EVAN FRIDAY
CHAPITRE UN
Il fait noir. Je suis sorti parce que je ne supporte pas de rester enfermé à ne rien faire. Je m'appelle Evan Friday, j'ai seize ans et je m'enmerde. J'en suis presqu'au point de souhaiter me faire frapper par un autobus pour qu'il se passe quelque chose d'interressant. Okay, peut-êtr e pas un autobus mais un cerf-volant ferais l'affaire.
Je devrais peut-être rentrer maintenant. Il commence à faire froid et je viens de me rendre compte que j'ai un trou dans ma veste. Je dis salut à mon ami Charles qui est au dépanneur. Je tourne dans la ruelle qui est juste à côté, mon cellulaire sonne. C'est ma mère. Je réponds.
-Allo.
-Evan, qu'est-ce que tu fais? Il est onze heures et demi. Rentre à la maison!
-Oui, je suis juste à côté du depanneur et tu dramatise, il est onze heures et vingt.
-Ce n'est pas grave, rentre tout de suite à la maison.
Elle racroche. Il ne me reste plus que trois rues à marcher et je suis arrivé à la maison.
j'arrive presqu'au bout de la ruelle. Des personnes se placent devant la sortie. Ils sont a peu près cinq gars et ils s'avancent vers moi. Je ne suis pas sur que ce soit bon signe. Je me retourne. C'est comme une mauvaise scene de film trop prévisible; cinq ombres ce placent à l'autre sortie de la ruelle. Qu'est ce que je fais? Qu'est ce qu'ils me veulent? Je ne comprends pas. J'avais dis un cerf-volant, pas une dizaines de gars plus agés, plus musclés et puet-être armé. J'aurais dû éecouter ma mère!!
Je suis encerclé, il n'y a vraiment ucune issue. Le seul moyen est risqué; foncer dans le tas et essayer de m'échapper. Pas sur que j'ai le gout d'essayer.Tant pis , je me lance. Je cours vers l'autre sortie. Ils me regardent, incrédules. Profiter de l'effet surprise, peut-être une luer d'espoir.
-Attraperz-le!! crie celui du millieu.
Au revoir lueur d'espoir.Ça m'apprendra à souhaiter qu'il se passe quelque chose de palpitant. Je continue de courir vers le tas de frigidaires ambulants. Quoi faitre d'autre, rester passif? Non j'en suis pas sur. Je réussi à me faufiler entre deux des frigidaires ambulants mais le plus grand des deux me rammêne en tirant sur ma veste. Bravo crétin! t'as aggrandis le trou!
Ça y est. C'est la fin. C'étais mopn dernier coucher de soleil. La musique s'est arrêter, l'orquestre est morte. Plus jamais je ne verrai ma belle Amy. Plus jamais je ne la tiendrai dans mes bras. Plus jamais je ne verrai ses yeux verts qui me redonnent le sourire. Son rire me manquera pour l'étrernité. Aucune importance, je meurs.
Je sens le sang couler sur mes bras et dans mon cou. J'ai son gout équeurant dans la bouche aussi. Je ne sens plus rien. Plus rien a part du vide. Je sens mes yeux se fermer et j'entends le bruit d'un corps que l'on laisse tomber lourdement sur le sol. Je me rends compte que c'est le mien. Pendant une fraction de segonde je prends consiance de la douleur puis plus rien.
