Hello ! :). Voilà, il s'agit là d'un OS que j'ai écrit il y a environ un an, et j'ai décidé d'en faire une fiction ! :). C'est ma toute première, alors j'espère qu'elle vous plaira !
Bonne lecture !
Pleine Lune.
POV Hermione.
C'était vendredi soir et j'étais dans la salle commune de Gryffondor, avec Harry, Ginny, Ron et Lavande bien sur. Evidemment, les deux couples passaient leur temps à s'embrasser, ce qui me laissait totalement seule. Je poussais un petit soupire et me levais. Cette situation commençait à me fatiguer.
- Ou vas-tu, Hermione ? me demanda Ginny.
- Je vais faire un tour dehors. Harry, je peux t'emprunter ta cape ?
- Oui, bien sur, répondit Harry en me souriant.
- Merci.
Je montais donc vite les escaliers pour aller dans la chambre d'Harry prendre sa cape les élèves n'étant pas autorisés à se promener dans le château après le repas du soir. Je mis la cape sur moi et redescendis. Je passais le portrait de la grosse dame et vérifiais qu'il n'y est personne dans le couloir le portrait qui s'ouvre tout seul, ça pourrait attirer l'attention. Par chance, il n'y avait personne. J'allais donc de couloirs en couloirs pour arriver à ma destination.
Enfin, j'y étais le jardin de Poudlard, aux abords de la foret interdite. Nous étions en Septembre donc il faisait bon dehors, c'était agréable. Je regardais le ciel et remarquais que c'était la pleine lune. On y voyait presque comme en plein jour. Je m'assis par terre et observais les étoiles. C'était une nuit magnifique. Je restais assise là une heure, peut être plus, qui sait ?
Puis, j'entendis des pas derrière moi. Je vérifiais que la cape me recouvre entièrement et me retournais. Une silhouette que je n'arrivais pas à identifier marchait dans ma direction. Je me demandais bien qui c'était... Qui pouvait bien venir trainer dehors à une heure pareille, hormis moi ? La silhouette s'arrêta soudain. Et je vis enfin son visage.
A une dizaine de mètres de moi, se trouvait Draco Malefoy. D'après ce que m'avait dit Harry, il était devenu Mangemort cet été. Il fallait s'y attendre en même temps. Il devait en être drôlement fier de sa Marque. Marque maudite oui. Mais j'avouais être un peu déçue, je le pensais plus intelligent que ça quand même…
Je me levais sans faire de bruit et m'approchais doucement de Malefoy. Il s'était assis, les bras sur ses jambes écartées et la tête entre les bras. Il semblait... Si différent d'avant. Il ne portait pas son masque de froideur ou de dégout, il était juste... Lui ce soir.
J'étais maintenant à deux mètres à peine de lui. Soudain, il releva la tête, si rapidement que j'eu l'impression qu'il m'avait entendu. Mais non, il regardait simplement la lune. Les reflets de celle-ci se reflétaient sur son visage et c'est seulement à ce moment là que je me rendis compte d'une chose : Il était terriblement beau. Draco Malefoy était un être tout simplement magnifique. Je n'avais jamais pris la peine de le détailler. Pourtant il en valait la peine, et ce n'était que maintenant que je m'en rendais compte !
Mon regard dériva alors sur ses cheveux d'un blond presque irréel, sur son nez droit, fin, sur ses lèvres si... Attirantes et enfin, sur ses yeux. Ils étaient si beaux… Si bleus. D'un bleu électrique. Il me semblait avant qu'ils étaient plus proches du gris que du bleu, mais pas en cet instant. Ses yeux, ce soir là, étaient d'un bleu magnifique. Comment un être si beau, si pur en apparence, pouvait être un Mangemort ? Même si je pensais qu'il n'avait pas si mauvais fond, il avait juste évolué depuis tout petit dans ce milieu. Je me demandais bien à quoi il ressemblerait s'il avait été élevé par une famille de Moldus... Une seule chose étaient sure, tout comme à Poudlard, il aurait eu un succès fou auprès des femmes. A n'en pas douter.
