Titre : Arsène Lupin

Série : Card Captor Sakura

Auteur : Lou 999

Série trame : L'histoire de Lupin/ Edgard de la Cambriole

Disclamer : Ba, comme toujours, ils ne sont pas à moi !

Histoire : Oulà… J'vois pas comment faire un petit résumé… Voyons cela… Sakura vit bien tranquillement à Kyoto ou elle suit des cours de dessins. Hébergée dans l'orphelinat « Piffle », géré par sa meilleur amie, Tomoyo, elle coule des jours heureux en compagnie de Kéro. Malheureusement, par une nuit, le célèbre voleur, qui sévit depuis quelques années au Japon et renomé à juste titre « Arsène Lupin », entre dans l'orphelinat et vole de nombreux objets de collection. Au passage, il dérobe un toile, « Tsubasa no Kami » que possédait Tomoyo. Cette dernière, dépité, décide de pourchassé le voleur afin de retrouver le tableau qui lui tient tant à cœur.

Petit mot de l'auteur :

Bien, il ne m'aura fallut guère de temps pour trouver une nouvelle histoire… je sais ce que vous vous dites… Elle à déjà plusieurs fic de commencer et publie des chaps une fois tout les 35 du mois alors pourquoi diable en commence-t-elle une autre ? Enfin, un truc dans le genre… Soit, je vais vous répondre et apporter un peu de lumière… J'aime tout simplement pas finir une fic aussi j'en commence une autre tout de suite ! J'aime bien rester avec le même nombre d'histoire… Donc me revoilà, encore !!! J'espère en tout cas que cette fic vous plaira autant que l'autre.

Bisous

Sakura : Et c'est repartit…

Shaolan : Mouaip… Espérons qu'on souffrira pas autant !

Toya : Ba, vous la connaissez.

Lou : SILENCE ! On s'entend plus réfléchir ! Soyez content, normalement ce ne sera pas aussi sanglant !

Chapitre Premier : Le prologue…

Elle était fatiguée. Ses yeux commençaient à peine à se remettre et elle voyait encore trouble dans la nuit naissante. Pourtant, elle était contente. Les cours allaient bon train, mais s'ils demandaient un effort continu et soutenu. D'un pas vif et rapide, la jeune fille au cheveux châtains clairs et aux yeux verts, s'engouffra dans le parc de l'université. Les quelques réverbères qui longeaient le chemin de béton émettaient une faible lueur blanchâtre et projetaient un halo de lumière sur le sol froid. Il était 19 h 30 et la nuit ne tarderait pas à étendre complètement son manteau de velours sur Kyoto si bien que la jeune fille pressa le pas. Une vachette en cuir énorme dans une main, un grand sac en toile sous l'aisselle, elle donnait l'air d'être une cambrioleuse. Mais ses vêtements aux couleurs joyeuses démentaient cette impression.

: Sakura !

La voix fraîche venant de derrière elle la força à se retourner. Elle aperçu un garçon d'une vingtaine d'années courir vers elle avec empressement, quelque chose à la main. Elle s'arrêta donc et attendit tranquillement son arrivée, heureusement pour elle, en ce début de mois d'octobre, il faisait très doux.

: Tiens, tu as oublié ça dans la classe…

Le jeune homme lui tendit une trousse métallique de couleur verte au motifs arrondis qu'elle s'empressa d'attraper comme elle le pouvait de sa main libre.

Sakura : Merci Tristan.

Tristan : Tu vas au parking?

Sakura : Bien sûr.

Tristan : Moi aussi… Je t'accompagne ?

Sakura : Avec grand plaisir.

Un fois que le dénommé Tristan fut à sa droite, elle repartit d'un bon pas.

Tristan : J'ai vu ton portrait tout à l'heure… Il est superbe.

Sakura : Merci beaucoup… Il faut dire que notre modèle est esthétiquement belle aussi… Et toi, ça avance ?

Tristan : Bof… J'sais pas, y'a quelque chose qui me chiffonne dans mon croquis.

Sakura : Ah ? Si tu veux,je jetterais un coup d'oeil dessus au prochain cour.

Tristan : Tu ferais ça ?

Les yeux vairons du garçon brillèrent soudainement alors qu'il fixait Sakura avec une mimique ébahie.

Sakura : Bien sûr… Peut-être que je vais trouver ce qui ne va pas… Tu as demandé au prof ?

Tristan : Certainement pas ! Il est aimable comme une porte de prison et s'énerve pour un rien.

Sakura : Je le trouve très gentil moi…

Le blondinet se mit à rire légèrement en faisait une grimace étrange. Il tourna sa tête vers Sakura et la fixa à nouveau avec intensité. Puis soudain, il attrapa la serviette en cuir qu'elle tenait à la main puis déporta son regard sur le chemin qu'ils empruntaient.

