A/N : Bien, quelques petites précisions avant de vous livrer ce chapitre… je l'avais écrit en fait il y a plus d'un an (ce qui explique la différence de style… mm si g fait qq retouches…). Dc voilà, je suis, comme toujours pas totalement satisfaite, paske déjà, je déteste publier des histoires avant de les avoir totalement écrites… et puis en plus paske j'aime pas trop ce texte, mais je suis trop flemmarde pr tt changer, et puis c l'annif d'une amie qui est accessoirement mon manager, dc pr lui faire plaisir (et aussi pask'elle me lâchera pas tant que j'aurais pas publié mais chuuuut… ). Dc voilà, c'est la petite histoire qui va avec cette fic.

  Une soirée comme les autres chez les Jackson. Quoique… ils allaient manger de l'anglais pour une fois. Will, très motivé (ce qui n'avait pas manqué d'effrayer quelque peu les autres personnes présentes…) en cette chaude journée d'août, avait banni quiconque ne s'appelant pas Will Jackson de la cuisine. Lorsque d'aventure, la porte venait à s'ouvrir, des effluves de menthe et viande leur parvenaient.

 Leur ? Le reste de la famille Jackson et leurs voisins de pallier. Les deux maisonnées s'entendaient à merveille. Les enfants passaient beaucoup de temps ensemble. Enfin, beaucoup était un euphémisme : lorsque les Arthaud n'étaient pas dans leur pensionnat en Angleterre, ils passaient tout leur ensemble. Ils étaient, à l'instant même, installés par terre, sur le grand tapis multicolore. Ils jouaient « calmement » à un jeu qui les occupaient depuis le début de l'ét : questionner Marianne, l'aînée de la famille, à propos de ses relations avec un certain garçon, ce qui ne manquait pas de faire pousser les hauts cris à l'intéressée…

 Même entre les parents, l'entente était étonnante. En ce moment même, les deux mères, Ange et Maëlle lisaient tranquillement (enfin, autant que le permettait le calme relatif de la pièce, avec les enfants à deux pas de là…) à côté de la vaste fenêtre de l'appartement, installées dans des fauteuils en osier.

 Plus tard, après un repas copieux et, comme l'avaient laissé soupçonner les odeurs de cuisine, avec de la gelée à la menthe en accompagnement (« N'y touchez pas, malheureux, seuls les Anglais peuvent y survivre… » ), alors que la nuit était déjà tombée, Maëlle proposa une promenade dans Paris, puisque, dans quelques jours, les enfants ne seraient plus là pour en profiter, les cours reprenant.

 Will, qui devait se lever tôt le lendemain, proposa de rester afin de garder Nour, la benjamine, âgée de sept ans, car il était près de minuit. Voyant cela, Yomi , ne pu résister à la tentation de la taquiner un peu… trop !

 « -Espèce de… de… ! »

 Frustrée de ne pas arriver à trouver un adjectif définissant son frère aîné, Nour se contenta de lui claquer la porte au nez avant de s'installer sur son lit pour passer sa colère sur son coussin. Lorsqu'elle se fut un peu calmée, elle se saisit d'un de ses livres préférés et se mit à lire. Peu à peu, ses paupières se firent lourdes (« Par Osiris et par Apis, regarde-moi droit dans les yeux…. Tu es… un sanglier… euh non ! Tes paupières sont louuuuuurdes ! Hehehe, ça marche toujours pour s'endormir ça, l'auto hypnotise. »), et les phrases se mirent à danser devant ses yeux. C'est alors qu'elle eut un rêve très étrange : elle se voyait, allongée sur son lit, tenant d'une main son livre, et de l'autre sa peluche en forme de hibou, puis soudain, elle sentit une secousse au niveau de son nombril avant de disparaître dans un tourbillon, qui l'entraînait elle ne savait où. Elle ne put s'empêcher de se faire la réflexion que cela ressemblait étrangement à un voyage en portauloin. Mais bientôt, elle n'y pensa plus, et retomba dans un sommeil de plomb.

Muahahahahaaaaa. Vive les Inconnus !!!

A/ : oui, je sais, j'ai des références foireuses, c pas ma faute…