Je continuais de détailler son visage si parfait, puis glissais mon regard vers son cou, puis encore plus bas... Les premiers boutons de sa chemise étaient ouverts, laissant apercevoir un torse bien bâti, musclé. Parfait. Mon regard glissa encore un peu, sur son ventre cette fois, plat, et vu le début de son torse, j'imaginais très bien ses abdos ! Je baissais encore un peu les yeux, ses jambes étaient repliées, mais avaient l'air d'être fines et musclées.
Mon observation, ou plutôt mon matage, finit, je me rendis soudain compte que je fantasmais presque sur mon ennemi juré, Draco Malefoy ! D'accord, il était beau, mais de là à fantasmer... Il fallait que je reprenne mes esprits. Mais à près tout, un nom, ce n'était rien pour une personne. Ce n'était qu'un mot pour la désigner, l'appeler. En vrai, je ne connaissais pas Draco Malefoy. Qu'est-ce que je savais de lui ? Que son père s'appelait Lucius Malefoy, et sa mère Narcissa Malefoy ? Qu'il était le descendant d'une famille de Sang-Pur, au service de Voldemort ? Que tout comme ses parents, il était devenu un Mangemort cet été, et qu'il méprisait les Sang-de-Bourbe et les Traîtres à leur Sang ? Mais qu'est-ce que cela représentait de lui ? De son caractère, de ce qu'il se passait dans sa tête ? Rien. Je ne savais rien de lui. On dit parfois « L'être qui nous connait le mieux après notre meilleur ami est notre pire ennemi. » Pourtant, en cet instant, je me rendis comte que c'était faux dans mon cas de figure. Je crois qu'en fait, même Zabini, Nott, Crabbe, Goyle ou Parkinson ne le connaissaient pas vraiment. Je crois même que personne ne le connaissait vraiment. C'est vrai, qui pouvait affirmer connaître toutes les pensées de Draco Malefoy ? Il était plutôt difficile à cerner !
Ce dernier, le regard toujours fixé sur la lune, semblait perdu dans ses pensées. Il ne bougeait pas d'un poil, si ce n'est sa poitrine qui se soulevait à chaque respiration. Je ne pouvais ni bouger, ni partir. J'avais peur de faire trop de bruit et d'être démasquée. C'en serait fini de ce spectacle unique. Et surtout, je ne voulais pas bouger. Je regardais inlassablement ce visage, qui me semblait nouveau. Oui, il s'agissait là d'un nouveau Malefoy, ou du moins, d'un Malefoy différent. Je ne regrettais pas d'être sortie !
Soudain, il tourna la tête vers moi et ses yeux me transpercèrent, comme s'il me voyait. Mais c'était impossible.
- Montres toi. Je sais qu'il y a quelqu'un.
Je me figeais. Comment pouvait-il savoir que j'étais là ? Il a du sentir ma présence, ou alors j'ai fait du bruit sans m'en rendre compte... Je ne pouvais pas me montrer, je n'avais ni la force, ni l'envie d'affronter ses insultes après ce spectacle.
- Je t'ai dit de te montrer, je ne le répèterais pas, annonça-t-il de sa voix froide.
Je pris mon courage à deux mains, et retirais la cape d'invisibilité d'Harry, fixant Malefoy dans les yeux. Quand il me vit, un étrange sourire, ironique, narquois et bizarrement soulagé, pris place sur son si beau visage.
- Granger.
C'était une simple constatation. Sa voix n'était ni empreinte de dégout, ni de mépris. Neutre.
- Malefoy, le saluai-je en retour.
- Que me vaut l'honneur de ta présence ? me demanda-t-il. Peut être en avais-tu marre de traîner avec le Balafré et la Belette, ce qui est compréhensible. Ma compagnie est bien plus agréable, continua-t-il avec un sourire charmeur.
