Hello! Je vous arrive maintenant avec une fanfiction qui parle de la mafia! Nos amis d'Hetalia en humains et membres de la mafia! J'essaie de rentrer le plus de personnage possible mais ça finit pas devenir compliqué! :P Pour cette raison, ça va être beaucoup de chapitres surement parce qu'il va y avoir plusieurs histoires mêlées ensemble! En gros, ça promet d'être compliqué! C'est du Espagne/Romano principalement mais aussi US/UK, Allemagne/Italie et si je réussis à caser du Prusse/Canada. Pour l'instant, je suis à ça mais peut-être d'autres pour la suite, on verra rendu là! Aussi, si vous avez des suggestions de couple à rajouter je vais faire de mon mieux pour le faire!

Résumé: Lovino allait commettre un suicide quand il fut rattrapé par Antonio, membre de la mafia espagnole, qui l'enleva par la suite.

L'histoire très de base avec beaucoup de choses autour.

Une chose à dire avant de vois laisser lire: je dis seulement la mafia espagnole, par exemple, même s'il y a plusieurs groupes mafieux en Espagne parce que premièrement je ne tiens pas à leur faire de la publicité et deuxièmement je ne les connais pas assez les groupes de la mafia alors c'était juste moins compliqué.


Ok, tout était prêt. En fait, il n'y avait jamais eu grand-chose à préparer. Ses possessions avaient été distribuées via une lettre qui servirait de testament. Il avait son sac sur le dos, son préféré, mais il était presque vide. Il avait dit au revoir son frère, même si celui-ci n'avait rien compris. Il descendit les marches menant au métro. Il ne manquait plus qu'à attendre que le métro arrive. Selon les horaires, il lui restait deux minutes.

Une fois sur le quai, il respira un bon coup. Il était neveux, car il ne voulait pas rater ! Il avait l'intention de mettre fin à sa vie. Il avait déjà fait le point, pensé aux conséquences pour ses proches, aux autres solutions, et en était arrivé la conclusion que c'était l'heure de sa mort.

On commençait à entendre le métro qui arrivait. Il savait qu'il ne regretterait pas sa décision à la dernière seconde, comme beaucoup d'autres le faisaient. Il s'approcha du bord, il n'était pas le seul, alors c'était subtil. Le métro qui arrivait. Il prit son élan. Au moment où ses pieds allaient quitter le sol, il fut soulevé dans les airs.

On le traina hors du métro sans la moindre résistance, il était trop hébété pour comprendre. Balancé sur une épaule inconnue, la seule chose qu'il pouvait voir était un dos, couvert d'un manteau noir. En un instant, il fut assis dans une voiture, face à l'homme qui venait de le kidnapper.

- Mais t'es qui sale connard ?

- Ohhh ~mais quel mauvais langage! Salut! Je m'appelle Antonio, et toi tu es Lovino, c'est ça?

- Comme si ça te regardait, imbécile ! Comment tu sais mon nom ?

- Je crois que je vais t'appeler Lovi, à partir de maintenant !

- Fais pas ça, salaud ! Laisse-moi partir, sur le champ !

- J'aimerais bien, Lovi, mais les ordres sont les ordres ! En fait, je devais seulement te surveiller mais tu as voulu faire une chose horrible, alors je t'ai protégé, dit Antonio avec un sourire gentil. Tu as peut-être une idée de la raison pour laquelle tu es ici avec moi, et que tu ne repartiras probablement pas ?

Lovino se contenta de lui lancer un regard furieux.

- Ton père est le chef d'un groupe de la mafia italienne et nous avons besoin de lui. Alors sois gentil, on te laissera peut-être repartir, si tu nous dis où le trouver, bien sûr.

En vitesse, l'italien essaya de casser la vitre de la voiture, sachant que la porte serait barrée. Mais il ne fut pas assez rapide, il fut maîtrisé par Antonio en un instant.

- NE ME TOUCHE PAS!

- Feliciano, c'est ça ? J'ai deux hommes qui le surveillent, en ce moment, si tu essaies de t'enfuir, il mourra.

