Disclaimers : Tout appartient à
Clive Staples Lewis, The Chronicles of Narnia (Le Monde de Narnia), 1950-1956
J'écris simplement pour le plaisir, je ne gagne aucun argent, mon seul salaire et la review que vous me laisserez peut-être
Ma très chère soeur,
Voilà déjà quelques jours que nous nous sommes quittée en mauvais termes mais j'espère que tout sera comme avant, que tu redeviennes Susan la Douce, pas une de ses petites filles superficielles et sans coeur comme tu l'es depuis un moment déjà. Les filles superficielles et qui ne savent pas se servir de leurs dix doigts et qui cherche à embobiner des hommes riches pour ne rien avoir à faire dans la vie. Celles qui resteraient à la maison toute la journée et ferai du shopping dans les grands magasins de riche et snoberai les autres jeunes femme honnêtes. Susan la Douce est partie pour être remplacée par Susan la Superficielle. Tu sais, ces filles que tu méprisais tellement avant. Avant quoi me diras-tu ? Et bien avant que tu arrêtes d'y croire.
Je voudrais tellement que tu me dises pourquoi tu as arrêté de croire en Narnia, un monde qui t'a accueil comme nulle part ailleurs. Tu les as sauvés de la Sorcière Blanche et des Telmarins. Ceux qui ont cru en toi alors que tu étais encore qu'une enfant. Est parce que tu n'as pas pu revenir à Narnia que tu es devenue ainsi ? Cella ta détruit le cœur de ne plus revoir Narnia ou alors de ne pas revoir Caspian Le Navigateur ? Et puis Aslan a dit un jour :
« Celui qui une fois est roi ou reine à Narnia, l'est pour toujours.
Puisse votre sagesse nous accompagner jusqu'à ce que les étoiles pleuvent du firmament »
Pour Toujours il a dit et pourtant toi tu ne l'es plus non, tu as tourné le dos à tous sa pourquoi ? Toi, Susan la Douce, mon unique soeur à qui je pouvais tout dire et avec qui j'avais pu tout faire. Tu as changé, tu n'es plus la même, vraiment plus, pourtant la Susane la Douce me manque tellement. C'est dur, maintenant notre famille est détruite un peu par ta faute. Peut-être que tu ne l'as pas vu puisque tu te préoccupes plus de ton bien-être que celui des autres. Père et Mère étaient tellement tristes quand je leur ai dit que tu ne nous aimais plus.
J'espère qu'à mon retour, tu auras médité et peut-être arriveras-tu à redevenir comme avant et me pardonner de tout t'avoir dit par lettre.
Tu me manques et je t'aime malgré tout Susane. Fait bien attention à toi.
Reine Lucy, la vaillante.