- Ne prends pas tes rêves pour des réalités Malefoy, je suis simplement venu prendre l'air, et c'est toi qui es venu squatter, répliquai-je avec colère.
- Prendre l'air ? Interrogea-t-il sans se soucier de ma colère. Je croyais pourtant que tu savais qu'il était interdit de se promener hors du château la nuit, et surtout, je pensais qu'une Miss-Je-Sais-Tout comme toi ne désobéissait pas aux règles.
- Les règles sont faites pour être enfreintes, répondis-je du tac-au-tac sans me rendre compte de ce que je venais de dire.
- C'est bizarre, cette réplique convient plus aux Serpentards qu'aux Griffondors. Tu m'épates, Granger.
Je ne répondis pas et le fixais. C'était bizarre qu'il ne m'ait pas encore traitée de Sang-de-Bourbe. Ne croyez pas que je n'attendais que ça, surtout ! C'est juste ce qu'il faisait d'habitude. Mais on n'était pas d'habitude. Ca se remarquait rien que par la conversation qu'on venait d'avoir. Elle était civilisée et sans insulte ! Si on enlevait le Miss-Je-Sais-Tout, mais ça ne comptait pas vraiment, tout le monde m'appelait comme ça.
Attendez... Depuis quand Malefoy était-il debout ? J'étais tellement plongée dans mes pensées, que je ne l'avais même pas vu se lever. Il me regarda bizarrement... Peut être parce que j'avais oublié que je n'avais plus la cape d'Invisibilité et que je ne faisais que de le regarder, voir, dévorer des yeux ? La honte.
D'un coup, il me dit, le sourire aux lèvres :
- Et bien Granger, la vue te plait ?
- Quoi ? Mais... Mais, ce n'est pas du tout ce que tu crois ! Moi, te mater ? Moi ? Tu rêves !
- Oh, alors peut être que tu me fixais juste, histoire de garder dans ta tête chaque bout de mon visage ? Ou juste pour savoir quelle tête à ton ennemi !
Le pire c'est qu'il avait raison... Je voulais retenir son visage, pouvoir le revoir le soir, comme s'il était en face de moi. Qui aurait cru qu'un jour j'aimerais voir Draco Malefoy dans ma chambre alors qu'il n'était pas là justement, et qu'il était censé être mon pire ennemi ? Pas moi en tout cas.
- C'est exactement ça, Malefoy ! C'est pour ne pas te confondre avec les autres Mangemorts, vous vous ressemblez tous, avec votre masque de froideur !
Je me mordis la lèvre. Mais qu'est-ce que je venais de dire ? Son regard devint noir, ou plutôt, ses yeux devinrent gris, et non plus bleu. Il était en colère, blessé même je dirais. Le coup bas que je venais de faire... J'étais vraiment une idiote.
- Alors c'est comme ça que tu me vois ? Juste un Mangemort ? Je te croyais plus intelligente que ça ! cracha-t-il avec haine.
- Je... Ce n'est pas ce que je voulais dire ! tentai-je vainement, désespérée.
- Pourtant tu l'as dit, et ça semblait venir du cœur ! Tous les Mangemorts ne le sont pas par plaisir ou même de leur plein grès ! Il en va juste de leur survie !
J'étais maudite. A cause de moi, il était blessé et en plus le charme de tout à l'heure était bel et bien parti. Plus jamais il ne serait si normal, si lui en ma présence. J'avais des doutes sur sa Marque, j'ai toujours pensé qu'il faisait tout ça juste pour sa survie et celle de ses parents. J'avais raison en fin de compte. Mais la réponse m'avait coûté cher, bien trop cher. Je me détestais. Mais tellement.
- Je suis désolée.
- Arrête de t'excuser ! gronda-t-il. Quand on parle sans réfléchir, sous l'effet de la colère par exemple, il en sort ce qu'on pense au fond de nous ! Et tu penses que je suis l'un des leurs.
