En venir à t'aimer
Bonjour à tous! Aujourd'hui, je commence un super travail : je traduis une fanfiction de l'anglais. Son auteur? Bao Blossom. Titre original : getting to love you. Une très jolie histoire ayant obtenu plus de 70 reviews. Personnellement, je trouve que c'est la plus belle, la plus originale et la plus réaliste de HoroXTamao. Et voici l'introduction originale :
J'ai trouvé cette fanfiction dans mes affaires et alors j'ai pensé : « Pourquoi diable ne l'ai-je pas publié?… Ha, c'est vrai… pas d'internet.»
C'est ma première fic mankin publié et mon premier non canon pairing fic. Horo-Tamao, alors si vous n'aimez pas ça, quittez. Personne ne vous force à rester et lire et se moquer d'eux pour le couple ridicule qu'ils font. Respectez-moi, ainsi que les autres membres qui aiment ce pairage.
Disclaimer : Encore, si vous croyez que quelque chose m'appartient, personnages, nom, histoire, blablabla, quelque chose ne tourne vraiment pas rond avec vous.
Mais le scénario de cette histoire est le mien, et si quelqu'un ose la copier, gare à son derrière. (Laissez-moi vous dire que je me suis assuré d'avoir son accord avant de traduire!)
Dégustez!
Prologue
Je ne pouvais pas croire que cela faisait déjà 5 ans que toutétait arrivé. Lorsque l'on dit que cela paraît comme un fragment de seconde dans la vie de quelqu'un, c'était probablement cela. Mais même si chacun de ces moments étaient gravés dans ma mémoire, on aurait dit que ça faisait une éternité.
« Tu n'es toujours pas prêt? Nous ne trouverons pas de bonne place!»
Sa voix perçante brisa mon train de pensées et mon nœud papillon tomba sur le côté.
« Pff, me plaignis-je en regardant mon nœud raté. Pilica on a encore du temps. Ce n'est pas comme s'ils avaient invité la ville au complet! Il y aura plein de chambre.»
Elle se renfrogna puis se dépêcha de venir devant moi.
« Je veux avoir une bonne place pour pouvoir attraper le bouquet, expliqua-t-elle en ajustant mon nœud.»
Je senti une immense goutte de sueur descendre le long de ma nuque.
« Pilica, tu as 17 ans!»
Elle rougit.
« Et alors? Ça ne signifie pas que je ne planifie pas de me marier un jour, et je veux être la prochaine.»
« Comme si par l'enfer tu allais être la prochaine, avec qui puis-je demander?»
Remarquant mon erreur alors qu'elle ouvrit sa bouche, je l'interrompit.
« Non, ne me le dis pas… s'il vous plaît, ne me le dit pas… je ne veux même pas savoir…»
« J'étais sur le point de te demander pourquoi je devrais te le dire alors que tu ne veux jamais rien me dire à propos de la personne que tu aimes.»
« Je n'aimes personne!»
Elle afficha un air douteux, levant un sourcil très haut. Je clignai des yeux de confusion.
« Es-tu prêt maintenant? demanda-t-elle en me regardant de haut en bas.»
Je me suis tourné pour me regarder dans le miroir, assez fier de ce que j'avais l'air. Je n'ai jamais vraiment été un gars formel, mais je devais admettre que j'étais pas trop mal en smoking. Maudit que je suit hot!
« Ouais, je crois.»
« Tu ne vas pas porter ça, tout même?»
Je me retournai pour la trouver qui fixait intensément un point de mon front, plus précisément mon loyal bandeau.
« Quoi? J'ai mis le noir!»
Elle croisa les bras alors que je remarquai qu'il était soudainement dans ses mains. Je levai les yeux vers ma tête, me demandant quand elle l'avait enlevé. Avant que j'aie pu protesté, mes cheveux étaient retombés de chaque côté de ma tête.
« Hey! Tu veux vraiment que j'y aille comme ça? dis-je en essayant d'enlever mes mèches de devant mes yeux.»
