Porcelain, Lost fishes and Copper.
Auteur
: Néphyt
Rating : G
Genre :
Normale Oô
Disclaimers : Tout est à
J.K Rowling ( sauf Séphora ; qui est à moi. Célé
qui est à Margie ( ) et quelques autres personnages qui
sont à eux même ( Merci, d'ailleurs $ )
Cette
fanfics ne tient pas compte du tome 6 d'Hp. ( Ui en anglais j'lai
pas lu )
De plus
ceci est un remake d'une ancienne fics à moi. Je la polis,
je supprime, je rajoute, je modifie et je repolis. )
Chapitre 1 :
Severus
Snape se trouvait dans la bibliothèque. La bibliothèque
la plus grande d'Angleterre ! La bibliothèque de
Poudlard. Il feuilletait un livre de potions, à la recherche
d'un filtre Anti-am…
Pouf !
Quelqu'un venait de lui foncer dedans.
« -
Hey vous pouvez pas faire attention par Merlin ! Pauvre abr… »
Cette jeune élève se stoppa net. Elle déglutit
et fit un sourire gêné.
« -
Haha, bonjour Professeur, dit-elle j'vous avais justement pas vu…
Herm… Je vais voir ailleurs »
D'un clignement elle était partie aussi rouge qu'une pivoine.
Cette
demoiselle, à la tignasse flamboyante, était à
Serpentard. Elle était assez petite et fine. Ses cheveux, d'un
roux éclatant auraient pu faire frémir de jalousie
n'importe quelle crinière de lion, aussi royale soit-il. Ses
yeux étaient tels les émeraudes les plus convoités.
En 6eme année, elle se faisait remarquer par sa nullité
en métamorphose, en botanique et en potions. Pourtant, dans
cette dernière matière, elle redoublait d'efforts.
Elle excellait en enchantements, bien qu'il lui arrivait d'envoyer
plus d'un de ses camarades valdinguer contre les murs
Snape
soupira. Toujours aussi maladroite. Et toujours aussi charmante….
« -
… et j'ai faillis l'insulter… »
Tristana Carpenter, préfète actuelle de Serpentard se
gondolait de la mésaventure de son amie.
« - Il portait quel parfum ? Celui qui sent si bon ?
Qui le rend si… Sexy ?
- Imbécile !
J'ai pas eu le temps de sentir son parfum, j'ai détalé
comme un elfe de maison !
- Ooouh
dommage ! Sa cape était douce ?
- Très !
rrrrh »
Et elles partirent dans un élan de rire. Une jeune fille, aux cheveux bruns à reflets quelque peu bleus et aux yeux tirant sur le jaune entra.
« - Saluuuw les Dudinettes ! J'peux savoir s'qui
vous fait rigoler comme ça sans moi ?
- C'est
Séphy et ses gaffes avec Snape ! Figure-toi que cette
bouse d'hippogriffe lui a foncé dedans à la
biblio !
- Naaaaan ?
Séph', tu t'arrange pas ! Foncer dans un tas de
cheveux graisseux pareil !
- Uh…
J'oubliais que tu partage pas le même goût que nous
pour Snape… Il est sexe pourtant avec son nez crochu ! Tu
trouve pas ?
- Mais
bien sur ! J'préfère les blonds arrogants
moi… »
Célestine
décrocha un sourire plein de sous-entendu à ses deux
interlocutrices et sortie.
La rousse et la préfète décidèrent
qu'elles feraient mieux de descendre manger. La faim les tiraillait
dans leur pauvre estomac respectif.
Une fois arrivées dans la Grande Salle, avec une entrée majestueuse, sous-entendu en manquant de se vautrer lamentablement sur le sol ciré, elles rejoignirent la table des Serpentard.
La grande table était couverte de mille victuailles. Autant de
nourriture qu'on ne puisse imaginer, ou même le plus gloutons
puisse rêver. Un gigot ici, des côtelettes là, de
la purée, du gratin, du steack, des petits pois, ici et là !
