Titre: Toi & Moi.
Auteur: Iphanna.
Genre: Romance, Général.
Couples: Roxas / Axel Sora / Riku Ventus / Vanitas et d'autres ...
Disclaimer: les personnages ne sont pas à moi, dommage :(
Noté: M
Résumé: Il faut aimer tout de sa vie, son passé son présent et son futur. Tout le mondes à ces problèmes et eux les leurs. Vous pouvez rencontrer des personnes qui vous ferons avancer et d'autre vous ferons revenir au point de départ. La vie n'est qu'un jeu qu'il faut gagner.
Notes 1: Il y aura beaucoup de POV.
Notes 2: Je remercie infiniment, énormément et beaucoup ma bêta Mimi d'avoir corriger, lut et de m'avoir aidé à amélioré se chapitre.
Note de la bêta : Ce chapitre a été corrigé et les suivants bientôt. Pardon pour le retard x( Bonne lecture !
Début Chapitre 1.
Début POV Roxas.
Il fait noir, froid, c'est bruyant. Je ne sais pas où je suis, ni ce que je fais ici. Je suis nu. J'ai mal, terriblement mal. Je ne peux pas bouger, sans avoir une douleur atroce aux jambes, je reste assis, sur le sol froid. Quelque chose de froid me tient les poignets et mes chevilles. Ma gorge est sèche, mon ventre vide. Mes yeux sont fermés, je n'ai pas la force, plus la force.
J'entend des voix de plus en plus proche, de plus en plus forte. J'ouvre un peu les yeux, et bouge légèrement malgré la douleur. Ils allaient m'aider, peut-être. Mes yeux enfin ouverts, je les reconnaît. Ce sont les deux hommes qui m'ont amenés ici il y a quelques jours. Je m'arrête de bouger, et commence à trembler de tout mes membres. Même si je nu et assis sur le sol froid, je recule. Je ne voulais pas qu'ils me touchent, pas encore. Des larmes commencent à naître dans mes yeux, elles s'accumulent au fur et à mesure qu'ils approchent de moi.
Mes yeux, ne pouvant plus contenir mes larmes, les laissent franchir mes paupières. Ces perles salées, coulant sur mes joues pâles, laissent une trace humide derrière elles. Mes lèvres tremblent encore plus que mon corps. Je ne peux plus reculer, je suis collé contre le mur froid. Je met mes bras devant mon visage pour me protéger, même si je sais que cela allait servir à rien. Je sens mes bras plus légers, les menottes que j'avais aux poignets n'y sont plus. Je regarde l'homme qui me les avaient enlevés j'eu un petit sourire. Mais je le perd vite quand il m'agrippe les poignets pour me les plaquer contre le mur. J'ai un hoquet de peur, ce qui le fait sourire. Je regarde l'autre homme, il a une seringue dans la main droite. J'essaye de me débattre, de défaire mes mains de l'emprise de l'autre homme. Mais il est fort, à moins que ce soit moi qui soit vraiment faible. L'homme à la seringue s'approche de moi, mes larmes recoulent sur mon visage terrifié. Il la met dans mon cou fin et appuie. Je grimace, ça fais mal, je pousse un cri. Puis m'arrête, l'homme qui me tenait me lâche voyant que je ne tenterai rien, ce dernier enlève les chaînes qui me broyaient les jambes. L'homme qui m'avait sûrement drogué commence à s'approcher de moi, je ne fais rien. Il met une de ses mains au milieu de mon dos et l'autre en dessous de mes genoux.
Il commence à me soulever avec une facilité déconcertante. En même temps je devais faire au moins deux têtes et demi de moins que lui. Ils m'amènent dans une autre salle. Plus lumineuse et plus bruyante. Je ne veux pas aller là-bas c'est là que tout le monde allaient et ne revenaient pas. La salle des enchères, c'est là où nous sommes vendus. Je commence bouger, mais à cause de la drogue je ne peux pas grandement. Je les supplie de ne pas m'amener là-bas, mais les deux hommes, m'ignorent royalement.
