Chapitre 1/ scène 1 : le début d'un secret …

Vous vous demandez sûrement qui je suis, ou plutôt ce que je suis … mon passé, mon histoire ? (petit rire) mmh … .

-« Oui nous voulons tous savoir du début de votre existence jusqu'à maintenant (sort un crayon et un bloc-notes) nous vous écoutons Madame Claire ! »

Très bien je vais vous raconter mon passé alors soyez attentif ! Je n'aime pas vraiment en parler surtout pour la presse … bref voilà mon histoire :

Sur Red Line, ce trouve Marijoie une grande ville peuplée d'hommes et de femmes intouchable nommer les Dragons Céleste. Parmi eux ce trouve une famille très mondaine et cruel, c'est la famille Rosika.

Cette famille est a la tête de saint Marc Rosika, c'est un homme au petit visage qui adore misé de l'argent dans des combat d'esclave qui sont réputer sanglant et faire de nouvelle collection d'esclave, qui, évidemment les maltraitaient pour son plus doux plaisir de les voir souffrir.

Sa femme sainte Katherina Rosika est réputée pour sa beauté impérial et de sa clairvoyance de voir les choses, elle reste malgré tout très strict envers ces proches et ces esclaves dont un qu'elle affectionne le plus.

Leur fils ingrat saint Ringo Rosika, il reflète l'image parfait de l'enfant gâter, tout bouffit et ne ce déplace jamais sans être sur le dos d'un esclave qui doit subir sans relâche le poid de son Maître.

Et moi sainte Claire Rosika, la dernière de la famille, j'étais une petite fille qui ne restait pas en place et qui respirait la joie de vivre. J'aimais surtout le chant et la musique et en apprendre plus sur le monde extérieure mais ma mère me disait que jetait différente des autres et elle m'enpechais de sortir de notre grande maison. Evidemment a l'âge de 9 ans je n'est jamais su pourquoi, peut être parce que j'aimais nager dans notre piscine ou je restait souvent dans l'eau comme un poisson, je m'y sentait a ma place.

A ce moment la j'étais au fond de la piscine regardant le ciel trouble, une voix me fit sortir de ma torpeur :

« Claire ? Claire où te caches-tu ? » La voix tremblante de ma mère me fit sortir de l'eau.

« Je suis la mère que ce passe t-il ? » toute trempée je ramassais ma serviette pour me sécher les cheveux, elle me toisait du regard avec ces yeux d'un vert profond puis elle soupira.

« Combien de fois je t'ai dit de ne pas te baigner dans cette tenue, on voit ton cou et tes mains ! » en effet j'étais en simple mayo de bain laissant voir mon petit corp frêle et aussi ce que je dois cacher par ma mère.

« Je vous présentes mes excuses mère mais ma blessures au cou ne veut toujours pas guérir et la peau qui se forme sur ma nuque et entre mes doigts repousse chaque nuit, alors que nous les coupons tout les soir ! J'ai peur de moi même mère ! » En prononçant ces mots des larmes ruisselait sur mes joues blanche, ma mère m'avait prit dans ces bras en prononçant une phrase que je n'avais pas compris a l'époque :

« un jour mon ange, tu s'aura la vérité ! ».

Le soir avant de dormir dans ma chambre, je défais mon vêtement de noble toujours par le col qui me couvre la totalité du cou, le vêtement glissa au sol et je dirigeais vers mon grand miroir. Je me regardais toujours sur tous les angles, j'étais toute fine, toute blanche avec des cheveux couleur neige et des yeux violet foncer. Je me rapprochais du miroir pour mieux voir mon cou ou il y avait pour moi des blessures encore rouge, en fait, cela ne me faisait pas mal au contraire mais je m'étais toujours poser la question pourquoi ces blessures on les retrouvait chez les hommes poisson au niveau de cou, tout comme moi ?