Des tartelettes au citron, des fraises par-ci, une forêt noire
par-là, des îles flottantes, de la vanille, des fondants
au chocolat et des cakes !
Les
flots de jus de citrouille étaient siphonnés par les
élèves affamés, entre leurs discussions et leurs
éclats de rire.
C'est le ventre tendu que Séphora se leva avec difficulté de table. Jetant un regard furtif à la table des Profs. Elle croisa les yeux de son professeur de Potions. Elle se détourna immédiatement.
Il m'a regardé ? Il a vu que je le regardais ? Son regard doit surveiller la table de ses élèves, c'est normal après tout. Ou bien… Me déshaillerait-il du regard ? rrrh oh oui Snapy déshabille-moi, prend-moi ! Grrrrh !
Partant dans ses pensées obscènes, elle ne put pas
s'apercevoir que Severus continuait de l'examiner. Elle était
vraiment attirante avec ce regard hébété, debout
prés de ses amies. Il secoua la tête. C'est un élève.
Il était bien trop vieux pour elle. Non ! Qu'est-ce
que je raconte ? C'est elle qui est bien trop jeune pour lui.
Après un court moment de fantasme, la petite rouquine s'excusa
auprès de ses camarades sur le fait qu'elle était
exténuée, que cette chienne de MacGonagall lui avait
refilé une punition à faire pour avoir changé sa
chaise en hippogriffe sans tête.
Après un gloussement singulier, en y repensant, elle abandonna
la Grande salle.
Arrivée dans les couloirs sombres et froids des cachots, elle sentit une présence. Elle se retourna, mais ne vit personne.
« -Y'a quelqu'un ? Youhoooouh ? ah bah
nan… T'es folle ma pauvre fille… »
Et elle continua son chemin. Elle s'arrêta deux mètres
plus loin.
« - Nan y'a vraiment quelques chose là… HEY ?
C'est pas drôle là Truc ! »
Observant les moindres mouvements, les moindres ombres aux alentours,
elle continua à appeler.
« - Rooh… » Allant pour finalement continuer son chemin, une silhouette, rapide, la plaqua contre le mur.
N'ayant pu faire un geste de self-défense, et se retrouvant collée contre le mur, Séphora chercha à voir qui était-ce.
« Raaah ! Mais lâche moi abruti ! Si tu me lâche pas je vais hurler ! AA…. »
Elle fut bâillonnée par un baiser. Un baiser aussi
inattendue qu'un strangulot dans une casserole. Un baiser doux,
chaud.
Les lèvres de son « agresseur » étaient
brûlantes, savoureuses, sucrées. Ce baiser était
exquis.
Enivrée, elle le lui rendit. Peu à peu, « il »
relâcha son étreinte. Elle ne réagit pas tout de
suite, continuant son embrassade.
Les lèvres de son offenseur quittèrent les siennes. La
jeune fille demeura immobile, n'apercevant que les yeux, profonds,
de son attaquant avant qu'il ne disparaisse.
Elle ne chercha pas à le rattraper. Elle ne pouvait plus réfléchir. Son cerveau était embrumé, grisé.
Un rayon de soleil lui caressa le visage, et Séphy se
réveilla. Bon non en fait, sa compagne de dortoir, Célé,
fit un tel tintamarre en se levant qu'elle fut réveillée.
Elle se frotta les yeux, regarda autours d'elle. Puis prise par le
souvenir de la veille, toucha ses lèvres : Etait-ce bien
arrivé ? Cet inconnu l'avait-il bien embrassée ?
Avait-elle vraiment été « attaquée »
l'autre soir ? N'était-ce pas qu'un rêve ?
Ca trouvait si flou dans sa tête.
« Et puis, qui aurait-il pu bien être ? »
Voilà, j'avais envie de faire un remake de cette fiction( http/twwo. ) . La rendre un peu plus sérieuse, l'amélioré parce qu-elle me tient 'achement à cœur. $