C'est bon c'est fini pour moi, je vais être acheté et ne plus être libre, j'allai devenir un esclave. Nous avons franchi la porte, les lumières de la salle des ventes sont aveuglantes, je suis obligé de fermer les yeux. Ils font quelque pas vers le milieu de scène, me posent sur une chaise et se mirent à côté de moi. Mes larmes coulent encore une fois sur mon visage terrifié .
-Cet esclave vous sera utile pour toutes les tâches que vous lui confirez. Il est très obéissant surtout si vous le lui demander très gentiment.
Il y a une petite touche d'humour dans sa dernière phrase.
-Qui voudrait ce magnifique blondinet?
L'homme qui m'avait tenu les poignets s'approche de mon visage et me lèche le lobe de l'oreille droite. Je frissonne. Ils commencent à mettre chacune de leurs mains sur une de mes jambes. Il me les écartent dévoilant mon intimité, j'ai honte, je me sens humilié. Même si je ne me voyais pas je savais que j'étais rouge de honte.
-De plus il est vierge.
Des mains commencent à se lever et à donner un prix pour pouvoir m'acheter. Aussi grand les uns que les autres, 200 000, 255 000, 300 000, 340 000... Les prix n'arrêtent pas de s'enchaîner, je vaux vraiment ce prix là ? Plus aucun bruit ne se fait entendre. Je regarde la personne qui avait fait la dernière offre. C'était un homme vieux, très vieux il n'a plus de cheveux une petite barbe qui est de couleur grise. Et a un sourire carnassier accroché au visage. Je déglutis difficilement. Pourquoi je devais être vendu ? Les deux hommes qui étaient à côté de moi font le décompte.
-Adjugé 1 fois, adjugé 2 fois adjugé-
-1 000 000 !
Je regarde là d'où viens la voix, c'était un homme grand mince, mais ce que je remarque en premier sont ses cheveux de couleur rouge. Il descend des marches en enlevant son manteau de fourrure. Une fois sur la scène il avance vers moi. Mes yeux toujours remplis de larmes essayent à tout prix d'éviter son regard. Mon acheteur regarde les deux hommes qui tenaient toujours mes cuisses pour montrer mon intimité, il leur fait un regard noir et en fronçant les sourcils. Ils lâchent mes jambes, qui tombent sur le sol froid. Le roux met son manteau de fourrure sur moi. J'ai chaud, un peu de chaleur ne me fais pas de mal. Son manteau est doux on dirait de la vrai fourrure, et il sent merveilleusement bon. Il sent la cannelle. Je regarde mon acheteur donner l'argent qui lui a servi à m'acheter, puis le roux se tourne vers moi, me faisant sursauter.
Il met ses bras autour de moi faisant attention à ne pas m'enlever son manteau de fourrure qui me réchauffe. Il me porte comme une princesse, je rougis. Il a l'air gentil, lui comme acheteur. Arrivé dehors il fait froid le ciel est rempli de nuages et il y a des éclairs. Je n'aime pas les éclairs il y en avait aussi quand je suis arrivé ici. Je commence à trembler, et à me serrer contre le torse de mon acheteur, qui sentait comme son manteau : merveilleusement bon. Devant sa voiture, qui était plutôt une grosse voiture. Il ouvre la porte de derrière, il entre avec moi dans ses bras. Il me jette à moitié sur un siège, je pousse un gémissement de douleur. Il va à une place près du chauffeur pour lui dire là où il veut aller, il ferme une vitre qui est entre nous et le chauffeur pour plus d'intimité. Puis il reviens vers moi. J'essaye avec toutes les forces que j'ai de me mettre assis sur le siège en cuir noir.
-Merci de m'avoir acheté.
-Tu es content que je t'ai acheté ? Souvent les personnes veulent le contraire.
