Rien ne m'appartient, et c'est pas juste!

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1996

Enfin Noël était arrivé à Poudlard.

Wahh ! NOËL ! Mon beau sapin, roi des forêts, que j'aime ta verdureuuh... ( ne pas oublier de rajouter les fausses notes ) parce que des adolescents en train de chanter avec des problèmes de voix qui muent, houla! c' est mes yeux ou il s' est mis à pleuvoir ? Ah ben non, c'est toujours le merveilleux temps que l'on peut avoir ici dans cette merveilleuse contrée écossaise.

Tout le monde était en joie, c'est ça l' atmosphère de noël. Les élèves étaient heureux, car il n' y avait plus de cours et que la majorité rentraient chez eux pour les vacances. Les professeurs étaient très heureux car justement, il n' y avait plus de cours et que les morveux... charmants élèves partaient chez leurs parents. Severus était aux anges, plus de chaudrons qui explosent, le minimum de contacts, à part aux repas avec ces #& de gamins ( Bon, là je ne traduis pas et encore, il se ferait surement livré par les elfes dans ses appartements ). Même les disputes entre les différentes maisons de Poudlard semblaient perdre de la vigueur, à part chez quelques irréductibles Gryffondors et Serpentards, mais bon, on ne peut plus les changer .(à ce stade là, il n' y a même plus de garanties)

Bref, tout allez bien dans le meilleur des mondes. Le château était d'une magnificence extrème, sapins, guirlandes et autres décorations jaillissaient de toute part, à croire qu'un commando de père noël armés jusqu'au dents été passé par là. Disons que cela brillait tellement de partout qu'il fallait mieux prévoir des lunettes de soleil ou un sac à vomie pour ceux qui n' aiment pas noël ( qui a cité Severus et Rusard ? hum ? ). Même le calmar géant portait un bonnet de père noël, taillé dans une toile de cirque pour l'occasion, Mme Guipure n'avait pas pris la commande, pas assez de tissus dans son magasin. (C'est ce qu'elle avait affirmé, mais en réalité elle n'avait pas voulu de la commande, il aurait fallu qu'elle prenne les mesures de la bestiole elle-même, et elle n'était pas si folle!)

Les élèves étaient aussi excités que des puces sur le dos de Sirius... oups désolé, sur le dos d' un chien ( Bien que je ne vois pas la différence, pensa Severus, tout les deux ne sont que de sales cabots, pour ne pas dire bâtard! ). A peu près trois quart de chaque maison repartaient chez eux cette année et commençaient à préparer leurs malles, terminaient de passer des commandes par hiboux au chemin de traverse ou avaient fait le tour des boutiques de pré-au-lard pour les cadeaux destinés aux parents, amis et autres. Jamais les affaires des jumeaux Weasley n'avaient été aussi florissantes, hélas pour ceux qui allaient subir leurs produits.

Harry comme à son habitude, allait passer ses vacances à Poudlard à son grand ravissement. D'ailleurs, le jour où il aurait la plus petite envie de retourner pendant les vacances scolaires dans sa "famille" (à part l'été, hélas mille fois hélas), il accepterait de servir d'appât à la chasse à l'acromantula, pour cause de problèmes mentaux aggravés.

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POV Harry

Tout en marchant vers la grande salle, Harry réfléchissait.

Dès que le train serait parti, enfin il aurait de la tranquillité, moins d'élèves, pas de cours, plus de chuchotement dans son dos. Cela devait faire au moins deux bon mois qu'il commençait à en avoir marre de tous ce cirque, déjà qu'avec son statut de "survivant", il avait l'impression d'être toujours jugé, épié, c'était devenu pire depuis l'affaire des photos, il se sentait devenir paranoïaque. (Mais non, mais non! paranoïaque au dernier degré, tu veux dire!)

La plupart du temps, soit c'était des petites allusions sans trop avoir l'air d'y toucher, ou bien des gloussements. Des Gloussements! De la part de certaines premières et deuxièmes années, il pouvait bien comprendre, mais avoir vu le professeur Mc Gonagall glousser comme une gamine de douze ans en regardant une de ses maudites photos, yeurgh! plus jamais ça.

