Discours qui ne sert à rien Number One o/ :
OHAYO POPULASSE 8D !
Voici mon premier...truc ressemblant à un shonen-ai..Enfin , je crois ._.! Après avoir la vue la fin de 07-Ghost ( que je vous recommande fortement soit dit en passant 8 D) , j'étais un peu sur ma faim...Oui , ce manga est...*O* Voilà quoi! x'D Et donc , j'aborderai le nom de Yui-sempaï aussi x'D * Se présente parce que , c'est comme ça que font les gens dans le monde réel 8 D* ! J'espére faire beaaaaucouuup de fiction et truc en tout genre...Peut être une suite à ça aussi :o...*suspense*
Disclamer: Ces..merveilleurs personnages ne m'appartiennent pas...* n'arrive toujours pas à y croire* mais à Yuki Amemiya && Yukino Ichihara.[ D'après Wiki \o/]
C'était irraisonnable. C'était impardonnable.
Je ne pouvais et ne devais ressentir ce genre de chose. C'était impensable. Complètement bête et totalement stupide. Étais-je aussi simple d'esprit ? Alors pourquoi Diable m'étais-je accroupi sur mon lit?
Le remord.
Le remord avait tout doucement pris le dessus sur moi. Vile chose . Pour une fois que la journée s'était bien passée. Rien. Pas une seule fois une référence à mon passé qui ne cessait de me poursuive. Alors pourquoi? Pourquoi maintenant ?
Une brise se fit doucement sentir derrière moi. Certainement l'ouverture de la chambre du dortoir. Et je priais. Je priais sincèrement que ce ne soit pas lui qui soit entré. Ma tête se nicha dans mes genoux, tel un enfant battu ou proie à une crise. Jamais. Jamais je ne m'étais demandé ce qu'il pouvait bien représenter pour moi…et sûrement pas plus qu'un meilleur ami…Sauf que là, ses gestes, son parfum, son regard…tout était magique. Un rêve presque éveillé.
L'attention qu'il me portait. Ses sourires, tout. Tout était mien. Son être me revenait de droit comme je devais lui appartenir! C'était ce qu'on s'était promis , hein? Alors pourquoi mon corps tomba lourdement sur le lit , presque rendu trop lourd par les doutes qui envahissaient peu à peu mon cerveau?
Des pas.
Des pas approchaient. Un pas léger, presque sans bruit. Doux raclement sur le parquet, violent dans mon cœur. Ma tête penchée sur le côté m'empêchant de voir qui pouvait bien faire un vacarme aussi bruyant. Et puis soudain , le silence . Obscure et profond silence d'une sentence presque évidente. Et mon cœur qui tapait férocement contre ma poitrine.
Tout sauf ça. Tout sauf ça.
-Tei…Teito ?
Sa voix. C'était bien là sienne , à cet instant. Doucement mes jambes se rapprochèrent de mon frêle buste. .Merde. Tout sauf ça.
Un poids se fit sentir sur mon lit. Pitié.
-Teito?!Ca vas ?
Je ne mérite pas son inquiétude . Je ne veux pas . Pas de ça. J'ai l'impression... d'être égoïste, moi , le pauvre esclave de l'Empire. Pauvre déchet que les gens ne veulent ramassés .Je ne ..te mérite pas.
-…
Le bruit d'un froissement de tissue et deux bras m'encerclèrent. J'écarquilla les yeux mais ne bougea pas. Il devait avoir compris. Compris l'infâme paradoxe qui traînait dans mon cerveau.
Je le veux. Je ne le mérite pas.
Son souffle chaud sur mon oreille, ses bras encerclant mon torse…J'étais bien là enfaîte. Et dans un murmure presque inaudible…je lança un:
Je t'aime.