Il s'approche et s'accroupit juste devant moi, un sourire sadique sur ses lèvres, il se mord sa lèvre inférieure d'une manière très sensuelle avant de me prendre les chevilles et de me les tirer pour que je tombe par terre. Je pousse un cri de stupeur, ce qui le fait rire. Il approche ses mains de moi, il enlève son manteau qu'il avait gentiment mit sur moi pour me couvrir. Je suis nu, devant une personne que je ne connais pas. Je serre mes jambes et cache mon visage avec mes bras tremblants. Des larmes coulent une nouvelle fois sur mon visage pâle. Il prend une nouvelle fois mes chevilles pour me les tirer, cette fois-ci je suis allongé sur le sol de la limousine. Il approche son visage de mes mamelons pour les lécher, me les mordiller fortement. Je cri, j'ai chaud.
-Qu'est-ce que v-vous faîtes?
-Je vérifie que la marchandise est bonne, et qu'ils n'ont pas menti quand ils ont dis que tu étais encore vierge.
-Quoi? N-non s'il vous plaît a-arrêtez.
Il me mord le téton, je pousse un cri de douleur. Il me le lèche puis le suce, avec son autre main il me pince l'autre.
-A-arrêtez !
-Ne me donne pas d'ordre.
Il mord une dernière fois mon mamelon gauche pour aller s'en prendre à celui de droite. Il fait des cercles avec sa langue. Je brûle, il fait brûler mon corps. Je gémis à chaque coup de langue qu'il fait sur mon corps.
-S'il vous plaît arrêtez.
-Je n'aime pas qu'on me donne des ordres. Alors tu devrais arrêter avant que je me défoule sur toi. Ils t'ont sûrement donner de la drogue, alors tu devrais aussi y prendre plaisir.
Comment je pourrais prendre plaisir à ça? I-il va me violer. Il commence à laisser des suçons sur ma peau qui devient de plus en plus chaude. Je laisse passer des gémissements sortir de ma bouche. Il donne un dernier coup de langue sur mon téton qui a durcit, pour aller sur mon cou. Il lèche mon cou, joue avec mes tétons de ses doigts brûlants. Je met mes mains sur ses épaules tentant de le repousser.
-Tu devrais arrêter tout de suite ce que tu commences à faire.
Il arrête de jouer avec mon mamelon droit pour prendre d'un seul coup mon sexe. Je pousse un cri de terreur, il me le serre de plus en plus fort. Mes mains tremblantes commencent à s'enlever de ses épaules.
-C'est mieux comme ça. Mais je préfère prendre les devants.
Il prend un bout de tissu qui était sur l'un des sièges. Il m'attache les poignets avec. Il serre de plus en plus fort. Je me mord la lèvre inférieure jusqu'au sang pour faire abstraction de la douleur de mes mains. Il prend mes mains jointes avec la sienne pour me les mettre en haut de ma tête. Il affiche un long sourire en voyant le sang sur mes lèvres.
-Tu veux que je vienne aussi m'occuper de ton visage.
-Non-non.
-Ne me refuse rien. Tu m'appartiens, tu n'es qu'un objet. Je fais ce que je veux de toi.
-Je ne suis pas un-un objet.
-Si.
Il s'approche de mon visage humidifié par les larmes que j'avais versé. Il lécha mes lèvres , suçote le sang qui y repose. Mon cœur rate des battements à chaque minute. Une fois mes lèvres complètement nettoyées par la langue du roux, il m'embrasse, je sens sa langue buter dans mes lèvres, pour en demander l'accès. Je serre les dents, et tourne mon visage de droite à gauche. Il lâche mes mains pour une nouvelle fois serrer mon membre entre ses longs doigts fins et chauds. Je crie, il l'avait serré encore plus que la dernière fois. Quand ma bouche allait se refermer il y glisse sa langue. Il touche tous se qui y a dans ma bouche avec sa langue, sa langue joue avec la mienne. Elles dansent un ballet endiablé. Elles s'enroulent se touchent s'effleurent. Il rompts le baiser auquel je n'ai pas répondu. Un filet de salive les lient encore. J'halète, je suis à bout de fatigue. Mon corps est humide à cause de la sueur. Mes jambes commencent à s'écarter. Je regarde mon acheteur les yeux exorbités.
-Non-non.
