Voici le début d'une fiction. C'est la première que je publie sans l'avoir fini, afin de pouvoir la modifier selon vos réactions. Et maintenant, ENJOY…


J'oubliais… Harry Potter et son univers appartiennent à JK Rowling, j'ai aussi emprunté quelques idées par ci par là, et ai aussi laissé une chose proche du quatrième tome de l'Héritage, écrit par Christopher Paolini… Celui qui trouvera de quoi il s'agit recevra le premier chapitre d'une autre fiction sur laquelle je suis en train de travailler… Mais que le Premier à découvrir… Et tous ceux qui trouveront recevront une fiction relativement courte, soit Ange, soit un mélange de différents mondes de livres que j'ai lus. Au choix du lecteur… (Merci de répondre à ce concours par MP ou par mail (Faenlgiec hotmail . com) afin de laisser aux autres la chance d'y répondre... Et de préciser votre adresse mail et de prévenir si vous ne savez ouvrir les fichier docx...) Il restera ouvert jusqu'à ce que je republie ce chapitre... sans ce commentaire.


Pré-Prologue

Le plan était parfait. Leur ennemi tomberait. Et lui, le plus fidèle de SES serviteurs, serait justement récompensé. Depuis un an qu'il L'avait rejoint, il n'avait jamais eu à s'en plaindre. Le Maître était encore assez tolérant avec ceux qui effectuaient bien ses missions. Et lui avait reçu pour mission de tuer Harry Potter. Son peuple suffirait. Les elfes avaient une haine virulente envers les humains depuis que la famille de la reine, de même que d'autres elfes, avaient été tués. Lui seul avait compris ce qu'il y avait à gagner à une alliance avec les humains. Lui seul était digne de gouverner les elfes.

Harry Potter était un sorcier d'une grande puissance. Malgré cela, comme cela semble souvent être le cas, il n'osait se défendre contre ceux qui le battaient depuis sa première année. Depuis qu'il avait été déposé chez eux. Certes, cela n'était pas toujours physique, mais la violence psychique peut avoir de biens plus grands résultats. Répéter à quelqu'un qu'il est un montre pendant toute sa vie peut être bien plus dévastateur que de le frapper tous les jours. Encore une fois, le jeune sorcier sortait d'un repas particulièrement éprouvant. Il n'y a rien de plus désespérant que quelqu'un qui reproche de bien prendre sa fourchette, quand le propre fils de ce quelqu'un, éloigné de cinquante centimètres de la table, son ventre ne lui permettant pas de se rapprocher plus, est en train de manger la bouche ouverte, à moitié avec les doigts, si on peut appeler manger le fait d'insérer de la nourriture dans sa bouche et d'en laisser déborder une quantité non négligeable (NdA : Désolé si vous devez vomir…).

Il passa la porte de sa chambre, remarquant aussitôt que quelqu'un y avait pénétré. Les armoires, ainsi que tous les tiroirs, avaient été ouverts et vidés. Harry, craignant une attaque, se déplaça vers le centre de la pièce, dans l'intention de refermer les fenêtres. Il négligea cependant de vérifier le sol. Grossière erreur. Alors qu'il marchait sur une des (nombreuses) lattes branlantes du parquet, un pentacle apparut dans la pièce, variant en intensité, comme s'il combattait une puissante magie. Puis, un tintement cristallin de sorts puissants brisés se fit entendre, et la magie environna Harry, l'enfermant dans un cylindre de lumière.

Quand la lumière se fut éteinte, Harry était dans une pièce aux murs d'ébène. Mais partout autour de lui, des dizaines de personnes pointaient vers lui des flèches. De plus, un puissant bouclier magique était autour de lui.

« Qui es-tu pour venir ici, misérable mortel ? »

La voix était impérieuse, et, bien plus que la perspective de rencontrer Voldemort, l'effraya. Elle vibrait litéralement de magie. Harry en tremblait presque. Pourtant, une force irrésistible lui fit dire la vérité, et tenir droit sur ses jambes, alors même qu'il tremblait de tout son corps.