« Peut-être que comme ça, quelqu'un te remarquera, dit-elle en empoignant son porte-monnaie et en y fourrant l'étoffe noire.»
Je la boudai pendant qu'elle passait la porte, mais après un moment, je poussai un soupir de résignation en essayant d'éloigner les mèches bleus pour qu'elles ne me bouche pas la vue. J'ai suivi ma sœur vers ce qui allait probablement être l'événement du siècle.
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« Enlève tes mains de tes poches, tu as l'air fou!»
Je soupirai, suivant les ordres de ma sœur, chose que je faisais depuis que j'avais découvert qu'il valait mieux obéir plutôt qu'argumenter.
« Horo-Horo!»
Me retournant au son de mon nom, je ne pu empêcher un sourire de s'emparer de mon visage.
« Chocolove! Regarde-toi! Comment va?»
« S'en aller? Non, moi je viens!»
Silence. Je palis, encore plus lorsque après quelques secondes de lourde pression ma sœur éclata de rire derrière-moi.
« Ha, les verbes! J'ai comprit!»
Chocolove toussota légèrement, essayant discrètement de s'éloigner de quelques pas de Pilica.
« Comment a-tu été? Qu'as-tu fait tout ce temps? Dit-il.»
« Je suis encore à la réserve; on doit travailler fort pour maintenir un si gros jardin. Et bien sûr, j'ai encore beaucoup de paperasse à compléter depuis la mort de Shi-sama, plus le fait que je suis encore aux études. Mais tout va bien. Et toi? Je ne reçoit pas souvent de courrier de ta part!»
Un sourire outrecuidant envahit son visage avant qu'il ne réponde d'une voix cool.
« J'ai moi aussi été très occupé. Shala, vient ici s'il te plait.»
Pilica et moi levâmes la tête pour voir par-dessus l'afro de Chocolove la personne qui approchait. Nos mâchoires se décrochèrent. Ben, du moins la mienne. Je n'avais jamais vu une figure aussi magnifique de toute ma vie. Grande, cheveux bruns, grands yeux verts foncé, sourire innocent… elle me semblait familière à quelqu'un, mais je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus. Peut-être n'était-ce que mon imagination. Mais que diable faisait-elle avec ce Cholove? Comment sur Terre pouvait-il faire ça?
« Shala, voici le garçon des glaces dont je t'ai parlé et sa sœur, présenta Choco, Horo-Horo, Pilica, voici Shala, ma petite…»
« Ravie de vous rencontrer! Dit-elle en nous souriant.»
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À présent, je me sentais complètement démonté. Car, pas seulement un, mais deux de mes amis s'avéraient être meilleurs que moi en matière d'amour. Et, la cerise sur le sunday, il fallut que je sois assis juste en avant de Ren et sa sœur Jun. Ça ne m'aurait pas vraiment dérangé si lui et ma sœur n'avait pas passé leur temps à s'échanger des regards pour le moins étrange.
Réalisant que j'avais à présent plus de 18 ans, je soupirai en me vautrant dans ma propre 'pathétiqueté'… Je me plaignais de ne pas avoir de petite amie à 14 ans, et le fait que 5 ans avaient passé sans rien de plus qu'un profond intérêt pour absolument personne était tout simplement triste.
Remarquant que la chaise à côté de moi avait été prise, je tournai la tête sur le côté. Tout ce que je pouvais faire était de cligner des yeux, ça me prit un moment pour la reconnaître, sachant quand j'ai vu son visage que je l'avais déjà vu quelque part.
Sa coiffure en franges mêlées couronnait encore son visage et c'était surtout le ton rose pâle de ses cheveux qui me rappelait quelque chose.
« Konichiwa Horo-Horo-san, salua-t-elle.»
Paniqué, je réalisai que je ne me rappelais plus de son nom… qu'est-ce que c'était déjà? Ti-, Te-, Ta-…
« Tamamura-san, lui répondis-je en inclinant la tête.»
C'était ça, hein?
« Comment vas-tu?»
« Bien, merci. Et toi?»
