Titre : Eau Pure
Auteur : Lady Balkys
Source : Gundam Wing … c'est tout mais ça fait déjà pas mal !
Genre : Romance.
Couples : 3x4, pour le 1x2, c'est pas gagné…
Disclaimer : Sont pas à moi… D'ailleurs en fait je me demande, sur la liste de tous les gens cités sur les DVD, à qui ils sont à la base…
Note : Ceci est une séquelle inavouée (voir inavouable), des deux fic d' Erszebeth, Black Water et Snow White, née de ma frustration profonde de ne pas avoir su comment Heero allait réagir à la « résurrection » de Duo… Je ne peux que vous conseillez de lire ces fics (et toutes celles d'Erszebeth d'ailleurs… ), car, même si je pose le contexte, vous vous y retrouverez quand même mieux…
Note 2 : Erszebeth, si tu me lis et que tu trouves cette fic naze, que j'ai gaché les tiennes etc, merci de me le faire savoir, je la retirerai immédiatement.
ANNONCE : JE SOUHAITE JOINDRE ERSZEBETH POUR MON DEA SI QUELQU'UN SAIT OU LA JOINDRE MERCI DE ME LE FAIRE SAVOIR !
Sur ce, bonne lecture, et vos avis sont les bienvenus.
Eau Pure (Clear Water)
Quatre soupira, et regarda le visage pâle de Duo, presque aussi blanc que les draps de son lit d'hôpital. Duo qui avait essayé de se tuer, Duo qui s'était jeté d'un pont... Il avait passé quasi trois jours en catalepsie, on l'avait cru mort... Jusqu'à ce que Wufei réussisse, par miracle, à le réanimer.
Assis sur une chaise, à côté du lit, Quatre regardait Duo et essayait de comprendre. Duo dormait. Les médecins l'assommaient de médicaments. Il n'avait rien pu expliquer. Si Hilde n'avait pas failli d'étrangler Heero lorsqu'ils avaient retrouvé Duo au bord du fleuve, l'accablant d'injures, personne n'aurait rien su. Heero et Duo étaient amants depuis le début de la guerre... Duo s'était jeté du pont quand, décidé à clarifier leur relation, il avait quitté L2 où Heero venait régulièrement le sauter, pour le rejoindre sur Terre. Et pour le trouver en train de faire l'amour à Réléna, et apprendre qu'il allait l'épouser quatre mois plus tard. Duo avait failli mourir. Heero avait pleuré. Mais rien dit. Rien du tout. Wufei, qui était allé le voir, un peu avant de réanimer Duo, attendait chez lui au soir Trowa et Quatre, pour parler. Il avait visiblement réussi à avoir la version du japonais.
Quatre soupira. Comment avait-il pu ne rien sentir, lui, le meilleur ami de Duo, lui, l'empathe ?... Il avait toujours eu du mal à cerner Duo, quant à Heero, c'était un mur. La vérité, songea avec amertume le petit blond, c'est qu'il n'avait rien voulu voir.
Un gémissement le fit sursauter, et le tira de ses pensées. Duo entrouvrit les yeux et toussa. Quatre se pencha et lui sourit :
« Duo ?...
--...
-- Duo ? Tu m'entends ?
--... Quatre... ?... » Souffla Duo.
Il toussa encore, et tenta d'ouvrir complètement les yeux, en vain.
« Quatre... Qu'est-ce que...
-- Chut, ne parle pas, Duo... Tu es encore très faible... Tu es à l'hôpital, il faut que tu te reposes...
--... Qu'est-ce que... Heechan ... Le pont...
-- Calme-toi, Duo...
-- Heechan...
-- Il va bien, Duo... Euh... »
Duo sourit et referma les yeux. Quatre mit quelques secondes à comprendre qu'il s'était rendormi. Quatre resta à veiller son ami, jusqu'à ce que Trowa arrive, un peu plus tard, car l'après-midi se finissait. Trowa vint embrasser la joue de son petit blond.
