Hello! Voici ma première fiction... enfin là c'est juste le prologue.
Le prologue est triste mais c'est pas le cas de la quasi-totalité de la fiction!
J'aime trop Nick et Edgey-chérie pour cela.
Volte-face sentimental : Prologue.
« Tu te souviens, quand on était encore en primaire, quand on est devenu ami avec ce procès ? Quand j'y repense, c'est grâce à Larry que j'ai pu connaître quelque chose de si merveilleux que ce j'ai connu avec toi. A l'époque, je ne savais pas qu'elle était ce sentiment nouveau qui naissait en moi, comme on le dit si bien, on ne sait pas ce que c'est « être amoureux » quand on est jeune, peut être que si je n'avais pas attendu aussi longtemps pour te confesser mon amour, on n'en serait pas là, non, j'en suis sûr désormais. Cette douleur lancinante à la tête et celle qui me lacère les entrailles ne me le fais comprendre que trop bien. Mais rien n'est plus douloureux qu'une pique, une moquerie de ta part, pensée ou pas.
Si tu savais comme je regrette cette si longue séparation, je ne mentirai pas en disant que si j'avais eu le choix je t'aurai suivi jusqu'au bout du monde s'il le fallait. A nos retrouvailles, tu ne t'es sûrement pas rendu compte, de tout ce que j'ai fais rien que pour sentir le contact de tes doigts contre les miens, avoir un sourire sincère de ta part. Après tout, moi non plus je ne savais pas encore pourquoi je faisais tout cela.
C'est toujours après coup que l'on regrette, je donnerai tout ce que j'ai pour revivre ce peu de temps que l'on a passés ensemble, toute les fois où nous avons été unis, toute les fois où nous avons couchés ensemble et quand tu me disais que j'étais si sexy écarlate et haletant. Avec ma fierté mal placé je t'insultais à chaque fois alors qu'au fond ça me plaisait. Les premières fois où nous l'avons fait, je me suis dis que je pourrais te quitter juste après l'acte, lorsque c'est fini et que la fièvre retombe j'avais l'impression d'en être capable mais dès que je revoyais ton visage je n'étais plus en mesure de le faire.
Tu sais, j'ai eu beaucoup de mal à admettre que j'aimais les hommes, mais tout bien réfléchi, tu as été et restera le seul homme de ma vie, si le destin ne nous permet pas de continuer à avancer ensemble, je te le promet, je ne sortirai avec personne d'autre, attendant patiemment le jour de ma mort, avec l'espoir de te revoir au bout du chemin. Toutefois, je ne souhaite pas voir celui que j'aime périr par ma faute, alors mon seul et unique homme, de grâce je t'en conjure, réveille-toi. »
Car, oui si je n'avais pas fais ma tête de mule et n'était pas parti seul sans te prévenir, tu ne serais pas allonger sur ce lit dans cet endroit empestant l'antiseptique entre la vie et la mort...
Sur oppen office ça faisait plus long -"
