Disclaimer : One Piece appartient a Oda-Sama. Moi j'ai juste écrit cet OS absurde.

Note de la délurée : Cet OS est depuis près d'un an dans mes tiroirs et il n'y a qu'en le transformant en ZoSan que j'ai réussi à le terminer... Moi qui m'étais promis de ne plus vous faire subir de chose pareille, je récidive... Et je suis même pas malade alors j'ai plus aucun prétexte !

Sur ce... Bonne lecture ! On se retrouve à la fin.


Fortune... Vraiment ?

.

― Vous savez quoi ? s'écria Nami en entrant dans la cuisine, la pièce tenant presque lieu de salle de réunion sur le Thousand Sunny.

― Tu n'es plus une obsessionnelle de l'argent ?

― Tu es devenue une adepte de la non-violence ?

Foudroyant du regard Zoro et Usopp, elle leur prouva le contraire en les frappant au sommet du crâne. Elle se tourna vers Sanji qui avait voulu protester contre « tête de cactus ». Il se ravisa très vite en voyant le visage de sa "mellorine". Cette dernière retrouva le sourire une fois les imbéciles neutralisés.

― Je disais donc… Ah oui ! Vous savez quoi ?

― Tu l'as déjà dit, faisons un peu avancer l'histoire qui n'en est pas une sinon ça va s'éterniser et cette histoire est sensée être très courte.

Usopp se recroquevilla contre un des murs de la cuisine alors que le poing de Nami était déjà dangereusement brandit dans sa direction. Robin décida de sauver les meubles. L'archéologue sortit de la lecture concentrée de son livre et tourna légèrement la tête vers son amie.

― Tu as trouvé quelque chose d'intéressant ?

― Ah ! En voilà une qui suit ! Oui Robin, quelque chose de merveilleux, d'éblouissant, de fabuleux –surtout pour moi.

La navigatrice brandit fièrement une carte, maltraitée par le temps et les intempéries, sous le nez perplexe de ses nakama. Devant leurs airs pantois, notre navigatrice devint plus discourtoise.

― Comment une carte peut vous mettre dans un état pareil ? Espèce de crétins !

― Désolé, mais nous ne voyons pas en quoi cette carte moisie est éblouissante. Lâche Zoro.

― C'est peut-être à cause de l'éclairage.

Zoom sur Luffy. L'équipage entier attend d'entendre, avec appréhension, ce que va leur expliquer le capitaine. Comme si c'était l'évidence même, il poursuit.

― Bah oui, si on met une torche derrière la carte, quand on la regardera, elle sera plus éblouissante qu'av-AÏE NAMIIIIII !

― Navrée mais ce que tu disais était parfaitement inintéressant d'un point de vue strictement économique.

― Économique ?

― Plus je perds mon temps à vous expliquez, moins je gagne d'argent. "Le temps c'est de l'argent" vous connaissez pas ce proverbe ?

― C'est moi ou la conversation n'a plus aucun intérêt ?

La remarque d'Usopp tombe à plat. Les regards braqués vers lui, on jurerait qu'on pourrait entendre les grillons chanter s'ils n'étaient pas en pleine mer. Nami décida de remettre l'équipage sur le droit chemin. L'appât du gain la motivait plus que de converser avec une troupe qui comptait tout de même deux abrutis, un mythomane, un obsédée et deux pervers.

―Sur la prochaine île se trouve un trésor mirobolant qui suffirait à éponger à lui seul toutes vos dettes, bande de fauchés.

― Et donc ?

― Histoire d'être certaine que vous ferez tout ce qui est en votre pouvoir pour le récupérer, on va procéder par équipe et l'équipe qui trouve le trésor verra son ardoise complètement effacée.

― Pour combien de temps ?

Cela ne ressemblait pas à Zoro d'être intéressé par l'argent c'est pourquoi l'équipage devina aisément qu'il voulait surtout ne plus entendre Nami parler de sa dette et l'espoir infime qu'elle cesse de le faire chanter grâce à ce trésor valait la peine qu'il y prête une légère attention avant de faire sa dix-huitième sieste.

― Pour la valeur du trésor qui, comme je l'ai déjà dit, nous assure d'être milliardaire.

