Les rédactions libres au collèges c'était marrant même si des fois on pouvait se demander ou les professeurs allaient chercher leur sujet. Donc bon je suppose que vus mon idée je suis pas mieux et comme je ne sais pas d'où ça vient cela restera un des grand mystère de l'univers (aussi grand que l'endroit ou se cache les chaussettes jaunes).

Bonne lecture en espérant que vous aimerez malgré le côté guimauve et l'absurdité de cette idée (non sérieux qui donnerait ça comme rédaction ? en plus au lycée c'est pas vraiment ce genre de rédac' qui sont rendu)

bref bonne lecture.


Si demain était la fin du monde et que vous pouviez transmettre une unique lettre à une personne, que lui diriez vous ?

À son bureau Iwaizumi relit pour la troisième fois la question, leur professeur avait décidément des drôles d'idée de rédaction. Comme si une telle situation arriverait un jour. Si demain était la fin du monde, le courrier n'arriverait jamais et rien ne l'empêcherait d'écrire plusieurs lettres de toute façon. Par contre demain était le jour ou il devait rendre cette fichu lettre, ça c'était un fait. Et en admettant qu'une telle situation pourrait ce produire, il n'avait pas la moindre idée de quoi dire ni à qui. En tout cas il avouerais sûrement à sa mère que c'était lui qui petit avait voler le gâteau d'anniversaire du cousin éloigné pour le manger avec Oikawa et toute les autres conneries qu'il avait faite, histoire d'avoir la conscience tranquille. Et peut-être celle d'Oikawa au passage, histoire d'avoir vraiment la conscience en paix comme c'était lui qui l'avait couvert.

Il attrapa une feuille et un crayon, mais au moment où il allait commencer à écrire ce stoppa. Si demain était la fin du monde, alors il y avait quelque chose qu'il devait avouer, plus important que la fois ou il avait mit une écharpe rouge dans la machine à laver pour rendre toute les chemises de son père rose, plus important que d'avouer qu'il avait était dans une fête ou circulait de la drogue et avait fini bourré avec Oikawa et que c'était le frère de celui-ci qui les avaient ramené. Si jamais cette situation débile ce réalisait alors il tenterait le tout pour le tout. Sauf que cette lettre il ne pourrait pas le rendre pour un travail scolaire, il aurait bien trop honte, sauf que s'il écrivait à ces parents ce n'était pas la lettre qu'il voudrait transmettre. Il se mordit la lèvre hésitant, il n'aimait pas bâcler un travail peu importe à quel point il le trouvait idiot. Et puis ce serait comme mentir, il n'aimait pas mentir. Il pourrait toujours en écrire une seconde si celle-ci était vraiment trop gênante. Il aurait respecté la consigne, juste pas transmit la bonne lettre.

Il grimaça en commençant à écrire, il avait du mal à croire qu'il finissait par écrire une confession d'amour. Oikawa, puisque demain est la fin du monde il à un truc qu'il faut que je t'avoue. Urg qu'est-ce que ça faisait nouille comme début, mais bon il devait bien se lancer. Ouais je sais demain c'est pas la fin du monde, mais bon on va dire que si, juste pour ce fichu devoir. Mais qu'est-ce qu'il écrivait, à oui sa déclaration à son meilleur ami. Il soupira, ce n'était pas si facile que ça en faite, même par écrit. Enfin bref il faut que tu saches que tu as été le pire meilleur ami qui puisse exister, autant tout dire puisqu'il y était, mais aussi le meilleur que je n'aurais jamais pu trouver. Il y a tellement de chose que j'aimerais te dire que je ne sais pas vraiment par quoi commencer et si jamais tu fais une remarque sur le fait que c'est toi que j'ai choisi alors que je n'ai le droit qu'à une lettre, je te jure de te faire avaler le ballon. C'est déjà suffisamment embarrassant comme ça, pas besoin que tu en rajoutes une couche. D'ailleurs pourquoi faut-il toujours que tu en rajoutes, hein ? Si tu savais à quel point c'est énervant, puis en plus tu le fais de la pire manière qui soit à chaque fois. C'est comme quand tu te comportes comme un gamin de cinq ans, je déteste ça. Tu as tellement de défauts c'est dingue, mais ce qui est pire c'est que j'aime la plupart d'entre eux. À croire que je suis pire que toi. Ouais même comme tu agis comme un gosse ça à un côté mignon. Iwaizumi gémit, c'était tellement gênant, si jamais Oikawa voyait cette lettre un jour il était condamné à subir les vannes de son ami d'enfance pour le restant de sa vie. Et je t'interdis de glousser comme une fille bakawa. Au mon dieu, j'arrive pas à croit que je suis en train de t'écrire ceci alors que tu es juste là dans mon dos à travailler.