- SALAUD NE MÊLE PAS FRATELLO À ÇA !

- Soit gentil et ça n'arrivera pas, conclut Antonio en ébouriffant les cheveux de Lovino.

- Ne me touche pas, connard ! Et laisse-moi ! T'es lourd ! Je vais rester tranquille, promis, mais lâche-moi!

Antonio se rassit à côté de Lovino, qui se replaça de manière confortable.

- Premièrement, ne parle pas comme ça à n'importe qui. Moi, tu peux, mais pas mon chef, d'accord ? À tout moment, on peut s'en prendre à ton frère, alors ne fait rien d'insensé. Deuxièmement, on arrive bientôt et je vais devoir te couvrir les yeux. Tu restes un prisonnier alors tu ne peux pas savoir où nous sommes localisés. Ça pourrait aussi t'aider à t'enfuir, si l'idée t'en venait, ce qui m'étonnerait beaucoup. Troisièmement, tu vas rencontrer notre chef, une simple rencontre symbolique pour te montrer ta soumission. Contente-toi de hocher la tête, compris ? Je n'aimerais pas que ton beau visage soit abimé, conclut Antonio avec un clin d'œil.

- Ferme-la ! Je ne reçois d'ordre de personne ! Et puis, je sais comment ça marche, idiot !

- Alors tu as été initié ? Je suppose que ton frère non…

Lovino resta silencieux, il avait compris son erreur. Il y avait une grosse différence entre un otage civil et un otage mafieux, peu importe son âge. Il serait traité beaucoup plus durement, maintenant.

- Ne t'inquiète pas, dit l'espagnol, je vais garder cette partie secrète, personne ne le saura. Et notre cher chauffeur ne dira rien non plus, n'est-ce-pas, Gil ?

- Ce serait pas awesome de vendre Tony et son ami comme ça ! Heureusement que ma merveilleuse personne a un grand cœur ! fit une voix railleuse et arrogante à l'avant de la voiture.

- Mais vous êtes cons ou quoi ? Vous allez crever si on découvre que vous le saviez, bande d'imbéciles !

- Personne ne saura que Gil le savait, lui aussi.

- Et toi alors, tête imbécile heureux ?

- Je me trouve une raison de pouvoir dire : maintenant que ma tête sera mise à prix un jour ou l'autre, ne tombe pas amoureux de moi, querido, c'est la seule chose que je te demande.

- Mais quel con ! s'exclama Lovino en levant les yeux en l'air, pendant que les deux autres riaient de grands éclats.

La voiture s'arrêta, ils étaient arrivés. Antonio sortit un foulard noir de sa poche.

- On y est. Ce n'est pas une chose que j'aime faire mais voilà, dit-il en plaçant le foulard sur les yeux de Lovino. À partir de maintenant je vais devoir te guider jusqu'à ce qu'on soit à l'intérieur.

- Ouais ouais j'ai compris…

L'espagnol tenta de donner des indications à l'italien pour le faire sortir de la voiture, celui-ci manqua de trébucher et lâcha quelques jurons à l'intention d'Antonio. Il se sentit soulevé dans les airs.

- Chigiiii ! Sale con mais qu'est-ce que tu fais ? hurla-t-il.

- C'est trop compliqué alors je te prends, tu ne tomberas plus, répondit Antonio.

- Si tu veux savoir, Lovino, commença Gilbert, de loin, on dirait qu'il porte sa femme pour la nuit de noce, si tu vois ce que je veux dire. La même position kesesese !

- Antonio, commença Lovino, qui semblait très mal, lâche-moi tout de suite, compris? Je suis très sérieux, tu me lâches maintenant! Je me fous de tomber cinq cents fois mais LÂCHE-MOI! Ne me touche pas!

- Wow, ça va, Lovi? Ok, je te lâche. Mais je vais devoir de tenir la main, pour te guider jusqu'à l'intérieur, si non tu ne te rendras jamais, est-ce que ça va?