-Qu'est-ce que tu as? Tu as peur que je te pénètre?
-Je vous en supplie, arrêtez.
-J'arrêterais quand j'en aurai envie.
Il met sa main sur mon membre.
-N-non stop.
-Pourquoi veux tu que j'arrête alors que tu y prends du plaisir quand je te touche.
-Je-je n'y prend aucun plaisir.
-Alors faudrait que tu me dise pourquoi tu bandes.
-Je-je ne bande pas.
Il commence faire des va-et-vient avec mon membre.
-Aaah!
-Tu vois que tu y prends un plaisir fou.
-Aah ! Je vous en supplie a-arrêtez.
-Je t'ai dit tout à l'heure de ne pas me donner d'ordres.
Il accélère son va-et-vient sur mon membre chaud, brûlant. Je gémis à chaque mouvement de sa main sur mon sexe. Mon bas du ventre commence à me brûler.
-Arrêtez je-je vais aah je vais venir.
-Déjà?
Mon sperme, commence à couler le long de mon membre. Ce liquide blanc et épais repose sur mon ventre, sur la main du roux et sur son visage.
-C'était vraiment rapide.
Je rougis honteux, je me cache avec mes bras qu'il avait lâché. Il met sa main devant son visage, et commence à lécher mon sperme. Comment pouvait-il lécher ça? Avec sa main qui tient encore mon mamelon durcit il enlève mes bras qui cache mon visage terrifié. Qu'est-ce qu'il allait me faire? Sans comprendre se qui se passe, il met deux de ses doigts dans ma bouche. Je commence à étouffer. J'ai l'impression de ne plus savoir respirer et avaler. Des filets de baves commencent à aller sur mon menton, il les enfonce encore plus dans ma gorge. J'étais obligé de lécher et d'avaler ma substance qui repose sur ses doigts. Il retire ses doigts de ma bouche. Je suis à bout de souffle, mon cœur rate des battements je pique un fard. Il est en train de me détruire.
-Alors tu aimes ta substance?
-N-non.
-Peut-être que tu aimeras la mienne.
-Hein?
Il met ses mains sur mes hanches et il me retourne violemment. Je fais un petit gémissement de douleur. J'ai mal aux jambes mal aux genoux. Je tiens difficilement à quatre pattes avec mes deux mains attachées. Je sens son souffle chaud sur mon dos, j'ai chaud, j'ai des frissons. Mes bras tremblent tout comme mes jambes. Je sursaute en sentant une de ses mains malaxer mes fesses. Je pousse un gémissement de plaisir, puis m'arrête, comment je pouvais faire un tel bruit, avec un homme qui me touchait ?
-Tu aimes?
-Pourquoi vous me faîtes ça. On-on est deux hommes?
-Je fais ça avec qui je veux et quand je veux.
Il commence à toucher mon anus. J'émet un cri de terreur. Il allai me pénétrer. Il touche cette partie de mon corps, il fait des ronds avec ses doigts. Je gémis de plus en plus fort.
-Comme tu aimes, je vais passer au stade suivant.
Il commence à baisser son pantalon noir qui était moulant. Je commence à trembler de tous mes membres. Non je ne voulais pas qu'il rentre en moi. Je commence à pleurer.
-Non-non.
En m'ignorant royalement il me pénétre avec difficulté. Je cri tellement fort que je suis sûr que le chauffeur m'a entendu. Il m'a détruit. J'ai l'impression qu'on me fend en deux, qu'on me déchire de l'intérieur. La douleur est vraiment grande, je crie. Il est en moi, son sexe est en moi.
-Tu es vraiment étroit. J'adore.
-Aaah !
-Il fait chaud en toi. Ils n'avaient pas mentis en disant que tu étais encore vierge. Je ne me suis pas fais arnaquer.
Il commence des mouvements de va-et-vient en moi, je bouge au fur et à mesure qu'il me donne des coups de reins. Je crie je gémis je miaule, de douleur. Je peux sentir mon sang couler sur mes cuisses tremblantes.
-Tu es beaucoup trop crispé, ton entrée se referme toujours un peu plus.