Tant que j'y suis, tu savais que tu avais tendance à mâchouiller ton crayon quand tu rédiges ou que tu réfléchis sur un problème de mathématique difficile. J'avoue que tu es agréable à regarder dans ces moments là. Tu n'as pas le droit de le ramener plus tard sur le tapis, c'est pour ça que je ne te fais jamais de compliment, parce que même s'ils sont vrais tu passes ton temps à les ressasser. En faites t'es vraiment lourd, je ne sais même pas pourquoi je suis encore ami avec un type comme toi. Il a un défaut chez toi que je n'aime vraiment pas, c'est ton côté je drague à tout vas. Encore le reste je peux le supporter sans problème vois j'aime bien, autant celui là non. Je suppose que c'est juste de la jalousie. Non ne rêve pas je ne serrais jamais jaloux de toi. Par contre de toute ces filles, probablement. Bon ok, c'est le cas, voilà content. Si jamais tu lis ces lignes rappelle moi de me pendre. Et d'effacer le sourire idiot qui ornera ton visage avant.

Quelque chose qui va aussi te faire sourire. En fait ça ne me dérange pas que tu m'appelles Iwa-chan, c'est même le contraire. Parce que j'ai l'impression d'être particulier pour toi, même si tu à la mauvaise habitude de déformer tout les noms, j'ai remarquer que tu ne raccourci jamais en mettant le chan, sauf pour moi. Tu préfères donner des surnoms comme monsieur rafraîchissant rajouter un adjectif, comme pour Kageyama. Et non ce n'est pas un nabot. Et quand tu raccourci tu ne met pas le chan, l'exemple avec Maki. Il te frapperait de toute façon. Alors ouais tu peux continuer.

Je suppose que je dois aussi te parler de tes qualités. Tu es le meilleur passeur que j'ai jamais vu, meilleur que Kageyama. De toute façon lui c'est un géni donc il en compte même pas. Mais ouais tu es doué et tu as travaillé pour obtenir ce résultat. Et d'une manière j'en suis fier, de pouvoir jouer avec toi. Si jamais tu dis encore une fois que je suis ta mère tu ne verras pas le jour ce lever, c'est une promesse. Bah te toute façon c'est le dernier jour (non ce n'est pas, mais on fait comme si alors voilà je me suis emmêler les pinceaux.). Et pas que pour le volley, je sais que tu travailles plus que tu ne le laisses penser, même si tu restes une buse en langue, c'est une qualité. Mais il y a un temps ou je détestais ça. Au collège, quand ton obsession de perfection t'a fait oublier le reste. Tu n'imagine pas à quel point j'ai haït cette période, tu avais l'air si loin, si mal. Ne te blesse plus jamais s'il te plaît, si ce n'est pas pour toi fait le pour ton équipe, pour moi. Hum, qu'est-ce que tu as d'autre comme qualités ? Tu peux être drôle parfois, voir gentil (sans arrière pensée c'est rare mais ça arrive). Puis j'aime quand tu souris pour de vrai, je n'aime pas ton masque que tu portes parfois. En faite tu as plein d'autre qualité, mais je crois que je les aimes moins que tes défauts. Je me passerais de tes commentaires, j'ai bien conscience que ce n'est pas forcément le plus logique.