Bon, ce n'est rien, respirons calmement, pensait-il tout en pinçant l'arête de son nez, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, Hermione s'était platement excusé depuis cette histoire et il voulait bien croire qu'elle s'était faite mener par le bout du nez par Pansy, car ce n'était pas de sa si gentille Hermione d'imaginer des plans aussi tordus et si méchant (surtout pour lui), elle qui ne pensait qu'à ses études ou à le materner autant que Mme Weasley.

"-Harry révise, n'oublie pas d'aller à la bibliothèque. Harry, tu as pensé à tes devoirs? Mange un peu plus, tu es trop maigre."

Ahh! il poussa un gros soupir. Non, elle ne pouvait que s'être faite honteusement manipuler par cette serpentarde de malheur.(Comme quoi, on s'aperçevait qu'Harry n'y connaissait rien aux femmes. Et c'est une femme qui écrit, donc je confirme)

Mais! Et merde, voilà que l' autre blonde arrivait.

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POV Draco

Draco était perdu dans ses pensées, il avait déjà préparé sa malle pour le lendemain, quand le train le ramènerait à la maison, et ne voulait plus qu'enfin pouvoir se reposer. Au moins, chez lui il se sentirait libéré de tous ses regards scrutateurs. Le dernier à n'avoir fait qu'une seule allusion été encore chez Mme Pomfresh. Tout de même, lui le Prince des Serpentard (Prince dans tes rêves mon chou, juste tes rêves) subir toutes ces avanies. Quelle honte! Il avait envoyé une lettre à sa mère pour lui expliquer toute l'affaire et lui raconter ses malheurs,(Non, il n'avait pas envoyé de lettre à son père tout de même, il tenait à lui et ne voulait pas qu'il ait une crise cardiaque) la réponse avait été plutôt banale, comme si sa mère n'avait pas sembler être choqué par l'histoire.

Bon, sa mère n'avait peut-être pas tous compris à ses explications qui avaient du être trop confuses sous la panique du moment (Déjà qu'après l'horreur de ce "baiser", il avait utilisé au moins deux tubes de dentifrices et demandé à son parrain, un bezoar pour être sûr de ne pas mourir empoisonné).Et puis de toute manière, tant que cela ne quitter pas les frontières de l'école et il n'y avait pas intérêt, pas de soucis. En tous cas, cela ne pouvait que d'être de la faute de cette Miss-je-sais-tout. Ha! Ces Gryffondors, ils ne réfléchissaient jamais aux conséquences de leurs actes stupides, eux et leurs soit-disant courage à la co... noix. Par contre, que Pansy se soit faite avoir par une de ces Gryffondores, il n'en revenait toujours pas. Pas possible, elle avait dû faire l' objet d'un sortilège, il ne voyait que cette solution. Pansy s'était excuser et il la croyait, elle était trop loyale envers leur maison, c'était tout de même une jeune fille de bonne famille, une "sang-pure". Chez les Serpentards, les mauvaises blagues, (mauvaises surtout du point de vue des victimes et quasiment toujours des Gryffondors, marrant ça) que l'on entreprenait contre les autres, était bien mieux mené que ça. Umph! Ces Gryffonbeurk, aucune classe.

En tous cas, le prochain élève qu'il surprendrait en possession d'une seule photo, il le pendrait personnellement par les doigts de pied au dessus d'un chaudron remplis de sangsues, ou alors il le laisserait aux mains de Rusard, ça se serait plus sadique.

Déjà, qu'il croyait avoir vu, (une illusion, cela ne pouvait être qu'une illusion de son pauvre cerveau fatigué, le contre-coup de l'histoire, etc...) un poster géant dans le bureau de Mme Bibine, il avait tendance à se méfier de tout. ( tant qu'il n'y pas de traces de rouge-à-lèvres dessus, mon grand, ne te fais pas de soucis)

Par Merlin, le balafré s'amenait.

