Bonsoir a tous voici une autre fiction pour vous cher lecteur en espérant qu'elle vous plaise autant que les précédente.
PROLOGUE
Je regardais ma sœur avec amour et dévotion, la seule qui puisse me comprendre après notre père. Diva et moi somme si semblable et pourtant totalement à l'opposé que ce soit sur nos conviction ou bien même nos pouvoir. Mais que suis-je bête j'ai oublié de me présenter! Je m'appelle Isabella Volturi j'ai l'apparence d'une fille de 18 ans mais en faite j'ai tout juste 9 ans. Comment cela est-ce possible? Et bien je dois vous avouer que bon nombre de mythe et que les vampires sont bien réel ainsi que les loups garous! Comment puis-je en être sûr? Et bien tout simplement parce que mon père est un vampire! Ma mère est morte en nous mettant au monde ma sœur et moi. Isabella et Diva voilà les derniers mots qu'elle a prononcé à notre père avant qu'elle ne rejoigne les anges. Mon père Aro et un homme de pouvoir mais dans un moment de faiblesse à succombé à une humaine, un cascroute comme le dirai mon oncle Caïus. Je ne lui en tiens pas rigueur car c'est dans la nature des vampires de ce nourrir de sang humain. Même moi j'y ai fait l'expérience mais mon corps à fait un rejet radical, manquant de peu de me tuer. C'est d'ailleurs depuis ce jour que je suis devenu la bête de foire a Volterra. Ma sœur se nourrit de sang humain, cela n'affecte pas son corps, bien au contraire. Mais le jour ou j'ai vraiment senti que ma place n'était plus a Volterra à était lorsque mon pouvoir ainsi que celui de ma sœur c'est manifesté. Ma sœur peut changer quelqu'un en glaçon d'un simple regard, faisant de nombreuse statu de glace parmi la gente féminine du château et plus particulièrement Jane, mais son pouvoir est temporaire, et l'état de glaçon ne dure pas plus de quelque minute alors que le mien est radical. Quant je disais qu'on était opposé en tout point c'est pas pour rien car moi je me transforme en torche humaine et devient complètement incontrôlable lorsque je suis en colère. C'est lorsque j'ai failli brûler ma sœur et de par ce fait la tuer que ma décision c'est imposé d'elle-même! Pour protéger ma famille, ma sœur je devais partir du palais et m'exiler loin. Mais pour aller où? Mon père a alors pris une décision que je ne le pensé pas capable : m'envoyer dans une famille de vampire au régime alimentaire semblable au mien c'est-à-dire ''végétariens''. Quant mon père a employer ce terme je vous jure que j'ai faillit exploser de rire.
Flash back:
- Bella ne me quitte pas! Tu peux pas partir! Pleurait Diva.
- Diva j'ai faillit te tuer, il faut que j'apprenne a me contrôler! Pour le bien de tous je suis obligée de partir. Affirmais-je le cœur serrait.
- Bella, sans toi Volterra ne sera plus la même! Caïus et Marcus aussi ne comprenne pas ton choix! Affirma mon père.
- Aro tu le sais très bien, si jamais je pique une colère noir je risque de tous vous tuer! Le pouvoir de Diva est dangereux mais temporaire, si je vous brûle vous ne pourrez pas revenir! Vous serez tous mort! Pleurais-je en me dirigeant dans les bras de mon père.
- Nous ne voulons pas te perdre ma chérie! Nous t'aimons et même ta mère. Dit celui-ci en me parlant de sa femme.
- Papa! Soufflais-je. Il faut que je parte, j'en ai besoin, j'en ai marre que l'on me traite comme une erreur de la nature parce que je ne peux pas faire autrement que de me nourrir de sang animal!
- Dans ce cas laisse moi t'accompagner et te confier à un ami! Et si Diva veut rester avec toi je ne m'opposerais pas et vous le savez! Mais promet une chose Bella! Demanda-t-il solennellement.
- Tout ce que tu voudra père!
- c'est de revenir auprès de moi une fois que tu saura te maîtriser et puis si tu veux repartir par la suite sache que je ne m'y opposerai pas!
- je reviendrais et ne repartirai plus jamais! Affirmais-je.
- Ne t'avance pas trop d'accord!
- je vous aimes toi et Diva! Dis-je en les embrassant tout les deux.
- Et pas nous? Demandèrent tonton Marcus et Caïus.
- Bien sûr que oui! Concluais-je.
Fin du flash back.
Peut de temps après mon père avait appelé son ami afin de lui demander de bien vouloir m'accueillir au sein de sa famille. Ma mère et ma tante préparèrent nos bagages et si elle avait pu elle auraient pleuré toutes les larmes de leurs corps, mais seules Diva et moi pouvions pleurer car une part de nous restait cependant humaines. Et je détestais cette part car elle me rendait faible et vulnérable.