Il n'en fallu pas plus pour motiver le bretteur. Deux heures plus tard, les équipes formées par Nami partaient à la recherche dudit trésor avec divers objectifs.

Pour Zoro, c'était évident. Le cuisinier désirait faire plaisir à sa Nami-swan, Chopper et Luffy pour le plaisir de s'aventurer sur une île sans restriction. Robin, Franky et Brook pour passer le temps. Pour Usopp, le but était tout autre puisqu'il avait été jeté sans ménagement hors du navire par la furie rousse et qu'entre deux fléaux, il préférait choisir celui qui ferait moins mal.

Moins peur, ce n'était pas certain.

Pour la formation des groupes, il y eut plusieurs soucis notamment pour Zoro et Sanji qui ne se voyaient vraiment pas se balader ensemble tout en se chargeant d'une petite boule de poil parfaitement naïve. La dites boule de poil, elle, était rassurée de se savoir avec eux et les deux pirates laissèrent tomber dans les oubliettes les protestations.

Homme ou femme, impossible de résister à une bouille larmoyante.

Usopp fut à moitié rassuré de tomber sur Robin et Franky mais Luffy fut enthousiasmé d'être avec Brook.

Autant dire qu'avec cette dernière équipe, le reste de l'équipage s'attendait à partir à tout moment. Chacun partant avec un mini-escargophone, la recherche débuta avec l'espoir de finir riche ou, tout du moins, avec une Nami temporairement apaisée. Une journée sans la furie, pour une certaine plante verte, c'était toujours ça de gagné.

Une seule plainte à formuler : l'obsession du cook que de vouloir récolter des renseignements.

― A quoi ça va nous servir ? Si ces ploucs savaient où ils se trouvaient, le trésor serait découvert et on serait pas là à se les peler !

Ayant noté qu'il n'y avait pas d'hôtel dans le coin, le bretteur ne se sentait pas l'envie de rester.

― C'est le seul village de l'île, on peut toujours voir s'il n'existerait pas des ragots à ce sujet.

― Il a raison Zoro, tient regarde, il y a une vieille femme assise sur son banc qui donne du pain aux pigeons.

― … On avait des clichés à caser dans c't'histoire ?

― Même toi, tu l'as deviné. T'inquiètes pas, on restera pas longtemps, je n'ai pas envie de te perdre.

Captant le regard surpris de Zoro, son compagnon remit les points sur les i et les barres aux t.

― Je ne sais pas si tu l'as remarqué Marimo mais ça ne m'a jamais amusé de devoir prendre toute une journée pour te retrouver endormis sous un arbre.

― C'est arrivé UNE fois et je te rappelle que t'as pas regretté de m'avoir retrouvé parce qu'à l'hôtel…

― MADAAAAAAAME !

Chopper courut –ou sautilla selon le point de vue– vers l'autochtone qui regardait d'un œil méfiant Zoro depuis qu'il était apparu dans son champ de vision. Comme le lui ferait remarquer Sanji plus tard en repensant à cette brève excursion, le bretteur était un parfait épouvantail et l'envol des pigeons ne passa pas inaperçu.

Chopper, avant de pouvoir lui poser ne serait-ce qu'une question, fut stoppé net par l'index tendu devant lui. A l'évidence, cette femme était plus impressionnée par une chevelure verte que par un renne qui savait marcher sur deux pattes et qui pouvait parler.

― Vous ne devriez pas rester ici Étrangers. L'appât du gain a fait perdre la vie à plus d'un homme. J'ai déjà vu une femme se faire battre par le trou de la serrure !

― GYAAAAAAAA !

Le petit renne alla se cacher derrière les jambes de Sanji devant le regard blasé de Zoro qui eut un soupir d'ennui tout en pianotant sur la garde de ses sabres.

―Quelle connerie…, murmura t-il.

― M-Mais…

― Ne t'en fais pas Chopper, assura Sanji avec une conviction volontairement exagéré. Ce trou de serrure n'a jamais battu personne et ce n'est pas aujourd'hui qu'il va s'y mettre.

― Je ne vois pas en quoi c'est effrayant, elle l'a peut-être mérité la bonne femme !

― Comment oses-tu…

― Nous madame, on veut juste savoir si vous savez quelque chose sur le trésor.

― Dans le temple abandonné en sortant du village. On y entre par un tunnel.

