Hi Everyone !

Disclaimer : Tous les personnages sont la portée D'Hidekaz Himaruya !

Genre : Angst, Romance...

Raiting : M pour scène de sexe et violences physiques, insultes, bagarres, drogues, tabac... un tableau un peu apocalyptique en fait... Venez pas vous plaindre !

Personnages/Pairings : France, Angleterre, Espagne, Prusse, FrUK, SpainRomano... personnages différents ou supplémentaires au cours des chapitres !

Note : Bien me revoilà avec une nouvelle fanfiction ! Vous inquiétez pas cette fois-ci je ne mettrais pas un an ( Nan j'exagère!^^ à peine...) entre chaque publication car j'ai eu la géniale idée d'écrire un peu d'avance ! Pas comme un dîner presque parfait dont l'avancement... suit son cours... hum...

Il y aura du FrUk ! Il y aura du sexe ! De la drogue ! Des viols ! Des coups ! Alors n'allez pas vous plaindre !

Note 2 : Comme vous le savez presque tous étant vous aussi auteur pour la plupart, écrire reste avant tout un plaisir mais c'est long et difficile donc un petit commentaire, positif ou négatif, est toujours le bienvenu ! Quoiqu'il en soit je remercie tout le monde, même ceux qui passe comme ça ! xD

Note 3 : Euh... Enjoy ! =D

Alcool, luxure et cigarette

Il avait attraper son manteau et s'était réfugier dehors, ne sachant pas exactement ce qui l'avait poussé à faire ça. L'air frais lui faisait mal au visage et il s'emmitoufla d'avantage dans son écharpe en laine. Bientôt, il se mit à pleuvoir.

«Foutue ville !» Pensa-t-il bientôt.

Ho, France n'était pas quelqu'un que l'on pouvait qualifier de colérique ou d'agressif mais sa ville natale, à savoir Paris lui manquait et il commençait vraiment à avoir le mal du pays. La ville était plongé dans l'obscurité. Des couples, enlacés sous des parapluies se dépêchaient de rentrer chez eux sous la pluie battante. France, lui, les observaient d'un air mélancolique mais ne se pressa pas pour autant. Pourquoi était-il revenu à Londres ? Cela faisait un an maintenant qu'il avait rejoint l'Angleterre, pour causes «professionnelles». Enfin, c'est ce qu'il essayait de se dire. La véritable raison était tout autre.

Bientôt il arriva devant l'entrée d'un vieil immeuble délabré. Il s'arrêta quelques instants, et hésita à rentrer. Malgré lui, il n'avait pas pu s'empêcher de revenir là. Il soupira et ouvrit la lourde porte en bois. Du hall, on pouvait sentir l'odeur de cigarette et d'alcool qui venait d'en haut. Cela faisait longtemps qu'il n'y avait plus de concierge et la plupart des locataires étaient parti également. Il monta les escaliers métalliques d'un pas lourd et mal assuré. L'odeur du tabac se renforça considérablement arrivé au premier étage. Il arriva, au deuxième puis au troisième. Enfin le quatrième. Il poussa, le battant de la porte, sachant déjà qu'elle ne serait pas fermée. Alors la puanteur lui donna envie de vomir. La pièce était plongé dans l'obscurité et de la fumée flottait dans l'air. Les fenêtres étaient fermées. Des corps jonchaient le sol et les tables étaient recouvertes de bouteilles d'alcool de poudres blanches et de cigarettes. Francis, tout en évitant les corps, traversa la première pièce pour se rendre dans la salon, résigné. Il était bien là. A demi-allongé sur un fauteuil richement décoré. Totalement ivre et en plein trip. Ses yeux a moitié fermé ne laissait plus paraître le moindre preuve de lucidité qui aurait pu rassurer le français. Il portait une veste de cuir poussiéreuse, un bandana à carreaux noirs et rouges au coup et un vieux jean déchiré au niveau des genoux. Ses cheveux d'ordinaire si blond avaient des reflets noirâtres et étaient sales. Une femme vêtue dans le plus simple appareil et maquillée lourdement était endormi la tête sur les genoux du blond. Celui-ci avait encore une cigarette dans la bouche et une bouteille de rhum à la main. Ses deux yeux verts étaient soulignés par deux horribles cernes violettes.

