Comme toujours, les droits de la licence dont s'inspirent cette histoire ainsi que les clins d'œil reviennent à qui de droit.



Encyclopédie du Yin

Livre 2 : Virus

Chapitre 1 : Le calme…

Alors que la reconstruction du monde allait bon train et que calme et paix semblaient être revenus sur terre, Aang reçut un message d'un ancien Avatar l'avertissant de la venue sur terre d'un être mauvais et malsain : L'Antivatar.

Cette menace venait s'ajoutée à celle de la récente évasion d'Azula et au problème de la disparition soudaine de Toph. Heureusement pour cette dernière, la maîtresse de la terre trouva en Shoj, un garçon enfermé dans une cage à coter d'elle, un allié de taille et réussira à s'échapper. Plus tard elle retrouvera Shoj et fera route commune avec lui.

Le Gaang se reformera et partira à la recherche de Toph pour ensuite régler le problème de l'Antivatar et Azula. Par chance le Gaang retrouva Toph et Shoj, ce dernier étant en fait l'Antivatar. Azula n'était, elle, pas loin non plus.

Un affrontement opposa les deux Avatars pour finir avec la fuite de Shoj aidé par Azula.

Le Gaang est maintenant à la recherche des deux personnages et les recherchent sans relâche à travers la terre sans réel succès.

Palais Royale de la Nation du Feu, Cours Intérieur, Nation du feu.

Chaque pas que faisait Iroh résonnait dans ce long couloir sombre fait de métal rouillé aux couleurs orange-sang et d'ombre semblant bougées sans fin. Plus il avançait et plus l'horizon semblait lentement se tordre sur lui-même faisant que le vieil oncle du seigneur du feu se mit de temps en temps à pencher la tête sur le coter pour avoir une vue "normal" du fond du couloir.

Bien qu'il lui semblait marcher depuis des heures, lorsqu'il regardait derrière lui il ne voyait que la porte d'entrée très proche de lui. Bien que la raison pousserait n'importe qui de partir d'ici, Iroh semblait obligé de rester à cet endroit et d'essayer d'avancer sans relâche, de courir vers un but trop lointain et réellement impossible à atteindre.

De la sueur perlait sur son front dégarnis et ces yeux tremblait à force de vouloir atteindre ce but si lointain. Après un instant à courir sur place, il s'arrêta net sur place et regarda derrière lui ; la porte n'était plus là, seul s'étendait devant et derrière lui ce long couloir de métal rouillé.

Des bruits de pas lourds résonnèrent dans tout le couloir, ce n'était pas les siens, quelqu'un d'autre était donc aussi ici avec lui. De divers gestes rapides, il tourna sur lui-même comme cherchant la source de ce bruit qui se rapprochait. Les oreilles d'Iroh entendirent le bruit de pas lourd se rapprocher avec un rythme spécial ; un pas était fait presque tout les quatre secondes. Cette démarche n'était pas réellement normale.

Iroh regarda de nouveau derrière lui, bien qu'il était un homme calme, il comprenait qu'il se trouvait à un endroit où il n'était pas en état de force et il n'appréciait que très peux perdre tout point de repères dans l'espace.

Après un instant un être maigre comme une brindille apparu aux yeux d'Iroh, de grande taille, il n'avait pas de visage, juste la forme caractéristique d'une tête, un cou très fin, des épaules aux os très visible. Chaque côte du torse du personnage était visible et il était facile, si on connaissait un peu l'anatomie, de voir qu'il en manquait plusieurs. Les bras, totalement décharnés, semblaient s'étendre presque à l'infini. Les jambes renfermées contre l'intérieur, la démarche du personnage était très lente.

- Qui… Qui êtes-vous ?! Quel… Quel est cet…

Iroh n'eut pas le temps de finir sa phrase que le personnage recula sa main et la plongea dans le torse du vieil homme. La douleur fut si vive qu'il aurait d'eu normalement tombé dans les pommes, mais rien ne se passa ; il resta éveillé.