Il y a une chose qu'il faudrait que tu apprennes, respecter l'espace vital des gens. Pour être honnête, je n'affectionne pas quand tu es ne respecte pas cette espace avec d'autre personne, je suppose que c'est parce que je t'aime. Et quand tu ignores le mien, je ne sais pas, d'un côté j'aime ça, de l'autre je suis embarrassé, parce que je sais que c'est juste ta manière d'être et qu'on est juste ami. Et putain si tu savais à quel point c'est chiant d'être amoureux de toi. On est proche est pourtant ça ne me suffis pas, mais j'ai trop la trouille pour demander plus. Même si t'es un âne par moment je merde je t'aime, voilà c'est dit.

Autre chose, frappe avant d'entrer quelque part. Pour la bonté de dieu frappé est trop demandé ? Et arrêtes de rentrer dans la salle de bain quand je suis sous la douche. De un tu n'es pas chez toi (même quand c'est chez toi ça ne ce fait pas) et de deux l'excuse qu'on prenait nos bains ensemble plus petit et qu'on c'est donc vu un nombre de fois incalculable de fois nu, n'en est pas une. Non mais c'est vrai quoi, espèce de mollusque, c'est vachement gênant. Putain j'imagine parfaitement le sourire idiot qui ornerait ton visage si tu lisais çà ( plutôt mourir que ça arrive), celui qui annonce une connerie ou une remarque totalement déplacé. Je sais ce que tu sortirais un truc du genre « Mais Iwa-chan à peur de se faire surprendre en pleine séance solitaire ». Toujours la bonne phrase pour enfoncer les gens. Et non ce n'est pas pour ça ok honnêtement si c'est pour ça. Iwaizumi rougît, il n'allait quand même pas tout lui avouer, bon en fait le principe voulait que si. Il frappa sa tête contre son bureau, s'attirant un regard perplexe d'Oikawa qu'il ignora un jurant contre le devoir et contre le fait d'être droit. J'ai jamais eu aussi honte de ma vie ni de ce que je m'apprête à avouer, il faut absolument que je pense à brûler cette foutu lettre, sans que quiconque ne la lise et que j'en refasse une pour rendre. Mais bon puisqu'on est dans l'hypothèse où il n'y a pas de lendemain alors tout dire. Ouais, j'avoue que je ne veut pas que tu me surprenne en train de me masturber, surtout parce que je pense à toi dans ces moments et que ça serait encore pire si tu débarquait.

Voilà c'est dit et j'ai envie de me pendre, de t'étrangler, et d'envoyer bouler ce prof qui a conduit à cette foutu lettre. Au passage tu devines pourquoi je ne veux pas qu'on dorme dans le même lit, je ne contrôle pas mes rêves et en plus on est trop grand pour ça. Et surtout tu savais que tu filais des coups de pied dans ton sommeil ? Je suis sur de te l'avoir dit, mais tu n'écoutes jamais. Et surtout ça me ferait espérer. Je ne veux pas perdre ton amitié, mais je ne veux pas non plus espérer pour rien, alors si tu pouvais respecter le limites pour une fois. Je suppose que si je ne te passais pas tout depuis qu'on est gosse, ce serait un peu plus le cas.

Au point ou j'en suis, autant t'avouer une dernière chose, foutu pour foutu. Tu te souviens quand on était en deuxième année de collège après la défaite contre Shiratorizawa tu t'étais endormis contre moi dans le bus. On était tout au fond et personnes ne regardait, alors, par pitié ne me haït pas je te promet que c'est la seule fois ou c'est arrivé (mes fantasmes ne compte pas), je t'ai embrassé. Et tu sais, tu as les lèvres douces, ou c'est moi qui disjoncte. Les deux sont sûrement vrai. Je n'arrive pas à regretter, merde je suis désolé Tooru alors s'il te plait pardonne moi, de ne pas regretter et de t'avoir embrasser. Parce que je ne veux pas regretter, mais je ne veux pas te perdre.