« Bonsoir, mon ange.
-- Salut.
-- Du nouveau ?
-- Il a été conscient quelques secondes.
-- Ah ? Sourit Trowa.
-- Il a réclamé Heero. »
Trowa fronça les sourcils.
Ils partirent un peu plus tard. Duo entrouvrit un oeil en entendant la porte se refermer. Tout était embrouillé dans sa tête. Il était temps qu'il arrête de prendre ces fichus cachets et revienne un peu sur Terre.
Après avoir parlé de tout et de rien pendant un moment, en mangeant, Wufei, Trowa et Quatre se posèrent dans le petit salon cossu du chinois pour y boire le digestif et aborder enfin le sujet qui les préoccupait tous trois. Ce fut Trowa qui se lança après un silence un peu gêné :
« On n'a pas vu Heero au bureau, aujourd'hui. Lady Une m'a convoqué un moment pour en parler. Il ne répond plus ni au téléphone, ni aux courriels, ni à la porte. Si on ne l'apercevait pas à ses fenêtres parfois, on pourrait croire qu'il n'est pas chez lui. En fait, personne ne l'a revu depuis cinq jours, depuis que Duo a sauté. À part toi, Wufei.
-- Réléna a appelé plusieurs fois, intervint Quatre. Elle n'arrive pas à l'avoir non plus.
-- Comment va-t-elle ? S'enquit Wufei.
-- Comme nous. Elle ne comprend pas. Elle s'est confiée un peu, tout à l'heure, continua le petit blond. Elle dit qu'elle était aveuglée par ses propres sentiments, trop heureuse que Heero l'ait choisie pour chercher plus loin. Mais elle a compris maintenant qu'il ne faisait que ce qu'on attendait de lui.
-- C'est exactement ce qu'il m'a dit, soupira vous Wufei. « Je faisais ce qu'on attendait de moi. » Il ne ressent rien pour Réléna. Il ne doit plus du tout savoir où il en est... Et ce n'est pas les harcèlements de journalistes flairant le scandale qui vont le rassurer.
-- On voit sa tête sur tous les journaux de la Terre et les Colonies... Grogna Quatre. L'annulation du mariage a déclenché un tollé invraisemblable...
-- Ils se rattrapent. Ils en veulent beaucoup à Heero d'avoir toujours refusé leurs demandes d'interviews ou de reportages. Ils se vengent, soupira sombrement Trowa.
-- Ces vautours ! S'écria Wufei.
-- Pauvre Heero... Soupira encore Quatre.
-- Tu trouves vraiment qu'il est à plaindre ? Grogna Trowa. Ça fait deux ans qu'il se sert de Duo pour se vider les couilles ! Il a failli le tuer !...
-- Je crois qu'il l'aimait, à sa manière... Tenta Quatre.
-- Drôle d'amour !... Il passait son temps à l'engueuler même quand il faisait tout parfaitement, à le rabaisser comme un chien…
-- Trowa, calme-toi...
-- Le pire, reprit Wufei, c'est que tu as raison, Quatre. Il l'aime. Mais il est incapable de le gérer... Parce que le Duo est un garçon déjà, et ensuite parce qu'il a été formé à étouffer tous ses sentiments... Il a été moulé à être un soldat. Il ne sait pas aimer.
-- Quel gâchis... Gémit Quatre. Ils auraient pu être si heureux, tous les deux... Vous avez une idée de ce que nous pouvons faire, maintenant ?
-- À part protéger Duo, non, fit Trowa.
-- Le protéger de quoi ?
-- De Heero. Il lui a fait assez de mal comme ça.
-- Je ne sais pas lequel des deux est le plus à protéger... Soupira Wufei.
-- Moi, ce que je crois, c'est que c'est à Duo de décider, dit Quatre.
-- Il est trop attaché à Heero pour savoir ce qu'il fait, grommela Trowa.
