Coucou ! Bon c'est qu'une petite note pour introduire l'histoire.

C'est un UA (encore oui, je sais pas mais je le sens bien) qui sera composé de 3 chapitres et un épilogue enfin je pense... Ici, c'est la chanson Team de Lorde qui m'y a fait penser pendant que je faisais la vaisselle. Oui oui.

Bon, il y aura quelques nettes modifications: UA, les personnages seront un peu dans l'OOC mais il y aura trace quand même de leurs caractères (désolé mais il le fallait). Cette histoire sera bien dark à souhait comme il faut. Ce sera violent, très violent, super violent. Je le dis parce que ça peut choquer. Donc l'avertissement est de mise. Après libre à vous de lire où pas. Voilà. Harlequins.

Note: Ecoutez si possible la version accoustique de Every me Every you de Placebo.

Disclaimer: Teen Wolf ne m'appartient pas, l'histoire oui.

Prompt: La ville est une grande jungle d'asphalte.


ASPHALT JUNGLE

Nuit.

La pluie tombe avec fracas sur le goudron noir de pollution. Des pas, des pleurs, des cris étouffés, des spasmes.

Froid.

Il ne pouvait pas arrêter ses pas rapides qui fendait l'obscurité ni ses pleurs. Pourquoi ? Pourquoi ? Les questions s'embrouillaient dans son esprit fatigué. Chaque pas sur l'asphalte brulait ses pieds. Il devait continuer d'avancer pour fuir au loin toute cette misérable comédie.

Tragédie.

Il en avait marre. Il n'arrivait pas à voir le bout de sa terreur, elle était omniprésente.

Etaux.

Sa poitrine se comprimait douloureusement, les larmes maculaient son visage et inondaient ses vêtements déjà trempés. Cependant la peur était là. Il n'allait pas se laisser attraper, il allait seulement la fuir. La repousser et s'approcher du clair-obscur de la lune et des étoiles qui lui permette de ne pas penser à la masse d'hommes qui le bousculait comme une poupée de chiffon.

Personne ne faisait attention à lui. Pourtant, ses pieds dérapaient sur le sol devenu glissant, sa respiration était saccadée, ses vêtements débraillés et son visage aussi.

Un visage vide, empty. Des traits fins, durs, déformés par les coups successifs.

Sa tête heurta violemment l'asphalte polluée des hommes. Il l'avait retrouvé. Il était au-dessus de lui, ses mains maintenant sa tête au sol, l'autre tenant un couteau.

« 12 mai 2014, New-York City. Dans les rues du Bronx, un adolescent se faisait lyncher à blanc par son tuteur légal. »

Sang.

Il en était maculé. Les petites plaies le brulaient, il avait mal et se relever tenait du supplice. Une plaie lui lacérait le ventre et il comprima sa blessure avant de suivre l'homme titubant devant lui, la tête baissée. Personne ne faisait attention à sa détresse.

Souffrance.

Respirer faisait mal, pleurer faisait mal.

L'eau coulait sur le corps tuméfié sous le pommeau. Le torrent brulant régénérait ses blessures petit à petit. Lentement et ça lui faisait atrocement mal. Il souffrait de tout son être. Il éteignit le flot humide et prit une serviette. Dans sa chambre, il regarda la photo jonchant sur la table de chevet minable qui lui servait de bureau. Il observa les visages heureux et souriants. Des larmes trouvèrent leur chemin sur le visage enfantin.

Il sortir une boîte en carton caché par son matelas et une commode et prit une aiguille, du fil, du désinfectant et des compresses. Il allait devoir serrer les dents pour mieux guérir. L'adolescent désinfecta les plaies avant de commencer à les suturer une par une, méticuleusement, précisément et presque sans douleur. Depuis le temps qu'il le faisait, il semblait anesthésié.

Après avoir fini sa besogne, l'adolescent rangea les ustensiles nettoyés et prit un petit carnet de cuir brun.