Zoro et Sanji s'échangèrent un regard soupçonneux, se disant que cela semblait trop beau pour être vrai. Chopper, pour sa part, nageait dans le bonheur le plus total. Le médecin se tourna vers ses deux compagnons, les yeux brillant, espérant être félicité pour son efficacité alors qu'il était évident que cela sentait le traquenard à plein nez.

Manquait plus que la vieille s'en aille avec un rire diabolique.

...

Pendant ce temps…

Usopp paniquait. Légèrement. Comme à son habitude en fait. Il cherchait donc du réconfort auprès de ses amis. Robin n'étant pas la personne la mieux désignée pour ce genre de chose, il ne restait plus qu'un seul victim… candidat.

― Franky s'il te plait, jure-moi que cette maison n'est pas hantée !

― Mais fiche-moi la paix ! Elle n'est pas hanté là, voilà, t'es content ?

Des centaines de fois qu'il lui demandait en geignant, l'autre Pinocchio ! Il le harcelait depuis qu'un vieux boutiquier du petit village leur avait déclaré que plusieurs rumeurs couraient sur ce trésor et que la plus plausible était celle qui affirmait qu'il se trouvait dans ce vieux manoir.

Les clichés aidant…

― T'es sûr ? T'as des preuves de ce que tu avances ?

Usopp paniquait, certes, mais restait assez lucide. Franky voulait en finir avec cette conversation insignifiante au possible.

― Non elle n'est pas hantée !

― Mais…

― J'ai vu les plans, elle est en W.

― … Tu te fiches de moi ?

― Ah tu t'en rends compte que maintenant ?

Robin eut un sourire amusé pendant que le sniper se recroquevillait dans un coin, complètement déprimé. Franky se tourna vers l'archéologue qui s'était agenouillée devant un coffre ouvert. Il se pencha et jeta un œil à la couverture du livre qu'elle tenait entre les mains.

― Depuis quand tu lis les journaux intimes toi ?

― Depuis que ça peut nous aider à trouver le trésor, répondit Robin machinalement.

Franky ouvrit la bouche et, sans répliques cinglantes à opposer, il la referma. Le cyborg la laissa parcourir très rapidement le journal. Impatient, il finit par céder.

― Bon, y a rien d'intéressant ?

― Huuuum Il a eu une vie tumultueuse… Il a été parfumier, palefrenier et pâtissier.

― Je ne pense pas que savoir ce qu'il est "pas" va nous aider.

― Et tes calembours ne vont pas nous faire avancer non plus, grommela Usopp.

― Alors trouves autre chose à moins que tu ne veuilles rentrer les mains vides.

Silence. De la poussière imaginaire voleta grâce à un vent bruyant tout aussi fictif pour accentuer le ridicule de la situation.

― Sinon, le temps que Robin trouve une info sur le trésor, j'ai pensé à une petite devinette.

― Tu crois qu'on a que ça à faire ?

Un peu déprimé –pour la énième fois depuis leur recherche, Usopp reprit courage et continua comme si cette question n'existait tout simplement pas.

― Chopper, Brook et Luffy sont sur un bateau. Luffy tombe à l'eau qui reste t-il ?

Les grillons imaginaires étaient de retour dans ce court silence affreusement gênant.

― Elle est complètement con ta devinette ! Chopper et Brook évidemment.

― Faux !

― Hein ?

― Il reste plus personne vu que les deux autres abrutis sautent à l'eau pour récupérer le premier et qu'ils finissent par couler tout les trois.

― … Je dois l'avouer, celle-là, elle était SUUUUUPER !

...

Du côté de Sanji, Zoro et Chopper…

Chopper renâclait à la tâche. Lui qui croyait être tombé dans LA bonne équipe pour éviter de risquer sa vie, voilà que ses coéquipiers voulaient l'envoyer en pâture à il-ne-savait-quoi. Le petit renne trépignait, suppliant de ces yeux larmoyants. Le cuisinier tenta de persuader son compagnon, sentant que Zoro avait tous les symptômes du ras-le-bol.

― Chopper, c'est rien ça. On en a déjà vu des vertes et des pas mûres. D'ailleurs on en a un beau spécimen sous la main.

― Je t'emmerde cuistot de malheur.

―… Moi j'ai pas saisi.