«Comment peut-on se laisser aller à ce point ?» se demanda Francis.

Il avança encore et saisit le col du drogué pour l'emmener dans la salle de bain. Celui-ci, plongé entre deux états n'émit que de faibles protestations à peine audible.

- Haa... lâche-moi... Ai-e !

Une fois arrivé dans la salle d'eau, le français le poussa brusquement par terre. Le blond atterrit sur les fesses. Son teint était plus pâle que jamais.

- Aie !

Il releva la tête, les yeux dans le vague.

- What are you doing there ?

- J'essaie de te remettre dans le droit chemin, crétin !

Il lui plaça la tête dans la douche et l'obligea à se rincer le crâne pour lui remettre les idées en place.

- Stop... stop that ! Bastard !

- Pas avant que tu ne m'aie promis de ne plus jamais toucher à la drogue !

Une fois la douche froide terminée, le blond se précipita au dessus des toilettes pour vomir le reste de son dîner, si on pouvait appeler ça un dîner. Il avait dû, une fois de plus fumer et boire toutes la nuit avec des personnes peu fréquentables.

- La vie de rock star ne te réussit vraiment pas !

- Shut up ! Leave me alone ! I don't need you !

- Vraiment, tu es désespérant...

- Get out !

Le chanteur s'assit et cala son dos contre les toilettes en s'essuyant la bouche.

- Pas tant que tu n'auras pas dessoûlé !

Les yeux du blond était devenus rouges. Il reprit difficilement sa respiration. Un moment de silence qu'aucuns des deux pays ne voulaient briser.

- Arthur...

L'anglais ne voulait pas lever les yeux vers lui et fixait désespérément le sol.

- Arthur, regarde-moi.

Il releva la tête sans pour autant prendre le risque de croiser les yeux bleus du français.

- Tu... est ce que tu te rends compte au moins...

- La ferme !

Il se releva rapidement et osa enfin défier du regard l'autre blond.

- Écoute-moi bien, France. Je vais ce que je veux de ma vie ! Et si me détruire le cerveau à la cocaïne me permet d'être enfin moi même...

- Non, ce n'est pas toi ça !

- C'est justement là que tu te trompes ! Et maintenant, va-t-en !

- Oui, je crois que ne plus jamais te revoir sera plus facile que te voir te suicider chaque jour à petit feu sans pouvoir rien faire...

Il se retourna et quitta la salle de bain puis l'appartement après avoir adresser un dernier regard à son ancien(ne)... connaissance ? Ami ? Amant ? Ennemi ? Confident ? Il ne savait plus trop... Il allait avoir un énorme vide un combler dans sa vie à présent...

Quelques jours plus tard, France n'était plus que le reflet de lui même. Plusieurs fois, ses amis Espagne et Prusse étaient passé chez lui pour tenter de lui rendre le sourire, en vain. Toutes ses tentatives furent soldés par un échec car le français, d'ordinaire si joyeux et admiratif de la vie restait impassible devant les blagues (au-combien déprimante) de l'espagnol qui ne comprenait pas ce qu'il se passait dans sa tête.

- J'ai tout essayer pour le faire revenir à la raison, tout !

Et alors, Prusse lui passait la boîte de mouchoirs et le blond, sans une once de délicatesse, s'en emparait et se mouchait bruyamment. Il se rappelait des premiers jours...