Tristan : Je vais t'aider… C'est normal que le prof soit gentil avec toi, tu as un don incroyable… Il ne jure que par toi !!!!

Sakura : Mais qu'est-ce que tu me chante là !

Tristan : Non, j'te jure. Tout le monde sait bien qu'il à un faible pour toi…

Sakura : Mais non… Je suis trop jeune pour lui…

Tristan : Ah ah ah… Tu n'as vraiment rien remarqué… je t'assures qu'il à plus qu'un faible pour toi !

Sakura surprise : Ah bon ? Ba, de toute façon, ce n'est pas mon style…

Tristan : T'as bien raison… Ton petit ami à bien de la chance.

Sakura : J'en ais pas.

Tristan : Vraiment ? Et bien, celui qui occupera ton cœur aura de la chance.

Sakura : C'est gentil. Tiens, mais au fait, Tristan, tu n'as pas pris tes affaires de dessins ?

En effet, a part son long manteau noir soigneusement plié et maintenu par son avant bras et la chemise de Sakura, Tristan ne portait rien. Il lui fit un grand sourire puis hocha négativement la tête.

Tristan : Non, ce soir c'est l'anniversaire de ma copine et on va fêter ça… je n'aurais pas le temps de retoucher mon dessin. Et puis, une nuit de repos m'aidera peut être à trouver ce qui ne va pas…

Sakura : Tu souhaiteras un bon anniversaire à Tsukiko de ma part…

Tristan : No prob. Tu es arrivée, je crois.

Le garçon montra du menton une petite voiture à l'allure féline et de couleur verte qui était garée à quelques pas d'eux. Tristan rendit la vachette à Sakura puis après l'avoir salué se dirigea vers la droite. Très vite, il fut engloutit par les ténèbres environnantes. Une fois ses clés trouvées, Sakura ouvrit son coffre, rangea ses affaire à l'intérieur puis passa à droite pour se glisser derrière le volant.

Orphelinat Piffle :

: Akira !

Une petite ombre sortie de derrière le rideau et passa à vitesse grand V devant le jeune femme au cheveux violacé. Malheureusement pour lui, elle pivota souplement et l'attrapa par la chemise. Il se retrouva donc à pédaler dans le vide.

: Akira… Tu devrais être dans ton lit…

Akira : J'veux pas !!! J'ai pas sommeil !

: Je ne veux pas savoir. Si tu n'es pas dans ton lit dans trente seconde, je vais me fâcher…

Une lumière se fit entrevoir une fraction de seconde puis un bruit de moteur ronronna. Quelques seconde après, la porte d'entrée s'ouvrit, laissant entré une vague de fraîcheur puis la lumière du couleur s'alluma.

: C'est moi… Je suis rentrée Oyo !

Avec une agilité incroyable, le petit garnement que tenait Tomoyo lui échappa et partit en courant vers la provenance de la voix.

Akira : Tata Sakura !!!!!!!

La jeune fille eut à peine le temps de poser ses affaire contre le mur puis de se retourner pour voir la tornade foncé sur lui. Elle ouvrit grand ses bras juste à temps pour le rattraper quand il sauta. Il passa ses jambes autour des hanche de la dessinatrice et déposa un gros bisou sur sa joue. La brunette ébouriffa ses cheveux avec un main puis lui rendit son sourire chaleureux.

Sakura : Bonsoir Akira… Mais dis moi, tu ne devrais pas être au lit à cette heure ?

Oyo : Si, mais ce garnement a décidé de t'attendre.

Sakura déposa le gamin part terre : Bonsoir Oyo…

Sakura : Bonsoir. Akira, au lit. Sinon je demande à Sakura de ne pas te faire de bisou avant de te coucher pour de bon !

Le yeux du petit garçon s'ouvrirent soudainement puis il lâcha les jambes de Sakura et partit à vive allure. Les 2 fille l'entendirent monté les escaliers à la vitesse de la lumière. Elle se regardèrent puis éclatèrent d'un rire franc avant de se serrer dans les bras en signe de bienvenue.

Oyo : Pas trop fatiguée ?

Sakura : Un peu si… Et toi, ils n'ont pas été trop turbulents ?

Oyo : Ba, tous les mercredi c'est comme ça… Heureusement que tu ne finis pas tous les jours à 19 h 30…

Sakura : Désolée… Je n'aime pas spécialement finir à 19 h 30 aussi… Mais bon. Il reste à manger ?

Tout en autant son manteau de feutre rouge, Sakura passa dans une autre salle, accompagné par son amie.