Il essaya de crier mais rien ne sortit de sa gorge déjà sèche, il essaya de se débattre mais aucun des ces muscle ne répondit à l'appel de son cerveau. Il était maintenant une sorte de pantin sans articulations qui n'avait qu'à subir ce qu'il se passait.

Heureusement pour lui, Iroh se réveilla en sursaut dans son grand lit en soie. Dans un mouvement pour se rassurer, il tâta un peu sa couverture et se calma rapidement en sentant la douceur de la soie. Il comprit tout de suite qu'il avait fait un mauvais rêve et passa sa main sur son front. La fièvre dont il souffrait depuis une semaine n'avait pas faiblie.

Dans un soupir il se tourna vers la table de chevet à sa droite et alluma une bougie du bout du doigt. La pièce s'éclaira légèrement d'une lueur rougeâtre vacillante. Iroh eu un réflexe de recul lorsqu'il vit Azula assise sur un fauteuil près de lui, un grand garçon étant debout derrière elle…


Maison glacière du maître de l'eau Pakku, Pôle Sud

Katara arriva en trombe dans la maisonnette du maître de l'eau, plusieurs curieux c'étaient déjà placés devant la maison de glace et quelques rares personnes entouraient le corps du vieil homme à l'intérieur. De plusieurs gestes amples, Katara se fraya un chemin à travers cette petite foule et arriva, non sans peine, jusqu'au corps fiévreux qui était au centre de l'attention.

D'une main douce et maintenant plus qu'experte, Katara jugea la température de son ancien maître. La peau brûlante du front de celui-ci fut comme un fer chaud posé dans la paume de la main de Katara. Elle fit une grimace et après avoir hésité un instant, elle invita le vieux maître de l'eau à lui montrer sa langue ; une langue d'un bleu comme la mer. Katara déglutit bruyamment en entremêlant ses souvenirs, un souvenir ressortit : le souvenir de cette lettre d'Aang qu'elle avait reçue il y avait quelques mois.

"Il semble qu'Iroh soit tombé malade ; une forte fièvre à eue raison de lui et Zuko à dut reprendre l'intendance du trône. Si seulement tu voyais la langue d'Iroh… Un bleu comme la mer… Assez impressionnant !"

Katara, de part son éducation principalement, ne croyait pas réellement aux coïncidences pareilles ; deux hommes important tombant subitement malade avec les mêmes symptômes. Quelque chose se cachait derrière tout cela, mais quoi ?

La maître de l'eau se releva rapidement et donna quelques ordres, depuis son arrivée, elle avait été désignée cheffe de son village natale et s'acquittait parfaitement de toutes les responsabilités que cela incombait. Deux ans après le début de leur chasse de l'Antivatar et d'Azula, elle était revenue à cet endroit pour ce ressourcée et avait décidée de focaliser ses recherches sur le Pôle Sud et non plus sur le Sud des terres de la nation de la terre et du sud de la nation du feu.

Depuis la disparition de Shoj et Azula, le Gaang s'était séparé en plusieurs groupes qui devaient faire des rondes de recherche dans divers endroit. Aang avait beaucoup changé dès qu'il avait appris l'apparition de l'Antivatar, mais maintenant tout était pire ; il était devenu très lunatique et n'était plus l'être si doux, attentionné et à l'écoute qu'elle connaissait. La preuve tout faite était celle de leur première relation d'adulte ; pour elle, cette relation avait plus ressemblée à un viol qu'a un témoignage d'amour. Mais en soit, elle acceptait ce dilemme comme elle le pouvait et espérais tant bien que mal qu'il rechangera une fois Shoj capturé.

Après avoir dispersée la foule devant la maisonnette avec plusieurs mots doux et calmant, elle se dépêcha de retourner à sa maison à elle. En effet, c'était le jour où Aang venait lui rendre visite, cela n'arrivait que tout les quatre mois. Il voyageait entre chacun des endroits où rodait un membre du Gaang et prenait des nouvelles des recherches et autres. Il assurait la liaison entre chacun.

Bien que leur vie de couple n'était plus réellement la vie dont rêvait Katara, elle se faisait tout de même belle pour l'homme qu'était devenu le garçon qu'elle aimait.


