Twilight ne m'appartient pas. Tout est de S. Meyer, sauf Elisabeth.
je remercie celle qui a eu le courage de corrig e mes horribles fautes Aroishot !
Aussi profond que l'oc an Chapitre 1 : Un roi d'enfer !

Les Cullen taient tous r unis, heureux et fous de joie, la guerre avec les Volturi tant finie.
Edward et Bella discutaient avec Alice. Carlisle et Esm e buvaient une coupe de champagne. Jasper, Emmett et Rosalie faisaient une partie de poker. Quant Renesm e, elle lisait un vieux bouquin poussi reux pr s de la chemin e. Carlisle remarqua son air contrari . Il s'approcha d'elle et lui demanda ce qu'il se passait.
-Tu as l'air contrari e, Ness. Que se passe-t-il ? lui demanda-t-il -Eh bien Je lis les lois vampiriques et je viens de tomber sur une loi de 1875 qui dit que les vampires n'ont pas le droit de tomber amoureux des humains. Pourquoi ? On ne peut pas contr ler nos sentiments. Demanda-t-elle d'un air innocent Soudain, tous les regards se pos rent sur elle. Carlisle d glutit difficilement, Esm e s'approcha de son mari et s'assit ses c t s. Edward et Alice se regard rent et vinrent ses c t s. Bella, Jasper et Emmett se regard rent d'un air tonn et d cid rent de les suivre.
-Hum ! Dit Carlisle d'un air embarrass . Il faut que tu saches que cette loi a t faite pour prot ger les vampires, en quelque sorte -Et il faut que tu saches aussi, reprit Esm e, que, comme tu le dis si bien, on ne peut pas contr ler ses sentiments. Eh bien, celui qui a fait cette loi ne les a pas contr l s Tous les regards se tourn rent vers elle.
-Mais ce n' taient pas les Volturi qui les ont cr es ? R pondit Nessie -Si, effectivement, c' taient eux. Lui dit Esm e -Mais pourquoi voulaient-ils prot ger les vampires des humains ?
-A une poque, le principal fondateur de la loi est tomb fou amoureux d'une humaine -Comme papa et maman ?
-Oui, comme tes parents sauf que pour ce vampire, cela s'est tr s mal fini -C' tait qui, le vampire ? demanda Nessie -Aro dit Alice qui sortit de sa torpeur -HEIN ? sursaut rent Bella, Emmett et Jasper -Quand je pense qu'il nous a cass les pieds pendant pr s de quatre ans l cha Edward -Mais comment tu connais tout cela, Papy ? demanda Nessie -Bah en fait, j' tais l -bas cette poque -Tu peux raconter, s'il te pla t ? demanda Nessie avec ses jolis yeux doux -Eh bien, si tu veux, mais c'est une longue histoire ! Dit Esm e -Oui, une tr s longue histoire r pondit Carlisle -Allez !
-D'accord, d'accord Tous s'install rent sur le canap , pr ts entendre l'histoire.
-Eh bien, cela se passe en 1800 Volterra FLASH-BACK Volterra, 1800, ch teau des Volturi.
-ARO, EST-CE QUE TU VAS M'ECOUTER, ESPECE DE TETE DE N UD ? cria Caius visiblement tr s nerv Aro regardait avec nonchalance son fr re qui s' nervait pour rien. Aro tait, comme son habitude,
assis sur le c t de son tr ne, en train de manger des bonbons qu'il laissait tomber au-dessus de sa t te. Il inspecta la salle et son fr re Caius, s' nerver vraiment pour rien. Cela devait tre pour un trait ou quelque chose comme a. Il ne savait plus vraiment.
-Aro, est-ce que a te d rangerait de m' couter 30 secondes ?
-Hum Laisse-moi r fl chir (Il fit mine de r fl chir) Oui !
Marcus souriait : ce petit fr re tait d cid ment plein de ressources.
-TU N'ES QU'UN SALE GAMIN CAPRICIEUX !
-Continue de crier comme a, les voisins n'ont pas bien entendu ! rigola-il -GRRRR ! Tu sais quoi ? J'en ai marre, marre et re-marre !
Caius continuait de parler. Mais comment faisait-il pour ne jamais s'arr ter ? Aro regardait avec insistance un petit pilier pas plus haut qu'un m tre mais assez lourd pour faire des d g ts consid rables sur une andouille, une andouille comme Caius !
Mais tu vas m' couter ? HAAAA ! ARO ! Ce fameux pilier tait maintenant sur Caius dont il manquait quelques dents cause de l'impact.