« Je m'appelle Stiles Stilinski, j'ai 17 ans et je suis un enfant battu. Si je n'écrivais pas ce que je fais, j'oublierais. Cadeau de Hank. Grâce à ça au moins j'ai une sorte d'allocation.

Aujourd'hui aussi Hank a voulu se défoulé mais j'ai refusé. Je ne sais plus ce qu'il m'a fait hier, foutu problème, foutus troubles d'hyperactivité, foutue vie. Il m'a poignardé encore et encore, pendant longtemps. Mon visage mangeait littéralement le sol poussiéreux et goudronné et le sang aussi me montait à la bouche. C'était dégueulasse.

J'écris pour pas oublier. Parce que je me réveille parfois et j'oublie presque la vie de merde que j'ai. Presque. J'ai de la chance parfois d'oublier. Parce que dans ses moments, je suis léger comme l'air…

Est-ce qu'un jour je pourrais m'en sortir ? »

Stiles posa le vieux stylo bleu usé sur la couverture et rangea le cahier dans son sac à dos. Il programma un réveil et s'endormit. Demain serait à nouveau un jour comme les autres, banal, sans espoir, sans clarté, sans vie.

oOOo

« 13 mai 2014, New-York City, dans le Bronx. Un adolescent courrait pour échapper à sa potence »

Courir.

Il fait froid. L'air est lourd et une épaisse brume enveloppait le Bronx. Stiles courrait comme un dératé. Il évitait la masse coulante des hommes, ré-ouvrant ses plaies fraichement fermées. Il ferma les yeux et inspira. « Il faut passer au-dessus de la douleur » se répéta-t-il durement.

Il s'élança plus vite, bousculant, trébuchant, s'excusant.

L'air lui manquait, ses yeux lui piquaient et il se sentait de plus en plus faible.

Détresse.

Il percuta un homme. Il tomba et tout ce passa vite.

L'homme s'approcha, et vit le sang dégouliner à travers le t-shirt. Il regarda effaré le jeune homme qui tentait en vain de reprendre son souffle. Il lança des regards animés à travers la rue et aperçu la silhouette haute et pourtant trapue de son bourreau. L'adolescent dans un dernier élan de désespoir se logea dans les bras chauds de l'inconnu et parla bas, très bas. « Sauvez-moi sinon je vais mourir. »

Puis un cri inarticulé franchit ses lèvres lorsque l'homme cria son nom dans un excès de rage incontrôlé avant de reprendre sa chasse.

Reconnaissance.

« Merci » avait soufflé le plus jeune.

L'adulte ne comprenait pas ce qui se passait mais il acquiesça silencieusement. Il regarda l'enfant logé dans ses bras et le releva avant de le soutenir pour aller à son appartement.

Il était situé à un pâté de maison à peine et en moins de 5 minutes ils y arrivèrent non sans mal. L'inconnu habitait un loft bien agencé, spacieux et chaleureux. Il fit asseoir l'adolescent dans un canapé deux places du salon. Il revint plus tard avec un verre d'eau et retrouva le jeune homme en train d'enlever son t-shirt pour laisser apparaître une multitude de blessures, coupures, bleus entre autre. Le verre tomba avec fracas et l'adolescent bondit, se protégeant de futurs coups qui ne vinrent pas. Il enleva les mains qu'il avait placées inconsciemment devant son visage pour regarder l'homme tremblant et dérouté devant lui.

« Excusez-moi mais auriez-vous du désinfectant, une aiguille, du fil et des bandages ? J'aimerais me désinfecter, enfin les plaies parce qu'elles commencent à me brûler et à tirailler. »

L'inconnu se leva prestement et ramena tout l'attirail avant de voir l'adolescent désinfecter et recoudre d'une précision chirurgicale ses plaies sanguinolentes.

