Salut tous le monde, me voila de retour pour une nouvelle fic ! Cette fois ci pas de résumé comme vous avez pu le voir, sinon sa gâcherait tous. Je vous laisse lire, ceci n'est pas un slash pour ceux qui se serait tromper de page. Voila bonne lecture.

La petite élyon

Chapitre 1

Un dernier soupir dans la chambre d'un appartement, dernier baiser, dernière caresse, l'atmosphère est chaude, électrisante, douce, lui surtout est très doux, très câlin, elle ne l'aurait jamais cru, encore sous l'emprise d'un plaisirs étourdissant. Lui retracer doucement ses formes du bout de ses doits, déposant des baisers brulant sur sa peau. Elle avait rendu les armes depuis longtemps et s'abandonner à ses caresses.

Quelque heure plus tard il faisait encore nuit dehors mais on voyait le jour se lever au loin, il était déjà dehors, relevant le col de son manteau, il faisait encore bien frais, le vent glacial qui soufflait lui faisait du bien d'ailleurs, il respira à fond, il ressentait toujours sa quand il sortait, il se sentait bien, vidé, il ne pensait à rien, ne réfléchissait plus, son cerveau semblait en paix, il marchait tranquillement dans la rue, il rentrait à pied, elle n'habitait pas si loin de Baker Street après tous.

Même si il était encore tôt il croisait beaucoup de monde courant sur le trottoir pour attraper le métro ou un taxi pour aller travailler. Il se faisait bousculer et la foule grandissait au fur et à mesure que l'heure avancer. Habituellement dans un autre contexte il se serait dépêcher de rentrer, pour fuir la foule, mais la c'était différent, il n'avait pourtant rien pris, pas de tabac, pas de drogue, mais une nuit avec elle produisait le même effet que la cocaïne ou l'extasy il se sentait bien tout simplement, oubliant le reste du monde. Il fini par rentrer, il monta les marches doucement, abandonna son manteau quelque part et se laissa tomber sur le sofa, John lui sauta dessus en sortant de la cuisine

-tu étais ou cette nuit ? fit-il visiblement inquiet

-je…j'étais partis vérifier une théorie fit il d'un ton détacher mais son hésitation attira l'attention de son ami

-c'est marrant parce que figure toi que Mycroft ta vu entrer a Bart et ressortir avec Molly après évidement mystère fit il d'un ton moqueur

-comment ça Mycroft ? fit Sherlock irrité

-et bien je commencer à m'inquiéter figure toi, sa fait presque 2 mois que tu disparais comme ça à tel ou tel moment de la journée. Fit John en comptant sur ses doits, tu as tellement d'ennemi que Mycroft me paraissait plus approprié pour savoir ou tu était passé fit il

-je ne savais pas que j'avais des comptes à te rendre « maman » fit-il d'un ton agacé

-ne me dit pas que tu as pris notre pari au sérieux ? fit John

Sherlock décida de ne pas répondre et John pris sa comme une victoire, il jubiler presque alors Sherlock repris la parole pour sauver ce qui rester de son honneur

-si j'avais honoré notre paris je m'en serais vanté tu ne crois pas ? fit il

-hum hum fit John en souriant de toute façon il y a un certain temps que je pensais que c'était ça qui te faisait sortir à des heures pas possible, on fait toute les enquête ensemble ! fit il triomphant

-crois ce que tu veux après tous fit Sherlock en abandonnant la partie

John se souvenait très bien comment ce paris stupide était arrivé entre eux, un jour Sherlock s'ennuyer à mourir, même ses expériences ne le distrayait plus, il était d'une humeur infernale et demander à John si il avait une idée d'expérience nouvelle à testé, John excéder de le voir ce plaindre toute la journée lui avait rétorqué

-tu n'a qu'à te faire un pan cul ! Mais un bon plan cul fit il excéder comme ça tu rentre crever et tu me prends plus la tête ! fit John qui écrivait alors sur son ordinateur pour mettre son blog à jour

-un plan cul ? fit Sherlock sans comprendre

-ne me dit pas que je dois te donner une définition ? fit John effaré

-non non, avec une prostitué tu veux dire ? fit Sherlock qui avait tout de même le minimum vital de connaissance à ce sujet

-oui ou avec une autre, une amie ou quelqu'un que tu connais, tu fixe les règles et tu me lâche les baskets ! fit John épuiser d'entendre les jérémiades de Sherlock depuis 8h du matin

-ok fit Sherlock sa peut être une expérience intéressante fit il alors que John ricanait

-tu me fais rire fit il je suis sur que tu n'es même pas capable de décrocher un simple rencard avec une fille alors de la à proposer un plan cul à quelqu'un laisse moi rigoler, tu vas finir à l'hôpital avec la mâchoire fracturé fit John en rigolant

Sherlock frustré s'était vexé et avait promis de tenir le pari, quelque jour plus tard cette petite scène était oublié mais Sherlock sortait de plus en plus souvent, au début il pensait à une affaire, même si il faisait le plus souvent tout ensemble, il arriver à Sherlock d'aller examiner des preuves dans des endroit tellement dangereux qu'il ne voulait pas mêler John à ça, sauf que la, sa faisait presque 2 mois qu'il le voyait partir en vadrouille, enquête ou pas.