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"- Malfoy"

"- Potter"

Joues qui rougissent pour l'un, visage qui blêmit pour l'autre (Qui rougit?Ah bon? Y'aurait-il anguille sous roche?). Puis fuite désordonné, loin l'un de l'autre, ce qui est un peu difficile quand on doit se rendre au même endroit pour déjeuner.

Et les chuchotements qui reprennent à peine éloigné.

"- Tu crois que..."

"- J'ai entendu dire..."

"- Les photos en sont la preuve, c'est sûr!"

Et dans deux esprits, peut-être pas si différent que ça, on aurait pu entendre un grand cri d'horreur, et surtout une phrase, "Pourquoi Moi!".

Chacun de nos deux héros s'installèrent à leurs tables respectives et commencèrent à manger.

A la table des Gryffondors.

"- Ron, Où est Hermione? Elle ne t'accompagnais pas?"

"- Nomph..."

Harry lui coupa tout de suite la parole. (Parole? Ce crachouillis de son et de miettes de pain?)

"- Ron, mâche ta nourriture, avale, et surtout arrête de vouloir parler en mangeant. Pitié, pense à ceux qui regardent."

Pendant que Ron avalait ce qui restait de nourriture dans sa bouche, Neville, lui, s'essuyait le visage, il était en face de Ron quand celui-ci avait simplement commencé à ouvrir la bouche et a vouloir parler.

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POV Neville

Note à moi-même, ne plus m'asseoir en face de Ron, à ses cotés d'accord, mais plus jamais en Face! Où alors la prochaine fois, j'amène un parapluie. Et un imperméable.

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"- Non, elle devait se rendre à la bibliothèque pour terminer le devoir de potion que Snape nous as donné." Répondit Ron.

"- Mais c'est un devoir qu'on ne devra donner que dans deux semaines!"

"- Je sais Harry, mais tu connais Hermione, elle veut absolument obtenir un optimal."

Harry le regarda tout en haussant un sourcil.

"- Un optimal, à un devoir de Snape? Elle se fait des illusions, il faudrait plutôt un miracle."

"- Je sais, Harry je sais, mais pourquoi vouloir changer notre Hermione, je la préfère ainsi."

Sur le visage d'Harry s'installa un grand sourire.

"- Notre petit Ron, aurait-il enfin grandi?"

"- Ouais, bon ça va. Pas la peine d'exagérer, et surtout ne lui répète pas." Dit Ron tout en se mettant à bougonner.

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Pendant ce temps là, à la table des Serpentards.

Draco comme à son habitude, mangeait avec délicatesse et savoir-faire. (On a la classe ou on ne l'a pas.)

"- Blaise, n'aurais-tu pas vu Pansy? Elle devait me donner des notes concernant nos derniers cours."

"- Tiens, les voilà. Elle m'a demandé de te les donner, elle avait autre chose de prévu." Lui répondit Blaise tout en lui tendant une liasse de parchemins.

"- Ne me dit pas qu'elle va encore louper le déjeuner. A croire qu'elle veut commencer un régime,elle n'a vraiment pas besoin, elle est très bien comme elle est."

"- Draco qui fait un compliment? Incroyable mais vraie."

"- Ca suffit, Blaise. Je connais Pansy depuis l'enfance, et bien qu'elle soit agaçante par moment, c'est une amie fidèle."

Blaise se mit à sourire d'un air sarcastique puis ses yeux se firent rieurs et pétillants.(Non pitié, pas un second Dumbledore! Pas de bonbons au citron!)

"- Draco qui fait un deuxième compliment! Oh mon Dieu! Cette fois-ci, la fin du monde est proche, les quatre cavaliers de l'apocalypse vont bientôt débarqués nous dire bonjour, il ne manquera plus que l'invasion des sauterelles et le tableau sera parfait."

Draco leva les yeux au ciel et soupira. Avec des amis pareils, pas besoin d'ennemis.

