Donc voici la deuxième publication de mon premier One-Shot, j'ai effectué quelques petits changement qui j'espère plairont à ceux qui l'ont déjà lu, ainsi qu'à ceux qui ne l'ont jamais lu. N'hésitez pas à donner votre avis.
Disclaime : rien ne m'appartient tout est à JK Rowling sauf Anouka et Aglaé.
Pourquoi faut-il tomber d'une échelle ?
Cherchez sur une carte du monde et trouvez l'Angleterre (un petit machin tout déchiqueté vers le milieu et qui est entouré d'eau).
Cherchez sur une carte d'Angleterre et trouvez Londres (une grosse tache, en bas à droite vous ne pouvez pas la louper !).
Cherchez sur un plan de Londres, et trouvez Crouch End (un drôle de nom mais un joli coin). Ensuite, cherchez Palace Height Road, (le numéro 32 pour être précis). Quand vous aurez trouvé le 32, mettez-vous sur le trottoir d'en face et admirez la « beauté » de l'immeuble qui s'offre à vos yeux. Bien, vous l'avez trouvez et maintenant cherchez la fenêtre du quatrième étage se situant à votre gauche. Voilà ! Vous êtes entrain de regardez bêtement une des quatre fenêtres de l'appartement 21, mon appartement !
Je m'appelle Anouka Belman, mes amis me surnom Anouk (très original comme surnom !). Je vis dans cet appartement depuis la fin de mes études littéraires, c'est-à-dire depuis 2 ans. Celui-ci révèle très bien mon caractère, comme mes vêtements à vrai dire, je suis simple et timide. Par exemple, je ne porte pas des vêtements flash, pas que je ne porte que du noir, non ! Mais il est vrai que je ne suis pas voyante, dans la rue les gens ne se retournent pas sur mon passage, je ne suis qu'une personne parmi tant d'autres. C'est peut être pour cela que ma vie amoureuse est un véritable désastre, comme dit mon amie Aglaé (je vous en parle plus tard de celle la !), je ne suis pas laide, c'est juste que je ne me mets pas assez en valeur. Passer des heures devant un miroir, je déteste ça, déjà que je ne suis jamais à l'heure, imaginez si je commence à me maquiller ! Je suis ni trop grande, ni trop petite, ni trop grosse, ni trop maigre, mes cheveux sont noirs et mes yeux sont bleus foncés.
A quinze minutes à pieds de chez moi, se trouve mon travail, une librairie que je tiens avec mon associée et meilleure amie Aglaé Ford (comme la marque de voitures). Cette fille est tout le contraire de moi, excentrique à souhait et d'une timidité bien refoulée dans un coin de sa personne. Nous pourrions même dire que celle si est quasi inexistante. Aglaé cherche à me caser avec tout les garçons qu'elle croise, pour être plus précise, elle s'occupe toujours de ce qui ne la regarde pas. Mais je l'adore quand même, nous nous connaissons depuis le lycée et nous avons fait les mêmes études supérieures ; alors quand nous avons vu cette annonce dans le journal parlant d'une librairie à vendre, nous avons sauté sur l'occasion. Voilà pourquoi aujourd'hui nous sommes associées. Cette librairie est une librairie familiale comme dit Aglaé, elle ne ressemble en rien aux grandes librairies que nous trouvons aujourd'hui dans tout Londres. Non, elle, elle est petite, sa décoration est ancienne et simple, on peut y trouver toutes sortes de livres, ça passe des livres sortis depuis deux semaines, aux livres qui existent depuis déjà bien des années. Haa ! On l'aime notre librairie.
A vrai dire mon histoire commence ici dans cette librairie. C'est là que toute ma vie a été chamboulée, c'est là que je l'ai vu pour la première fois. C'était un jour comme les autres, je venais de faire mes quinze minutes matinales de marche quotidienne pour me rendre au travail. Aglaé était déjà là.
« Salut toi ça va ? demanda Aglaé.
- Bien merci et toi.
- Moi à merveille et dis moi ces amours ?
