Auteur : Memelyne

Couple : Jasper/Bella

Disclamer : Les personnages de Twilight ne m'appartiennent pas ils sont tous à Stephenie Meyer seulement l'intrigue.

Bla bla de l'auteur : Kikou tous le monde, après avoir lu nombre de fanfictions sur Twilight, je m'essaye moi aussi à en écrire une. Vous me direz ce que vous en pensez ^_^

Bonne lecture !!


POUR ETRE AVEC TOI


Chapitre 1 - Renaissance d'une morte vivante


Je me nomme Isabella Swan, j'ai 18 ans j'habite à Huston. J'aurais dû me marier il y a deux semaines, à l'homme de ma vie qui aujourd'hui n'est malheureusement plus de se monde. Il s'appelait Jasper Whitlock et nous avions le même âge. Il avait succombé en ces moments sombres où la guerre faisait rage. Il y était soldat et fière de défendre sa patrie. Je ne sais pas si j'arriverais à vivre sans lui. Honnêtement, je ne le pense pas. J'étais éperdument amoureuse de lui et je le suis toujours, même s'il n'est plus de ce monde. Parfois je me dis que ce n'est qu'un mauvais rêve et que je vais me réveiller. Au départ, c'était simple, je n'y croyait tout simplement pas quand le soldat nous l'annoncé un matin d'hiver, une lettre de condoléance standard à la main. Après tout, son corps n'a jamais été retrouvé, il aurait très bien pu se faire que l'armée se soit fourvoyée et qu'il soit vivant quelque part en train de se remettre dans un quelconque endroit. A cette époque, j'étais persuadée qu'il allait surgir à un moment ou à un autre sur le pas de la porte avec son éternel doux sourire aux lèvres. Me disant qu'il s'excusait pour son retard et que je lui avais manqué durant ses long mois éloignés l'un de l'autre.

Mais il fallait bien que je me rende à l'évidence, les jours, puis les semaines, puis les mois passèrent sans qu'il ne donne signe de vie. Au fur et à mesure que le temps passait, mon espoir faiblissait et mon envie de vivre diminuait de concert. J'essayais d'avancer mais je ne pouvais pas. Je me déplaçais telle une âme en peine dans les couloirs de ma maison. Celle où nous avions emménagé avec Jasper peu avant son départ sous les drapeaux. Bien sûr, des amis, des membres de la familles passaient souvent me rendre visite pour me soutenir et tenter comme ils le pouvaient de me sortir de la léthargie dans laquelle je m'étais enfoncée mais c'est peine perdu et je le savais bien. Mais comment leur dire que la vie sans Jasper, ne vaut pas la peine d'être vécue. Que depuis la terrible nouvelle j'ai eu l'impression que mon cœur à été arracher de ma poitrine laissant un trou béant dont la douleur qui au contraire de s'affaiblir avec le temps, ne fait que s'accroître.

Je savais ce qu'il fallait que je fasse pour y remédier, et me sentir enfin heureuse. Il fallait que je le rejoigne là où il était. Même si c'était dans la mort au moins nous demeurions ensemble pour l'éternité. Une fois la nuit tombée, forte de cette décision, je me levais de mon rocking-chair. Principal témoin de ma douleur ces derniers mois et sortait de ma maison, de notre maison. Je me retournais pour encrer une dernière fois l'image de ce qui aurait pu être notre nid d'amour et me dirigeais à cheval vers la falaise qui se trouvait à quelques miles d'ici à la sortie de la ville, près d'une forêt. Je devais me montrer discrète pour que personne ne puisse me voir et veuille m'arrêter dans mon entreprise.

Une fois arrivée, je descendais de cheval et m'asseyais sur le rebord, mes pieds pendant dans le vide. Je fermais les yeux, repensant aux moments que nous avions partagé.