-Vois-tu, mon fr re, il y a quelque chose que tu n'auras jamais !
-La stupidit ?
-Non, la classe ! Vous venez, les filles ?
Soudain, deux magnifiques cr atures de la nuit sortirent du noir, s'accrochant chacune un bras de leur roi tout en sortant de la pi ce.
Aro et les jumelles taient dans les jardins quand une voix se fit entendre.
-Les filles, allez plus loin. Je vous rejoins leur dit Aro -D p che-toi, lui r pondirent en m me temps les jumelles Une fois les filles parties, Aro se dirigea vers l'endroit d'o provenait la voix. Plus la voix s'intensifiait, plus il se dirigea vers le jardin la fran aise.
Ce jardin tait assez particulier car, jouxtant ce jardin, il y avait une petite chapelle blanche avec du lierre qui grimpait le long des murs. Soudain, il arriva devant la grande fontaine faite de marbre. Tout au fond du jardin, il y avait un immense saule et, en dessous, il y avait un ange ! Un v ritable ange tomb du ciel !
Elle tait petite et mince, avec de longs cheveux ch tain. Elle portait une robe violette avec un tablier en dentelle. Aro s'approcha doucement de la jeune fille et posa sa main sur son paule. Quand la jeune fille sentit la main froide d'Aro, elle sursauta.
-Je peux vous aider ? lui demanda-il, tel un chevalier servant -Oh ! Je suis d sol e ! Je ne savais pas que c' tait habit ici. Lui r pondit-elle -Oh ! Ce n'est rien.
-Hum ! Mon chat, il s'est cach dans l'arbre et je suis trop petite donc -Oh ! Je vais vous aider Aro monta dans l'arbre et chercha cette boule de poils. Soudain, il vit une petite frimousse moustaches. Il le prit dans ses bras et descendit.
-Voil ! dit-il en rendant le chat sa ma tresse -Merci beaucoup !
Ils se regard rent pendant une minute qui sembla durer des heures -Ce jardin est magnifique ! dit l'inconnue -Cela vous dirait de le visiter ? r pondit Aro plein d'espoir -Oh oui ! Ce serait formidable !
Ils march rent pendant des heures, s' garant dans le jardin la fran aise o les arbustes et buissons se r unissaient, les fontaines jet s'entrem lant ensemble et les oiseaux gazouillant tranquillement dans leur nid. Lorsque le soleil commen a d cliner doucement, ils d cid rent de se s parer.
-Au revoir, jolie demoiselle, dit Aro en lui faisant un baisemain -J'ai un nom, vous savez, dit-elle avec un petit sourire en coin -Oh ! Eh bien, quel est-il ? dit Aro en lui rendant son sourire -Elisabeth, Elisabeth Delvale. Et vous ?
-Aro, Aro Vol il se tut un instant. Qu'est-ce qu'il allait dire ? Il n'allait pas lui dire qui il tait vraiment. Combien de femmes s' taient int ress es lui pour son statut et son argent -Aro Vol ? demanda-t-elle -Non euh juste Aro !
-Bien, au revoir -Je vous verrai demain ? demanda Aro. Non mais quel cr tin ! Pourquoi lui avoir demand cela ?
-Peut- tre Au revoir Aro ! Dit-elle avec plein de malice dans la voix -Au revoir Elisabeth Elisabeth repartit vers la sortie du parc en emmenant son chat dans les bras et en secouant la main pour dire au revoir Aro. Aro fit de m me, le sourire aux l vres. Il se reprit vite et repartit vers le ch teau, en repensant cette douce jeune fille qui avait, ne serait-ce qu'un instant, fait rebattre son c ur mort depuis bien longtemps.
Une fois l'int rieur du ch teau, il croisa Jane qui lui demanda :
-Tout va bien, sire ?
-Tr s bien Jane, merci, lui r pondit-il, et toi ?
-Tr s bien aussi Aro alla dans la salle du tr ne o se trouvaient ses fr res. Marcus tait toujours en train de lire et Caius se massait la m choire encore douloureuse.
Aro s'assit, sous l' il bienveillant de Marcus, avec un sourire heureux aux l vres. Sourire que ne manqua pas de remarquer Caius.
-Qu'est-ce que t'as sourire comme un idiot ? lui demanda am rement son fr re -Je t'emmerde mon tr s cher fr re -Et toc ! rigola Marcus, assez fier de son jeune fr re A suivre !