Diclamer: Les personnages appartiennent à Akira Amano, l'histoire est à SkyGem et la traduction est de moi.
Écriture: C'est en japonais. C'est en italien
Infos sur l'histoire: Jetés dans le passé à été initialement prévu pour être une trilogie. Ceci est la première partie, la seconde est en hiatus depuis 2012 et la 3ème attends que la 2ème soit finie. Si l'auteur poursuit la seconde partie je la mettrai mais en attendant...
Jetés dans le passé.
Giotto, un jeune de dix-huit ans était en train de faire une promenade dans les jardins privés du manoir Vongola (où seuls les gardiens et lui étaient autorisés à marcher) lorsqu'il a entendu un bruissement dans les buissons derrière lui. Surpris, le blond pivota avec un sourire, s'attendant à voir l'un de ses gardiens. Ce qu'il a vu à la place a fait tomber sa mâchoire au sol. (métaphoriquement, bien sûr)
Des buissons est sorti un petit garçon qui n'avait pas l'air d'être plus vieux que quatre ans. Il avait des cheveux bruns en désordre et ses grands yeux chocolat étaient terrifiés. Il avait des éraflures sur tout le visage ainsi que sur ses bras et il avait l'air d'être sur le point de pleurer.
Le blond regarda juste le petit brun avec de grands yeux. Comment diable était-il entré ici? La base Vongola était fortement gardée et beaucoup d'espions et/où assassins n'avait même pas passé la paroi extérieure et un petit garçon était parvenu à rentrer dans les jardins privés avec seulement quelques contusions?
Giotto était sur le point de commencer à interroger le garçon quand soudain, l'enfant chancela.
Avançant le jeune don mafieux attrapa le petit garçon dans ses bras parce que, potentiel assassin/ espion où non, il était encore un gamin. Sans parler du fait que son intuition lui disait que l'enfant était inoffensif.
Ne sachant pas quoi faire d'autre, Giotto laissa échapper un soupir et se dirigea vers la maison, portant le petit garçon dans ses bras.
Ce fut seulement pendant ce voyage qu'il a vu les similitudes entre lui et le petit brun. Leurs visages étaient si semblables, il serait presque impossible pour eux de ne pas être liés, mais le problème était là, Giotto ne possédait pas de parents en vie.
Le jeune homme était tellement pris dans les caractéristiques du brun que lorsqu'il sortit de ses pensées il était sur le point de percuter un arbre. Faisant une embardée sur le côté juste à temps, il continua vers sa destination, cette fois en prenant soin de regarder où il allait.
Après avoir quitté la cour intérieur il se dirigeait vers l'une des chambres d'hôtes lorsqu'il entendit G crier.
-QU'EST-CE QUE TU VEUX DIRE PAR TU NE SAIS PAS OU TU ES?! entendit-il sa main droite hurler et sa curiosité était éveillée. Est-ce que Lampo avait essayé, à nouveau, de se faufiler dans sa chambre pour voler des bombons?
-PUTAIN! JE VOUS AI DÉJÀ DIT A L'INSTANT QUE J'ÉTAIS A UN RÉCITAL DE PIANO! Cria une voix tout aussi forte mais beaucoup plus jeune. Et ce n'était très certainement pas celle de Lampo.
Giotto laissa échapper un sifflement. Même s'il ne pouvait pas le voir il savait que ce gamin mystère était beaucoup trop jeune pour avoir un tel langage coloré. Suivant le son de la voix, Giotto a trouvé son meilleur ami debout à l'extérieur de sa chambre, criant à un enfant aux cheveux argentés suffisamment long pour atteindre ses épaules. Bien que le blond ne pouvait pas voir son visage il était certain que le gamin avait une expression très semblable à celle que son gardien de la tempête portait.
-ET QU'EST-CE QUE L'ENFER EST UN PIANO?!
-C'EST UN INSTRUMENT DE MUSIQUE, IGNARE, INCULTE!
Giotto les interrompis avant que l'enfant ne puisse continuer à insulter G.
-Que se passe t-il ici? Demanda t-il d'une voix normale. Immédiatement, les deux ont arrêtés de crier alors que l'enfant se tournait pour regarder Giotto.