« Je me nomme Harry James Potter, fils de James Potter et Liliane Evans, et je ne puis remonter plus haut par manque de connaissance, Votre Majesté. Je suis aussi sorcier de second cycle à Poudlard, entrant en sixième année.

-Evans ? Qu'on aille chercher le gardien de la mémoire ! »

Aussitôt, un garde courut vers la sortie. Pendant ce temps, Harry tenta de calculer ses chances de survie. Il ne pouvait transplanner. Il ne pouvait espérer une quelconque clémence. Il ne pouvait que prier pour qu'un allié arrive. Et vite.

Soudain, le garde revint, portant un grand livre qu'il posa devant la Reine.

« Elphis… Etier… Ah, Evans ! Famille moldue aisée… Anciens bourgeois… Nous y sommes. '5 février 1960. La famille Evans, de par sa richesse, les valeurs qui y sont inculquées, sa simplicité, et la bonne éducation qu'elle lui confiera, se verra adopter la princesse Liliane (Voir p.1247), âgée de 6 jours, suite au décès de la Reine, et ce jusqu'à la majorité de celle-ci. A ce moment, elle pourra choisir entre remettre la couronne dans les mains de sa cousine Elizabeth ou accepter ce fardeau. 30 janvier 1977. La princesse Lily a finalement décidé de laisser sa place.' Eh bien, je pense que le profil de Mme Potter vaudra la peine… 'Née le 30 janvier 1960, Lily Potter, née de l'Anduin de la Forêt, adoptée en 1960 par la famille Evans, a perdu sa mère le 31 janvier, celle-ci n'ayant pas survécu à l'accouchement. Elle fut, selon la coutume, confiée à une famille moldue. Elle a fait ses premières preuves de magie à l'âge de 4 ans, soit exceptionnellement tôt. Acceptée à 11 ans à Poudlard, elle a vu avec horreur sa sœur adoptive, à laquelle elle était très attachée, s'éloigner d'elle, poussée par ses idéaux religieux et des stéréotypes datant de l'inquisition. Son seul ami, Severus Rogue (voir p. 6753) s'éloigne progressivement d'elle, poussé par les idéaux de sa maison, avant de briser involontairement leur amitié le 6 Juin 1975. Contrairement à toute attente, elle lie alors des liens avec un loup garou, Remus Lupin (voir p. 6873). Deux ans après, elle sortira avec un ami de celui-ci, James Potter (voir p. 1248). Date de l'annonce 'officielle' : 24 décembre 1977. Elle refuse le 30 janvier 1977 la souveraineté, et emménage dès la sortie de l'école avec le seigneur Potter, dont les parents sont morts depuis deux mois à peine. Elle se marie le 12 aout 1979 avec Le Seigneur Potter, et donne naissance à Harry James Potter (voir p.1248) le 31 juillet 1980. Elle meure le 31 octobre 1981, tuée par le Seigneur des ténèbres Voldemort (voir p.5742). Sa mort entraine la plus grande perturbation de magie enregistrée, et manque de détruire les elfes, mettant fin à la vie de 276 d'entre eux, soit plus de 78,04% de la population à ce moment, dont l'entièreté de la famille royale, son fils mis à part.' Voilà qui était intéressant. Je pense que le jeune Harry mérite notre enseignement… »


Prologue


Harry pesta contre le seigneur des ténèbres. Les elfes et d'autres peuples avaient beau leur avoir transmis des techniques et une partie de leur sang, faisant de lui un mélange de différentes races, il ne pouvait pas faire face à l'armée entière des mangemorts. Malgré toute sa bonne volonté et son savoir-faire, il ne put contenir entièrement l'invasion, loin s'en fallait. Alors, il décida de prévenir la régente des elfes de l'arrivée de l'armée. Et peu après, la voix de la régente se fit entendre à travers toute la forêt interdite.