« Débordé, mais heureux… On pourrait dire que je fais du progrès.»
« Contente pour toi.»
Je ne pouvais pas trouver autre choses à dire… Peut-être parce que je ne la connaissais pas du tout, et probablement parce que j'étais tellement étonné que ce soit réellement elle. La dernière fois que je l'ai vu, elle avait attendu patiemment aux côtés de ma sœur, très heureuse de voir Yoh revenir en un seul morceau, rougissant, bien sûr; encore à cette époque avec une perception relativement jeune de la vie. Je me rappelais d'elle comme étant la petite fille qui avait le béguin pour mon meilleur ami et qui devenait très nerveuse à la moindre petite chose. Une très bonne cuisinière… je n'aurais jamais pu oublier ça… Elle était celle avec les pantalons noirs, je me rappelai.
Malheureusement pour moi, elle ne portait pas de pantalon aujourd'hui. J'aurais préféré si elle l'avait fait. Comme ça, je n'aurais pas eu à décider si fixer ses jambes était anormal ou pas.
Une longue robe ivoire descendait moulée contre ses 'ehem' avec une grande fente le long de ses cuisses similaire à celle de Jun Tao. Fidèle à sa couleur rose, des bandes roses pâles cerclaient le décolleté en v de l'élégante robe argentée. Ses cheveux étaient remontés en un chignon, me rendant impossible de savoir s'ils avaient allongés. Bref, elle était très jolie.
Ne sachant pas pourquoi, j'eu la soudaine urgence de savoir si mes cheveux étaient désemparés. Sentant mon regard peser sur elle, elle rougit.
« Est-ce que quelque chose ne va pas?»
Sa voix n'avait presque pas changée depuis la dernière fois que je l'ai entendue. Et voir ses joues devenir rouge sous sa timidité de toujours faisait revenir bien des souvenirs.
« Er, ben… c'est juste que ça fait longtemps que je n'ai pas vu… bien, personne pour la peine.»
« Oh, fit-elle toujours en rougissant et se retournant, gênée, vers le petit autel en-face d'elle.»
Pour une raison que j'ignorais, je me sentait idiot. C'était seulement lorsque Yoh fut monté près de l'autel et causa assez de distraction chez tout le monde que ce sentiment passa.
« Allô, salua-t-il joyeusement.»
Je ne savais pas à quoi d'autre j'aurais pu m'attendre de lui, et je ris comme quelques personnes lui répondirent. En regardant derrière-moi, je remarquai que Faust et Eliza étaient là. Et Ryu n'aurait pas pu être laissé derrière ainsi que toute sa gang… ça faisait vraiment longtemps que je ne les avaient pas vu. Manta était à quelques sièges de Jun et Pyron. Ce qui me surpris le plus fut la vue de Lyserg et Silva quelques places en-arrière. Ça allait vraiment être une cérémonie intéressante.
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« Vous pouvez embrasser la mariée.»
Je ne pu me retenir de sourire. Ça avait été assez singulier. C'était une cérémonie japonaise célébré par l'oji-san de Yoh, mais ni lui ni Anna n'étaient habillés en costumes traditionnels, et la dernière partie, quoi qu'ayant l'air vieillot, donnait au mariage une fin au cœur léger.
J'ai regardé mes amis, voyant ma sœur pleurer de joie alors que Yoh posait doucement sa main sur la joue d'Anna. Jun et Pyron avait tous les deux des sourires satisfaits sur leurs visages. Ryu n'aurait pas pu avoir l'air plus fier. Faust et Eliza semblaient se rappeler le jour où il avaient probablement été mariés, regardant avec amour le couple qui s'embrassait. Manta souriait jusqu'aux oreilles pour son ami et je jure sur ma planche à neige que j'ai vu Ren sourire… il essayait comme un beau diable de ne pas le faire, mais j'ai pu le voir.