Notre rencontre eu lieu lors d'un mariage de deux de nos amis respectifs. Quand mes yeux se sont posés sur lui la première fois, mon cœur rata un battement. Il était si beau avec son visage parfait, assez pâle sans trop l'être pour autant. Une bouche qui s'étirait souvent en un sourire doux et malicieux. Il était aux côtés du marié qui avait l'air nerveux mais aussi heureux devant l'hôtel, en compagnie de sa promise. Apparemment il semblait être le témoin de celui-ci, tandis que moi j'étais la demoiselle d'honneur de la marié et accessoirement meilleure amie. Quand son regard rencontra le mien, je pu admirer l'espace d'un instant la profondeur de son regard d'un bleu océan. Il m'adressa un sourire et inclina légèrement la tête pour me saluer et je lui répondis de même mais timidement.

Quand la cérémonie se termina, nous nous dirigeâmes vers un parc rempli de verdure, de tentures et de décorations en tous genres. Tout y était magnifique. Il faut dire aussi que quand Marie, ma meilleure amie, se lançait dans l'organisation de quelque chose elle s'y impliquait totalement. Tout ce qu'elle faisait était peu coûteux, mais non moins raffiné et d'un très bon goût. Inutile de dire alors que pour son propre mariage, elle y avait mis les bouchées doubles et le résultat n'en était pas moins saisissant.

Je m'avançais ainsi entre les divers invités cherchant une tête connue, quand je le vis en compagnie du marié entrain de lui donner une légère tape sur l'épaule tout en riant avec celui-ci.

Etant de nature timide, je n'osais lui adresser la parole. Par contre, je ne cessais de le détailler discrètement du regard lorsque l'attention de celui-ci était occupée dans une autre direction. Mais ce que je ne savais pas en revanche, c'est que lui aussi faisait pareillement quand je discutais avec Marie. Ce fut d'ailleurs celle-ci qui me le fit remarquer accompagné d'un sourire en coin comme elle seule sait les faire. Sourire qui avait d'ailleurs tendance à s'élargir en fonction de mon rougissement qui ne cessait de parcourir mes joues. Ce ne fut que quand elle s'éloigna pour discuter avec d'autres invités, que je le vis se diriger dans ma direction le regard tourné vers moi avec un petit sourire doux au visage. Mon cœur battait alors fortement dans ma poitrine et j'essayais de lui rendre son sourire en prenant l'air le plus décontracté possible. Allez Bella, m'encouragais-je silencieusement, calme-toi et surtout ne bégaie pas sinon je n'ose imaginer ce qu'il pensera de toi. Quand il arriva à ma hauteur, il s'inclina et pris la parole en premier :

- Bonjour mademoiselle, je crains de ne pas avoir l'honneur de vous connaître. Je suis un ami du marié, je me présente Jasper Whitlock pour vous servir. Mademoiselle ?

- Euh… Isabella Swan, mais je …je préfère qu'on m'appelle juste Bella. Dis je dans un sourire que j'espérais pas trop crispé. Ah bravo Bella, heureusement que tu ne devais pas bégayer!, me fustisais-je mentalement.

Mais apparemment, ceci n'eut pas l'air de déranger mon beau compagnon blond qui reprit sur le ton de la confidence après s'être penché à mon oreille sans se départir de son sourire malicieux :

- En fait, je suis ici pour les petits fours, mais ne le dites a personne vous me le promettez n'est ce pas ?

Sa réplique eut le don de me détendre totalement et je ne pu m'empêcher un petit rire s'échappant de ma gorge. Puis nous commençâmes à discuter de sujets aussi divers que variés. Il se trouva même que nos avis sur certaines questions étaient relativement les même et que de ce fait, nous nous trouvions beaucoup de point commun. Je ne voyais pas le temps passer à ses côtés, je me sentais juste bien, détendue et je n'avais aucune envie qu'il ne parte. Aussi après nous être restaurés et que les mariés avait fait l'ouverture du bal, il m'invita à danser. Malheureusement pour moi, j'étais aussi timide que maladroite et je n'étais guère douée pour quelques danses que ce fut. Il parut s'apercevoir de mon anxiété car il m'assura que je n'avais qu'à me laisser guidé et qu'il ferait le reste. Je ne pouvais donc guère refusé et m'avançais donc sur la piste de danse à ses côtés. Extérieurement sereinement, mais intérieurement comme un condamné allant à l'échafaud.

