Titre : Chantage. (Titre original : Blackmail.)

Auteur : Bakazaruaddict

Traduction proposée par : Patpat

Source : Gravitation

Résumé : Yuki reçoit une lettre le menaçant : il doit rester loin de Shûichi. S'il refuse d'obéir, la vie de Shûichi pourrait être menacée. Quel sera son choix ?

Paring : Yuki/Shûichi

Disclaimer : Les persos ne sont pas à moi, ni à Bakazaruaddict mais à la vénérée Maki Murakami.

Notes : Bonjour à tous et à toutes ! Après mon One-shot « Ze veux un bébé » (hé oui je me fais un peu de pub, hein !) je suis de retour pour vous présenter ma première traduction officielle ! J'ai trouvé cette fanfiction tellement bonne que j'ai aussitôt demandé l'autorisation de la traduire de l'anglais pour en faire profiter les petits lecteurs francophones qui commencent sérieusement à être en manque de fics sur Gravitation ! (Bah oui ! Soyez plus productifs ! Non mais… ;p) Et comme si le destin me poussait dans la bonne direction, il s'est avéré que la fanfiqueuse (ou le fanfiqueur, je sais pas, mais on va partir du principe que c'est une fille !) était connecté au moment où je lui ai demandé son autorisation et a immédiatement accepté ! Tant mieux, me direz-vous, ça lui fera des lecteurs à l'étranger. Je souhaite simplement vous prévenir qu'à l'heure où je tape ces lignes, Blackmail n'en est qu'à son 5eme chapitre. Cependant, il semble que l'histoire soit régulièrement et assez souvent updated. Donc si l'auteur venait à arrêter son histoire, je ne pourrait vous offrir la suite… A moins bien sûr qu'elle me propose de la continuer à sa place… Mwahahahahahahahahahaha ! Je ferais une fin horrible avec des morts partout ! Héhéhéhé ! Hum… Non je rigole ! J'aime pas trop les deathfics, ça me fait pleurer comme une madeleine. Je tiens cependant à préciser que j'ai changé de-ci delà quelques mots anglais pour les remplacer par des mots en japonais.

Kikou à ma Drudrue, j'espère que tu seras fière de moi.

Les pensées en italique. Les dialogues en gras.

Chapitre 1 : Lettres.

Yûki Eiri, célèbre romancier, était en train de terminer avec enthousiasme son tout dernier livre après deux jours entier de travail. Il avait à peine quitté de son bureau. Les seules fois où il en était sorti, c'était pour prendre une douche ou aller manger. Shûichi dormait seul depuis deux jours maintenant et celui-ci manquait à Yûki. Shûichi avait décidé d'éviter Yûki car il savait que plus tôt l'écrivain aurait fini, plus tôt il le retrouverait.

Je n'ai pas vu ce sale gamin depuis un moment. Ma deadline est dans deux jours mais il ne me reste plus que deux chapitres à écrire. Je peux finir ce bouquin en un jour. Je pourrais peut-être inviter ce morveux à sortir ce soir, pensa Yûki tout en se levant de sa chaise.

Shûichi était tranquillement assis (Ndla : Oui, tranquillement. Incroyable n'est-ce pas ?) sur le canapé, regardant l'extérieur par la fenêtre. Il pensait au prochain concert de BadLuck qui se jouerait le mois suivant. Ca allait être un grand spectacle puisque des gens importants y seraient. Il devrait se donner à fond et surtout ne pas ruiner la réputation de BadLuck. Il était pourtant incroyablement tendu. Cela pouvait être dû à un manque de confiance en lui mais, c'était davantage l'inspiration qui semblait lui manquer. Son moral était au plus bas car il voyait rarement Yûki.

Alors que Yûki ouvrit doucement la porte, il vit Shûichi sagement assis sur le divan. L'idée que Shûichi puisse être aussi silencieux fit naître un petit sourire en coin sur ses lèvres. Il se faufila discrètement derrière l'adolescent et lui donna une tape dans le dos, faisant sursauter le garçon.

Ah !

Calme-toi, baka. Ce n'est que moi.

Yûki ? Yûki !