Je serre le siège en cuir sur lequel j'étais à moitié allongé. Le bout de mes doigts commencent à blanchir et mes articulations me fait mal, mais en tout cas moins que se qui se passe dans mon arrière-train. Il continue à me donner des coups de butoirs, ignorant mes cris, mes hurlements, mes supplications pour qu'il arrête. Il me pénètre de plus en plus profond. J'ai chaud.
-Aah!
-Tiens tu y prends du plaisir maintenant.
Il a raison j'ai gémis de plaisir à ce moment précis, il a buté dans ma prostate. Ma gorge me fais mal, je crie trop. Il sort son membre presque entièrement de moi, un soupir de soulagement sort de ma bouche, quand d'un seul coup il le remet en moi pour encore une fois toucher ma prostate. Je crie des larmes coulent de mes yeux bleus. Il donne de plus en plus de coups de rein dans ma prostate m'arrachant autant de cris de douleur que des cris de plaisir. Je l'entends gémir, il gémit en me violant. Il était de plus en plus rapide, plus haletant. Il prend de nouveau mon membre entre ses doigts, je me mord la lèvre. Je brûle sous ses caresses. Il recommence ses vas-et-vient, je gémis je crie deux fois plus. Mon corps va fondre. Je mord mon avant-bras pour ne pas crier. Il gémit plus fort, ça lui fait tant de bien que ça? Sa main et ses coups de rein ont encore accéléré.
-Je-je aah.. va-vais-
-Tiens-toi tranquille.
D'un seul coup une chose se déverse en moi. Il a joui en moi... en moi. Je ne suis maintenant plus vierge. Il laisse son membre plutôt imposant en moi, et continue ses va-et-viens sur mon membre. C'est moi qui a jouit encore une fois. Il le lâche et se lèche les doigts pour encore une fois goûter ma substance. Mon visage est rouge de honte. Je ferme les yeux, je ne veux pas le voir. Je le sens se retirer de moi, ça fais mal. Il a la respiration saccadée. Il s'est vraiment défoulé sur moi, et y avait prit plaisir. Une fois s'être retiré complètement, je tremble. J'étais encore à quatre pattes, je commence à m'asseoir à même le sol. Je ne veux pas me retourner. Je peux sentir son regard vert pistache sur moi. Je sanglote, j'ai mal partout. Je le sens se rapprocher de moi. Je me recroqueville sur moi-même. Je ne veux pas qu'il me touche, qui me fasse encore mal, mais contre toute attente il remis son manteau sur mes épaules. J'ai chaud. Il approche ses mains des miennes, je les rapprochent de moi. Il me regarde droit dans les yeux.
-Donne-moi tes mains Roxas.
Je le regarde, comment sait-il mon nom? Je ne lui avais pas dis. À moins que ce ne soit la personne à qui il avait donné son argent qui le lui avais dit. Pourquoi il voulait mes mains? Voyant que je lui donnais pas, il me dévisage, je lui donne mes mains direct. Il me fait peur maintenant. Il me les prend avec une très grande délicatesse, il enlève le tissu avec quoi il mes les a attachés. Il y repose cependant une marque bleue rouge sur mes poignets, ça fais mal. Je reporte mon attention sur mon violeur, il semble triste, coupable.. Il rapproche mon poignet droit de son visage de ses lèvres. Un baiser, deux baisers, trois baisers se sont posés sur ma marque. Je frissonne, et retire ma main. Il me regarde avec un étrange sourire. Puis il commence à partir et à aller s'asseoir. Je reste là assis sur le sol, mon sang mon sperme et le sien entre les jambes. Quand je sens la voiture s'arrêter.
-On est arrivés.