- Aglaé arrête un peu avec ça, il est à peine 9 heures du matin ! Alors je t'en pris, dis moi plutôt ce qu'il faut faire !
-Comme tu voudras, mais sache qu'un jour tu me remercieras d'avoir tant insister sur ce sujet !
- J'en suis certaine ! Le travail, Aglaé, le travail…
- Oui, oui c'est bon ! Alors, la commande de livres que nous avons fait l'autre jour est arrivée, tu n'as qu'à la mettre en rayon pendant que moi je m'occupe des factures. Mais réfléchis bien, si tu passais moins de temps dans ton travail peut-être que….
- Aglaé, STOP, je m'occupe des livres et toi des factures. »
Sauf que ce jour là, il aurait mieux fallu que se sois moi qui m'occupe des factures, ainsi je ne me saurais pas ridiculisée devant lui. Donc je me suis retrouvée sur une échelle à ranger des livres dans une étagère, j'avais vaguement entendu la sonnette de la porte mais je ne m'étais pas détournée de mon rangement qui s'avérait acrobatique, tellement acrobatique que j'en perdis l'équilibre en essayant de ranger un livre sur les animaux sauvages en Afrique. Je suis donc tombée mais au lieu de me retrouver affalé par terre sur les fesses, je me suis retrouvée nez à nez avec des yeux dorés. Il se passa quelques secondes avant que je calcule (j'ai toujours été nulle en maths) que je me trouvais dans les bras d'un charmant jeune homme aux cheveux d'un blonds foncés.
« Vous allez bien, vous ne vous êtes pas fait mal ? me demanda gentiment l'homme.
- Hein ? Heu… non, non ça va merci de m'avoir rattrapée : répondis je en me relevant et en me détachant de lui.
- De rien. Mais vous êtes sûr que tous va bien, rien de cassé ?
- Certaine tous va bien, merci quand même ; »
J'étais prête à retourner dans mon rangement qui après être acrobatique, était devenu suicidaire, lorsque le bel inconnu me coupa le chemin :
« Dites puisque vous tombez des étagères, vous devez donc travailler dans cette librairie, est-ce que vous pourriez me dire où je pourrai trouver Macbeth de William Shakespeare.
- Oui bien sûr, suivez moi. »
Je me dirigea donc vers le rayon LITTERATURE ANGLAISE, tout en y allant j'essayais de retrouver mes esprits, il faut dire que tomber d'une échelle et atterrir dans les bras d'inconnu, ma foi fort séduisant, ça ne m'étais encore jamais arrivée. Et le fait, que ce dernier me suive, n'arrangeait en rien la situation.
« Quelle édition souhaitez vous Monsieur ? demandais je quand nous arrivâmes enfin devant le rayon et que j'essayais en vain, d'adopter une attitude de vendeuse après le désastre de l'échelle.
- Heu… j'en sais rien.
- Edition récente ou édition ancienne.
- Il y a un différence entre les deux ?
- Hum…oui : répondis je en essayant de ne pas rire, cet homme n'était pas un expert de la littérature. Si vous aimez vous dire que le livre que vous tenez dans vos mains à une plus grande valeur. Autrement, non il n'y a aucunes différences, le texte est identique que se soit la nouvelle ou l'ancienne édition. Cependant, la plus récente, à quelques notes au bas des pages, ce qui pour un lecteur assidu et amoureux des livres, est considéré comme un sacrilège.
- Bien, alors donnez moi la plus ancienne que vous avez.
-Tenez, pour le régler allez à la caisse mon amie s'en chargera. Au revoir.
- Au revoir et merci. »
Je ne savais rien de cet homme, mais j'avais déjà l'impression de l'aimer. C'était vraiment bête, il était simplement venu acheter un livre comme n'importe quels autres clients, pas la peine de croire à une magnifique histoire d'amour à l'eau de rose, du genre celle qu'on voit au cinéma ou qu'on lit dans un roman style Arlequin. Pourtant moi j'y croyais, je ni pouvais rien j'étais une romantique de nature. Chaque jour qui passait, j'espérais le voir franchir le seuil de la porte de la librairie, qu'il viendrait me demander un autre conseil sur un autre livre et que par la même occasion il me donnait rendez-vous le soir même dans un magnifique restaurant. Chose qui n'arriva jamais vous vous en doutez.