Et pourtant dans les esprits de nos deux héros, s'ils avaient parlé tout haut, on aurait pu entendre la même pensée: "C'est quand même bizarre, ça fait au moins trois semaines qu'elle joue à la fille de l'air, à croire qu'elle m'évite. Non! C'est juste une impression, elle fait partie de mes meilleurs amis tout de même. Non?"

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Pendant ce temps là, dans la salle commune des Poufsouffles. Pansy et Hermione bavardaient tranquillement avec Hannah Abbot et Susan Bones, tout en préparant des paquets et remplir des papiers.

"- Es-tu sûre Hermione, qu'ils ne viendront jamais nous chercher ici." Demanda Pansy.

"- J'en suis persuadé. D'ailleurs, Hannah, Susan, je vous remercie toutes les deux , de nous accueillir et de bien vouloir nous aider à tout terminer."

"- Bah! Ce n'est pas grand chose." Répondit Susan.

Hannah prit la suite.

"- Et puis d' abord, vu que vous nous offrez des échantillons gratuits de vos dernières oeuvres. On peut bien vous aider."

"- On aurait quand même pu vous offrir un pourcentage de l'affaire." Répondit Hermione. Et alors que Pansy ouvrait sa bouche pour parler, Hermione rétorqua tout de suite.

"- Oui Pansy, elles nous ont aidés à la couture, à terminer toutes les commandes, on aurez pu faire mieux. Arrête d'être aussi radine!"

Hannah et Susan regardèrent Pansy qui s'était mis à bouder et se mirent à rire.

"- Non, ce n'était vraiment pas la peine, on vous aide surtout parce qu'on s'amuse avec vous deux pas pour l'argent." Commença Susan, puis Hannah prit la suite. "- Déjà que vous avez inventés les modèles et que vous avez du donner vingt pour-cent du chiffre d'affaire aux jumeaux Weasley pour qu'ils inventent le sortilège qui permettrait d'imiter les voix et de choisir les phrases(Ils nous ont plutôt extorqués, grommela Pansy). Franchement entre les photos, les posters et puis ça!" Dit-elle en brandissant l'objet qu'elle tenait dans ses bras. "- Vous nous avez offerts, assez de cadeaux toutes les deux."

Hannah reprit tout contre son coeur l'objet, une poupée. Et une poupée de plus, à la parfaite ressemblance de Draco, alors que Susan avait sur ses genoux, celle d'Harry. Des poupées parfaites avec tous les détails des vrais, leurs uniformes, de petites baguettes magiques dans les mains, et pour celle d'Harry, sa cicatrice brodée et de toute petite lunette ronde. Des grands yeux où avaient été cousus des étoiles, des petits nez ronds et des bouches en formes de coeur, des cheveux faits en fil de soie, des versions Chibi et totalement adorable de nos deux héros. D'ailleurs vu la façon dont Hannah tenait la sienne tout en la cajolant, elles devaient être plus qu'adorables. (Par Merlin, j'en veux absolument une!) A chaque fois qu'Hannah pressait le nez de Draco (De la poupée, bien sûr pas celui du vrai Draco. Réflection de l'auteur: "j'ouvre les paris, cinq galions à celui qui réussit l'exploit sans se faire tuer!"), on pouvait entendre la poupée dire:" Tu es merveilleuse!". Hannah émit un long soupir et serra la poupée contre son visage tout en l'embrassant. "-Si seulement c'était le vrai." Murmura t'elle.

"- Rêve." Déclara Pansy les yeux rivés sur sa liste de commande, puis elle cocha la dernière ligne. "- Enfin terminé! Je vais faire partir les derniers colis dans l'heure."

Hermione regarda par dessus l'épaule de Pansy, la liste de noms et haussa les sourcils. "- C'est quand même effrayant le nombre de personnes qui nous ont achetés ses poupées, tous ces noms, le professeur Dumbledore, Amélia Bones... Tiens, ce n'est pas ta tante par hasard, Susan?" Celle-ci ne put qu' acquiéscer tout en riant. "- Luna, Rémus Lupin... Le professeur Lupin! Oh! le professeur Mc Gonagall, Mme Bibine, Mme Chourave, Thomas Charade... C'est qui celui là?" Demanda Hermione. (Vous ne croyez pas que Voldemort va passer ses commandes sous son vrai nom, ça la foutrait mal quand même, en plus le nom de Riddle commence à être connus, donc...)