Palais de la nation de la terre, Omaresh

Sokka sembla s'envoler un instant tellement la poigne et la force dans le bras de Bumi était puissante. Au moment précis où Bumi s'était réveillé, Sokka aurait voulu avoir Sukki près de lui. Mais celle-ci était déjà bien assez occupée avec Toria, le petit rayon de soleil d'un an et demi de ce couple radieux.

Sokka ne savait pas réellement quoi dire ni quoi faire ; cela faisait des heures que Bumi délirait sur un long couloir de rouille et d'une arrivée imminente du mal lui-même. Déjà à la base Bumi n'avait pas toute sa tête, mais là il en devenait presque apeurant. De plus de temps en temps il se mettait à parler en arrière, comme ravalant les derniers mots qu'il avait prononcés.

Sokka avait tout mis sur le compte de la fièvre et cette langue bleue bizarre. Le maître de la terre avait sûrement dut manger quelque chose d'avarié ou tout simplement attrapé une mauvaise grippe.

Tout cela commençait réellement à le fatiguer et à l'embêter, depuis la naissance de Toria, Sokka n'aspirait plus à partir à l'aventure mais voulait rester en paix avec sa délicieuse femme. Mais d'un autre coté il ne pouvait pas laissé tomber Aang et le monde, la culpabilité le rongerait trop et cela amènerait plus de problèmes que de solution dans sa vie déjà bien compliquée.

La main du maître de la terre se serra fortement, Sokka lâcha un cri de douleur puis ne sentit plus rien. Bumi était maintenant figé sur place, la bouche ouverte, les yeux écarquillés regardant le plafond. Il ne semblait plus respirer, il était comme flottant dans l'air sans bouger, comme étant une statue.

Sokka pencha son oreille sur la bouche grande écartée de Bumi et sentit une légère respiration. Un léger souffle à moitié étouffé.

Il lâcha un petit soulagement dans un soupir presque inaudible avant de ressentir de nouveau une vive douleur ; le corps de Bumi s'était totalement crispé et son dos formait maintenant une sorte de demi-arc de cercle. La musculature impressionnante du maître d'Omaresh devint des plus apparentes et la main de Sokka sembla n'être que de vulgaire brindille broyée par une main de fer.

Dans un réflexe humain, Sokka essaya d'abords de glisser sa main hors de la masse de muscle qui la retenait, puis il essaya, en s'aidant de son autre main, de se dégager par tous les moyens de l'étreinte qui brisait ces doigts. Mais rien n'y faisait et tout cela avait le même effet que les sables mouvants : plus Sokka se débattait, plus sa main était serrée.

Après un court instant, le corps tout entier de Bumi se mit à vibrer comme parcouru par d'intense frisson de long en large. La vue de ce corps en train de trembler pétrifia encore plus Sokka sur place. Seul dans la pièce, sa tête pensa à appeler au secours mais son corps ne suivit pas l'information et ouvrit simplement sa bouche sans prononcer un seul mot.

Était-ce à cause de cette vision si dur et si étrange ou était-ce car quelque chose dépassant l'entendement ce passait en ce moment que Sokka commença à sentir son souffle se couper et son cœur ne plus battre normalement ? Cela il ne put l'expliquer car il sombra peu à peu dans l'inconscience, sûrement heureux de quitter cet endroit si étrange pour un endroit plus apaisant.


Ville de Dresnae, salle de théâtre, Sud de la Nation de la terre.

Toujours la même ronde incessante, toujours le même mélange de rancune et de nostalgie.

Les années qui passaient n'avait pas pansées la blessure de Toph comme elle l'espérait ; bien qu'elle ait fait tout son possible pour refermer la plaie béante que Shoj avait créer en lui mentant et en la laissant seul. Elle s'était laissée aller, elle était tombée amoureuse et avait placée des actions sur ses sentiments, son premier baiser, c'était lui qui l'avait pris et non Sokka.