Oyo : Bien sûr…

Sakura : Génial, j'ai une faim de loup… Tu n'as pas mangé je suppose ?

Oyo : Non, je t'attendais…

Les 2 compères se mirent à dresser leurs couverts puis passèrent à table. Le repas fut comme toujours animé d'une discussion vive et les 2 amies d'enfance se détendirent.

Oyo : Alors, les cours ?

Sakura : Et bien… C'est toujours aussi dur. Les prof est un acharné du travail mais il est super bon. Tristan m'a dit qu'il était amoureux de moi figures toi…

Oyo : Pas étonnant ! Qui n'aimerais pas une si jolie fille qui toi !

Sakura : Tu n'as rien à m'envier…

L'horloge à balancier qui occultait tout un pan de mur se mit soudain à sonner, indiquant aux deux jeunes filles qu'il était 8 h 15. Dès que ses deux coups furent finis, Sakura et Tomoyo se levèrent et débarrassèrent rapidement la table. Elles allèrent ensuite border la dizaine d'enfants qui vivaient à l'orphelinat. Pendant que Tomoyo leur lisait une petite histoire, Sakura passait de lit en lit pour remonter les couvertures sur les petits corps et déposer un bisou sur leur front. A 21 h, elles purent enfin se poser au salon pour regarder la télévision. Sakura pour sa part installa sa toile sur le chevet qui attendait dans un coin du salon et regarda d'un œil seulement l'émission qui passait. Ce n'est seulement qu'une demie heure plus tard qu'une petite boule de poile se joignit à eux.

Sakura : Bonsoir Kéro…

Oyo : Tiens, où étais-tu ? Tu as loupé le repas…

Kéro lasse : Je dormais ! Ces gosses sont vraiment trop épuisant ! Ils ont jouer tout la journée au chevalier sur son destrier et à attrape Kéro !

Le gardien semblait de vilaine humeur mais derrière ses jérémiades pointait de l'amusement. Dès qu'elle avait ouvert l'orphelinat, Tomoyo avait demandé proposer à Sakura de venir y habiter. Malheureusement, le secret de Kéro fut vite découvert par les petits. Lors d'une de ses transformations, il avait été surprit et maintenant, c'était la mascotte des enfants. Il passait donc tous son temps au près d'eux à les protéger. Encore heureux que, comme son compère, il pouvait faire disparaître ses ailes.

Kéro : Je me demande ce que penserait Yué s'il me voyait jouer au chien…

Oyo : Allons, les enfants t'adore tellement.

Kéro : Mouaip… Mais un de ces jours, je fais hurler de douleur quand ils me tirent la queue et ils découvriront que je parle ! Il reste encore quelque chose à grignoter ?

Sakura : Dans le frigo il reste un part de gâteau…

Volant grâce à ses petites ailes, Kéro se dirigea donc vers l'endroit souhaiter puis retrouva ses amies dans le salon pour dévorer son repas. Le reste de la soirée s'écoula donc tranquillement, ce qui plus au gardien. Lorsque l'émission s'acheva, tout le monde regagna sa chambre pour se coucher. C'est avec bonheur que la dessinatrice s'enfonça dans sa couverture.

Sakura : Bonne nuit Kéro…

Kéro : Bonne nuit…

Le gardien posa sa tête sur son oreiller puis piqua aussitôt du nez. Mais quelque chose se préparait un peu plus loin. Une ombre passa devant l'énorme fenêtre du couloir du haut et s'arrêta juste devant. Avec une agilité surprenant, elle ouvrit la fenêtre et sauta silencieusement sur la moquette. Silencieux comme un chat, l'individu masque et vêtu de noir passa devant la chambre de Sakura puis celle de Tomoyo. Il descendit rapidement les escaliers et passa dans le salon. Il éclaira son chemin d'un petit lueur puis commença à dévaliser l'endroit. Un fois qu'il fut sûr qu'aucun objet de valeur n'était encore présent dans la pièce, il en ressortit et fit le chemin inverse. Cependant, alors qu'il en était à la moitié, son regard fut attiré par un rayon de lune et ses yeux se posèrent sur un tableau accroché au mur. C'était un tableau de taille assez grande qui représentait une femme ou plutôt un ange car elle avait de magnifique ailes blanches. Le décors féerique qui l'entourait était de toute beauté et le voleur resta de longues secondes à contempler la toile.

: Voilà qui vaut de l'or…

Déposant son sac remplit d'objet, il commença à grimper comme il le pouvait vers le tableau. Il n'eut aucun mal à le détacher et retomba avec souplesse sur le sol, le tableau dans les mains. Il récupéra son sac, le mit sur ses épaules puis regagna la fenêtre ouverte. Malheureusement alors qu'il n'était plus qu'a quelques pas d'elle, la porte un peu plus loin à sa droite s'ouvrit et en reculant, il heurta un meuble. Aussitôt une voix agressive retentit.