Shûichi serra de toutes ses forces son amant dans ses bras et cria son nom encore et encore.

Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki ! Yûki !

Yûki ! Yûki ! (Notez que l'auteur l'a répété 65 fois ! Je me suis arrêtée à 35.

Dou…ce…ment…, sale mioche…

Yûki le repoussa tandis que Shûichi s'accrochait à lui aussi fort qu'il le pouvait, refusant de le laisser s'échapper à son étreinte. Il était évident que Shûichi était très, très heureux. Yûki l'était aussi mais jamais il ne l'aurait montré. Et ça, Shûichi le savait. Il connaissait bien Eiri puisqu'ils vivaient ensemble depuis longtemps maintenant.

Shûichi s'arrêta un instant et réfléchit. Il relâcha son étreinte et demanda :

Yûki, et ta deadline ?

Il ne me reste que deux chapitres, et ma deadline n'est que dans deux jours alors je peux faire une pause pour manger un morceau. Tu veux manger dehors ?

Shûichi était surexcité. Il se mit à sauter partout tout en recommençant à crier le nom de Yûki.

Eh ! Calme-toi !

Un dîner ! Un dîner ! Youpi !

Peut-être que je devrais reconsidérer…

Nooooooooon ! dit Shûichi, les larmes aux yeux.

Ok, ok. Je plaisantais. Maintenant, va te changer.

Oui ! Je le savais ! TU M'AIMES !

Mais… Je n'ai… rien dit…

Mais Shûichi ne l'écoutait plus. Le jeune homme à la tignasse rose courut jusqu'à leur chambre et prit la première chose qui lui tomba sous la main. Il enfila une chemise sans manches orange et un short vert et court. Il retourna dans le salon en un rien de temps. Yûki fut étonné de voir avec quel rapidité son compagnon s'était habillé.

T'as fait vite.

Vraiment ? Ce doit être parce que je suis suuuuuper excité, Yûkiiiiii !

Je vois. Ok. Prends tes lunettes et ta casquette, on y va.

Haï !

Yûki monta à bord de la voiture, suivi par Shûichi. Le chanteur fredonnait dans la voiture tandis que Yûki l'écoutait en silence. Il ne l'admettrait jamais à Shûichi mais il trouvait sa voix vraiment angélique. Il fredonnait « Glaring Dream », une chanson spéciale aussi bien pour l'un que pour l'autre puisque c'était cette chanson que Yûki avait critiquée ; il l'avait jugée merdique. Et c'était grâce à elle qu'ils était là, ensemble, aujourd'hui. Yûki jeta de temps à autre un coup d'œil au visage de Shûichi.

Ils arrivèrent à destination environ 10 minutes plus tard. Tous deux portaient leur casquette et leurs lunettes noires et entrèrent dans le restaurant. Shûichi fut émerveillé de voir à quel point l'endroit était grand.

Ohh ! Yûki… C'est super grand…

Si tu le dis. Allez, dépêches-toi, gamin.

Eh ! Yûki ! Matte !

Yûki pénétra dans le restaurant tandis que deux serveurs les accueillaient.

Bonsoir, messieurs !

Bonsoir ! Répondit Shûichi tandis que Yûki se contenta de soupirer :

Une table pour deux.

Bien, monsieur.

Le serveur les conduisit à une table.

Voici. Installez-vous, je vous prie.

Ils étaient assis à un coin de la pièce près d'une fenêtre. C'était l'endroit parfait pour deux amoureux. Shûichi continuait de lancer des regards alentour, observant la pièce. Yuki, quant à lui, observait le serveur, attendant qu'il leur donne les menus.

Le serveur en question regardait Shûichi avec insistance. Il semblait trouver un certain intérêt au garçon. Evidemment, le chanteur ne le remarqua pas, mais cela n'échappa pas du tout à Yûki ! Le romancier fixa le serveur d'un air furieux, et aussitôt que ce dernier s'en rendit compte, il frissonna de peur. Il tenta d'ignorer le blond et afficha un sourire hypocrite. Le regard colérique de Yûki signifiait très clairement « Bas-les-pattes-ou-je-te-tue ». Le serveur essaya de masquer sa peur et tendit aux deux jeunes hommes les menus. Alors qu'il prenait la carte qu'on lui tendait, Yûki fronça les sourcils, ce qui fit paniquer le serveur. Il transpirait à grosses goûtes. Shûichi, lui, prit le menu et commença à l'analyser. Yûki faisant de même mais continuait à garder un œil sur le serveur. Lorsque le jeune homme à la chevelure fushia eut fini d'observer la carte, il savait ce qu'il voulait manger.