Trois semaines passèrent, avant que par un fabuleux hasard je le recroise. J'étais au supermarché le plus proche de chez moi, entrain de faire mes courses pour le dîner que j'avais prévu avec Aglaé. Je me trouvais dans le rayon surgelé, avec dans une main un paquet de lasagnes et dans l'autre mon portable. J'étais gentiment entrain de me disputer avec mon amie sur le plat de résistance de notre dîner amical quand quelqu'un me demanda :
« Vous tombez toujours de votre échelle ? »
Cette fois-ci, mon esprit calcula très vite, c'était lui, le jeune homme aux yeux dorés de la librairie. Je me retournais lentement, tout en raccrochant au nez d'Aglaé.
« Haa…heu..bonjour, non je ne tombe plus de mon échelle, merci. Et vous Shakespeare ?
- Je n'en sais rien ce n'était pas pour moi, mais pour une amie, c'était son anniversaire, elle adore les livres. Amie, pas petite amie : rectifia-t-il lorsqu'il s'aperçut de mon expression au moment où il avait prononcé le mot amie. Je ne me suis même pas présenté Remus Lupin.
- Enchanté, Anouka Belman. Bon..heu…
- Ca vous dirait un bon dîner un de ces soirs, enfin vous êtes pas obligé d'accepter, c'est juste une proposition.
-Hein ? Heu…oui bien sûr pas de problème.
- Vendredi soir, ça vous va ?
- Parfait ! Venez me cherchez à la librairie, c'est toujours moi qui la ferme le vendredi.
- Bien, on fait comme ça. A vendredi, 19h30 alors.
- A vendredi,19h30. »
Les deux jours avant ce dîner furent deux jours de grandes préparations. Aglaé n'arrêtait pas de me donner des conseils et ça m'énervait plus qu'autre chose. Quand enfin le moment tant attendu arriva, je ne savais plus du tout comment me comporter. Devais je espéré plus qu'un simple dîner ? Où m'avait il invité simplement pour qu'on devienne amis ? A la fin de cette soirée j'eu la réponse à ces deux questions, je pouvais espérer plus qu'un simple dîner amical. La soirée c'était merveilleusement bien passé, Remus était un véritable gentleman, nous n'avions pas arrêté de discuter de tout et de rien, chose incroyable pour quelqu'un de timide comme moi, mais Remus m'avais tout de suite mise à l'aise. Après m'avoir raccompagné jusqu'à chez moi, il m'avait tout simplement embrassé et n'avait pas cherché à aller plus loin. En fait, le plus loin c'était produit après trois autres dîners et je peux vous dire que se fut un des moments les plus merveilleux de toute ma vie.
Trois mois s'écoulèrent, Remus avait fini par aménager dans mon appartement, il disait qu'il en avait marre devoir rentrer chez lui juste pour changer de vêtements. Il venait aussi très souvent à la librairie pour nous aider, je le soupçonnais de venir seulement pour s'assurer que je ne tomberai pas une autre fois de mon échelle, bien que cette tache je l'avais légué à Aglaé.
Aujourd'hui, nous étions tous les deux chez moi ou plutôt chez nous, à ne rien faire de spécial. Remus était allongé sur le canapé et avait l'air tendu comme si il me cachait quelque chose. Exaspérée par son comportement je fini donc par lui faire craché le morceau.
« Bon qu'est ce que tu as à la fin ? lui demandais je. Tu es vraiment bizarre aujourd'hui.
- Tu crois à la magie ?
- Pardon ?
- Crois-tu à la magie, aux sorciers ?
- Ca dépend de quelle magie tu parles mon cœur.
- Je parle de la magie avec baguette, aux créatures magiques, aux fées, je ne sais pas moi, je parle de toute la magie, de la magie en générale.