Je sentis les larmes me monter aux yeux. Non ! Hors de question de pleurer devant lui ! Surtout pour ça ! Mais qu'est-ce qu'il me prenait ? Pourtant il m'avait souvent lancé des injures sur ce ton ! Pourquoi est-ce que ce soir, ça changerait quelque chose à ce que je ressens ? Je ne voulais pas ! Je ne voulais pas pleurer pour lui, devant lui…
- Si tu le prends comme ça, je me casse ! m'écriai-je presque, essayant vainement de cacher ma voix brisée par les larmes.
Je ne lui laissais pas le temps de répondre que je tournais les talons et fonçais vers le château. Je me détestais, je le détestais, je détestais mon caractère de merde et mes répliques de merde aussi !
Je couru jusqu'au dortoir, les larmes dévalant toujours sur mes joues, et atteignis enfin le portrait de la grosse dame. Je dis le mot de passe et entrais. Harry, Ginny, Ron et Lavande étaient toujours là, à parler. Ils tournèrent la tête vers moi et m'invitèrent à les rejoindre mais je les ignorais et fonçais jusqu'à mon lit. Je voulais juste dormir, et oublier.
Finalement, deux jours passèrent, puis trois, puis quatre, et finalement, une semaine passa pendant laquelle je ne vis pas une seule fois Draco Malefoy.
Lorsque je me réveillai le samedi matin, un pressentiment s'empara de moi. J'étais dans l'incapacité totale de dire s'il était bon ou mauvais, je savais juste que quelque chose allait se passer. Rien de mieux pour me faire stresser, et donc me faire sauter le petit déjeuner. Je décidai donc d'aller lire à la Bibliothèque, vide à cette heure si matinale, un samedi matin. Arrivée à destination, je dis bonjour à Madame Pince et allais me caler tout au fond, histoire d'être sure d'être tranquille. Je pris un livre sur les Runes Anciennes et commençais ma lecture.
- « Runes Anciennes », par Mark Aldrist. Il n'y a que toi pour lire ça à neuf heures et quart un samedi matin, m'interrompit une voix trainante.
- Je t'emmerde, Malefoy.
- C'est réciproque, Granger.
- Que fais-tu ici ? demandai-je.
- Tout comme toi, je suis venu chercher la tranquillité devant un bon livre, répondit-il avec un large sourire.
- Dans ce cas, mets-toi le plus loin possible de moi, Malefoy.
Je regardai son visage, et vis son sourire s'effacer et ses yeux s'obscurcirent, laissant place à la colère.
- Quel est ton problème, Granger ? gronda-t-il, son visage à quelques centimètres seulement du miens. Je viens ici pour passer un peu de temps avec ma Miss-Je-Sais-Tout préférée, et tu me jettes ? Aurais-tu peur de moi ?
- Non, pas du tout. Je n'aurais jamais peur de toi, Malefoy. Rentres toi ça dans le crâne !
Sans que je sache pourquoi, un sourire vint fleurir son visage, et son visage se rapprocha encore plus, si possible, du miens, si bien que nos nez se frôlaient.
- Je suis ravi de l'apprendre, Granger. Cela ne fait que rendre le jeu plus intéressant encore, susurre-t-il d'une voix extrêmement sensuelle.
Par Merlin, pourquoi était-il si beau ? Soudain, Malefoy éclata de rire.
- Quoi ? Qu'est-ce qui te fait rire ? demandai-je, légèrement vexée.
- Toi, Granger ! répondit-il sans cesser de rire. Je suis beau parce que je suis un Malefoy, et malgré toute la volonté du monde, tu n'arriveras pas à me résister longtemps.
- Je… De quoi est-ce que tu parles, exactement ?
- De ça.