Petit silence. Résigné, Sanji se baissa pour être à la hauteur de l'adorable bouille du médecin puis finit par expliquer.

― Zoro a les cheveux verts ok ? Vert, légume, pas mûr… Calembour.

― Aaaaaaah.

― Et c'est là que je réplique en disant "je t'emmer…

― Je crois que ça il a compris. On se calme le Marimo, on va te trouver de l'eau. Ton Q.I ne changera pas d'un iota mais tu pourras toujours nous être utile une fois hydraté.

― Tient donc et toi ? Tu n'as aucune idée sur la façon de t'hydrater ?

― Ta gueule.

― Pourquoi me rejeter alors que je ne veux que ton bien ?

Plaquant ses mains sur les oreilles de Chopper, Sanji s'empourpra et le repoussa du pied en s'apercevant que le bretteur s'approchait d'un peu trop près de lui. La voix faussement surprise qu'avait prise l'épéiste pour sa dernière réplique lui tapait sur le système. Le cuisinier souffla bruyamment, faisant voler quelques sections de sa large mèche.

― Écoutes Chopper, c'est l'affaire de dix minutes. Tu passes dans le tunnel, trouve un moyen d'ouvrir ce foutue temple et tu reviens ! Tu n'as rien à craindre.

― Mais pourquoi on n'ouvre pas à la pirate comme a suggéré Zoro ?

― Parce qu'on risque de détruire le bâtiment, que ça va rameuter tout le village et qu'on devra partir. Tu veux pas voir Nami en colère n'est-ce pas ? Tu sais, la méthode Zoro n'est jamais, JAMAIS la bonne.

Résigné, ne trouvant aucun argument contre, le médecin approuva d'un signe de tête. Une fois Chopper disparut dans la galerie, Zoro prit les devants, bien décidé à se venger. Il prit son compagnon par les bras et le plaqua sans ménagement contre le mur délabré du temple. Sanji réagit au quart de tour, en colère.

― Qu'est-ce qui te prend tête d'algue ?

― Moi j'ai bien envie de visiter un certain tunnel…

Sourcil froncé, Sanji se dégagea sèchement.

― Désolé mais Plaisirville ne propose pas d'excursion à cette heure-ci.

Les bras musclés de Zoro s'emparèrent de sa taille, l'attirant à lui si rapidement que le souffle de Sanji fut coupé une fraction de seconde. Bien suffisamment pour que son amant en profite et ne prenne possession de ses lèvres. Ses dents heurtant les siennes dans la brusquerie du geste, le baiser se fit plus doux au fur et à mesure que le cuisinier se laissait convaincre. Depuis le temps, Zoro avait compris au minimum une chose sur la Jambe Noire, c'était que ce n'était pas en utilisant la force brute d'entrée de jeu qu'il réussirait à le convaincre.

La force brute serait débridée une fois la partie préliminaire passée.

C'était sans compter Sanji et son sens des priorités.

Il mit fin au baiser sans crier gare*.

― Et si Chopper revenait plus tôt que prévu ?

― C'est bien pour cette raison que tu dois intercéder auprès du maire de Plaisirville afin qu'il me donne un accès VIP pour qu'une excursion hors programme soit planifié dans les prochaines minutes.

Comme pour appuyer ses dires, une main puissante empoigna le fessier ferme de Sanji qui eut un léger sursaut, faisant fugitivement frotter leur érection à travers leur pantalon. De sa main libre, Zoro plongea dans la tignasse blonde pour tirer la tête du cuisinier vers l'arrière, lui laissant le loisir de mordre ce cou offert pour insister sur le lobe de son oreille. Sanji retint avec difficulté un gémissement.

― Je… vais voir ce que je peux faire.

Sanji rectifia ses propos : la méthode Zoro pouvait avoir du bon dans certains domaines.

Ses doigts glissaient sous le haut de Zoro, avides de redécouvrir ce torse couturé de cicatrices. L'idée même d'être vue fut totalement oublié. De même que le fait que le temple soit au sommet d'une colline et pouvait être vue du village.

Les lèvres se soudèrent une nouvelle fois dans un ballet enivrant. Un ballet de sensation qui les rendait ivre. Qui les rendait fou.

