Les Feux de l'Humour

Personnages : J.K Rowling

Réalisatrices : Panthere et Ptronille

Scénario : Panthere et Ptronille

Son : Panthere et Ptronille

Image : Panthere et Ptronille

Texte : Panthere et Ptronille

Chanson : Panthere et Ptronille

Techniciens : Panthere et Ptronille

Code pour comprendre

Entre : moments avec Albus, Voldie et Snape qui regardent la série « Les Feux de l'Humour ».

Entre oOoOo : changement de moments

Mot (italique) : Quand le scénariste parle

Mot (souligné) : quand la direction (le plus souvent) ou un perso ou une narratrice fait un commentaire.

Mot (gras) : on ne voit pas de caractère gras dans les Feux de l'Humour. L'humour l'est déjà bien assez ! (ah ah ah, rions trois fois…)

-PROLOGUE-

Albus Dumbledore, grand sorcier de haute taille (Nda : c'est sur que on voit pas un grand sorcier en nain ') et Lord Voldemort, euhhh, sorcier machiavélique encore plus grand (en taille) que l'autre vieillard décrépi, regardait fixement une boule de cristal.

Gigantesque, celle-ci diffusait une pub pour des serviettes hygiéniques. Mais, malgré leurs fortes tendances perverses, ce n'était pas ça qui les intéressait.

Non, ce n'était pas ça. En effet, ces deux majestueux, grandioses, fantastiques, incroyables sorciers avaient été les stars d'un feuilleton télé. Ils attendaient avec impatience la rediffusion de leur série télévisée adorée.

Malgré le fait que c'était la cinquième fois qu'ils revoyaient l'unique saison de leur émission, ils étaient toujours autant saisis par leur beauté, leur prestance, leur magnificence.

Le célèbre producteur de "Chou et Chouquette" ou encore de la très connue saga "Sur le chemin du Paris-Brest", Kadh Jehfio, avait accepté de très bon cœur (ou serait-ce la baguette de Voldemort sur sa tempe qui l'ait convaincu?) de les produire.

Mais bref, le résultat était là, ils étaient immortalisés à jamais.

Le nom de cette série qui les a fait haleter et pleurer est...

"AAAAAAHHHHH! S'écria Voldemort"

Une publicité de rasage était diffusée et un jeune mannequin se pavanait avec des jambes gracieusement épilées. Dumbledore lui zappa furieusement d'un coup de télécommande magique (qui en outre peut vous paralyser, vous faire vider votre vessie magiquement, et bien sûr assure les fonctions de la télécommande bien que l'option cacahuètes soit terriblement pratique).

« AAAAAAAAHHHH ! cria à nouveau Voldemort. NE CHANGE PAS DE CHAÎNE ! ON PASSE DANS UNE HEURE ! »

« …. »

« …. »

« Pardon Tominou. »

Sur ce, Dumbledore l'embrassa. La passion l'emportant, ils commencèrent à s' « échauffer ». Ils enlevèrent rapidement leurs vêtements qu'ils lancèrent n'importe où.

En caleçon et avec ardeur, ils s'embrassèrent. Soudain ils entendirent un bruit, comme une explosion.

Tom regarda sévèrement son amant.

« Je t'avais interdit de manger des flageolets Albonbon. »

« Je n'ai rien fait Mamour ! »

« Alors que s'est-il passé ? »

Leurs regards furent attirés par la trace noire qui entourait le meuble où se dressait jadis leur précieuse boule magique.

Ils tombèrent sur les genoux, l'excitation remplacée par de l'effroi.

« NNNOOOOOOOOOOONNNNNNN ! »

Plusieurs de leurs vêtements avaient recouvert la boule certes gigantesque mais pas assez pour combattre une robe de sorcier, une couverture de 5 kilogrammes etc.

"MON PORTE-JARRETELLES !" pleura Dumbledore.

"LA BOULE ! ELLE EST CASSEE ! ELLE EST COMPLETEMENT CASSEE !" (NdPtr: hommage aux Visiteurs...)

"MERDE !" s'écria à son tour Dumbledore.

Ils se regardèrent avec des yeux larmoyants.

"Mais comment va-t-on faire ? C'est dans moins d'une heure ! Et même Boule-de-cristal Achat ne peut pas livrer une Boulévision aussi vite !" dit Dumbledore, presque aux larmes.

"Ne t'inquiète pas !" répondit Voldemort en reprenant son statut de 'mâle sournois et calculateur'. "Où est-ce qu'on peut trouver ici des boules de cristal à volonté ?" demanda-t-il.

"MON TOMINOU ! TU ES TROP GENIAL !" dit Albus en lui sautant dans les bras. "On va aller chez cette enquiquineuse de Trelawney!"

Dumbledore agrippa son amant par le bras et le traîna avec une force inconnue jusque devant l'antre de la redoutée Trelawney. Celui-qui ne craignait-rien-sauf-Dumbledore trembla de peur.

