Bonjour tout le monde, voici ma première fiction. C'est un remake entre Hunger Games et Glee avec Brittana comme couple principale et Faberry au second plan. J'espère qu'elle vous plairas :) Je ne sais pas quand je pourrais poster les autres chapitre car je suis pas mal occupée mais cette fiction me tenais a cœur donc voilait :)
Chapitre 1 :
Je me réveille dans la cabane que j'avais construite avec le peu de morceaux de bois que j'ai pu trouver quand j'allais dans les bois. Elle se situe au bord du district. Je vivait seule et isolée de tout les habitants du district douze, je ne leur parlaient que lorsque je devais vendre la nourriture chassée et les baies récoltées dans les bois pour m'acheter des vêtements, du pain ou du fromage.
Mes parents m'avaient rejetés lorsque je leur avait fait mon coming-out. Ils ne me manquaient pas trop, après tout ils mon virée de la maison familiale, pourquoi ils me manqueraient ? Non, la seule personne qui me manque est ma sœur, Manuela, elle a douze ans.
Aujourd'hui c'est le jour de la moisson, il faut que j'aille chassée pour récolter un peu d'argent et m'acheter du savon et aussi pour trouver un porte bonheur pour ma sœur, c'est ces premiers jeux et je ne veut pas qu'elle soit confronter à ça.
Je sort dehors et passe sous les clôtures électriques, on a pas le droit de passé par ici mais il faut bien que je me nourrisse. Je prend mon arc et mon carquois, que mes parents m'avait offert lorsqu'on étaient encore en bon terme, dans un tronc creux. Je grimpe la colline pour arriver vers une corniche rocheuse surplombant le district. Je me cache derrière d'épais buisson de mûres pour ne pas être vue des animaux. Un chien sauvage apparaît devant moi, je tire ma flèche de mon carquois et l'envoie. Il meurt directement sans souffrir, je n'aime pas faire souffrir les animaux ils ne méritent pas ça.
Je le met sur mes épaules et part en direction de la Plaque, le marché noir du district, c'est le seul commerce ouvert le jour de la moisson. Il y a beaucoup d'agitation à l'intérieur, tout le monde commence à ranger, il ne faut pas que les pacificateurs découvrent cette endroit. Je vais a un stand et vend mon chien pour 5 pièces, c'est plus que d'habitude, sûrement parce que c'est le jour de la moisson. Je part à la recherche de mon savon, je le trouve rapidement, il faut dire qu'il ne reste plus beaucoup de stand.
Je commence à partir lorsqu'un éclat doré attire mon attention. C'est une broche avec un geai moqueur dessus, un engendrement entre des geais bavard et des moqueurs femelles. Grâce à ça, ils sont capable d'imiter aussi bien le chant des oiseaux que le voix humaine. Je trouve cette oiseaux magnifique, mon père les adoraient, quand ont partaient chasser, il leur sifflait ou leur chantait des airs complexes et après quelques minutes de pause polie, ils les chantaient en retour. Maintenant j'ai pris l'habitude de leur chanter des chansons lorsque je vais dans les bois. Cette broche est parfaite pour Manuela.
- Combien ça coûte ? demandai-je à la vendeuse.
Elle me regarde avec pitié avant de répondre :
- Rien du tout, prend le c'est un porte bonheur. Tu en a plus besoin que moi.
Je la remercie puis repart vers ma cabane me préparer. Après mettre lavée, je sortit ma seule robe de ma petite armoire et la revêtit. J'était enfin prête, je sortit de mon cocon et le regardas peut être pour une dernière fois.
Il est une heure pile, je prend la direction de la grande place, les équipes de tournage sont déjà en place. Tout les enfants font la queue en silence. Je vois Manuela et la prend à part du groupe, je m'agenouille à sa hauteur et la sers dans mes bras.
- Tient. Je lui tend la broche qu'elle regarde avec attention. Devant son regard interrogateur je lui explique. C'est un geai moqueur, il va te porter bonheur, il te protégeras.
- J'ai peur Santana.
- Je sais, mais ne t'inquiète pas d'accord ? Tout va bien se passer. Ils ne vont pas t'appeler, ton nom n'est inscrit qu'une seule fois.
Je la ressert dans mes bras avant de lui dire d'y aller. Je me met dans une des files, après m'avoir prélevée une goutte de sang, je signe le registre et part vers le secteur de mon âge. Les plus vieux devant et les plus jeunes derrière. Ma sœur est parmi. eux, elle me regarde avec des yeux terrifier. Je tente de la rassurer en lui souriant.