« Euh, merci beaucoup. Je crois que je vais rentrer maintenant. Excusez-moi du dérangement et encore merci…. »

« Tu vas rester ici. Va te préparer à dormir, la salle de bains est de ce côté-là pendant ce temps je vais préparer des couvertures. »

« Non ! » Un cri venait de sortir des lèvres du plus jeune, il ne voulait pas. Il fallait qu'il retrouve sa petite chambrette. Il fallait qu'il fasse son rituel. Non, ce n'était pas bon. Il fallait, lui fallait son petit carnet de cuir sinon ça n'allait pas et il allait oublier.

L'inconnu ne comprit pas ce qui arriva à l'adolescent et le fixa d'un œil hébété. Il vit l'adolescent s'accroupir doucement et se balancer d'avant en arrière, les mains crispées sur sa tête, tiraillant ses cheveux et répétant « Je vais oublier ».

Sans trop réfléchir, poussé d'instinct il posa une main sur son épaule et l'entoura de ses bras. Il ne savait pas trop comment y faire. Il était seulement dicté par son cœur. Il vit que l'adolescent cessa de gigoter et finissait de se calmer.

« Je ne vais pas te frapper, je vais t'aider. Du moins pour cette nuit. Je veux que tu te calmes et tu vas m'expliquer ce que tu vas oublier. »

« Donnez-moi une feuille et un stylo s'il vous plaît. C'est important. »

L'homme se plia aux exigences de son hôte et revint avec un paquet de feuille et un stylo noir. Stiles fixa méchamment le stylo et marmonna car il n'était pas bleu mais il le prit quand même et commença à écrire.

« Je m'appelle Stiles Stilinski, j'ai 17 ans et je suis un enfant battu.

Aujourd'hui encore j'ai échappé à Hank grâce à un homme qui m'est rentré dedans. Je ne sais pas son nom mais je sais qu'il était là alors que tout le monde se fichait de mon état. Je ne sais pas pourquoi il est si gentil avec moi mais je remercie le ciel parce que Hank a vraiment voulu me tuer. Et puis il m'est tombé dessus alors merci.

Je suis toujours obligé d'écrire et j'ai fait une crise de panique, ça n'était pas arrivé depuis longtemps. Mais merci quand même parce que je vais oublier sinon. Mais ça m'a fait bizarre parce que j'ai l'impression que d'habitude il n'est pas gentil. Et sa voix était dure et rocailleuse mais on aurait dit qu'elle était douce, plus douce que d'habitude. Je crois aussi que je l'ai ébranlé. Bon, j'avoue que me rentrer dedans, voir que je suis un enfant battu et que je crie et pleure de désespoir avant de me recoudre devant lui et de faire une crise de panique c'est beaucoup. Beaucoup trop. J'aimerais disparaître maintenant parce que je ne mérite rien de cette aide qui m'est offerte. La souffrance que je subis est ma punition pour avoir causé leur mort à tous les deux. Maintenant, je ne vais pas oublier...Attends ! »

L'adolescent stoppa net son écriture et vit que l'inconnu le fixait intensément comme pour sonder ses états d'âme. Il fit un sourire contrit.

« Comment-vous appelez-vous ? C'est important de me le dire. »

« Derek, Derek Hale et toi ? » Grogna l'homme en face de lui.

« Stiles Stilinski. Merci. »

« Arrête de me remercier. »

« D'accord. Mais merci, s'il vous plait. »

« Je ne vais pas oublier son nom. Derek Hale.

Finalement peut-être que quelque chose allait changer. »

oOOo

Stiles venait seulement de finir sa phrase. Il reposa le stylo et souffla de contentement avant de se tourner vers l'homme aux cheveux de jais.

« J'ai eu un accident lorsque j'avais 14 ans. Je suis tombé du haut du 4e étage de mon immeuble. Je n'ai pas eu de grave séquelles sauf une : ma mémoire est cassée. »

Derek fronça les sourcils « Comment ça ? » Il ne comprenait pas ce que l'ado voulait dire.

« J'ai une mémoire de courte durée. Je suis obligé d'écrire ce que je vis pour que les souvenirs ne s'effacent pas au cours du temps. »

L'homme ne parla pas. Il fixa l'adolescent et hocha la tête avant de lui donner la couverture et lui indiquer le canapé deux places qui était conversible. Il lui dit bonne nuit et s'enferma dans la chambre.

