soit les Dieux attendent, soit je le renvoie d'où il vient ce médaillon et vous vous démerdez à aller le chercher toute seule !
La Dame du Lac : bon d'accord, parlez alors. Mais je tiens à dire que c'est du chantage !
Arthur : dit celle qui m'a fait chanter pas plus tard que tout à l'heure…
Quelques bonnes explications plus tard…. Un bruit de clochette plus tard… une explosion plus tard … un nuage de fumé plus tard … Tout le monde se retrouvait là où il se trouvait avant de partir. Pétunia dans sa maison, Fleur dans la sienne, les jumeaux assis devant leur carton éventré dans l'allée centrale, les élèves devant leur tasse, les profs à leur table, Sirius sous la table.
Albus avait les yeux pétillant et vantait les joies de ce merveilleux voyage à une Minerva plus lasse que jamais. Severus tentait de donner des coups de pied au chien noir qui se vengeait en lui mordant les chevilles alors que Rémus et Tonks comptaient les points. Les Gryffondors rigolaient de leurs aventures moyenâgeuses. Crabbe et Goyle s'empiffraient comme si de rien était alors que Blaise et Draco notaient les différents ingrédients nécessaires à la potion anti-crise-de-nerf. Cho Chang essayait de ne pas pleurer quand elle comprit quel était réellement son rôle dans leur voyage.
Quand tout d'un coup, une petite voix, s'élevant de « Quelque Part », provoqua l'hilarité totalement générale des visiteurs du passé :
- Où elle est la poulette ?
FIN
Petit récapitulatif car je sens que vous vous êtes peut-être perdu. Donc ce sont les personnages « d'Harry Potter », dans le monde de « Kaamelott ». Avec le passage éclair de Chouchou et Loulou « d'un gars une fille ». Pour les correspondances, voici les personnages :
Guenièvre – Hermione Granger
Lancelot – Ron Weasley
Dame Séli – Minerva McGonagall
Leodagan – Severus Snape
Père Blaise – Sirius Black
Calogrenant – Rémus Lupin
Galessin – George Weasley
Seigneur Dagonet – Fred Weasley
Bohort – Neville Longdubat
Yvain – Dean Thomas
Gauvain – Seamus Finnigan
Karadoc – Grégory Goyle
Perceval – Vincent Crabe
Merlin – Tonk
Elias de Kelliwic'h – Draco Malfoy
Ygerne de Tintagel – Pétunia Dursley
Le tavernier – Blaise Zabini
Les Maitresses – Ginny Weasley (Demetra), Cho Chang (Aelis) et les jumelles Patil (Tumet et Azilis les jumelles du pêcheur)
Kadoc (frère de Karadoc) – Albus Dumbledore
La Dame du Lac – Fleur Delacour
Le Roi Arthur – Harry Potter