Je le regarde et comment je fais moi, je peux pas marcher. J'essaye de me lever, mais retombe j'ai trop mal. Je le sens venir vers moi voulait-il m'aider? Je ne veux pas qu'il m'aide. Je me force avec les dernières forces qu'il me reste, mais en vain. Mais je ne sens pas mon corps heurter le sol de la voiture, il m'a rattrapé avant que je tombe. Je rougis. Il commence à me porter comme une princesse, j'ai l'impression que j'allai tomber je me serre volontairement contre lui, ce qui le fait sourire. Le chauffeur ouvre la porte de la voiture, il est rouge et évite le plus possible de regarder mon acheteur. Comment il s'appelle d'ailleurs? Je ne savait même pas le nom de la personne à laquel je vais désormais appartenir. Nous descendons de la voiture, puis le chauffeur part. Je regarde autour de moi, un trou pommé dans une forêt. Il n'y a pas un chat. Il commence à marcher. J'ai peur. Trente minutes plus tard. Il s'arrête devant une grotte, pourquoi il s'arrête là, il doit y avoir des ours qui y habitaient. Il entre, j'ai peur. Quand d'un seul coup plusieurs lumières s'allument, il se met devant une des parois, et appuie dessus. La paroi s'engouffre dans le sol. Oh non j'espère que c'est pas un homme qui vit dans les bois. Derrière cette paroi il y a une porte en métal, il l'ouvre. Derrière il y a un long couloir, il avance à petit pas, puis ouvre une porte qui est à sa gauche. C'est une chambre toute blanche et grise aucune couleur chaude. Il me dépose sur le lit, puis part. Me laissant ici seul...
Fin POV Roxas.
Début POV Axel.
Je sors de ma chambre, je dois prendre une bonne douche ce que je lui ai fait dans la voiture m'a épuisé. Heureusement qu'il s'est laisser faire. Je me rend devant la salle de bain de la base de l'Organisation XIII. Je l'ouvre, il n'y a personne. Je peut être seul, enfin. Je me déshabille pour lancer mes vêtements sur le côté et entre dans une des cabines de douche, je fais couler l'eau froide sur mon corps chaud. Quand j'entend la porte de la salle de bain s'ouvrir. Je n'ai pas besoin de me retourner pour savoir que la personne qui est entré est Larxene.
-Tu sais pourtant que cette salle de bain est pour les hommes.
-Oui je le sais, je voulais juste te voir.
-Oui je présume puisque que tu es là et qu'il n'y a que moi ici. Mais ça devra attendre.
-Oui, mais j'ai pas envie d'attendre.
-Bon tu veux quoi Larxene?
-Xemnas veut te voir toi et ton nouveau partenaire.
-D'accord.
Larxene part laissant un courant d'air froid rentrer, tout comme Demyx. Ils se regardent.
-Mais qu'est-ce que tu fais ici toi?
-Je fais ce que je veux, maintenant pousse toi.
Elle pousse Demyx en partant. Il pousse un long et profond soupir. J'esquisse un sourire.
-Heureusement qu'elle n'est pas ma partenaire.
-La tension est électrique entre vous.
-Je la déteste cette sale vipère.
Demyx commence à se déshabiller et entre de-suite dans une cabine de douche juste à côté de la mienne. Je me met du gel douche sur mon corps, je regarde pendant quelques instants mon tatouage « VIII ».
-Tu as choisi ton partenaire? Me demande t-il tout en chantonnant.
-Oui.
-Qui c'est?
-Tu le verras après. Alors arrête de me poser des questions.
-Oui c'est bon j'arrête.
Je sors de la cabine de douche et met un serviette autour de ma taille. Je pars quand Demyx m'interrompt.
-Attend moi.
-Dépêche toi j'ai pas toute la journée.
-Ah bon?
Demyx se presse en sortant de la douche et se rapproche de moi. Il attendquoi que je lui donne ma serviette ? Il commence à s'éloigner de moi et prend une serviette qui était à côté de la douche. Il la met difficilement à sa taille. J'ouvris la porte, et commence à aller dans ma chambre. Demyx me suit comme un toutou. Arriver devant ma chambre, j'ouvre la porte. Roxas est toujours sur mon lit il n'avait pas bougé. Il devrait peut-être prendre aussi une douche. Je commence à m'approcher de lui, il commence à reculer. Normal il doit avoir peur de moi maintenant après ce que je lui ai fait. Mais j'y suis obligé.