La maison, vu de l'extérieur n'avait pas changé. Les murs de pierre étaient recouverts de feuilles vertes ce qui lui donnait des allures de domaines campagnards. L'anglais n'était pourtant pas homme à exhiber son pouvoir dans l'immobilier. Enfin, il avait pourtant le droit de se faire plaisir de temps en temps et ce n'était pas Francis qui dirait le contraire. Il toqua à la porte et se prépara son discours mentalement pour... ennuyer son voisin d'outre-manche le plus possible. Alors un brusque son de guitare mal accordée se fit entendre, obligeant le continental à se boucher les oreilles s'il ne voulait pas devenir sourd.

Il ouvrit la porte de lui-même, tant bien que mal, les mains toujours sur les oreilles.

- Arthur !

Sa voix était recouverte par le bruit tonitruant. Il monta à l'étage et ouvrit la porte de la chambre de son supposé hôte.

«Haaa...»

- Mais tu te fous de moi ? S'égosilla le blond et jetant son pupitre au sol. Elle est pas du tout accordée ta guitare !

Le musicien retourna l'instrument vers lui et se mit en à gratter les cordes, contrarié. Le français entra discrètement dans la pièce et referma la porte derrière lui, profitant du moment de silence. Le blond se retourna vers lui, la mine contrarié. Francis leva la main.

- Hey ! Je suis venu prendre des nouvelles... Euh... Toujours à fond dans le rock à ce que je vois !

Il retînt un sourire gêné devant le regarde assassin de son vis à vis.

- Oui... qu'est ce que tu fais là toi ? Lui demanda l'anglais, menaçant, en faisant passer sa guitare autour de son cou et de la poser au sol. Il traversa la pièce et passa devant le français sans même lui adresser un regard. Il arriva à la hauteur d'une table, s'empara d'une cigarette et d'un briquet et, après avoir l'allumer, en prit une bouchée. Il expira la fumée et releva la tête vers son aîné.

- Alors ?

- Et bien... je venais seulement voir comment tu allais mais j'ai l'impression de déranger alors...

- Ouais.. enfin, ces trois-là allaient partirent alors... dit-il en désignant du pouce les trois musiciens derrière lui.

Les trois hommes le regardèrent, étonnés avant de passer leur instrument autour de leur cou et de quitter la pièce.

- See you... lui lança le plus jeune des trois, avant de disparaître.

L'anglais reprit une bouffée de cigarette.

- Tu n'as jamais autant ressemblé à un punk, constata le continental en affichant un sourire moqueur.

- Tais-toi !

Ce dernier avait un t-shirt imprimé noir et un pantalon déchiré au niveau des genoux. Une chaîne pendait à son cou auquel était noué un bandana à carreaux rouge et noir. Cela dit, on était pas encore au stade du vernis à ongle noir, des mèches rouges dans les cheveux, des tatouages ou des mitaines à pointes... Ce qui rassurait Francis. L'anglais se déplaça dans la pièce et se dirigea vers la cuisine pour aller prendre une bouteille de rhum dans le frigo. Il revînt dans le salon et écrasa sa cigarette dans un cendrier avant de se verser un verre... et tout ça sous l'œil amusé de France. Le britannique le remarqua et le jugea d'un œil méfiant.

- What ?...

- Rien... je me disais juste que tu avais bien changé depuis la dernière fois que je t'avais vu...

- Ouais, un an...

- Une semaine.

- Euh... ouais peut être, je sais pas...

Il prit une gorgée du précieux liquide avant de relever la tête vers son ennemi.

- Bon, qu'est ce que tu veux ?

Francis prit place à côté de lui sur le canapé se pencha vers son bougon préféré.

- Me faut-il vraiment une raison pour te rendre visite ? J'avais juste très envie de te voir !

- Cool pour toi.

Il détourna le regard, agacé par la proximité de son aîné.

- Ha, et aussi...

Le blond aux yeux bleus passa un doigt sur la nuque du plus jeune, ce qui eu l'effet de le faire frissonner violemment. Cependant, il ne se retourna pas brusquement - comme en aurais juré le français - mais se contenta de soupirer.

- A quoi tu joues France ? Lui demanda-t-il en fronçant les sourcils.