Je te dis tout le temps que tu es un idiot, mais c'est moi l'idiot. Parce que je t'aime Tooru.

Hajime Iwaizumi

Il reposa son crayon et soupira, il avait fini cette lettre, finalement. Il ne restait plus qu'à la faire disparaître, hors de question que quiconque la lise, il avait trop honte. Il croisa ses bras dessus et y reposa sa tête, la tournant pour vois Oikawa qui écrivait sa propre rédaction. Il fallait qu'il la fasse, mais là il se sentait fatiguer, qui aurait crut qu'écrire une lettre d'amour était épuisant. Le passeur mâchonna son stylo en tapotant son genou de son doigt. Iwaizumi se dit qu'il avait oublié d'avouer qu'il passait pas mal de temps à l'observer à la dérober, mais qu'importe si Oikawa lisait il le comprendrait, ils se connaissaient suffisamment pour que le brun le devine. Peut-être même qu'il savait qu'Hajime l'aimait, l'ailier n'en serait même pas surpris, peu importe à quel point il tentait de cacher ses sentiments. Iwaizumi soupira et se dit qu'il méritait bien une petite sieste, mais il n'avait pas envie de bouger, il était bien là à observer Oikawa travailler. Il bailla, ouais il était bien et un poids en moins sur le cœur. Peut-être qu'un jour il avouerait à son meilleur ami, quand il aurait trouvé le courage.

Il se réveilla sur son bureau, la nuque et le dos légèrement ankylosés et Tooru n'était plus présent, peut-être était-il aller aider sa mère à préparer le dîner comme il était sensé passé la nuit ici. Puis Hajime remarqua que sa lettre n'était plus sous ses bras et paniqua. Si jamais Oikawa l'avait lu, il ne pourrait plus le regarder en face. Il la trouva sous une feuille à côté de lui, la dite feuille portait l'appellation qu'utilisait Oikawa à son égard. Il dégluti, si son ami lui avait laissé une note alors la situation n'était si dramatique. Pus il remarqua que c'était plus qu'un petit mot, mais une véritable lettre qu'il se mit à lire un peu anxieux au début.