Un sanglot étouffé à côté de moi attira mon attention au moment où les lèvres de mon ami se refermaient. Tamao avait un sourire mais il était triste. Des larmes coulaient sur ses joues alors qu'elle regardait longuement les mariés en face d'elle. Je ne pouvais pas m'empêcher de me sentir inquiet pour elle en la voyant essayer de retenir ses émotions.
Je ne savais pas ce dans quoi elle passait présentement, et je n'aurais sûrement pas compris où su quoi dire, mais… fouillant dans le porte-monnaie de ma sœur je retirai la seul pièce de tissus que je pouvais lui offrir.
Elle le regarda un peu surprise lorsque je le lui tendis. Observant mon bandana puis levant son regard vers moi, un léger rougissement s'empara de ses fragiles joues bouffies.
« Tu dois être une personne très brave pour être venue ici aujourd'hui, lui dis-je.»
Remarquant que tout le monde autour s'était levé, je les imitai, la laissant dans la même position, mon bras toujours étiré vers elle. Décidant que si elle avait l'intention de prendre mon bandeau elle prenait trop de temps, je pris sa main et l'y plaçai gentiment. Je n'ai pas attendu de voir sa réaction car Pilica me traînait déjà vers le jardin.
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Bien, mis à part la conscience dérangeante de Pilica et Ren qui continuaient de s'échanger d'étranges regards et le fait que bien que Tamao attrapa le bouquet, elle le donna promptement à ma sœur, la soirée avait été une réussite d'un bout à l'autre; même si Ren avait été encore plus effrayé que moi lorsque Pilica reçu le bouquet. J'aurais a avoir une sérieuse discussion avec lui plus tard.
Passé quatre heures du matin, je commençais a regretter d'avoir pris un cinquième bol de saké. Mais ça commençait vraiment a goûter bon après le troisième! Je ne pouvais plus vraiment voir droit et, me levant pour dire au revoir à tout le monde, j'étais sur que je n'étais pas aussi grand lorsque j'étais assis. Lyserg n'était pas resté longtemps et Choco était partit pour un quelque conque place inconnue avec sa petite copine. Mais, décidant que la fête avait assez duré, tout le monde trouva qu'il valait mieux s'en retourner.
En jetant un regard circulaire à la pièce, je remarquai que l'alcool avait fait ses effets sur plusieurs. Jun, par exemple, n'arrêtait pas de glousser comme une folle, obtenant un regard inquiet de Pyron. Manta ronflait sur une petite table de café et Ryu ne semblait pas avoir les yeux en face des trous.
Une traction sur ma manche ramena mon attention à ma sœur. Oui, il était temps de partir…
Les aux revoirs étaients joyeux et légers alors que nous nous rassemblions dans la salle, chacun se disant qu'ils se reverraient bientôt.
« Nous devrions nous en aller maintenant, murmura Pilica.»
« Mm, mm, répondis-je en cherchant l'autre partie de mon smoking. As-tu vu mon blouson?»
« Il devrait être à la même place que tous les autres. Juste au bout du couloir, il y a une pièce où ils les gardent tous. Peux-tu prendre le mien pendant que tu y es? Je vais t'attendre ici.»
Je hochai de la tête puis me frayai un chemin vers la porte shoji. Me rappelant le couloir beaucoup plus petit je trouvai la chambre qui s'adonnait à être la cuisine. Tous nos blousons avaient été accrochés avec ordre sur des chaises.
Réalisant que le son de l'eau qui coulait n'était pas mon imagination, je tournai mon regard vers l'évier, surpris d'y trouver Tamao qui semblait très occupée avec se qui ne pouvait être que la vaisselle. C'était lorsque j'ai aussi réalisé que j'avais un besoin urgent d'aller aux toilettes qu'elle me remarqua.
Elle avait laissé tombé sa coiffure et ses cheveux étaient maintenant rassemblé en une queue de cheval défaite au niveau de sa nuque, me laissant enfin découvrir qu'ils avaient rallongés un peu plus bas que ses épaules. Un petit tablier recouvrait la robe de satin qu'elle portait toujours et elle avait troqué ses talons-hauts pour de confortables pantoufles.
