Bien le bonjour ! Comme je l'avais précisé dans le résumé, ceci est une traduction de l'OS The Dream (soit Le Rêve) que j'ai découvert et ai voulu partager avec vous, écrit par Fire and Frost. L'idée n'est donc pas la mienne et je n'ai fait que vous la procurer en Français.
Une très bonne lecture à vous, j'espère que cela vous plaira autant que cela m'a plu,
N'hésitez pas à laisser une review, ça fera toujours très très plaisir d'avoir votre avis et je le ferai passer à l'auteur :3
The Dream
« Jack… J'ai peur » déclara Elizabeth en fixant la glace fissurée sous ses pieds. Je fis un autre pas en avant.
« Je sais, je sais... mais ça va aller. »
« Non, ça ne va pas ! »
« Est-ce que je te jouerai un tour ? »
« Oui, tu joues toujours des tours ! »
Je ris nerveusement.
« Hé bien, d'accord, mais non... pas cette fois. Je te le promets. Tu ne tomberas pas. Hum... Est-ce que tu veux jouer à un jeu ? Nous allons jouer à la marelle, comme nous le faisons tous les jours. C'est aussi facile que, eh, un... deux... » Je fis semblant d'être déséquilibré, et elle rit.
« Trois ! » Je pris ma houlette, l'étendant lentement vers elle.
« Maintenant c'est à ton tour, » dis-je. Elle commença à marcher en avant, le souffle coupé alors que la glace se fissurait d'autant plus. Par le crochet du bâton que je glissais autour de sa taille, je la jetais sur la glace. Je lui sourit en retour en me levant.
Soudainement, j'entendis un bruit sourd crack ! Et j'étais dans l'eau.
« Jack ! » Ma sœur hurla, et ce fût la dernière chose que j'entendis.
Je tentais de me ressaisir, la respiration haletante. Quelques faibles rayons de la lune brillaient sur mon lit, et Liz dormait tranquillement dans le lit à côté du mien. « Calme-toi... c'était juste un rêve, » me dis-je à moi-même, même si je n'en paraissais pas entièrement convaincu. Mais je me recouchais alors et tombait à nouveau dans un profond sommeil.
Un an plus tard
« Jack, Jack, vas-tu me faire faire du patinage aujourd'hui ? » demanda Liz avec empressement, en sautillant de haut en bas sur ses talons.
« Comment puis-je dire non à un si adorable visage ? Bien sûr que je le ferai ; laisse-moi juste prendre mes patins. » Elle sourit joyeusement.
Je jetai mes patins en bandoulière sur mon épaule et me laissai guider par Liz hors de la porte.
« Soyez prudents, » demanda maman en nous regardant. Je lui souris.
« Nous le serons. »