-- Attendons qu'il aille mieux, trancha Wufei. Il sera toujours temps de voir. »
Duo dormait lorsque Quatre entra dans sa petite chambre blanche, mais ça n'inquiétait plus le petit blond. Il vint s'asseoir à sa place habituelle, sur la chaise, près du lit, et posa sa mallette au sol. Il ne savait pas trop quoi penser. La colère de Trowa, bien que compréhensible, lui paraissait excessive, et le mettait lui-même dans une position très inconfortable, coincé entre les sentiments de Duo et sa volonté de le laisser choisir pour être heureux, et l'attachement qu'il avait pour son compagnon.
« Salut, Kitty-Quat'. »
L'interpellé sursauta puis sourit. Duo s'était réveillé et le regardait avec gentillesse, malgré sa fatigue visible.
« Salut, Duo. Comment tu te sens ?
-- Naze, mais sinon, ça va. Et toi ?
-- Oh, moi ça va...
-- Et les autres ?
-- Trowa et Wufei vont bien... Ils te passent le bonjour.
-- Tu leur rendras. Et Heechan ?
-- Euh... »
Quatre le fixa, sans trop savoir quoi répondre. Puis, devant l'air sombre de Duo, il balbutia :
« On... On ne sait pas,… Il... Enfin... Quand on t'a retrouvé, il a pleuré... Beaucoup pleuré... »
L'air sombre de Duo fit place à la stupéfaction. Il fixa Quatre avec des yeux ronds :
« Il a... Il a pleuré ?...
--... Oui, il... Duo ?
-- Il a pleuré... Pour moi ?...
-- Duo ?... »
Quatre regarda Duo, qui avait l'air hébété, les grands yeux mauves perdus dans le vague.
« Il a pleuré pour moi... »
Deux larmes roulèrent sur ses joues et il eut un sourire las :
« Alors... C'est qu'il doit m'aimer un peu quand même... » Murmura-t-il.
Quatre détourna les yeux, tiraillé entre l'envie de dire à Duo que Heero l'aimait tout court, et la peur que Trowa ait raison, qu'il faille le protéger d'un Heero seulement capable de se servir de lui. Mais Duo le prit de court. Il essuya ses larmes d'un geste vif, et le regarda :
«Kitty-Quat' ! Est-ce que... Tu pourrais me rendre un service ? »
Quatre ne sut que répondre.
«... Juste de lui dire qu'il peut venir me voir ?...
-- Euh, je ne suis pas sûr qu'il viendrait, Duo… En fait,... Il ne va pas très bien...
-- Quoi ! »
L'air inquiet de Duo fit aussitôt regretter à Quatre ce qu'il venait de dire. Il soupira et se lança. Tant pis. Duo était assez grand pour décider. Il lui raconta tout. Comment ils l'avaient retrouvé, ses trois jours de catalepsie qui les avait faits le croire mort, la rage de Hilde, les flots d'injures qu'elle avait criés contre Heero, qui n'avait rien fait d'autre que pleurer, de tout son coeur, mais sans prononcer un mot. Les explications confuses de Réléna, l'attente... Et ce qu'avait dit Wufei, le seul à avoir vu Heero qui s'était enfermé chez lui et ne donnait guère signe de vie.
Duo écouta sans l'interrompre, l'air sombre. Il s'assit, se redressant péniblement, replia ses jambes, passa ses bras autour. Il y eut un long silence. Duo tourna la tête, vérifiant du coin de l'oeil que sa petite croix dorée était bien posée sur la table de nuit. Puis, il regarda Quatre et demanda doucement :
« Tu aurais de quoi écrire, dis-moi ?
-- Euh, oui... Sursauta Quatre. Bien sûr, attends... »
Il saisit sa mallette et en tira un bloc-notes moyen et un stylo, pendant que Duo attrapait son pendentif fétiche. Il saisit ce que Quatre lui tendait, en reprenant :
« Tu pourrais lui porter ça ?