« Tu laves la vaisselle? À trois heures du matin? Demandai-je, surpris de ne pas avoir réalisé qu'elle n'était pas avec nous dans la salle.»
Un sourire embarrassé rampa sur ses joues alors qu'elle échappa presque la tasse qui était dans ses mains.
« Comme ça il y en aura moins à laver ce matin, expliqua-t-elle.»
Je lui lançai un regard pendant qu'elle finissait nerveusement de laver et sécher la tasse cristalline.
« Si tu le dis, dis-je en haussant les épaules.»
« Est-ce que vous partez? Demandait-elle tout bas.»
« Tout le monde s'en va, je suis juste venu pour prendre mon blouson et le manteau de ma sœur, tu devrais au moins venir faire tes adieux à chacun, lui suggérai-je.»
« Oh, mais je ne suis plus vraiment présentable, dit-elle, rougissante, en regardant ses pantoufles avant de revenir à moi.»
« Quoi, tes pantoufles? Elles sont mignonnes! Et puis, presque tout le monde a bu, je ne crois pas qu'ils remarqueront, lui répondis-je en souriant, m'emparant de mon manteau.»
Regardant de nouveau ses pieds, elle rougit de plus belle.
« Heu… ne t'en fais pas, Tam, j'enverrai tes égards à Pilica.»
Je remarquai soudain que j'avais été terriblement familier avec elle, et que j'avais toujours envie, alors j'étais mieux de partir.
« Matte Horo-Horo-san.»
Je la regardai avec des yeux curieux et je notai qu'elle sortait quelque chose de la poche de son tablier. Je clignai des yeux plusieurs fois avant de reconnaître mon bandana.
« Désolée, il est encore humide… j-je n'ai pas eu le temps de… de le laver, si vous voulez je peux le nettoyer et vous l'envoyer plus tard. Ou si vous préférez l'avoir tout de suite, je peux--»
« Encore humide? Lui demandai-je un peu ébranlé.»
« Je suis vraiment désolée… c'était inconsidéré de ma par de--»
Elle s'arrêta quand, au bout de ma curiosité, je relevai doucement son menton de la main et fixai mon regard dans le sien. En y regardant de près, je pouvais voir un peu de larme traînant encore dans le coin de ses yeux. Avait-elle vraiment pleuré tout ce temps? Je veux dire, pour que mon bandeau soit utile, mais pas tant qu ça!
« Tu sais Tamy, je sais que tu es un peu préoccupée par Yoh, mais je ne crois pas que ni lui ni personne d'autre ne valle tes larmes.»
Des yeux scandalisés se plantèrent dans les miens lorsque j'ai dit cela. Je ne savais pas pourquoi… je lui disais seulement la vérité. Un peu plus solennel, je continuai.
« Je suppose que je ne sais pas vraiment les épreuves par lesquelles tu passes présentement, mais je sais que tu es une fille super, et définitivement, tu ne mérite pas ça.»
Sans remarquer qu'elle avait recommencé à rougir, je relâchai son visage.
« De toute façon, je devrai arrêter de parler de choses qui ne me regardent pas, hein? J'espère que tu n'auras plus jamais plus à pleurer pour un mec, ce fut un plaisir de te rencontrer Tamy. Oh, et tu peux garder le bandeau, il t'es plus utile qu'à moi, je suppose.»
Ne sachant pas que le lendemain je me rappellerais de tout ce que j'avais dit à cette fille, je m'en allai, marchant dangereusement dans le hall pour retrouver ma sœur.
Minute. Où diable sont les toilettes?
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Voilà, c'était le prologue par un POV d'Horo-kun. Le reste sera par narrateur. Avertissement, l'auteur de la fic déteste ne pas coller dans l'histoire originale, ne fait normalement pas d'AU ethait les OOC.
Bon, alors je sais que je traduis horriblement lentement, alors juste me donner un bon coup de pied au derrière si je ne fini pas assez vite, OK?
Reviews, please! N'oubliez pas de me le dire si vous aimez!