On peut commander maintenant ? demanda Shûichi.

Oui, monsieur.

Cool ! Ok, alors je veux ça ! Et ça ! Et ça aussi ! Et puis un peu de ça ! Et beaucoup de ça !

Hum… Mm-Monsieur… Ce ne sont… que des desserts !

Haï ! s'exclama joyeusement le musicien.

Le serveur recommença à se sentir rien qu'à l'idée que Shûichi ne mange que des desserts. Crème glacée, chocolat, gâteaux et d'autres encore ! Puis, le serveur se tourna vers Yûki qui continuait à le fixer, le mettant mal-à-l'aise.

Hum… Monsieur… Quelque chose ?

Un Cordon Bleu et votre meilleur sake.

Ok. Vos commandes seront là dans une dizaine de minutes. Merci et bonne journée.

Aussitôt, le serveur les salua et courut jusqu'aux cuisines tandis que Yûki le fixait encore et toujours. Le serveur était réellement effrayé (Note de Pat : Y'a de quoi si vous voulez mon avis.). Il s'en était même emmêlé les pinceaux dans ce qu'il avait dit : il les avait salué en leur souhaitant une bonne journée alors que c'était le soir.

Shûichi regarda Yûki, réfléchissant à l'attitude de ce dernier vis-à-vis du pauvre serveur. Puis, l'écrivain remarqua Shûichi et s'énerva :

Quoi ?

Shûichi lui sourit et dit :

Rien !

Yûki regarda par la fenêtre, imaginant différents moyens de torturer le serveur. Shûichi continuait à l'observer bêtement tout en souriant. Lorsque le blond s'en aperçut, il prit une expression d'agacement.

Pourquoi tu me fixes, comme ça ?

C'est mal ?

Oui.

Non, ça ne l'est pas.

Si, ça l'est. Tu me demandes, je réponds.

Mais Yûki ! Je veux te regarder ! Je veux ! Je veux !

Urusaï, baka ! Fais ce que tu veux.

Arigatô ! Yûki, t'es trop gentil !

J'ai rien d…

Voilà la nourriture !

Eh, andouille ! Je te pa…

Voilà, voilà !

Yûki foudroya le serveur du regard parce que c'était sa faute si Shûichi lui avait coupé la parole. Mais qu'est-ce qui me prends ? Le serveur déposa leurs assiettes devant eux alors que Yûki suivait attentivement chacun de ses mouvements, sans tout en soutenant son regard meurtrier. Shûichi était trop occupé à admirer les mets. Dès que le serveur eut fini de placé les plats sur la table, il s'inclina vivement en signe de respect avant de retourner de nouveau vers la cuisine et au pas de course. Yûki regarda ensuite Shûichi qui engloutissait littéralement la nourriture. Yûki était consterné. Puis il se mit à manger lui aussi.

Ils mangèrent silencieusement principalement parce que Shûichi ne parlait pas. Il dévorait les ses desserts adorés. Il y en avait beaucoup. Yûki lui jeta un petit regard tout en mangeant pour s'assurer qu'il ne s'étouffe pas en avalant inlassablement bouchée après bouchée. Lorsque Shûichi eut fini, Yûki n'en était qu'à la moitié de son assiette. Son amant se contenta de le regarder. Il se disait que Yûki était décidément trop mignon quand il mangeait. Tout bien réfléchi, Yûki était TOUJOURS mignon (Note de Pat : Ca c'est bien vrai il est trop kawaï le Yûki !). Quand le blond eut enfin fini, il remarqua que Shûichi avait reprit sa contemplation et ne le quittait pas des yeux. Il remarqua également la pile d'assiettes du côté de la table de Shûichi.