Sanji dut prendre appui sur le mur d'une main, ses jambes mal assurées tandis que les mains de Zoro descendaient à ses cuisses, montaient à ses hanches pour remonter encore et encore, atteindre la chemise pour la déboutonner, pour s'attaquer ensuite à la ceinture...

Un bruit les fit émerger. Ou plus exactement, fit sortir Sanji de son exaltation et qui, par la suite, repoussa le bretteur.

Avec agacement, le verdoyant reconnut le bruit caractéristique du mini-escargophone.

― Laisse-le s'époumoner.

C'était sans compter Sanji… et son sens des priorités. Et sa galanterie.

Le temps de retrouver une respiration plus calme.

― Oui Nami-san ?

― Revenez au navire.

― Pourqu…

― Luffy.

Tout était dit.

...

Le soir était tombé, les pirates rassasiés parlaient de ce qui s'était passé durant leur randonnée. Chopper était impressionné par les prétendues exploits d'Usopp, oubliant jusqu'à ses propres malheurs lorsqu'il traversait le tunnel.

Nami s'était résignée à oublier son trésor puisque Luffy s'était mis à dos les autochtones en démolissant deux restaurants et en assommant la doyenne au passage.

Seul un pirate resta imperméable à cette ambiance festive qui avait lieu dans la cuisine, le cœur du navire. Sur le pont du Sunny, adossé au bastingage, il essayait d'oublier sa frustration lorsqu'il sentit une présence dérangeante près de lui.

― Tu vas bouder encore longtemps Marimo ?

Cause toujours, tu m'intéresses, songea le bretteur amer.

Sanji s'accouda au garde-fou avec un petit soupir.

― Dis-moi, t'es pas de garde ce soir ?

― Qu'est-ce que ça peut te foutre ?

Le jeune homme ne se laissa pas démonter pour si peu.

― Ben… Il se trouve que Plaisirville avait prévu une visite avec prolongation si cela plaisait au visiteur. Mais si t'es pas intéressé…

Zoro bondit sur ses pieds, saisissant par le poignet son amant sans lui laisser le temps de finir. Avec ce sourire torve que Sanji lui connaissait bien, le bretteur le mena vers la vigie comme si sa vie en dépendait.

Tout cela sous les yeux de Nami qui venait de sortir de la cuisine.

Je peux toujours faire installer des caméras… Le yaoi c'est très vendeur…

― Nami-san ?

La navigatrice se tourna vers Brook qui était lui aussi sorti. Il poursuivit.

― Voyant que vous vous énerviez contre Luffy-san, je n'ai pas osé le dire mais j'ai trouvé le trésor.

Devant l'air ahuri de Nami, il écarta les pans de sa veste et les yeux de la jeune femme ne furent plus que deux grosses billes.

― N-Ne me dis pas que c'est… Un soutien-gorge ?

― En or et il est noté sur le mode d'emploi que seul des hommes peuvent le porter**.

Décidément… La fortune*** ne lui tendrait pas les bras.

.

The End !


*En même temps il aurait eut du mal parce que… euh…

** Clin d'œil à un épisode hors-série de One Piece… Épisode 407 si ma mémoire est bonne où le trésor est un slip pouvant uniquement être porté par des femmes.

*** Ahaha fortune : richesse ou chance… Oui, c'est stupide.

Comment ? Cet OS est absurde ? Faut dire que lire du Ionesco n'est bon pour personne si on tient à sa santé mentale… [et pourtant j'adore ce qui me fait penser qu'un petit côté maso doit exister chez moi, en plus de la folie. Très mauvaise cohabitation.]

Bon je dois l'avouer, la partie avec Usopp, Franky et Robin s'était pour placé la devinette et s'était aussi pour m'éviter une ellipse trop pathétique.

Pour ce qui est du lemon, j'étais très tentée de le faire mais je dois avouer que la motivation n'était pas là. Peut-être que quelques review peuvent me donner l'envie de faire une nouvelle version d'un certain passage… Moi du chantage ? Ah ! C'est mal me connaître ! Pour ceux qui me suivent depuis quelques fictions, vous savez que c'est pas mon genre !

Abrégeons ! Laissez une trace de votre passage autre que sur le compteur de vue et merci à vous d'avoir lu ! Pour ceux qui reconnaissent quelques références, félicitation !