"J'ai bien peur que je n'en ressortirai pas vivant. Si je ne suis pas revenu dans 15 minutes, vas chercher du secours. Je t'aime Tominou."

Il monta la trappe tandis que Voldemort avait les larmes aux yeux, ému par le courage de son homme.

oOoOo

Albus frissonna de peur. Une telle cacophonie. L'anarchie! Un désastre humain! Il vit le professeur avachi à même le sol, bavant, arrosant ainsi les petites plantes qui poussaient entre les lattes du plancher. Celles-ci se délectaient de cette eau et fleurissaient à vue d'œil

Il se plaqua contre un mur, essayant de se faire le plus discret possible, les yeux fixés sur la porte, à l'autre bout de la salle. En gros, sur un panneau, était écrit :

"C'est là que tu dois aller, pauvre couillon.

Tu n'aurais pas dû péter la boule, espèce de con."

"Laisse tomber ! On est à Poudlard" pensa Dumbledore.

L'on s'était souvent demandé pourquoi le vieil homme aimait tant les Moldus. En fait, il s'en foutait complètement. Tout ce qu'il aimait chez eux, c'était les James Bond. Décidant de faire comme son personnage de feuilleton favori, il prit sa baguette et se faufila jusqu'au milieu de la salle.

Puis, se disant qu'il fallait absolument ajouter une note de tragique à l'histoire, il bondit en pleine lumière, s'écroulant sur le sol.

"ARRRGH, je suis touché ! Tu vas devoir continuer sans moi Tominou parce que..."

Note de la Direction : nous vous épargnons ce monologue de mauvais goût faisant deux pages car il est vraiment pitoyable. La seule chose que je tiens à vous dire c'est que jamais Voldemort ne l'a pas entendu. Donc au bout d'un quart d'heure, Bubus s'est calmé et a continué son "aventure"... Voici la suite.

Albonbon ouvrit de grands yeux. Il avait une crampe au bras à force de le tenir levé et de plus son dos commençait à protester, vu que cela faisait quinze minutes qu'il était allongé par terre, à déclamer un "monologue de mauvais goût".

Alors il se releva et...

Hurla.

Face à lui se dressait une vision d'horreur...

"Vous allez payer pour ce que vous avez fait," rugit Trelawney, terrorisant le petit enfant qu'était Dumbledore.

Dans sa tête, Albus se demanda s'il existait des pare-brise anti-postillons. Il mit l'idée dans un coin de son cerveau giggaaannnteesssqquuuee.

"Vous allez payer! Vous allez PAYEEERRR !" s'étrangla-t-elle.

Puis tout à coup, elle tomba à terre, le visage doux et pacifique.

Dumbledore fut ému par cette dame avec un si fort caractère et d'une beauté irrésistible. Il s'approcha d'elle doucement. Ecartant, avec douceur le voile qui couvrait son visage, il l'observa, penché au-dessus d'elle. (ndpant: serait ce le début d'une reconversion? mystèèèrreeeee)

Tout d'un coup, la poitrine de Trelawney se souleva, et celle-ci s'éveilla. Elle vociféra, libérant la quantité de bave accumulée lors de ces quelques secondes d'inconscience.

Inutile de préciser que Dumbledore ne vit pas très clair. Il ajouta l'idée d'essuie-glaces incorporée à des lunettes dans le même coin de cerveau où il avait mit l'idée d'un pare-brise à postillons.

Ah, tant de matière grise dépensée à lutter contre les postillons.

Alors, Trelawney dit la phrase qui sonnait très bien dans la bouche des méchants :

"Fous allez mourrrrirrrrrr !"

oOoOo

Voldemort regarda avec anxiété la porte. Il entendait divers cris mais, n'ayant jamais été un Gryffondor, il n'avait pas le courage d'y aller Que voulez-vous, tout le monde a ses tares...

Il regardait donc la porte. Avec anxiété. En fait non, nous dirons : Donc, Voldemort regardait la porte avec anxiété.

C'est le moment que choisit Rogue pour se taper l'incruste.

"Voldychoupinet d'amûûûûûr ! Vous allez bien ?"

Bien sûr, le Maître des Potions portait toujours son tutu rose. Ainsi qu'un slip sur la tête. À pois verts, en plus !

Note de la Direction : il faudrait changer un peu. Mettons des pois argentés

Ah non ! Pas des pois argentés ! Ca ne se verrait pas !

NdD : mais si !

Non

NdD : bon, dorés-rouge et qui font coin coin quand on appuie dessus alors ?

Parfait.

Donc Rogue portait un slip sur la tête, aux pois dorés-rouges qui faisaient coin coin quand on appuyait dessus. Voldemort trouvait ça particulièrement charmant.

"Ah Sevy ! ça gaze?" demanda-t-il tout en louchant sur le corps adipeux de Rogue. "Où as-tu donc acheté ce magnifique slip?"

(ndpant: Pour ceux qui ignorent adipeux, comme Ptronille par exemple, cela signifie fait de graisse ou très gras)

(NdPtro : BOTHER !)