La musique commença et il prit ma main dans la sienne pendant que la deuxième se nicha dans mon dos m'attirant ainsi à lui en douceur. De mon côté je posais la mienne sur son épaule en priant intérieurement pour ne pas trop lui marcher sur les pieds. Il commença alors à me faire tourner avec lui avec une aisance déconcertante. Contrairement à ce que je pensais au départ, je ne me débrouillais pas trop mal. Il dirigeait vraiment bien et ne semblait pas se préoccuper quand mes pas dérapaient un peu et lui écrasaient parfois les orteils. Il paraissait même heureux et serein. Je me sentais bien dans ses bras et les danses s'enchaînèrent les unes après les autres sans qu'on ne quitte la piste de danse ou qu'on ne se quitte des yeux. Continuant de discuter doucement tous les deux, sans éprouver le désir que l'autre ne soit ailleurs qu'il ne l'était présentement.

A la fin de la soirée, nous dûmes bien nous résoudre à nous quitter. Mais je sentais bien que s'étais autant à regret de mon côté que du sien. Quand il me quitta non sans m'avoir au préalable embrassé ma main, nous nous promîmes de nous revoir rapidement. A peine lui avais-je tourné le dos, que Marie vint tout de suite me voir pour avoir le compte rendu de ce qui s'était passé avec mon beau blond. Je pris donc sur moi de lui raconter, non sans omettre quelques détails qui n'appartenaient qu'à nous.

Quelques jours plutard, il vint me voir pour me proposer une promenade près de la mer. Chose que je m'empressais d'accepter, non sans essayer de freiner un peu mon enthousiasme pour éviter qu'il me prit pour une folle entrain de sautiller partout. Nous passâmes de nombreuses journées en compagnie l'un de l'autre, les passant principalement à discuter. Il était gentleman, gentil, sans être trop pompeux et avait un brin d'humour qui n'appartenait qu'à lui. Oh nous n'étions pas d'accord sur tout évidement. On avait chacun notre petit caractère, mais cela ne nous empêchait nullement de très bien s'entendre. De chercher la présence de l'autres de plus en plus souvent.

Une fois, alors qu'il me raccompagnait d'une de nos nombreuse promenade, nous échangeâmes notre premier baiser. Même timide, il était doux, empreint d'innocence et d'amour. Je savais d'ors et déjà que je m'en souviendrais pour le restant de mes jours. Plus les mois défilèrent, plus mon amour pour lui grandissait et je savais que c'était réciproque. Même si on ne se le disait pas souvent, on se le démontrait par des gestes, des attentions et cela nous suffisait amplement à tous les deux. Plus tard, il me demandait ma main que je m'empressait d'accepter. Mes parents ayant appris à le connaître au fils de nos rendez vous ne s'y opposèrent pas. Bien au contraire, ils en semblaient ravis. Cela ressemblait à un conte de fée.

Mais comme tous les contes de fée ont une fin, le mien vint avec la guerre qui commençait à prendre de l'ampleur au fil du temps. La décision de son départ fut notre plus grosse discorde. Mais comme d'habitude, il parvint à me faire céder, bien que je le fisse à contre cœur ayant peur de le perdre. Pour appuyer son argumentation et m'aider à patienter, il me promit qu'il m'écrirait le plus souvent possible et que lorsqu'il reviendrait, nous nous échangerions nos voeux aussitôt. Son retour étant prévu pour le 8 septembre il avait voulu que la date de notre mariage soit le 13 septembre 1861, le jour même de mes 18 ans. Un an et demi après notre première rencontre. Le sien était quand à lui deux mois plus tôt.