Antonio déposa Lovino sur le sol et prit sa main. Il sentait l'italien extrêmement tendu. C'était surement normal, d'être tendu, mais à ce point c'était un peu étrange. Ils entrèrent dans le bâtiment et prirent l'ascenseur.

Ils étaient arrivés dans un magnifique hall peu éclairé mais avec de grands lustres et beaucoup de riches décorations. Ce hall servait à impressionner les invités. Sur un des divans se trouvait un homme aux longs cheveux blonds qui semblait les attendre, les jambes croisées.

- Salut. J'étais venu voir si le nouveau venu en valant la peine comme tu le disais, Tony. Je me présente : je m'appelle Francis. Rappelle-moi ton nom ?

Comme le nouveau venu n'avait pas l'air de répondre, intimidé par Francis qui le regardait sous toutes ses coutures, Gilbert répondit à sa place.

- Tu sais, moi c'est pas trop mon genre mais il est pas mal, conclut-il en le regardant avec un clin d'œil.

- Je suis toujours là, bande d'imbéciles ! Et toi sale pervers arrête de me fixer ! Si j'avais un flingue je te l'aurais vidé dans la tête depuis longtemps !

Il n'aimait vraiment pas le regard de l'homme aux cheveux blonds. Il lui semblait qu'il allait lui sauter dessus au moindre moment. Des frissons d'horreur lui parcouraient le corps.

- Bon bon bon ! dit Antonio en prenant Lovino par les épaules, avant que celui-ci ne se dégage. Je vais lui montrer sa chambre alors on se revoit plus tard!

L'otage avait presque la chambre d'un invité de marque. Une grande chambre avec lit double, fenêtre ayant une belle vue et salle de bain spacieuse.

- Ne t'inquiète pas pour Francis, il a l'air un peu bizarre, il est un peu bizarre, mais il est très gentil et il ne te fera rien, je peux te le promettre.

- J'ai pas peur de lui ! Maintenant, laisse-moi tranquille, je t'ai vu trop longtemps !

- Oui, d'accord ! Je viendrai te chercher pour le repas. D'ici là, ne t'aventure pas trop, il ne faudrait pas que tu fasses de mauvaises rencontres. Et après, tu vas rencontrer notre chef.

- Arrête de me materner !

Une fois sorti de la chambre, Antonio alla rejoindre ses deux amis, qui étaient encore dans le hall.

- Il a tout un caractère, ton Lovino ! Mais pas assez awesome pour moi !

- Oui, je sais…, répondit Antonio, ignorant la deuxième phrase.

- Mais ça n'a pas empêché la maladie de l'amouuuur de t'atteindre ! Il faut dire que ça faisait longtemps que tu le surveillais ! Tu as appris à le connaitre, à l'apprécier, à l'aimer. C'est mignon !

- C'est lui qui est mignon ! Moi je suis seulement assez stupide de tomber amoureux d'un homme avec qui je ne pourrai jamais avoir de relation ! Et ce, même oubliant qu'il est probablement hétéro.

- C'est pas awesome de dire ça ! Peut-être que votre histoire d'amour impossible va finir bien !

- C'est vrai, renchérit Francis, et puis je pourrais l'écrire et faire un roman qui deviendra un classique !

- Je n'en suis pas sûr du tout ! Mais je dois aller faire mon rapport, alors adios amigos !

De son côté, Lovino évaluait la hauteur qui séparait sa chambre du trottoir à partir ce sa fenêtre. Il devait être à une dizaine d'étages. Il ne pourrait pas sortir par là. Il devait rapidement trouver un moyen de sortir d'ici, peu importe la façon. Antonio était très gentil mais ça ne pourrait durer, quelqu'un allait devoir essayer de le faire parler! Ça ne devait pas arriver, donc l'italien devait s'enfuir avant!


Fratello: frère (italien)
Awesome: génial, fantastique... (anglais)
Querido: chéri (espagnol)
Adios amigos: bye les amis

Les traductions viennent de Google Traduction.

Qu'en pensez-vous? Le prochain chapitre on devrait voir aussi d'autres personnages.