--... Oui, bien sûr...
-- Je pense qu'il t'ouvrira, il a confiance en toi... »
Quatre ne demanda pas à Duo ce qu'il avait écrit. Il fut surpris de voir l'américain déchirer proprement la page, et la plier soigneusement autour de la croix. Puis Duo lui tendit le bloc-notes, le stylo et le petit paquet.
« Alors, vas-y, s'il te plaît. Vite.
-- Euh, d'accord. »
Quatre se leva.
«... J'y vais tout de suite... Je vais appeler Trowa pour qu'il ne passe pas ici. Il est très remonté contre Heero, tu sais...
-- Ça m'étonne de lui...
-- Oh, je crois qu'il s'en veut surtout au lui-même... Comme nous tous.
-- Ca n'était pas votre problème. File. »
Quatre sourit et embrassa de joues de Duo :
« Repose-toi. Je m'occupe de Heechan.
-- Merci, Quatre.
-- De rien... Il faut bien que ça serve, les amis. »
Il laissa Duo et partit. Dès qu'il fut hors de l'hôpital, il ralluma son portable, appela Trowa et lui expliqua qu'il avait une course à faire.
« Tu peux rentrer directement la maison, si tu veux.
-- D'accord... De toute façon, j'aurais été en retard... J'ai du boulot par-dessus la tête maintenant que Heero fait grève... »
Quatre sourient, salua son compagnon et raccrocha. Sûr que ça ne devait pas les arranger, les Preventers, que le colonel Yuy ne soit plus là...
Quatre prit le bus jusque chez Heero. Il y avait quelques paparazzis qui guettaient, sachant qu'il serait bien obligé de sortir un jour ou l'autre. Quatre rentra vite avant qu'ils ne l'identifient. Il était lui-même un peu trop connu à son goût... PDG milliardaire et ancien pilote de Gundam, ça faisait beaucoup.
Il grimpa dans l'ascenseur non sans remarquer que la boîte à lettres de Heero débordait. Il en sortit au troisième étage, remonta le couloir et prit une grande inspiration avant de frapper à la porte. Pas de réponse, pourtant, il était sûr d'avoir entendu un bruit. Il frappa plus fort, en criant :
« Heero ?... Heero ?... C'est moi, c'est Quatre !... Ouvre, s'il te plaît !... Heero ? »
Un petit moment passa avant que la porte ne s'entrouvre. Quatre resta choqué. Pâle, les traits tirés, les yeux rouges et vides, pas rasé, Heero avait l'air d'un zombi.
« Salut, Heero... Parvint à balbutier Quatre.
--'Lut, répondit Heero d'une voix morte.
-- Ça va ?
-- Qu'esse tu veux ?
-- Euh... C'est Duo qui m'envoie, il...
--... Duo ?...
--... m'a demandé de te donner ça... »
Quatre tendit le petit paquet à un Heero hébété, qui ouvrit complètement la porte, le prit d'une main molle et le regarda, dubitatif.
« Il s'est réveillé tout à l'heure... Reprit Quatre. Il est très fatigué, mais ça va... »
Heero se gratte la tête, puis déballa le paquet. Il fit glisser le pendentif dans sa main droite, et regarda le papier, réalisant qu'il y avait quelque chose dessus. Il le lut et ses yeux s'arrondirent beaucoup trop pour le japonais qu'il était. Stupéfait, il tendit la feuille à Quatre et balbutia :
« Je... J'ai peur de mal comprendre... C'est de l'anglais...
-- Oh, attends, je vais te traduire... Euh,... Je peux rentrer ? »
Heero sursauta et se poussa :
« Bien sûr, excuse moi... Je suis un peu à la masse, la...
-- Pas grave.