« Guerriers ! De nouveau, l'ennemi séculaire montre sa tête hideuse ! Mais cette fois, nous ne le laisserons pas agir ! Cette nuit, nous allons le défaire et sauver nos foyers de cette menace ! Êtes-vous prêts à vous battre ? Êtes-vous prêts à vaincre pour votre liberté ? Êtes-vous prêts à mourir pour votre liberté ? » (NdA : Emprunté à Sophie Audouin-Mamikonian, de son livre 'Tara Duncan, Le sceptre maudit, p. 179, légèrement modifié…)

Alors, de tous les coins de la forêt sortit la voix des guerriers, répondant, chacun dans leur langue :

« Nous le sommes !

-Alors, sus à l'ennemi ! En avant ! Pour notre liberté, nous vaincrons ! »

Et alors, les troupes se jetèrent l'une sur l'autre. Harry, qui avait eu le temps de se dégager du combat, rentra immédiatement dans la danse, utilisant autant des sorts que sa redoutable épée. Partout autour montaient les rugissements des combattants. Les licornes se jetaient sur les loups garous ennemis, les elfes attaquaient les sorciers, les nains usaient de leurs machines de guerre pour abattre les terribles géants. Et au milieu du carnage, juchée sur un cheval immaculé, enchâssée dans une armure de mithril éblouissante, la régente menait ses troupes au combat. Les elfes et leurs alliés semblaient mener le combat. Mais soudain, alors que les elfes allaient gagner, un homme arriva, fendant les combattants sur son chemin. D'un coup de sa redoutable masse, il projetait ses ennemis au loin. D'un geste de baguette, il ravageait le champ de bataille. Les elfes, même en unissant leurs pouvoirs, ne pouvaient le toucher. Les attaques rebondissaient sur son armure noire. Et alors, traversant le champ de bataille à une vitesse insoupçonnée, les deux ennemis se jetèrent l'un sur l'autre. Comme cela arrive de temps en temps, les deux armées cessèrent le combat pour observer celui de leurs généraux. L'homme en armure noire contre la femme en blanc. Le manieur du lourd fléau contre celle de la légère épée. Dans les mains du champion ennemi, le fléau semblait ne peser plus qu'une branche d'arbre. Dans les mains de la régente, l'épée n'était presque plus visible. Si quelqu'un avait oublié qu'une dure éducation martiale était procurée à tous les dirigeants des elfes, cela était maintenant clair. Car si l'ennemi pouvait se permettre un coup dans son armure, une erreur de la part de la régente serait mortelle. L'ennemi portait de multiples blessures, et la régente relâcha un instant sa concentration. Alors, en un éclair si rapide qu'il en devenait invisible, le fléau fusa, percutant la régente, brisant l'armure et les os, projetant le corps sans vie de la régente à des dizaines de mètres du lieu du combat. Et les elfes gémirent.

« Champion, je te défie ! »

Harry venait d'hurler, couvrant les cris des mangemorts, ainsi que les plaintes de ses alliés. Mais surtout pour cacher le tremblement de sa voix. Il n'avait le droit à l'erreur.

« Non ! »

Harry se retourna vers les elfes, et plus précisément vers celui qui avait crié.

« Nous n'avons plus besoin de morts. Rendons nous ! »

Alors, Harry, d'une voix forte, prit la parole.

« L'heure n'est pas à la reddition. Ni aux pleurs. Certes, la Régente est morte, mais elle est morte pour nous ! Croyez-vous qu'elle voudrait que nous nous rendions ? Croyez-vous qu'elle voudrait que nous nous lamentions, que nous abandonnions notre liberté invaincue ? Non ! Ce serait déshonorer sa mort, ternir sa mémoire ! Aujourd'hui, nous combattrons. Et les cris de nos ennemis seront son oraison funèbre, la mort de son meurtrier notre offrande à sa mémoire ! Peuples libres, battez-vous ! »