En soit, Toph était presque gênée de s'être autant ouverte et cela avait le don de l'énerver. De plus, tout les deux mois, elle croisait Sokka sur son chemin. Katara avait voulu cette disposition par soucis du bien être de la maître de la terre. Le fait de parler de sa relation avec Shoj et de s'ouvrir à Katara était une erreur de plus et elle en payait les conséquences à chaque rencontre de Sokka.

Les autres ne comprenaient-ils pas qu'elle n'avait pas besoin de compassion ? Ne comprenaient-ils pas qu'elle ne pense plus à Shoj… En se faisant cette réflexion, l'image de Shoj apparu à la mémoire de Toph, ce genre de souvenir était très dur pour elle car elle le voyait toujours autant souriant, toujours si gentil et totalement dévoué à elle. Elle n'arrivait pas l'imaginer méchant et mauvais, elle n'arrivait pas se le remémorer en forme d'Antivatar.

Elle plissa gentiment les yeux et plaça son visage entre ses deux mains, elle sentie ce sentiment de tristesse monter le long de sa gorge comme voulant allez réveiller les larmes au niveau de ses yeux. Bien qu'elle montre d'elle une image d'une femme forte, il y avait des moments comme celui-ci qui lui rappelait qu'elle était aussi une femme fragile et sensible.

Elle s'empêcha de laisser s'échapper quelques larmes en pensant à Aang. Penser à ce qu'il était devenu depuis l'arrivée de Sh… L'Antivatar sur terre lui remontait le morale, c'est assez méchant de sa part de se complaire du malheur de quelqu'un d'autre, mais c'est le seul moyen de retrouver un peu le sourire et la volonté de se battre.

Les applaudissements de la salle la sortit de sa rêverie et elle releva la tête tout en prêtant attention à la musique et au chant qu'elle allait écouter ; cela faisait maintenant quatre ans jour pour jour qu'elle s'était retrouvée sur scène avec lui, quatre ans qu'elle avait vécu des moments délicieux.

Comme chaque année où elle venait à ces représentations d'artistes et jeunes artistes, elle espérait que Shoj vienne s'asseoir à ses côtés, qu'il lui prenne la main et s'excuse platement. Elle était prête à lui pardonner s'il faisait l'effort de venir lui dire pardon, mais plus les jours passaient et plus ce pardon devenait dur à concevoir. En fait, ce n'était que durant ce show d'artiste qu'elle devenait plus calme et apaisée, qu'elle se disait qu'elle pouvait lui pardonner.


Palais Royale de la Nation du Feu, Chambre d'Iroh, Nation du feu.

La lumière vacillante de la bougie éclaira un peu le visage d'Azula, fière et sûre d'elle.

La lumière légèrement orange donnait un air sinistre à Azula mais encore plus à la personne qui se tenait derrière elle. S'élevant telle une colonne, Shoj se tenait derrière Azula et attendait gentiment sans dire mot.

Azula avait mûrit, pas que physiquement mais aussi mentalement, elle n'avait plus ses déviances et folies. Le fait d'avoir de nouveau un but dans sa vie lui avait permis de reprendre la raison. De plus le fait d'être accompagnée de l'homme qu'elle aime aidait sûrement beaucoup à soigner son état mental.

Elle avait changé dans sa façon de vivre, dans sa façon d'être. Avant elle s'échappait en écrivant des lettres mentales à sa mère, maintenant elle s'échappe dans les bras de son aimé. Dans des nuits sans fin à goûter au plaisir de sa présence. Tout cela se reflétait grandement sur le visage de l'ex-princesse du feu et sur sa manière de s'habiller. Portant des robes élégantes qui ne la gênent pas lors de ses combats, elle est tout simplement devenue plus femme qu'avant.

Shoj avait changé lui aussi, lui qui était auparavant ce garçon un peu bavard et bon vivant, il était maintenant une personne silencieuse et calme. L'entraînement intensif qu'il avait reçu d'Azula lui avait démultiplié ces pouvoirs et il était maintenant un Antivatar complet. Il avait pleinement laissé les autres Antivatars pénétrer sa façon d'être et sa façon de penser, il ne les retenait plus et ne faisait plus qu'un avec eux.