Celui-ci déplaça sa main de son cou pour venir la posa jusqu'à son bas ventre et la faire remonter doucement vers son torse. Il vînt également placer sa visage dans le cou de son amant.

- Ca fait déjà une semaine... J'étais seul chez moi, frustré comme jamais, alors je suis venu...

- Je vois... t'en a pas marre de toujours te servir de moi comme d'un jouet sexuel ? Demanda-t-il en tentant de se dégager. Tentative qui échoua car il se mit à gémir de douleur sous de la morsure que son amant venait de lui infliger dans le cou.

Le plus grand rit. Il allongea son «jouet» sur le canapé et se débarrassa de son t-shirt encombrant. Une fois cette action accompli, il s'assit sur le bassin du musicien et se délecta de la splendide vue qui s'offrait à lui, à savoir le torse blancs, fin mais légèrement musclé de son amant. Celui-ci le regardait intensément, attendant la suite des événements.

Le français s'interrogeait sur le changement de comportement radical d'Arthur. D'habitude, celui-ci de débattait, refusait de se laisser faire, lui lançait des regards assassins, boudait ou mettait tout en œuvre pour se retrouver au dessus. Mais là, il se laissait faire, silencieusement. Étrange...Quand bien même, France allait profiter de cette soudaine soumission pour assouvir ses besoins et ceux de son partenaire...

- J'aurais dû me douter à ce moment là, que quelque chose n'allait pas ! J'aurais dû...

Ses deux amis le regardèrent avec un air désolé. Ils savaient très bien que le français n'y étaient pour rien mais ne pouvait rien faire. Espagne passa un bras réconfortant autour de ses épaules.

- Tu l'aimes hein, ton british ?

Prusse resta le regarder, aussi étonner que le blond, avant de détourner son regard vers lui.

- Si je l'aime ? J'en sais rien !

Il enfouie son visage dans ses mains et se pencha en avant.

- Je suis le pays de l'amour et je ne peux même pas dire si je suis amoureux de quelqu'un... c'est vraiment pitoyable !

- France...

- Tout ce que je sais, c'est que... quand je le regarde se faire du mal comme ça, c'est moi qui souffre...

- Francis, Anto' et moi... on pense que ça te ferait peut être pas de mal de rentrer en France quelque temps.

- Quoi ? Tu me demandes de fuir ?

- Non, pas fuir ! Prendre des vacances, faire un break, te détendre... appelle ça comme tu veux...

- Moi j'appelle ça une fuite !

Prusse se leva soudainement.

- Écoute moi ! Là, y en a marre ! Combien de fois t'as pas dû te lever en pleine nuit pour aller le chercher aux quatre coins de la ville ? T'es plus inquiet pour lui que pour ta propre sécurité ! Lui, il voit rien de tout ça ! Il en a rien à foutre de toi ! D'après ce que j'ai compris...

A ces mots, Francis se leva d'un seul coup et colla un coup de poing dans le visage de l'albinos. La colère avait pris le dessus. Il ne croyait pas un seul mot de ce que lui avait raconter son ami. Arthur avait besoin d'aide, il traversait une mauvaise passe, c'est tout...

- Comment tu peux dire ça ? Je croyais qu'on était ami ! T'as vu tout ce que tu me balances à la figure ?

Le prussien se massait sa joue douloureuse au sol. Quand il retira sa main, il vit le sang sur ses doigts. Le français n'y avait pas été de main morte.

- Tu m'as frappé ?

- Apparemment... murmura le blond en lui faisant face.

- Toi... tu m'as frappé moi ? T'as osé faire ça ?

L'allemand se releva précipitamment, prêt à régler ça mais Antonio intervînt et vînt se placer entre les deux nations pour les arrêter.

- Hey, stop ! On arrête ça ! Vous êtes amis non ?

- C'est ce que je pensais aussi... soupira l'albinos en attrapant sa veste. Salut Antonio !