"- Aucune idée." Répondit Pansy.

"- Pansy, tu devrais un peu plus te renseigner sur les clients que l'on a." Lui dit Hermione tout en lui jetant un regard noir.

"- Bof, tant que l'on fait du profit." Marmonna Pansy.

Hermione leva les yeux au ciel et soupira. "- Bon, passons. Mme Pomfresh, Mr Malfoy... Mr Malfoy? Tu as voulu écrire Mme Malfoy, en réalité, non?"

"- Non, non. C'est bien Lucius Malfoy." Répliqua Pansy.

"- Et qu'a-t'il commandé comme poupée?" Lui demanda Hermione, sachant qu'elle allait peut-être regretter sa question.

"- Celle de Draco, avec la phrase: Tu es le plus merveilleux des papas!" Hermione poussa un ouf de soulagement. Pansy continua "- Mme Malfoy, m'as commandé celles de Draco et Harry dans la version enlacé." Hermione, surprise, la regarda de coté et lui dit: "- Enlacé? Bizarrement, je n'ai même pas envie de demander pourquoi."

"- Et encore, si tu savais qui a aussi commandé, tu n'en reviendrais pas." Répondit Pansy en se mettant à rire. Et Hermione su dans son fort intérieur, que si jamais les deux garçons étaient mis au courant de leurs manèges, la pendaison serait le moindre des maux à subir de leurs parts. "Heureusement qu'aucun des papiers concernant leurs affaires n'étaient signés de leurs noms et qu'elles aient penser à prendre des pseudonymes." Se dit-elle.

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Revenons à la grande salle, où les élèves continuaient leurs repas.

Harry reposa son verre sur la table et fut parcouru d'un long frisson.

"- Je ne voudrais pas parodier un grand film, mais j'ai eu un mauvais pressentiment comme si quelque chose de terrible allait arriver. J'ai ressenti comme un grand trouble dans la Force."

"- Hein? Quoi?" Demanda Ron en relevant les yeux de son assiette. (C'est pas possible, un ventre sur pattes pareil)

"- Laisse tomber Ron, laisse tomber, c'est un truc moldu." Soupira Harry. Pourtant, j'ai franchement la trouille, pensait-il.

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Au même moment dans les profondeurs des cachots, on pouvait entendre comme une sorte de rire, enfin plutôt le ricanement que pourrait émettre une hyène sous acide. Approchons-nous des appartements du professeur Snape, avec précaution tout de même, c'est-on jamais, la salle bête pourrait mordre. ("Qui a dit, vas-y mord-moi Severus? Attention, je veux des noms! De toute manière, il m'est réservé, propriété personnelle avec un beau collier et une médaille." L'auteur range son Severus dans le placard.)

" Squeek!" Bruit d'un objet que l'on presse.

"-Vous êtes le meilleur des professeurs et mon père est un idiot!"

"- Ha! Je ne m'en lasserais jamais!"

On pouvait voir Snape, tenir une poupée Harry entre ses mains, avec un grand sourire extatique et profondément pertubant. (houlà! pauvre Harry, si tu savais.)

"Squeek!"

"-Vous êtes le meilleur des professeurs et mon père est un idiot!"

"- Muahahaha!"

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Et beaucoup plus loin, dans un manoir qui semblait abandonné, le plus terrifiant des mages noirs semblait aux anges.(et là, voir Voldemort aussi souriant, Maman! c'était l'horreur.)

"Squeek!"

"- Vous êtes le plus grand des sorciers et je vous adore!"

"- Ah! encore!"

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Alors qu'est-ce que vous en pensez, dois-je allez me pendre? Dites le moi, parce qu'il faudra que j'apprenne d'abord à faire un noeud coulant et que je trouve une poutre bien solide.