Quand il vit le visage de l'enfant, Giotto écarquilla les yeux en état de choc. Le visage de l'enfant ressemblait beaucoup à celui de l'homme avec lequel il se disputait.
G quand à lui repéra l'enfant dans les bras de son patron et son visage devient interrogatoire.
-Qui est-ce?
Giotto haussa les épaules:
-Un enfant que j'ai trouvé alors que je me promenais dans le jardin.
-Et tu l'as emmené ICI? Demanda G, commençant à crier à nouveau. ET SI C'EST UN ESPION? Pour ce que nous en savons, lui et ce morveux, il désigna l'enfant aux cheveux argenté, pourraient être complices!
-OI! Cria le-dit garçon. Arrêtez de parler de moi comme si j'étais pas là, bon sang! Quoi qu'il en soit, j'ai jamais ce gars de ma vie!
-Comme si l'ENFER j'allais te croire! Cria G le fusillant du regard. Comment pouvons-nous être sûr que vous n'êtes pas des espions envoyés par une autre famille pour obtenir des informations sur les Vongola?
Levant les yeux au ciel le garçon répondit:
-Parce que mon père est bon ami avec...
Le garçon a cependant été coupé par une explosion provenant de la cour.
Laissant échapper un soupir, Giotto déplaça le petit brun dans ses bras de sorte qu'il puisse s'agripper à son dos puis se tourna et se dirigea vers l'endroit dont le bruit provenait.
G attrapa l'autre garçon par le bras et le suivit vers la source du bruit.
Quand ils sont arrivés à la cour, ils ont vu Alaude menotter un enfant aux cheveux noirs et aux yeux gris acier. Il fixait Alaude avec un mélange de colère et d'indignation. D'où Giotto se tenait, il pouvait voir que le garçon ressemblait beaucoup à son gardien du Nuage.
Maintenant, le jeune don commençait à se méfier. D'où apparaissaient tous ses enfants? Et y avait-il une raison pour laquelle ils ressemblaient tellement à lui et ses gardiens?
Laissant échapper un soupire, il fit signe à Alaude de venir et l'homme obéit silencieusement. Quand il a vu les enfants avec son patron et la main droite stupide, il leva un sourcil comme s'il disait: "Et ils sont?"
Secouant la tête, Giotto répondit:
-Juste apparus comme ça. Et lui?
-Je l'ai trouvé errant autour, alors je l'ai appréhendé pour intrusion. Il ne réponds pas à ce que je lui dit.
-Tu le connais, lui? Demanda G au garçon dont il tenait le bras avec une prise ferme.
-Non. Répondit-il, en détournant le yeux et faisant la moue, visiblement énervé de ne pas être assez fort pour le faire lâcher prise.
Un silence gêné s'installa, puis commença à durer, si bien que Giotto était sur le point de le briser lorsqu'il sentit un mouvement dans son dos et qu'il se retourna pour voir le garçon qu'il tenait ouvrir les yeux.
Lorsque le garçon le vit, ses yeux se sont agrandis d'effroi et il lâcha immédiatement Giotto, s'écarta de son dos et tomba sur le sol.
Quand il atterri, il leva les yeux vers tous les gens qui lui faisait peur, les trois hommes et les deux garçons. Ses yeux larmoyaient.
-Okaa-san... sanglota le petit garçon dans une langue que Giotto reconnu immédiatement comme étant du japonais.
Essayant de paraître le plus rassurant possible, Giotto sourit et répondit dans la même langue.
-N'est pas peur, petit.
Malheureusement cela sembla avoir l'effet inverse et le petit garçon cria plus fort, ayant peur de l'étranger aux cheveux d'or et aux yeux bleus.
-Tais-toi, herbivore. Coupa une nouvelle voix, Giotto regarda surpris l'enfant que Alaude tenait.
Voilà, pourquoi il n'avait pas répondu à Alaude auparavant. Il comprenait probablement seulement le japonais.
Le petit brun assez étonnamment, arrêta de pleurer et regarda le garçon plus âgé avec de grands yeux.
-H...Hibari-sempai? Demanda t-il.