Il claqua la porte derrière lui.

- Génial ! Soupira le blond en se laissant tomber dans le canapé.

Il tourna la tête vers son ami restant, mais sans pour autant le regarder.

- Toi aussi, tu penses ce qu'il a dit ?

- Euh... et bien...

L'espagnol se massa la nuque, gêné. Il se rassit auprès du blond.

- Il n'a pas tout à fait tord tu sais... Angleterre n'a pas vraiment l'air de se soucier de se que tu ressens pour lui...

- Est ce que tu penses que je devrais laisser tomber ? Mets-toi à ma place ! Si ca avait été Lovi', comment aurais-tu fait ?

L'espagnol sembla réfléchir quelques secondes avant de répondre sur un ton catégorique :

- Je me serais battu corps et âme pour le sortir de là !

Francis le gratifia d'un sourire compatissant.

- Et bien, c'est exactement ce que je vais faire mais d'abord...

- Quoi ?

- J'ai deux ou trois trucs à régler en France... J'en aurais pour deux semaines maximum. Je reviendrais en Angleterre immédiatement après.

- Bien, je vais rentrer avec toi.

Une heure plus tard, Espagne était parti, laissant France, avec pour seul compagnie ses nombreux doutes qu'il n'arrivait pas à dissiper. Il prit la décision de faire ses valises pour le lendemain matin, mais pour l'instant, il se contenterait d'ouvrir une bonne bouteille de vin. Quand cette histoire avait-elle commencé à dégénérer ? Quand Arthur avait-t-il sombrer dans la décadence ? A partir de quel moment tout ça n'a plus été seulement une affaire de musique ? Comment n'avait-il pu rien voir ? Était-il naïf ou bien c'était Arthur qui était très fort dans l'art de la dissimulation ? Francis se sentait tellement impuissant à présent... A chaque fois, qu'il avait son visage en tête, il ne pensait plus à son sourire rare ou à sa voix mais à l'appartement dévasté, aux corps jonchant le sol et à l'odeur de cigarette... Il ne voulait pas que son Arthur s'approche de trop ou n'appartienne à ce monde d'ivresse, de délinquance et de drogue. Un monde qui lui était pourtant inconnu mais qui lui faisait peur. Qui sait ce qui pourrait lui arriver ? Qu'est ce qui le rendait si malheureux au point de se droguer à s'en faire exploser le cerveau ? Trop de questions sans réponses...

Bien sûr, avant il pouvait se permettre de boire un peu plus qu'il en était nécessaire car il avait toujours un véritable ami pour le ramener à son appartement, mais ce n'était plus le cas...

Sentant une migraine qui commençait à monter, il prit sa tête entre ses mains. Parfois, au milieu de toute cette tourmente, il lui arrivait de repenser à leur enfance, leur passé commun. Le jour où il a rencontré Arthur pour la première fois, la guerre de cent ans, Jeanne d'arc, Napoléon, la puissance de l'empire britannique, la guerre d'indépendance, leur penchant pour la piraterie, la révolution industrielle, les deux guerres mondiales, la guerre froide... Comment, lui, qui le connaissait aussi bien – et depuis tout ce temps – n'avait-il plus le sauver de toute cette... Il ne trouvait même pas de mot pour décrire cette situation. Plus, il réfléchissait et plus il trouvait ça grotesque, terriblement grotesque ! Ça le rendait malade à tel point qu'il laissa une larme lui échapper. Ça faisait vraiment trop mal.

Courage, se disait-il. Demain, il serait à Paris, loin de toute l'agitation et la monotonie de Londres. Demain, il y verrait plus clair, il serait sous le soleil et la chaleur de son pays. Il pourrait réfléchir à tête reposée et trouver une solution pour sauver son cher et tendre.

Fatigué, il but une dernière gorgée et monta se coucher.

A suivre... (fin.)

VOILAAA ! Review ? Nan ? Oui ?

Dans tous les cas : MERCI A TOUS ! w