- J'y croirai quand j'aurai rencontré un vrai sorcier avec de vrais pouvoirs. :répondis je sur le ton de la plaisanterie.
- Sérieusement, si je te dis que je suis un sorcier de surcroît un loup-garou, que tous mes amis sont des sorciers et que je n'ai pas fait mes études à Oxford comme je te l'ai toujours dis, mais dans une des meilleures écoles de sorcelleries du monde Poudlard. Tu me crois ?
- Très drôle Remus, mais ça ne marche pas avec moi, désolé. Trouves autre chose, mon chéri !
- Ce n'est pas une blague, c'est la vérité. »
Et pour justifier ces quelques mots, il sortit un bout de bois et fît apparaître un bouquet de roses rouges dans sa main libre.
« Tu me crois maintenant ?
- Faut que j'aille prendre l'air !
-Anouk attends ! »
Mais c'était trop tard j'étais déjà dehors. Remus un sorcier, dans trente secondes Aglaé va me sauter dessus en me criant surprise. Mais Aglaé ne me sauta jamais dessus, il fallait se rendre à l'évidence Remus avait dit vrai. Alors comment devais-je réagir ? Je lui cris dessus et je le chasse de chez moi en le traitant de monstre ou bien je lui dis que ça ne me dérange en rien et que je suis prête à l'accepter même si il est un sorcier loup-garou. Mon cœur et mon cerveau penchaient largement vers la deuxième solution. De plus je comprenait mieux pourquoi Remus était toujours absent un fois par mois, c'était à cause de la lune. Sans compter la fois, où il avait perdu sa montre qui était sur le buffet et que le temps que je me retourne, celle-ci avait disparue. Tout en réfléchissant je n'avais pas remarqué que j'étais de retour au point de départ, c'est-à-dire devant mon appartement. Quand enfin je pris la décision de rentré à l'intérieur au lieu de rester plantée devant la porte, je retrouvais Remus la tête dans ses mains entrain de se balancer d'avant en arrière. C'était un de ses tics lorsqu'il était nerveux et perturbé. Je savais qu'il m'avait entendu car il avait fini par arrêter son balancement. Je me décidai à briser ce silence.
« Tu peux faire quoi d'autres d'intéressant avec ta baguette ? »
Il se retourna d'un seul coup, se leva et se dirigea vers moi, il n'était plus qu'à quelques centimètres de moi. Je ne l'avais encore jamais vue aussi pale et inquiet. Ses cheveux étaient tout ébouriffés. A ce moment précis, il ne ressemblait en rien au Remus que je connaissais, il donnait l'impression d'un enfant qui attendait sa punition après une grosse bêtise. Quand, il pris la parole sa voix tremblait :
« Je peux te déplacer un meuble sans le moindre effort, je peux t'emmener n'importe où et pleins d'autres choses. Anouk, je comprendrai très bien si tu me chassais de chez toi en me traitant de monstre, mais je veux que tu saches que je t'aime vraiment et…..
- Chuut…je sais et ne t'inquiètes pas, tu es le plus beau et le plus doux monstre que je n'ai jamais connu. »
Remus sourit et m'embrassa. C'est histoire était faite pour durée.
.FIN.
Voilà j'espère que ce petit One-Shot vous a plu, ba dite le moi le petit bouton à gauche de votre écran et appuyer dessus.
Gros bisous à tous et à toutes.
Bonne vacances à tous ceux qui y sont !
PS : le One-Shot 2 sera aussi modifié je pense peut être avant la fin des vacances.
°°°°°Pendant que j'y suis-je vais faire un peu de pub pour des films et acteurs : en fait, voilà je viens de découvrir il y a de ça quelques mois, le monde magique de Bollywood avec des films comme La Famille indienne, Devdas, Main hoon na et pleins d'autres encore. Ainsi que, des acteurs comme Shah Ruhk Khan, Kajol…. Je vous conseille vivement de vous plonger dans cette culture différente mais magnifique.°°°°°
H.BLACK