L'adolescent à peine enroulé dans la couverture s'endormi, fatigué par la vie qu'il menait.

oOOo

« La pluie.

Le sang maculait le goudron. Devant lui il voyait ses deux parents, brutalement abattus par balle devant lui. Le sang couvrait son visage, ses cheveux, ses vêtements et ses chaussures. Ils sortaient du parc d'attraction et ils se faisaient braquer.

L'enfant pleurait ses parents morts mais personne ne l'entendait. Il s'est mis à courir, à voguer à travers la foule, coupant à travers homme pour hercher de l'aide, n'importe qui pouvant l'aider. Un policier. Deux cadavres découverts et un homicide involontaire sur les bras.

L'affaire en une paire de mois fut réglée, l'enfant placé en orphelinat. Il trouva une famille d'accueil deux ans plus tard. Il avait douze ans.

Terreur.

Un coup, puis un autre et encore un autre. Son torse lui brulait, les coups pleuvaient, les jambes se dérobaient. Des mains sur son cou, lui reculant jusqu'à la fenêtre. Un coup et il tomba du 4e étage. Il avait quatorze ans.

Il se réveilla à l'hôpital. Il avait eu une commotion cérébrale au lobe gauche, là où les toxines se produisaient pour restaurer les souvenirs. Cette partie de son cerveau était foutu. Personne n'avait remarqué les blessures. Il était seul encore et toujours. »

Stiles se réveilla en sueur, les yeux emplis de larmes, les membres moites de peur et de douleur. Il se souvenait de la mort de ses parents. Quel miracle. Il s'assied lentement et prit les feuilles posées sur la table basse. Il écrivit. Longtemps sans se soucier qu'on l'observait sous toute les coutures.

Derek était accoudé au mur du salon. Il ne dormait pas et avait entendu des petits bruits qui l'ont mis en alerte alors il était sorti et avait vu que l'adolescent qu'il hébergeait écrivait encore. Lorsqu'il l'avait percuté dans la rue il était prêt à gueuler, à lui hurler de regarder où il marchait mais seulement il avait vu le sang imprégner ses vêtements, la mine horrible et les yeux écarquillés de peurs alors il n'avait pas pu détacher son regard de lui. Il l'avait aidé parce qu'il connaissait lui aussi la peur.

L'adolescent semblait être plongé dans une profonde réflexion, il ne remarqua pas l'unique goutte d'eau qui perla le long de sa joue.

Derek l'a vue et il lui semblait que tout le mystère qui entourait le garçon devait le protéger. Mais contre qui, contre quoi ? Il se décida à faire des recherches. Sans un bruit il retourna dans sa chambre et prit son ordinateur. Il ouvrit le moteur de recherche Google et tapa Stiles Stilinski.

« Un jeune garçon assiste à l'exécution de ses parents à la sortie d'une foire. »

« Un garçon de dix ans voit ses parents mourir devant lui. Simple braquage ou mise à mort ? »

« Le shérif de Beacon Hills prit dans un règlement de compte ? Son fils assiste à l'horrible scène. »

Il referma l'ordinateur, ça suffisait. Si jeune… Il regarda son réveil, deux heures du matin. Il posa son Asus sur son bureau et se coucha dans ses draps, il éteignit la lumière et réfléchit. Il ferma les yeux mais la porte s'ouvrit pour laisser passer un adolescent qui se glissa sous la couverture de laine. Il se roula en boule et sanglota silencieusement. L'homme aux cheveux de jais le serra dans ses bras sans un mot.

« 14 mai 2014, dans un loft du Bronx, une petite étincelle venait d'illuminer un adolescent. »

oOOo

Au petit matin Stiles se réveilla, il n'avait pas fait de cauchemar cette nuit et ça lui semblait étrange. Il regarda autour de lui et ne reconnut pas sa chambre. Il se leva d'un coup et lança des regards anxieux autour de lui. Il ne se souvenait pas et il n'avait pas son carnet.

