Prologue.

- professeur, êtes vous en accord avec mon choix ?

C'était une jeune femme tout juste majeure, vêtue d'une fluide cape émeraude cachant tout autre vêtements, qui avait parler. Sa voix était douce mais il y transparaissait le fait que cette question n'avais été poser que par pur respect envers le vieil homme assit devant elle, derrière un somptueux bureau.

Celui-ci sourit aimablement à la jeune femme.

- mademoiselle Bellark, dit-il, bien que, je l'avoue, ne connaît en rien vos intentions, je vous fait confiance. Dragée surprise ?

- Merci professeur ! S'exclama-t-elle en piochant un des dragées surprise que contenait la boite tendue par celui-ci. Mmh... pomme caramélisé, dit-elle après avoir consciencieusement savouré le dragée.

- Vous êtes doué miss.

- Mais je ne vous dirais rien de plus professeur, sourit-elle.

Elle se leva soudainement et émit un sifflement strident semblable à celui d'un serpent. Le vieil homme continuait de sourire tranquillement.

- navrée professeur, mais j'ai remarquer des voyageuses imprévus dans ma malle, s'excusa-t-elle. Puis-je...

- bien évidement ! Utiliser cette pièce à votre aise miss.

- Vous êtes doué aussi professeur, sourit malicieusement la jeune sorcière en disparaissant derrière un pan de bibliothèque suivit de près par une grosse malle flottante.


La jeune femme s'adossa à un pan de mur de pierre froide, ferma les yeux, soupira fortement puis les rouvrit non sans quelques battements de cils frénétiques.

Après un instant de concentration, d'un mouvement souple de la main, sa malle s'ouvrit.

- Nag, Nagaina, appela-t-elle en fourchelang les sourcils froncés.

Deux jeunes nâgas sortirent rapidement de la malle.

- maîtresss, s'inclinèrent les deux nâgas d'une même voix et d'un même mouvement.

- Vous ne pouvez faire ce saut dans le temps avec moi mes toutes belles, cingla la jeune femme qui ne put tout de même se retenir de ressentir un élan de tendresse envers ces deux magnifiques serpents. Vous serez mes yeux pendant le temps où je ne serais présente, je vous confit la protection de ma mère ainsi que celle du manoir.

Sa voix, qui c'était briser, raisonnait de façon étrange dans la sombre pièce. Les deux nâgas vinrent se lover au pied de leur maîtresse dans un geste de réconfort.

- je vais y aller, quoique je ne bougerais en définitive pas d'ici, ria-t-elle soudainement. Je vais appeler Deza et elle vous fera transplaner au manoir.

Elle se baissa et caressa les deux têtes reptiliennes affectueusement, ferma les yeux, sourit, les rouvrit, déterminer. Elle s'éloigna de Nag et Nagaina et dans un froissement de tissu sortie une longue baguette composé d'un étrange bois d'une couleur vert d'eau légèrement translucide. À l'aide d'un sortilège d'attraction un rouleau de parchemin vint à elle puis un sortilège de lévitation le fit flotter face à elle. Elle l'ouvrit à l'aide d'un autre puis le noirci. C'était une lettre, pour le professeur Albus Dumbledore. Elle la laissa flotter au milieu de la pièce une fois écrite, posa délicatement sa baguette au sol, appela Deza, son elfe de maison. Ses nâgas partirent la laissant seule, c'est alors qu'elle réduisit sa malle, la mit dans une des poche de sa cape, sortit un imposant pendentif à l'aspect ancien, l'ouvrit dans un léger cliquetis, contempla la photo de ses parents lui souriant à l'intérieur, récita un ancien chant et le pendentif laissa place à un puissant retourneur de temps qu'elle tourna de nombreuses fois avant d'actionner.


C'est très peu de temps après que le professeur pénétrât dans la pièce, prenant connaissance de la lettre de la jeune femme. D'un sortilège puissant il protégea l'étrange baguette toujours au sol et brûla la lettre.