Quand je le vis s'éloigner puis disparaître sous les volutes de fumées du chemin de fer, je ressentis alors un grand vide s'installer en moi, priant silencieusement pour qu'il me revint vite. Je ne savais pas alors, que se seraient ces dernières images que j'aurais de lui.

Cette pensée me fit revenir à la réalité et où j'étais présentement. Sur les bords de cette falaise qui fut témoin de sa demande en mariage et de notre premier baiser. Celle-ci serait aussi un point final à ma vie sans lui, c'était tout un symbole. Je me relevais et inspirait un grand coup. Je refermais mes yeux pleins de larmes alors que j'étais entrain de m'avancer dans le vide. Je sentait la chute comme une libération, m'apprêtais à rejoindre mon amour. J'entendais une voix qui criait au loin mais je n'en avais cure. Ma chute ne dura pas aussi longtemps que je l'avais pensée aux premiers abords car je sentis le choc brutal meurtrissant mon corps assez rapidement. Je pensais que je mourrais sur le coup ce qui ne fut pas le cas. La douleur se faisait lancinante dans l'ensemble de mon corps et j'avais entendu plusieurs craquements significatifs de fractures multiples. Je sentis quelqu'un arriver jusqu'à moi et je décidais d'ouvrir les yeux bien que cela me fut difficile. Je vis alors un homme brun d'une trentaine d'année environ avec des yeux dorés qui me regardais avec inquiétude. Son visage semblait torturé. Il me pris dans ses bras et me ramena au sommet de la falaise avec une facilité déconcertante. Apparemment ma chute n'avait pas été jusqu'en bas comme je le prévoyais au départ. De toute façon, je sentais que mes forces me quittaient. J'entendis l'homme m'adresser la parole mais je ne comprenais pas ce qu'il me disait.

Comme je me sentais partir, je sentis une douleurs bien différentes des autres m'assaillir au niveau de mon cou. Celle-ci se propagea sur l'ensemble de mon corps. Elle était telles des flammes l'embrasant par vagues plus puissantes les unes que les autres. Quoi que je fasse, la douleur était insoutenable. Le temps ne semblait plus avoir de prise sur moi tellement la douleur me prenait. Cela aurait pu durer des heures, des jours voir même des années je ne saurais le dire. Etait-ce cela la mort ? Si cela se trouvait je m'étais retrouvée en enfer pour m'être suicidé. Mais quand celle-ci se mit à diminuer pour enfin disparaître, j'en ressentis un énorme soulagement. Je n'étais peut-être pas en enfer après tout. En revanche, je sentais comme une soif insatiable me saisir la gorge à tel point qu'elle en était douloureuse. Je me permis tout de même d'ouvrir les yeux et la vision que j'eu fut si clair et précise que j'en fut complètement déboussolée. Tout ceci sans compter mes autres sens que je sentais beaucoup plus affiné eux aussi également. Mes yeux tombèrent sur un homme brun aux yeux de miel. Serait-ce lui que j'avais vaguement aperçu à la falaise ? Sans doute, ma vision n'était pas très claire à ce moment là.

- Comment vous sentez-vous ? Me demanda-t-il

- Un peu désorientée mais ça devrait aller. Lui répondit-je d'une voix que je ne me connaissait pas.

J'en fut si surprise que je m'asseyait d'un coup d'une vitesse en beaucoup supérieure à celle d'un être humain normalement constitué. Ce qui ne m'aida bien évidemment pas car cela me terrifia totalement. Je regardais en tout sens essayant vainement de comprendre ce qui était entrain de m'arriver.

L'homme se rapprocha et mit ses mains sur mes épaules, tenta de m'apaiser en me disant de ne pas m'inquiéter, que tout ceci était normal et qu'il allait tout m'expliquer. Je le regardais avec perplexité, mais attendant tout de même ses explications. Après tout, si lui savait ce qui était entrain de m'arriver, je pouvais bien l'écouter, ça ne me coûtais rien. Aussi je me calmais comme je le pouvais et le regardais intensément attendant les dîtes explications. Il prit une grande inspiration et se présenta d'abord comme s'appelant Thiberias. Puis il commença à entrer comme il le disait dans le vif du sujet. Il me donna une explication des plus absurdes à propos de créatures légendaires appelées vampire et qu'il en faisait partit, tout comme moi à présent selon ses dires.