Il ne le dirait jamais à Sherlock, mais John en avait parlé à Mycroft, et lui avait demandé de le pister pour voir ce qu'il faisait, Mycroft trop content d'avoir l'autorisation pour surveiller son petit frère avait été autant surpris que lui en découvrant la vérité, il ne le suivait pas complètement, sur quelque rue seulement mais assez pour savoir qu'il voyait souvent Molly Hooper la jeune médecin légiste de l'hôpital. John ne rentra pas plus dans le sujet, après tous il faisait ce qu'il voulait. Et c'était plus rassurant que la drogue ou le tabac, même si il était révolter qu'il ait pu manipuler la petite Molly qui il le savait était très amoureuse de lui.

Molly de son coter, était chez elle, elle l'avait entendu partir, avait regardé l'heure et s'était enrouler dans ses drap pour dormir encore un peu. Elle n'était pas vexer ou en colère au contraire, c'était les règles et il lui faisait vivre à chaque fois des nuits de rêve. En plus de le trouver craquant, il était un excellent amant, avec lui elle voyait des étoiles.

Quelque heure plus tard, elle se leva, toujours enrouler des ses drap, elle se traina jusqu'à sa cuisine et se fit un café en s'asseyant sur son buffet de cuisine, les mains autour de sa tasse de café fumante elle regarder par la fenêtre de sa cuisine les gens qui partait travailler. Elle travailler que l'après midi. Il connaissait son emploi du temps par cœur, s'arrangeant toujours pour apparaitre la vieille d'un jour de congé ou d'une garde de l'après midi. Les règles était simple, que du sexe, pas de sentiments, pas d'état d'âme, pas de prise de tête, et chacun rentre chez soi. Elle avait été aussi surprise que lui il y a deux mois de s'entendre dire oui à une proposition pareil, dite simplement, avec détachement, elle se sentait manipulé, il avait pensé à elle car il savait qu'elle était amoureuse et qu'il avait plus de chance avec elle qu'avec d'autre. Elle n'était pas choquer, des plans culs elle en avait eu à la fac, c'était une solution bien pratique pour elle, tellement prise dans ses études, pas le temps pour une relation, des pleurs et des mouchoirs, elle avait souvent eu recours à ce genre de pratique.

Au bout de 2 mois quand même, elle trouvait leur relation étrange, un plan cul c'était sans sentiments, sans douceur, c'était brute, c'était que du sexe entre deux adulte consentant. Elle connaissait bien, et pourtant, il était doux, câlin, il l'embrasser avec passion, comme si il avait une quelquonque relation de couple, comme si il était amoureux, c'était sa il l'embrasser comme un amoureux fou, lui faisait plus l'amour que du sexe. Mais elle ne voulait pas y penser, c'était elle qui était amoureuse de lui, impossible qu'il ressente quoique ce soit pour elle c'était un sociopathe, les sociopathes ne ressente aucune émotion. Elle s'était renseigner auprès de collègue, rien du tout, aucune émotion, d'ailleurs le lendemain il la croisait au labo et il redevenait froid et indifférent, comme si elle coucher avec un clone ou un jumeaux de lui. Et qu'il n'avait rien à voir dans cette histoire, un plan cul classique, sans prise de tête, un plan cul régulier mais avec des sentiments tout de même, avec une certaine magie entre eux. Une tel symbiose qu'elle soupirer en se demandant parfois ce que sa aurai pu être si il était vraiment ensemble, mais bon, elle avait tout de même son lot de consolation, elle coucher avec lui. Et il la faisait grimper aux rideaux. C'était le meilleur lot de consolation qu'elle n'avait jamais eu. Elle s'étira et partis s'habiller.

Sherlock de son coter était au prise sur une enquête qui avancer bien, il devait passer à Bart pour peaufiner les derniers détails de son enquête. Il s'y rendit dans l'après midi, emprunta les clefs du labo à Molly, il en retenait son souffle, il avait beau avoir qu'un plan cul entre eux, il était presque sur d'être le seul à posséder ce qui se cacher sous sa blouse de travail et son pull à col rouler. Elle ne se mettait pas vraiment en valeur sur son lieu de travail mais bon sang qu'elle était belle une fois nue, il priait jour et nuit pour qu'aucun homme de quelque service que ce soit dans l'hôpital ne s'en rende compte, parce qu'alors il serait très mais très jaloux, il le savait bien, si Molly se trouvait un petit ami, leur consentement tomber à l'eau.

Il était hors de question de poursuivre un plan cul si elle était en couple, même sociopathe qu'il était il comprenait ça. Quand à construire une relation quelquonque avec elle…..impossible selon lui, il ne saurait expliquer pourquoi. Malgré ce que pensait John il en avait eu aussi des plans culs, quand il était ado, c'était différent avec Molly, il aimait l'embrasser, la caresser, il avait plus l'impression de l'aimer que d'assouvir un envie. Ce qui était au début une simple nouvelle expérience, un pari stupide entre John et lui, se transformer en relation qui lui échapper complètement, plus les jours passer et plus il était tendre avec elle. Et maintenant que John avec l'aide de Mycroft avait découvert son secret, la vie aller devenir un enfer songea t'il.