Qui est là ?

Un grognement s'éleva soudainement devant lui et la silhouette d'un chien se dessina dans l'obscurité. Au moment même ou Kéro s'élançait vers l'intrus, ce dernier sauta dehors et referma la fenêtre. Le gardien s'arrêta de justesse et évita la collision. Mais déjà, une lumière puis d'eux s'allumèrent dans la maison et Sakura sortit de sa chambre, suivit de Tomoyo.

Sakura : Que se passe-t-il ?

Kéro : Un voleur… Allons voir les enfants !

Kéro s'élança vers les escaliers pour monter encore d'un étage vu que le dortoir se trouvait au second. Il arriva forcément avant els filles et vérifia rapidement que tout allait pour le mieux. Tout les petits bout de chou dormaient paisiblement, leur souffle régulier soulevant leur age thoracique. Il ressortit donc sur la pointes des pieds et retrouva les filles à la porte.

Kéro parlant tout bas : Tout va bien… Il faut voir ce qu'il a prit…

Elles hochèrent la tête puis retournèrent au premier étage. Sakura alla enfiler une chemise de nuit puis accourut quand elle entendit son amie pousser un léger cri. Elle tomba sur elle au niveau de l'escalier. Les yeux brillants, elle fixait le mur avec un air terrifié. Sakura suivit son regard et comprit aussitôt ce qui manquait.

Tomoyo : Ton… Ton… Il a volé ton…

Sakura : Tsubasa no Kami… Mon tout premier tableau… Mais pourquoi ?

Tomoyo : C'est… C'est pas vrai…

La compagne de Sakura se mit à sangloter en enfouissant son visage dans ses mains. Kéro qui arrivait jeta un regard surprit à sa maîtresse.

Sakura : Allons, ce n'est rien… C'est juste un tableau, Oyo…

Mais au fond d'elle-même, elle sentait un douloureux pincement serrer son corps tandis qu'elle prenait son amie dans ses bras.

Oyo : Il faut le retrouver !!!!

Sakura : C'est trop dangereux. Et le tableau n'en vaut pas le coup.

Oyo : Si ! je vais le pourchasser ! Tant que je n'aurais pas récupéré ton tableau,je le poursuivrais !

Kéro : Allons, Oyo… Laisse la police faire. Tu n'est pas faite pour ça !

Oyo : Non ! je pars à sa recherche !

S'extirpant de l'étreinte de Sakura, Tomoyo partit d'un pas ferme vers sa chambre. Elle en ressortit quelques secondes après, vêtue de noir de la tête aux pieds.

Sakura : Mais… Qu'est-ce que tu fais ?

Oyo : Je par à sa recherche !

Elle les dépassa, toujours en larme, mais Kéro se planta devant elle.

Kéro : Arrêtes Oyo ! Seule tu ne fera rien ! Tu n'as aucune idée de qui il est !

Oyo : Je m'en fiche… Je vais le retrouver…

Sakura : Kéro a raison. Allons appelons d'abord la police. On en saura peut être plus…

Oyo : D'accord.

La jeune femme contourna Kéro et descendit à vive allure les marches. Un bruit se fit entendre, celui du téléphone qu'on décroche.

Sakura : Kéro, reste ici… Si un des enfants se réveille, viens nous le dire, mais surtout quand les policiers seront là, ne te montre que sous ton personnage de chien !

Kéro gravement : Sakura…

Sakura poussant un soupir : Je sais. Je ne peux pas laisser Oyo se mettre ainsi en danger… Il va donc falloir que je rendosse mon costume de Chasseuse de Cartes…

Kéro : Je t'aiderais bien sûr mais tu ne pense pas que…

Sakura : Non. Laissons Yukito tranquille. S'ils étaient au courant, lui et mon frère accourraient de Tokyo… Pour le moment, je peux me débrouiller seule…

Kéro : Comme tu veux.

A suivre…

Lou : alors, vous en pensez quoi ? Aller, dites, dites !!!! Si vous aimez pas, j'arrête de suite pour trouver une autre idée

Sakura : Hum… Mon amour il est pas là ?

Lou : Il va bientôt arrivé... T'inquiète. Tout comme Yukito et Toya !Même si pour eux se sera un peu plus tard.

Tomoyo : Au moins, y'a pas eut de blessé.

Lou : Je vous avais bien dit que ce ne serait pas aussi sanglant que Menace.. Aller, je file à Mémoire effacée maintenant ! Bisous mina san !