Alors, avec un fracas assourdissant, les deux armées se jetèrent l'une sur l'autre, à l'instar de leurs généraux. Et à nouveau, le chant des armes se fit entendre, à nouveau, le pouvoir se fit palpable. À nouveau, les cris des blessés retentirent. Mais pas pour Harry. Il se concentrait, esquivant les attaques de l'ennemi. Il ne pouvait cependant porter de sérieux coup, concentré qu'il était pour se défendre. Puis soudain, il aperçut une faille. Un endroit, non loin du cœur, où les coups répétés de la reine avaient brisé l'armure. Alors, bondissant par-dessus l'arme de son ennemi, il atterrit de tout son poids sur son ennemi, son épée rentrant dans la faille, perçant la peau, brisant une côte, puis remontant alors qu'Harry chutait, tranchant deux autres côtes, puis le cœur. Aussitôt, la bataille prit un autre tournant. Les armées de Voldemort, galvanisées qu'elles étaient par la victoire de leur champion, furent refroidies par cet échec. L'armée des elfes & Co. fut au contraire galvanisée par le fait que leur Reine avait été vengée. Mais le ratio restait de cinq mangemorts pour un elfe ou autre. Et malgré qu'ils vaillent bien plus de cinq mangemorts chacun, ils combattaient déjà depuis un certain temps alors que les hommes du Seigneur des ténèbres étaient frais.

La bataille dura des heures encore. Voldemort, de même que les trois grands stratèges elfes et autres, restaient sagement hors de la bataille, conscients que la victoire dépendrait en grande partie de leurs stratégies. Les corps s'amoncelaient, et le corps de la reine, récupéré par un sort de lévitation, avait été mis de côté. Une nuée de charognards, corbeaux, gypaètes, vautours,… volaient dans les cieux, tournant autour du champ de bataille, attendant la fin pour manger. Et si les corneilles et petits corbeaux n'osaient chercher la nourriture si les hommes étaient dans les parages, les grands corbeaux, mais surtout les gypaètes, dont l'envergure atteignait tout de même les trois mètres, osaient chiper leur proie, prenant parfois même les membres tranchés de personnes vivantes.

Mais toute guerre a une fin, et celle-ci arriva quand Voldemort, rageant face au fait qu'Harry décimait ses troupes, se lança dans la bataille, lançant directement un sort sur Harry. Ce dernier se retira quelque peu de la bataille avant de répondre au duel de sorts. Les deux adversaires, à force d'esquives, et d'ouvertures, tournaient lentement autour de la bataille, et, après un certain temps, Harry et Voldemort avaient fait un demi tour. Alors, un des stratèges, un centaure, décocha une flèche dans le dos de Voldemort. Ce dernier se retourna aussitôt, tuant rapidement les trois stratèges et évitant la flèche, mais quittant son adversaire des yeux. Grave erreur. Alors même qu'il s'apprêtait à attaquer son ennemi, un sort vert le percuta, le tuant. Alors, comme des poupées immatérielles, les mangemorts encore vivants s'effondrèrent, morts.

Le bilan était lourd, et ce surtout chez les elfes. La mort de la reine avait tué beaucoup trop d'entre eux, et, sur les cent derniers elfes, seuls une demi-douzaine avaient survécu. Peu de centaures en avaient réchappés. La mort de l'ennemi avait couté énormément. Trop. Alors, les survivants, après s'être concertés, décidèrent de réaliser ce qui n'avait jamais encore été fait. Changer le cours du temps. Leur désir n'était pas de changer le temps dans un autre univers, mais de changer leur propre temps. Alors, désignant d'un commun accord Harry pour le faire, ils le sortirent du cours du temps, lui donnant ainsi une existence intemporelle et multiuniverselle. Puis, ils l'expulsèrent du cours du temps, l'envoyant en 1977, enrayant du même coup leur futur, le détruisant immédiatement. Alors, tout bonnement, ils cessèrent d'exister, corps et âme.


Voici venu la fin de ce prologue. Je pense que vous vous doutez que la suite ne sera pas de tout repos pour Harry James Potter, prince des elfes, en âge de gouverner, si sa mère venait à refuser la couronne, mais surtout chargé de sauver sa mère, en plus de devoir sauver le monde. Car sa mission est celle-ci : empêcher sa mère de mourir…

Faenlgiec

PS: malgré que je préfère que vous ne répondiez pas au concours par review, (ou plutôt que je l'impose), d'autres reviews sont toujours les bienvenues...