Selon moi, plutôt qu'appartenir aux vampires, il devait sans aucun doute appartenir à l'asile du coin. Il me regarda mais fit mine ne pas avoir remarquer le fait que je ne semblais pas adhérer à ses dires. Il préféra continuer son explication sur la vie d'un vampire, ainsi que les us et coutumes de cette race. Apparemment, il disait avoir dans les 400 ans et qu'il était le fils d'un chef de tribus dans les terres de Sibérie. Il ne s'attarda pas trop sur son histoire (que je trouvais fort bien imaginative pour un fou), mais me raconta qu'il voyageait avec un compagnon nommé Gary. Qu'il l'avait lui aussi mordu il y a de cela 10 ans. Celui-ci allait selon ses dires ne pas tarder à rentrer de la « chasse » et que lui et ce soit disant Gary avait veillé sur moi à tour de rôle pendant la durée de ma transformation. Que pendant ce temps, ils m'avaient récupéré de quoi me nourrir. Il m'expliqua dans la foulée qu'ils ne buvaient pas le sang des humains comme beaucoup de leur congénères, mais celui des animaux qu'ils chassaient dans la forêt. Il me tendit un récipient dont l'odeur chatouillait agréablement mes narines depuis tout à l'heure. L'attirance vers ce bol s'agrandissait au fur et à mesure que la soif que je ressentais se faisait pressante et presque incontrôlable.

Je me saisi sans préambule du bol en question des mains de son propriétaire et avalait tout avec une délectation non feinte. Une fois fini, je m'essuyais la bouche avec mon poignet (que je trouvait bien pâle tout à coup) et vis avec horreur que la substance que j'avais ingurgité avec appétit était du sang. J'était paniquée et horrifiée par mon geste et je me levais pour fuir en courant de cet endroit, de tout cette situation. Mais apparemment Thiberias ne l'entendit pas de cette oreille. Il me rattrapa à une vitesse impressionnante pour me maintint les bras en essayant tant bien que mal de me calmer. Ce qui évidement n'arriva pas du tout. De plus, il me sembla qu'il avait des difficultés à me maintenir. Comme si j'étais plus forte que lui. Je vis soudain une deuxième personne entrer dans la chambre dans laquelle je me trouvais. Quand il vit ce qui se passait il aida Thiberias à me maintenir. A deux, ils parvinrent à m'attacher au lit. Je ne su pas moi-même comment ils y sont parvenus. Il faut dire aussi que je ne leur facilitais pas la tâche, loin de là. Au contraire, je me débattais tant que je le pouvais pour fuir cette réalité qui m'arrivait en pleine figure et que je ne souhaitais pas.

Quand je fus attachée, passablement calmée et qu'ils furent sûr que je ne pouvais m'enfuir, ils acceptèrent la demande que je leur ai formulée à savoir que j'avais besoin d'être seule. Après toutes les réflexions que je pus avoir il n'y avait plus aucun doute dans mon esprit :

1 – Je ne pourrais plus être auprès de mon amour comme je l'avais décidé initialement et je devrais vivre une éternité comme cela avec cette douleur qui n'avait en rien disparu contrairement à certains de mes souvenirs « humains »

2 – J'étais devenue un monstre qui buvait le sang des autres pour subvenir à sa propre existence, en d'autres termes pour reprendre ceux évoqués par ce Thiberias, je suis devenue un vampire.

3 - À l'instar de ce que je pensais en tout premier lieu, je devais sans doute être en enfer.


Alors vous avez aimé l'idée ? Oui ? Non ? Peut-être ? Alors vous savez ce qui vous reste à faire Review !!!! ^_^

Biz

A++