Fin POV Axel.
Début POV Roxas.
Il n'est plus tout seul, un gars avec un dégradé rasé sur les cotés l'accompagne. Et en plus ils sont tous les deux nus ou plutôt à moitié. Mon dieu. N'empêche l'autre à l'air bien plus gentil et il fait moins peur.
-C'est lui ton partenaire? Demande le blond.
-Oui.
Partenaire? De quoi ils parlent? Le blond s'approche de moi, son visage n'est qu'à dix centimètres du mien. Je déglutis. Où j'avais atterris... Maman j'ai peur.
-Comment tu t'appelle?
-Euh... Roxas.
-C'est un nom bizarre.
Je grimace, comment ça bizarre? Il est tout à fait normal.
-La ferme Demyx. Et toi, ton prénom il est pas bizarre peut-être.
Le dénommé Demyx fait une bouche en cul de poule ce qui me fit rire. Il me sourit.
-Roxas tu devrais aller prendre une douche.
-Hein pourquoi tu lui dit ça Axel?
Axel? Il s'appelle comme ça. C'est vrai que j'ai vraiment besoin d'une douche. Mes cuises sont collantes. Je commence à me lever j'ai encore du mal à marcher.
-Tu veux que je te porte encore une fois princesse?
-Non-non c'est bon.
Je presse le pas. Je ne voulais pas qu'il me porte, je me sens assez mal à l'aise comme ça. Je me presse d'aller vers la porte, Axel me l'ouvre et m'accompagne jusqu'à la salle de bain. Demyx lui était aller dans sa chambre. Où on est? Une grotte secrète? Une base secrète? Une fois devant la porte de la salle de bain, je déglutis, j'allais encore être seul avec cet homme bizarre. Il ouvre la porte. Il n'y a que des cabines de douches? Moi qui voulais une baignoire.
-Il n'y a que des douches?
-Quoi tu préfère les baignoires?
-Euh... c'est pas vraiment pour ça mais je préférerais prendre un bain plutôt qu'une douche.
-Et pourquoi?
-C'est personnel.
-Ah ah monsieur a des secrets.
-Évidemment comme tout le monde.
Je commence à enlever son manteau, quand je sens encore son regard sur moi.
-Vous êtes obligé de me fixer?
-C'est bon c'est pas comme si tu avais quelque chose à cacher.
-Bah si mon corps.
-Je t'ai vu nu il n'y a même pas deux heures pendant plus de trente minutes.
-C'est parce que vous m'aviez violer.
-Et alors?
-C'est pas bien.
-Tu dis que c'est pas bien de violer les gens, alors de kidnapper et de vendre les gens c'est pas pire?
-Si.
-Ils t'ont kidnappé il y a combien de jours?
-Je-j'ai pas envie d'en parler.
-Il faudra bien que tu m'en parle un jour.
-Bah ça ne sera pas aujourd'hui.
-Demain?
-Non plus.
-Après demain?
-Non...
-Après après demain?
-Non.
J'enlève son manteau de fourrure qui pèse une tonne, et entre dans la cabine de douche en une seconde. Je fais couler l'eau chaude. L'eau est tellement brûlante que je pousse un cri de douleur, Axel ri. Je règle la température de l'eau, il faut bien que je lave entre mes jambes. Enfin propre, j'ouvre la porte coulissante et regarde Axel. Il est rester près de la porte pour que personnes entre? Quand nos regards se croisent je détourne la tête.
-Tu as besoin de quelque chose, le nain?
-Oui une serviette. Et je ne suis pas petit c'est vous qui êtes géant.
Il me tend une serviette blanche.
-J'ai dix-neuf ans! C'est une taille tout à fait normal pour mon âge. Et toi tu as quel âge, douze ans?
-J'en est dix-sept.
-C'est toi qui est petit. On n'a que deux ans de différence et je fais deux têtes de plus que toi. Et Demyx qui a le même âge que moi fait aussi ma taille.
-C'est bon pas la peine de me rabaisser.