Je vois mes parents dans le périmètre délimité des familles. Je me demande ce qu'ils font là après tout je ne suis plus leur fille comme ils me l'avaient bien fait comprendre. Ils me voient les regarder aussitôt je détourne la tête. Il est deux heures piles, tout le monde est arrivés, la cérémonie peut commencer.
Tout d'abord, le maire du district commence avec son discoure en rappelant les règles des Hunger Games. Il énonce ensuite les vainqueurs, il n'y en a eu que deux, dont un qui est toujours en vie. Il s'appelle Haymitch Abernathy, un misérable homme devenu alcoolique après sa victoire. Et enfin vient le tour d'Effie Tinket, elle nous dit qu'elle est fière d'être ici, tout le monde sait qu'elle ment, elle préférerait être dans un meilleur district.
Elle nous fait regarder une vidéo montrant l'histoire de Panem, les catastrophes naturelles, la guerre pour les faibles ressources restantes. Tout ça me rend malade, comment peut on envoyer des jeunes s'entretuer dans une immense arène naturelle juste pour le plaisir du Capitol. Juste pour nous rappeler que le Capitol nous domine tous et que si il y avait encore une rébellion, on ne survivrait pas. Ils nous obligent à regarder ces jeux comme un spectacle.
- Joyeux Hunger Games ! Et puisse le sort vous être favorable ! phrase typique de ces jeux prononcée par Effie toute joyeuse.
C'est le moment du tirage elle s'avance vers le bocal de gauche en annonçant :
- Les dames d'abord !
Je vois sa main plonger dans ce récipient, je pris pour ne pas que ce soit mon nom qui soit tiré, je n'ai peut être plus de famille, je suis peut être une garce mais je ne peut pas tuer des êtres humains, c'est au dessus de mes forces. Je pense aussi à Manuela, elle ne doit pas être tirée aux sort, elle est trop voix d'Effie me tire de mes pensées.
- Manuela Lopez !
Mon monde s'écroule, pourquoi elle ? elle ne mérite pas ça, personne ne mérite ça. Je vois qu'elle essaye de garder un visage impassible, personne ne doit voir la peur qui s'empare de son corps. C'est la technique que je lui ai appris.
Je sers les poings tellement forts qu'ils me font mal, je ne peu plus bouger, ni respirer je peut enfin bouger lorsque je la voit s'avancer vers l'estrade avec raideur.
- Manuela ! je cris
Je pousse tout le monde de ma rangée, je cour vers elle et l'arrête aussitôt.
- Je me porte volontaire comme tribut !
Tout le monde est abasourdi, c'est du jamais vu dans le district douze.
- Non Santana, je t'en supplie ! elle pleure, elle essaye de me retenir.
- Lâche moi ! dis-je brutalement, personne ne doit voir la peur qui s'empare de moi. Va rejoindre les parents.
Je sens qu'on l'arrache de moi et vois des pacificateurs la ramenée vers nos parents.
Je me retourne vers l'estrade et voit Effie qui me tend la main pour me ramener au centre de la scène mais je ne la prend pas, je me dirige seule vers ce centre.
- Eh bien, eh bien ! s'écrie-t-elle. Quelle rebondissement, c'est la première fois qu'on vois ça dans ce district. C'est ça l'esprit des jeux ! dit-elle avec un entrain un peu trop prononcé à mon goût. Comment t'appelles-tu ?
- Santana Lopez !
- C'est sûrement ta sœur alors ! Quelle acte de courage ! Cher district, je vous demande d'applaudir votre première volontaire. déclara joyeusement Effie.
Personne ne fit un geste, par respect peut être, je ne sais pas. Mais quelque chose d'inattendu arrive, une personne, puis deux, puis tout le monde porte leur trois doigts du milieu de la main gauche à ses lèvres avant de les tendres vers moi. C'est une geste d'admiration, de remerciement, d'adieu à ceux que l'on aime spécifique à notre district. Je leur suis reconnaissante, j'ai beau avoir une carapace, les larmes me viennent.
- Bien, quelle journée incroyable. Maintenant passons aux garçons. Elle met sa main dans le bocal et sortie un papier. Noah Puckerman !
Je ne sais pas qui sait, je m'en fiche d'ailleurs, mon regard reste fixée sur Manuela qui à les larmes aux yeux. Effie nous demande de nous serrer la main, je le détaille pour la première fois. Il est grand, plus ou moins beau disons que ce n'est pas mon style, et je ne sais pas pourquoi il a raton laveur mort sur la tête. Il me fait un grand sourire, mon visage reste impassible. On se retourne vers la foule et l'hymne de Panem retentit.
Dîtes moi ce que vous en penser :)
Et si vous avez des idées a me donner ou des conseille n'hésiter pas :)