T'as fini ? demanda Yûki tout en observant toutes les assiettes.

Bien avant toi !

Vraiment ?

Haï !

Tu manges vraiment comme un cochon !

Yûki ! Ne sois pas méchant !

Eh ! On a tout les deux fini. Tu veux aller quelque part ?

Vraiment ?

Vraiment.

Alors allons au…

Au… ? demanda impatiemment Yûki.

Au PARC !

L'écrivain appela le serveur pour demander l'addition. Ce fut un autre serveur que celui qui c'était occupé d'eux depuis le début : c'était une fille.

Bonsoir, messieurs !

Elle leur tendit la note et les salua respectueusement d'un signe de la tête. Elle attendit du côté de la table opposé à la fenêtre. Yûki paya la note et la à la serveuse. Elle s'inclina bien bas pour les saluer de nouveau et dit :

Merci à vous et à bientôt !

Le blond se leva et marcha en direction de la porte, suivi par Shûichi. Il montèrent dans la voiture et partir pour le parc. Shûichi était encore tout excité à l'idée de retourner ensemble au même parc où ils s'étaient rencontré pour la première fois. Alors il se mit à chanter « Glaring Dream ».

'nigiyaka na hitogomi ni tokeru tsubuyaki ga

ashimoto ni chirabatta omoide nijimaseru

mayoi aruku machi no kagayaki wa Glaring One Way

kogoesou na boku o terasu

tsumetai toki ga yume o furaseru kono te no naka o surinukete

negai kazoe mezameta toki ni yureru maboroshi ni kimi ga utsuru

boku o michibiku kasuka na SHIRUETTO

nagasareru fuan dake o tsugeru yasashisa mo

eien ni mitasareta ashita mo hoshikunai

kimi ni todokeru hazu no kotoba wa It's Talk To Myself

kage mo naku hibi ni ochiru

furueru yubi de yume o kasaneru iki mo dekizu ni kuzureteku

tashika na koto futashika sugite nani o shinjireba kimi ni aeru

shiroku kieteku ano hi no SHIRUETTO

awaku somaru kisetsu o miageru Life Winter Dream

tachidomaru boku o sarau

kaze ni kesareru torinokosareru mune ni kajikamu akogare mo

tsumetai toki ga yume ni tadayou sono te no naka ni uketomete

negai kazoe mezameta toki ni yureru maboroshi ni kimi ga utsuru

boku o michibiku kasuka na SHIRUETTO'

On y est.

Yûki ! Allez ! Allons-y ! dit Shûichi tandis qu'il détachait sa ceinture de sécurité et sortait de la voiture.

Yûki le suivit tout en allumant une cigarette. Son compagnon courut après de lui et l'attira à la lumière du réverbère sous lequel il s'était trouvé à leur première rencontre.

Reste ici, d'accord !

Eh, mais c'est là que…

Et moi je vais me mettre ici ! Tu te souviens ? Quand on c'est rencontré la première fois ? Tu étais là et moi ici !

Pourquoi tu…

Tu te souviens ce jour ?

Yûki se mit en rogne et avança vers Shûichi. Il le prit par les épaules et le secoua.

Ecoutes-moi, baka ! Tu vas me laisser en placer une, oui ! Qu'est-ce que tu veux foutre ici de toutes façons ?

Cet endroit n'a pas changé. Il est resté le même ! dit Shûichi en observant le parc alentour.

Il n'écoutait pas Yûki, ce qui semblait mettre ce dernier en colère. Le chanteur courut jusqu'à un banc et s'y assit. Il baissa la tête et se calma. Yûki se dit que c'était le moment ou jamais de reprendre ce qu'il disait alors il vint près de Shûichi.

Qu'est-ce que tu fous ? Ecoute-moi un peu ou tu vas vraiment finir par m'énerver ! Arrête un peu tes gamineries et…

Yûki s'arrêta en entendant les sanglots de son amant. Puis il vit une larme glisser le long de sa joue.

Shûichi ?

Yûki se pencha vers Shûichi ; il prit délicatement le menton du garçon et releva son visage, révélant un jeune homme en pleure.