"C'est moi qui l'ai fait! annonça fièrement Rogue. Le rouge et or me va si bien !" dit-il, les yeux pétillants de bonheur.

"Ohh Deaaarrr !" s'exclama Voldemort. "Tu peux m'en faire un ?"

"Bien sûr. Cela fera 10 gallions. Ce sera tout ?" imita Rogue.

"Alors, je le veux rose pétant avec des têtes de mort vert pomme un peu partout. Je veux qu'à chaque fois qu'on touche une des têtes, on entende "BOTHER!"dit par une voix de jeune fille qui prend 14 ans en Septembre," fit-il, les yeux remplacés par des cœurs.

Rogue eut un grand sourire pas vraiment professionnel -quoique un slip je-sais-plus-quelle-couleur-à-pois-dorés-rouges sur la tête ne l'aidait pas vraiment non plus en cette voie.

"Bien sûr, dear. Tu en veux un pour ton Amûr aussi ? C'est seulement 1 Gallion de plus !"

"Oh, ouais ! Je suis sûr qu'il en aimerait un avec des étoiles qui brillent dans le noir. J'arriverai à le trouver tout le temps comme ça !"

Il y eut à ce moment un cri plus horrible que les autres. Mais il venait du couloir d'en face et non de la porte de Trelawney.

"Kézako ?" demanda Voldemort au Maître des Potions.

"Bah, c'est le jeune Potter qui fait mumuse avec le jeune Malfoy. Bah, c'est le jeune Potter qui fait mumuse av-"

"Merde, il est en mode disque rayé !"dit l'ex-Seigneur des Ténèbres tandis que les 'Bah, c'est le jeune..." résonnaient dans le couloir.

Voldemort regarda avec condescendance son mangemort dévaler les escaliers en criant à tue-tête "QUI VEUT SE FAIRE UNE PARTOUZE AVEC ME ET VOLDY?". Il voulut se réfugier et monta à quatre pattes l'échelle.

Un élève qui passa par là pensa "Voldemort par terre, bonheur pour... Naa toutes les âmes sensibles ne sont pas prêtes à ça"

oOoOo

Ce qu'il vit le stupéfia. Dumbledore dansait en agitant des mouchoirs et Trelawney était fascinée par les mouvements si gracieux que faisait Dumbledore. La bave faisait un léger ploc sur le sol, donnant la pulsation à Dumbledore.

Voldemort fut également submergé par son amour. Il dansait si bien! Malgré ses 152 ans pétants, il restait resplendissant et souple. Voldemort ne doutait pas de sa souplesse mais il ignorait que Trelawney avait la tendance à baver sur les homosexuels. Surtout sur SON homosexuel. Il vit rouge griffondor.

Il prit le premier objet qui tomba sous sa main et se précipita en lançant le cri du samouraï sur la pauvre femme. Il l'assomma, surprenant Dumbledore qui n'entendait plus le ploc régulier de la bave sur le plancher.

"Mamour !" s'écria Dumbledore. "Que fais-tu ici?"

"Je suis venu te sauver" , dit fièrement Voldemort.

"Ah mon amoouuurrrrr ! Je ne te savais pas si courageux ! Mais ma danse hypnotique aurait eu raison de cette gorgone!"

"Albonbon ! Tu es si forrrttttt !" s'émut Tom, les larmes aux yeux.

"Je sais, je sais. Mais ce n'était vraiment rien tu sais."

Voldemort resta en extase devant son héros.

"Tu peux encore danser Albonbon ?"

Sitôt dit, Dumbledore reprit sa danse. Captivé, Voldemort laissa tomber l'objet avec lequel il avait assommé Trelawney.

"AAAAAÏÏÏEEEE !"

L'objet roula jusqu'aux pieds de Dumbledore qui trébucha.

"Je vais détruire toutes ces pu de boules de cristal ! s'écria Voldemort."

« …. »

« ….. »

oOoOo

Quelques minutes plus tard, Dumbledore et Voldemort étaient ré-installés devant leur nouvelle boule de cristal.

En possession de la télécommande (après l'avoir bien entendu réglée à la fréquence magique de la boule de cristal), ils posèrent leurs yeux sur l'image qui apparaissait.

Une publicité. Pour les macarons au chocolat.

La dernière avant les Feux de l'Humour.

La dernière...

Le jingle se mit en route. Du Phil Collins martyrisé : deux voix criardes chantaient "I can't stop loving you".

C'était bien sûr, Albus et Voldemort.

Ils se calèrent confortablement dans leur fauteuil.

Le show pouvait commencer...

À suivre

Note de Panthere : Pour ceux qui n'ont pas capté le sous-entendu avec le slip, tout le monde envoie une review pour souhaiter un JOYEUX ANNIVERSAIRE à Ptronille !

Note de Ptronille : hi hi, c'est aujourd'hui ! Merci Panthere d'avoir un esprit si tordu de façon à ce que toi et moi on puisse déconner comme des malades…

BISOUX ! Mais oui, on vous aime !

Ptronille & Panthere / Panthere & Ptronille