-Ce fut un plaisir de le faire.
Je le regarde avec un regard noir en fronçant les sourcils, mais j'ai eu l'impression que ça change rien. Nous allons dans sa chambre une nouvelle fois. Et cette fois nous deux sommes complètement nus. Il commence à aller vers l'armoire qui était dans un des coins de sa chambre. Il sort quelques vêtements. Puis se tourne vers moi.
-Tiens met ça.
-Euh... merci.
Je les prend timidement, ils sont trop grands pour moi.
Fin POV Roxas.
Début POV Axel.
Il pris les vêtements que je lui tend. Je prend pour moi des vêtements, j'enlève ma serviette que j'ai autour de la taille.
-Mais-mais qu'est-ce-que vous faites?
-Bah je m'habille, à moins que tu veuilles que je reste comme ça pendant le reste de la journée?
-N-non.
Je me retourne et vois qu'il est dos à moi, il a les oreilles roses.
-Tu devais t'habiller aussi Roxas.
Il commence à s'habiller et je fais de même.
-Pourquoi vous m'avez acheté? Pourquoi vous m'avez violé? Pourquoi vous m'avez amené ici? On est où? Et c'est quoi cette histoire de partenaire?
-Oh une question à la fois.
-Pas une question à la fois, je veux savoir. J'suis perdu je comprend rien.
Il commence à reculer et il s'effondre au pied de mon lit les genoux pliés et la tête entre ses bras. Il pleure.
Quel gamin.
-Écoute Roxas, tout ce que tu veux savoir je te le dirai mais pas maintenant.
-Quand alors Axel.
Il eu un petit moment de silence avant que je prenne la parole.
-C'est la première fois que tu dis mon nom.
-Et alors?
-Ça m'excite quand tu le dit.
-Hein-
Je l'embrasse et glisse ma langue entre ses lèvres chaudes et douces. Il secoue la tête il voulait que je brise le baiser, sûrement pas. Il met ses mains sur mes épaules.
-Tu devrais arrêter ça avant qu'il ne t'arrive des bricoles.
Il n'arrête pas, ma main gauche prend ses poignets fermement pour les mettre au dessus de sa tête, il pousse un cri de douleur. Je glisse ma main droite sous son t-shirt précédemment mis. Je le caresse, l'effleure, le touche. Je commence à lécher ses lèvres légèrement gonflées, puis je le lui mord. Je commence à m'allonger sur lui. Il est rouge tout comme ses oreilles, il est mignon. Il commence à gigoter, je m'assois à califourchon sur lui. Il tourne la tête ferme les yeux et se mord les lèvres. Il est sexy. J'approche mon visage de son cou pour y laisser de nombreux suçons, sa peau est douce elle a un goût sucré. Il gémit. Je souris. Je commence à pincer ses mamelons, ils ont durcit. Il miaule de douleur ou de plaisir?
-Arrêtez.
-Tu as oublié que tu es à moi. Tu m'appartiens. Je fais ce que je veux de toi, et tu fais ce que je veux que tu fasses
Je lui lèche le lobe de l'oreille droite.
-Tu devrais l'accepter. Si je te ne t'avais pas acheté tu serai encore là-bas.
Il me regarde me fixe arrête de bouger, j'ai dit une chose qui fallait pas.
-C'est vrai q-que si vous n'aviez pas été là je serai sûrement avec cet homme vieux, mais en tous cas il ne m'aurait pas violé dans une voiture et ne tenterai pas de le refaire.
-Tu ne connais rien de la vie, tu crois que dans la vie tout est toujours rose! Tu crois vraiment qu'il ne t'aurai rien fait ?! Tss.
Je me lève et pars, je ne veux pas rester une seconde de plus avec lui.
Fin POV Axel.
Début POV Roxas.
J'ai dit quelque chose qui ne fallait pas. Axel commence à partir. Non je veux qu'il reste à côté de moi. Il est énervé, à cause de moi. Qu'est-ce que j'ai fais encore.
Fin POV Roxas.
Fin Chapitre 1.