Tu vois, je ne t'ai pas vu ces derniers jours ! Le moindre des choses que tu puisses faire c'est de passer un peu de temps avec moi ! Et au lieu de ça, tu me dis des choses méchantes ! ramena ses jambes à lui et les entoura de ses bras. Il pleura tant que Yûki prit pitié de lui. Il n'agissait pas comme un gamin, il avait raison dans ce qu'il avait dit. Yûki était en fait surpris par les paroles de Shûichi. Il avait peut-être été trop froid avec lui. Peut-être aussi qu'il était trop concentré sur son travail pour prendre en compte la sensibilité de Shuichi.

Je suis désolé.

Yûki posa sa main sur la tête du garçon. Lui-ci serra à lui très fort.

Yûki ! Tu m'a tellement manqué ! Aï shiteru ! Quoi qu'il arrive, aï shiteru !

Puis Shûichi éclata en sanglot tandis que Yûki le serrait contre lui. Le romancier était assis à côté de lui tandis que le chanteur appuyait sa tête sur ses épaules. Ensemble ils regardèrent les étoiles ce soir-là. C'était le meilleur rendez-vous qu'ils avaient eu. Tout était agréable. Et puis, quelque chose arriva ; comme un sombre nuage menaçant de briser leur relation à jamais…

Le jour suivant :

Les rayons du soleil vinrent se poser sur les yeux de Yûki, l'aveuglant. Il jura comme chaque matin contre le ce foutu soleil. Yûki se réveilla donc. A ses côtés il trouva la petite touffe de cheveux roses de la rock star qui reposait au niveau de son estomac. C'était un jour de congé pour Shûichi alors il pouvait continuer à dormir. Yûki tenta de se rendormir, mais c'était trop tard, il était complètement réveillé.

Il descendit du lit et se rendit dans la cuisine. Il prépara le petit-déjeuner pour lui et son amant. Au bout de dix minutes, Shûichi rejoignit Yûki dans la cuisine.

Bonjour… Dit Shûichi d'une voix endormie tout en se frottant les yeux.

Hnn…

Oh ! Tu as préparé le petit-dej ! Arigatô !

Je peux pas te laisser cuisiner. Tu mettrais le feu à la maison.

Yûkiii !

Eh. Allez, viens manger.

Ils mangèrent tranquillement leur repas. Après que Yûki eut fini, il se leva et quitta la pièce.

Yûki ? Où vas-tu ?

Prendre le courrier…

A l'extérieur :

Yûki alla sur le pallier et ouvrit la boîte aux lettres. Il y trouva des factures, des factures, des factures, des lettres de fans, des lettres de fans et une simple enveloppe blanche, avec aucune adresse notée dessus ou quoi que ce soit d'autre. Cette lettre eut le mérite d'attirer l'attention du romancier. L'autocollant qui était dessus représentait une tête de mort. C'était le symbole du poison… ou de la mort ?... Piqué par la curiosité, il ouvrit la lettre. Ce qu'il y lu le choqua.

Cher Uesugi Eiri,

J' observe chacun de vos mouvements. Je vois que malgré le petit 'incident' avec Kitazawa Yûki, vous avais fini par trouver le bonheur avec Shîndo Shûichi. Je méprise tout ça ! Maintenant, j'ai décidé de ruiner votre vie. Ne vous approchez plus de Shîndo Shûichi ou sa vie sera menacée.

Anonyme.

Yûki ne parvenait à croire ce qu'il y avait d'écrit sur cette lettre. Il était surpris. Comment l'expéditeur pouvait-il en savoir autant sur son passé ?

Notes : Bon bah voilà, le premier chapitre est fini ! J'espère que ça vous a plu… Si oui, faites le moi savoir par une petite review que je transmettrais à l'auteur (et oui, après tout c'est son travail…). Ca me donnera aussi du courage pour vous traduire la suite ! Have fun and peace ! Pat' XXX

Lexique :

Baka : crétin, andouille, con…

Haï : oui (c'est évident)

Matte : attends

Urusaï : fermes-la

Arigatô : merci

Aï shiteru : Je t'aime (comme c'est kawaï :D)