L'autre garçon maintenant identifié comme Hibari, hocha simplement la tête et détourna la tête. Giotto dut étouffer un petit rire: il était si semblable à Alaude. Le garçon essayait d'agir indifférent et d'avoir l'air froid mais Giotto savait que lui dire de se taire avait été sa façon de rassurer le petit brun.
Sans un mot, Alaude jeta soudainement le garçon nommé Hibari sur son épaule et se dirigea vers l'intérieur en disant:
-Je vais prendre celui-ci pour l'enquête. Je vous suggère de faire de même si vous ne voulez pas être arrêtés.
G pour une fois n'a rien dit suivant simplement le gardien des nuages à l'intérieur.
Avec un sourire rassurant, Giotto tendit la main au garçon brun.
Tsuna qui était maintenant beaucoup plus calme sachant que son senpai de l'école était là sourit timidement et pris la main offerte.
Les deux d'entre eux marchaient tranquillement à l'arrière du groupe pendant un certain temps puis Tsuna leva les yeux vers l'homme blond, n'ayant maintenant plus peur du tout de lui; il avait l'air gentil.
-Gomenasai.
L'homme baissa les yeux avec une expression confuse.
-Je suis désolé d'avoir été grossier. Expliqua t-il avec un sourire d'excuse sur son visage et Giotto avait incroyablement envie de caresser les cheveux du brun.
-C'est bon. Ce n'est pas de ta faute si tu avais peur. Quoi qu'il en soit mon nom est Giotto. Quel est le tien?
-Je suis Sawada Tsunayoshi, mais la plupart des gens m'appellent Tsuna! répondit le garçon avec enthousiasme faisant un peu rire Giotto.
Il aurait parlé un peu plus mais Tsuna l'arrêta regardant devant lui.
Suivant son regard, Giotto remarqua que les autres s'étaient arrêtés et qu'il était dangereusement près de se cogner à une certain alouette.
Ladite alouette regardait en direction d'une porte ouverte, laquelle Giotto le savait immédiatement conduisait à la chambre d'Asari.
De l'intérieur provenait le bruit d'une conversation, lorsque Giotto poussa la porte, il tomba presque au sol de surprise en voyant son gardien de la pluie assis sur un coussin profitant d'un thé en compagnie d'un enfant lui ressemblant beaucoup.
En voyant l'homme japonais, Tsuna laissa échapper un petit cri et couru dans la pièce.
Lorsque les deux occupants de la pièce le virent, ils eurent un sourire jumeaux et Tsuna sourit en retour.
Cédant il leur dit:
-Ohayo gozaimasu!
Ayant l'air légèrement surpris, Asari commenta: "Un mini Giotto". Croisant le regard de son patron il eut un sourire malicieux puis se tourna vers le garçon et dit en japonais:
-Ohayo boya, ai-je raison de supposer que tu ne sais pas comment tu es arrivé ici?
Tsuna hocha la tête et Asari sourit. Tournant son attention vers son patron il demanda:
-Où les emmenez-vous?
-En salle d'interrogatoire, l'idée d'Alaude. Répondit Giotto.
Hochant la tête, Asari se leva et commenta:
-Nous ferions mieux d'y aller nous aussi.
Se tournant vers l'enfant avec qui il avait partagé un thé il lui dit:
-Yamamoto-kun, mon ami voudrais vous poser quelques questions. Est-ce que c'est ok?
Yamamoto sourit en hochant la tête.
-Ça ne me dérange pas, Asari-san.
Alors que la petite troupe commençait à bouger, Giotto regarda chacun des enfants. D'après ce qu'il avait vu jusqu'à présent, ils agissaient tous de la même façon que celui à qui ils ressemblaient. Une pensée terrifiante.
Si l'on suivait la logique actuelle, alors un double miniature de Daemon viendrait se montrer bientôt et que Dieu les aident lorsque ça se produirait.
NDA: Lambo ne fera pas parti de cette fic, désolée à ses fans.
WARNING: J'ai demandé à l'auteur en début juin (2016) la permission de traduire mais je n'ai pas obtenu de réponse. Si l'auteur m'informe qu'elle refuse que je traduise je retirerai cette fic.