« Stiles ? Qu'est-ce qu'il y a ? »

« Derek… »

L'adolescent souffla et ses épaules s'affaissèrent.

« Qu'est-ce qu'il s'est passé ? »

« J'ai oublié pourquoi j'étais ici jusqu'à ce que j'entende ta voix. Je… Je dois y aller. Je-je, encore merci de ce que vous avez fait pour moi mais je dois rentrer. »

« Non » il grogna « Tu sais ce qu'il t'attend si tu rentres là-bas. »

« Il n'y a personne là. Je peux y aller c'est bon. »

L'homme réfléchit, fronçant les sourcils et il plaqua d'une main l'adolescent sur son lit.

« Tu vas aller chercher tes affaires et les ramener ici. »

« Pourquoi ? »

« Ça s'appelle de la non-assistance à personne en danger si je refuse. Et étant donné que ton tuteur te bat tu pourrais l'attaquer en justice et donc demander ton émancipation. »

« Pourquoi m'aidez-vous ? »

« C'est mon métier. »

« Qui est ? »

« Avocat. Mais peu importe. La salle de bain est au fond du couloir à gauche. Des serviettes sont dans le tiroir en bas à droite et je t'apporterais du linge propre. Tu déjeuneras et ensuite tu iras prendre tes affaires. »

« Merci. »

« Je t'ai demandé d'arrêter de me remercier Stiles. »

« D'accord, mais merci. » L'adolescent sourit et se dirigea dans la salle d'eau.

Derek souffla, ça faisait longtemps qu'on l'avait agacé à ce point. Il ouvrit ses placards et sorti un boxer, un jogging, un t-shirt et un pull. Il les posa devant la porte et s'en alla pour préparer du café.

Stiles ayant fini sa douche sorti. Il vit les vêtements au sol et s'habilla rapidement. Derek passa devant lui sans un regard et entra dans la salle de bains.

L'adolescent passa outre et alla au salon. Il découvrit la cuisine et décida de faire le petit-déjeuner. Il prit de la farine, des œufs, du sucre, de la levure, un peu de lait et fit des pancakes. Il bougeait lentement car il venait de recoudre ses plaies.

Il battait les œufs, fit un puits avec la farine, le sucre et la levure, y versa les œufs battus et le lait puis il remua. Il laissa reposer la pâte et prit la poêle qu'il avait dégouté après 10 minutes de recherche. Il prépara quelques fruits qui étaient dans la corbeille posé sur l'ilot central et mis de l'huile sur le feu. Il prépara rapidement ses pancakes et les posa dans deux assiettes. Il regarda son chef d'œuvre et sourit avant de s'asseoir et d'attendre Derek.

« As-tu l'habitude de cuisiner ? »

L'adolescent sursauta au ton bas et rauque de l'homme aux yeux bleus nuancé de vert et de gris.

« Oui. » L'adolescent baissa les yeux. « J'ai dû m'occuper de moi pendant 5 ans. »

Derek hocha la tête et vint s'asseoir. Il prit une bouchée et écarquilla les yeux c'était délicieux. Il resta quelques secondes sans bouger et attaqua très rapidement les pancakes ainsi que le medley de fruits à côté de lui. Un silence presque religieux régnait dans la cuisine.

« Hier je me demandais encore si dans ma course sur l'asphalte, quelqu'un s'arrêtera pour me voir moi et pas une ombre chimérique à moitié morte. »

Derek le sonda puis grogna quelque peu et ferma les yeux.

« Je suis tout sauf un sauveur Stiles. J'ai simplement des yeux. »

« Merci Derek. »

« Stiles ? »

« Oui ? »

« La ferme »

L'adolescent sourit pour la première fois depuis longtemps et s'attaqua à son petit-déjeuner pensant que rien ne pourrait lui arriver.


Voilà, premier chapitre. Qu'en pensez-vous? Héhé je suis bien sadique parfois. Reviews?

-Harlequins