-- Fais pas gaffe au désordre… »
Quatre entra, se retrouvant au salon. Il pensa que en fait de désordre, l'appartement tenait du charnier, mais il ne dit rien, se faufilant entre les vêtements sales et les poussières. Il s'assit sur le canapé, après avoir poussé un caleçon et la veste d'uniforme de Heero, et regarda enfin la feuille.
« All my toughts were with you for ever. I will be waiting for you until the day we'll be back together. »
Quatre sourit, ému. Voyant que Heero le regardait avec anxiété, posé sur le fauteuil à côté de lui, il lut :
« Toutes mes pensées sont avec toi pour toujours. Je t'attendrai jusqu'à ce que nous soyons à nouveau ensemble. »
Heero reprit la feuille et la relut :
« Je n'osais pas y croire... Murmura-t-il. Ça veut vraiment dire ça ? ...
-- Juré.
--... Ça veut dire... Tu crois que... ?
-- Il t'aime encore, oui. Je crois qu'il attend que tu viennes le voir.
--... Que j'aille le voir ?...
-- Je peux te donner un conseil, Heero ?
--... Euh... Donne toujours ?
-- Je crois, non, je suis sûr que Duo t'aime. Je pense, vu ce que tu as dit à Wufei, que tu l'aimes aussi. Je ne vais pas te dire que ce qui s'est passé n'a pas d'importance. Tu l'as fait atrocement souffrir et tu as failli le tuer, dit clairement Quatre, remarquant bien comme Heero tremblait. Mais je crois qu'il est prêt à te laisser une chance, au moins celle de t'expliquer. Peut-être plus. Je ne sais pas. À mon avis, tu lui dois au moins ça. Pour le reste... La guerre est finie, Heero. Tu n'as plus à être ce qu'on attend de toi. Tu peux être toi-même.
-- Hn…
-- Tu ne crois pas ?
-- Je sais pas qui c'est, « moi-même ». J'ai oublié. Il a peut-être jamais existé celui-là... Odin a fait de moi un tueur... J un soldat sans âme... Je ne sais pas qui je suis.
-- Tu as toute ta vie pour l'apprendre. Et je suis sûr que Duo serait d'accord pour t'aider.
-- Hn.
-- Bon, il faut que j'y aille, Heero.
-- Hn ? »
Quatre se leva, et embrassa la joue de Heero comme il l'avait fait de celle de Duo, et lui dit :
« Qui que tu sois, tu as le droit d'être heureux. »
Un petit sourire passa sur les lèvres de Heero.
« Merci, Quatre.
-- De rien, Heero. Ça sert à ça, les amis. »
To Be Continued…
Balkys : Popopom…
Duo : Mais en fait t'étais pas morte ?
Balkys : Ben non…
Quatre : On ne t'espérait plus…
Balkys : Ben, à mon retour d'Inde j'ai eu des exams et pis des rattrapages et pis le temps passe et pis vala… Et pis là je me suis dit, bon, y a des gens qui aiment bien mes fics apparemment donc je vais leur en remettre une chtite pour les vacances…
Wufei : Tu ferai mieux de trouver un vrai boulot…
Balkys : Je cherche, je cherche…
Duo : La suite est écrite, là ?
Balkys : Ecrite oui mais pas tapée.
Duo (se tourne vers les lecteurs) : Bon ben vous savez ce qu'il vous reste à faire si ça vous intéresse… Balkys est une feignasse, faut lui botter le c... pour qu'elle bosse…
Balkys : Eh !
Duo : Tu veux qu'on reparle de ton DEA ?
Balkys : Maimaimais je vais le finir, j'ai juste eu trop de boulot avec les cours pour faire mon mémoire cette année, je le ferai l'année prochaine !
Heero : Trop de boulot, tu veux qu'on reparle aussi des heures que tu as passé à mater des mangas ou à jouer à FFVII ?
Balkys : Mais euh…
Duo : Moi je dis tant que les profs sont pas au courrant…
Quatre : Alors chhhhhhhhhhhhhhhhht !
Balkys : Bon, oki, je vais m'y remettre…