Je ne sais pas comment, mais mes lèvres se retrouvèrent collées à celles de Draco Malefoy. J'étais limite en état de choque. Qu'étais-je en train de faire, là ? J'embrassai Malefoy ! Pourtant, impossible de me décoller de lui. Ses lèvres étaient douces, il était doux dans son baiser. Je fermais les yeux et répondis à son baiser. Au bout de longues minutes, qui me parurent des heures, nous nous séparâmes, les lèvres rougies et enflées, le souffle court. Je regardai mon soit disant ennemi dans les yeux, encore incapable de prononcer le moindre mot. Ses yeux étaient bleu clairs, avec une flamme que je n'avais jamais vu avant. Le désir ? Je ne sais pas.
- Tu vois, tu ne peux pas me résister. Je gagne cette partie, Granger, dit-il en se retournant et en quittant la bibliothèque.
Je restai là de longues minutes, toujours aussi choquée. Je venais de l'embrasser. J'ai embrassé Draco Malefoy !
Finalement, je reposai la livre, pris mon sac et quittai la bibliothèque sans un regard pour Madame Pince. Il fallait que j'évacue tout ce que je ressentais et que je réfléchisse à ce qu'il venait de se passer. Je venais quand même d'embrasser Malefoy, le pire ennemi de mes meilleurs amis, et accessoirement mon pire ennemi aussi ! Bon, d'accord, il est beau, et il embrasse vachement bien, mais bon, il reste Malefoy ! Cet affreux Sang-Pur et Serpentard qui m'a insultée et humiliée pendant près de six ans. Mais je ne comprends pas… De quel jeu parlait-il ?
- Hermione !
Et pourquoi, par Merlin, m'avait-t-il embrassé ? Moi, la Sang-de-Bourbe, Miss-Je-Sais-Tout et meilleure amie du Survivant ?
- HERMIONE !
Je sursautai.
- Hein ? Quoi, qu'est-ce qu'il se passe ? dis-je précipitamment.
- Ca fait deux fois que je t'appelle ! A quoi tu pensais bon sang ? me demanda Ginny.
- Oh, désolée, Ginny, je ne t'avais pas entendu. Je pensais juste à la guerre à venir, à la recherche des Horcruxes qui n'avancent pas, enfin, tu vois quoi… mentis-je.
- Oui… J'y pense souvent aussi… Je sais que bientôt, Harry, Ron et toi allez partir de Poudlard, pour mieux avancer. J'ai peur pour vous.
- Ne t'inquiète pas, Ginny, on fera attention, et puis, peut-être qu'avec un peu de chance, d'ici la fin de l'année on les aura tous trouvé ! essayai-je de la rassurer.
- Tu sais aussi bien que moi qu'il y a peu de chance que ce soit le cas.
Elle poussa un soupir, et je savais bien de quoi elle avait peur : qu'il nous arrive quelque chose, qu'Harry soit blessé, ou pire. Le monde sorcier entier repose sur ses épaules, et Ginny l'a bien compris, c'est pour ça qu'elle n'essaiera même pas de l'empêcher de partir, le moment venu. Elle est courageuse.
- Ginevra Molly Weasley, je te fais la promesse que Ron et moi ferons tout pour protéger Harry, quitte à y laisser notre vie. Harry survivra, parce qu'il est Harry Potter, d'accord ? Et parce que ses deux meilleurs amis veilleront sur lui jour et nuit.
- Oui, tu as raison. Et puis, vous n'êtes pas le Trio d'Or pour rien ! Rien ne peut vous vaincre ! dit-elle en riant.
Je joignis mon rire au sien, profitant de ce moment de complicité, si rare en cette période d'avant guerre, et nous nous dirigeâmes ensemble vers notre salle commune.
Alors, verdict ? :). Dites-moi tout ce que vous en pensez, ce que je pourrais améliorer ou quoi, je prends tout ! :).
J'espère pouvoir poster le prochain chapitre très bientôt ! ;)
Bisous,
Sandra.