Il soupira en lisant le début, c'était tellement typique du brun qu'il ne put retenir un petit sourire en coin avant de froncer des sourcils, même par écrit cet idiot ne pouvait pas s'empêcher de dire n'importe quoi. Il rigola au souvenir du chat de la voisine, ils ne c'étaient jamais fait prendre à ce sujet encore heureux vu comment elle avait réagit à la vue de son animal désormais vert. Il pensa qu'en effet il fallait qu'ils battent ce foutu Ushijima, peut importe combien de temps ça prendra ils le feront. Il soupira de nouveau, Oikawa était un véritable gosse, il en plaignait presque Kageyama, mais les mots qui suivirent firent accélérer son cœur. Et voila Tooru recommençait à le faire espéré, mais il ne lui en voulait même pas, son ami pouvait bien être aussi égoïste qu'il le voulait avec lui. Hajime ce demanda s'il n'était pas un peu maso sur les bords avant de continuer. Il senti son ventre se tordre et son cœur battre encore un peu plus fort, il ne s'attendait pas vraiment à ça. Iwaizumi se retient de courir à sa fenêtre pour crier il ne savait pas quoi exactement, mais juste faire sortir toute la joie qu'il ressentait. SI c'était un rêve, il ne voulait pas se réveiller, surtout pas. Bon Oikawa restant Oikawa il ne fut même pas étonné en lisant la suite et sentant une soudaine envie de le frapper. Envie qui augmenta, il était un mec pas une fille merde ! Puis ces joues virèrent au rouge. Oh ça… c'était inattendue, enfin il n'avait jamais imaginé qu'Oikawa est lui aussi cédé, hé bien au moins ils étaient quitte d'une certaine façon. Ces joues restèrent rouge, mais plus sous la colère qu'autre chose, non il n'allait pas fuir Oikawa, juste l'étrangler. Oui Iwaizumi avait vraiment envie de l'étrangler, parce que Tooru savait qu'il n'aimait pas être pris en photo. A moins l'autre avait reconnu être un imbécile, c'était décidemment un bonne lettre. Oikawa devait aussi être un peu maso, il existait d'autre moyen pour lui d'attirer son attention. Hajime haussa les épaules, Oikawa était Oikawa, cela ne le surprenait même pas qu'il utilise ce moyen. Par contre ça, c'était hum, un peu plus inattendue. Et bien une petite claque ne ferait pas de mal à son ami, même si d'un côté il se sentait un peu flatté et surtout très embarrassé. Oikawa pouvait être assez cru dans ces propos tout en étant délicat, mais cela n'étonnait pas vraiment Iwaizumi, son ami savait parler quand il s'en donnait la peine. Il senti ses joues chauffé comme pas possible, oh ok ça c'était un peu plus chaud. Il remercia Oikawa de ne pas être aller jusqu'au bout, parce que les images du début était plus que suffisante pour le faire se sentir très chaud. Il venait de battre le record de la tomate la plus rouge.

Iwaizumi était tellement pris dans la lecture qu'il n'entendit pas la porte de sa chambre s'ouvrir, ni le petit rire d'Oikawa à la vue des oreilles écarlate, sa lettre faisait effet. Hajime continua et se décomposa à la fin, Tooru avait bel et bien lu sa lettre, bon ce n'était peut-être pas si grave que ça, mais c'était quand même gênant. Deux bras l'encerclèrent alors qu'un torse se colla à son dos.

-Avant de m'étriper Iwa-chan, ta mère nous fais savoir que le dîner et prêt.

Iwaizumi lu le dernier paragraphe, alors qu'un souffle s'installa contre son oreille, il était sur d'être encore rouge comme pas possible.

-Et puis même si on ne peut pas s'installer sur le canapé comme très parents sont présent, on peut toujours prendre une douche ensemble, puisqu'il semblerait que tu aimes ça.

Il senti Oikawa lui mordiller son oreille après son chuchotement, et il avait vraiment chaud. Oui c'était une bonne idée de reporter à plus tard le meurtre de son ami d'enfance. Hajime se retourna enfouissant sa tête dans le cou d'Oikawa qui rigolait, et bien il n'aimait pas qu'on le voit rougir, c'était tout.

Le lendemain matin, en cours alors que le professeur ramassait les rédactions.

-Iwa-chan, tu es tout pâle. Ça va ? Demanda Oikawa.

-Le devoir, souffla Hajime. Je devais le faire après manger mais j'ai complètement oublié.

-Hé bien, j'avoue que je suis plutôt fier d'avoir réussi à te faire oublier le travail scolaire. Mais ne t'inquiètes pas-tu as toujours ta lettre que tu peux rendre, il suffiras juste de me la redonner une fois corrigé. Je ne voudrais pas la perdre. Ronronna Tooru. Nos devoirs monsieur. Le professeur ramassa les deux feuilles sous le gémissement d'Iwaizumi qui cacha sa tête dans ces bras. Et bien même s'il l'aimait des fois il avait vraiment envie d'étrangler Oikawa, parce qu'il préférait rendre une copie blanche que cette lettre, mais ça c'était trop tard.


Vu qu'on est le dix juin ça fait comme bon aniv Iwa, et je voulais poster la lettre d'Oikawa le jour de son aniv, mais en juillet j'aurais pas internet (à 99% sure) donc bon du coup les deux à la suite TT.