Sa vie était vouée au bien être de celle qui lui avait tout appris, tout appris de la société, de la guerre, de l'amour et du plaisir. Bien qu'au fond il savait qu'elle ne lui avait montré qu'une facette, Shoj respectait grandement Azula et suivait ces ordres à la lettre. Cependant, comme une petite lueur au fond de lui, il repensait à Toph et son cœur s'emplissait de remords et de culpabilité. Culpabilité envers Toph de l'avoir trahie et culpabilité envers Azula de penser à une autre qu'elle.

Il était devenu un parfait formatage de ce que voulait Azula : un homme puissant à ça botte.

Le visage de son oncle perlait de toute part et ces yeux fatigués par la maladie ou plutôt par la marque de Shoj semblaient lourds à porter. Azula se félicita du niveau de l'Antivatar ; il pouvait maintenant interagir sur les corps de personne prédéfinie et tout ça à distance. Son plan marchait à merveille et les choses allaient bientôt changer pour elle et Shoj. Elle se voyait déjà reine du monde avec un époux aimant et son père comme conseiller, elle allait relever l'honneur de sa famille !

Azula fit un petit sourire à son oncle qui avait de la peine à parler, l'incapacité du vieil homme à émettre un son allait arranger le départ de cet endroit. Ils seraient donc tout deux entrés et sortit sans attiré l'attention. L'ex-princesse se leva tout en faisant un peu voler sa robe rouge et noir. Elle s'approcha d'Iroh et s'assit sur son lit à coter du corps presque paralysé par la fièvre.

- Que…

Azula posa un doigt sur les lèvres d'Iroh comme une mère ferait à son enfant qui essaierait de combattre la fatigue.

- Ne vous inquiétez pas mon oncle, vous allez bientôt guérir.

Elle se tourna vers Shoj et lui demanda de venir, celui s'approcha alors du lit et se pencha vers le vieil homme. Son visage était d'un pâle extrême, presque autant blanc que la neige des pôles. Plusieurs sortes de craquelures grises venaient donner à sa peau une apparence de peau en pierre craquelée et ses yeux, anciennement vert-brun, était d'un jaune pâle comme le sable.

Shoj fit un petit sourire, bien qu'amicale, qui effraya un peu le vieil Iroh par rapport à la suite des événements. D'un geste brusque, l'Antivatar attrapa les jambes du vieil homme. Azula se leva et alla se terrer dans un coin de la pièce. Cette action de la part de l'ex-princesse eu l'effet d'encore plus inquiéter Iroh qui essayait de se débattre avec ce corps totalement paralysé.

Shoj approcha son visage de celui d'Iroh et ouvrit la bouche, après un instant ces yeux s'illuminèrent et tout les muscles d'Iroh se crispèrent, il se mit à suer, à se tortiller puis à tousser grandement. Il ne toussait pas comme s'il avait une simple toux, il toussait comme si c'était la seule façon possible de faire sortir quelque chose qui se trouvait en lui.

Il toussa encore plus fortement puis sa vue se voila gentiment et il sombra après un instant dans un profond sommeil.


NA : Et voilà c'est repartit pour un peu d'Avatar ! On commence fort par une rapide mise à niveau des personnages et par la toute première action du duo Antivatar-Azula depuis quatre ans.

J'espère que vous êtes autant impatient de connaître la suite que moi de vous l'offrir !

N'hésitez pas à commenter !

De plus posez si vous avez des questions qui vous trotte depuis le livre 1, posez les ici et je me ferai une joie de vous répondre dans les récits si toutefois le moment est bien approprié (je ne vais pas vous raconter quelque chose qui pourrait vous gâcher le plaisir de découvrir quelques vérités lors de ce livre 2).

Donc commentez, posez vos questions et si la question est appropriée, je me ferai un plaisir d'y répondre dans le récit ou alors je vous répondrai par message privé si vous voulez absolument une réponse à la question (donc si vous êtes d'accord d'un peu de spoil)

A bientôt !