Voilà ma première fiction sur le monde fabuleux de J.R.R Tolken. Les personnages et le monde ne m'appartiennent pas sauf Eléonore, son père et peut être d'autres personnages à venir.

Je vous souhaite une bonne lecture.

Chapitre 1 : 20 ans qui valent 70 ans

Ah les nains, c'est créatures si petites et pourtant ils sont sans nul doute les plus têtues et les plus bornées que la Terre n'ai jamais porté. Mais ils sont aussi vaillants, courageux et fort. Leurs faits et gestes sont dictés par leurs cœurs. Et seul l'amour peut les faire plier.

Les Hobitts quant à eux seraient merveilleusement décrit par les mots simple et casanier. Mais leur grandeur âme est tout aussi connue que leur goût pour la nourriture.

Quant à moi, je ne suis ni de l'une ni de l'autre de ces races. D'autres vous diront que je suis des deux.

Je n'appartiens à aucune race qui existe en ce monde et pourtant je suis dite de deux d'entre elles.

Mon père Thréor. T grand-duc d'Hérébord.

Ma mère Chantine.B, cousine de Bilbo. S.

Mon père est un ami du roi, Thorin.

Ma mère est la seule à ne jamais avoir été accepté dans cette communauté qu'est celle des nains. Vous vous demandez sûrement comment a-t-elle réussis à s'y intégrer, mais cela est une autre histoire qu'elle raconte d'ailleurs elle-même très bien dans un roman de sa main (une habitude chez les Hobbits).

C'est en ce jour du 21 décembre 1383, en pleine fête du solstice d'hiver, là où les premières glaces tombent, que mes yeux virent les jours pour la première et dernière fois.

En effet en tant que futur héritière d'une grande famille naine et la première Naine-Hobitt de toute l'histoire des nains j'étais la chose la plus précieuse que le peuple nain avait, même plus que la légendaire Arkenstone perdu. Sachez-le, les naines sont rares du a la supériorité notoire du génome masculin chez les nains. De ce fait il est dotant plus rare d'avoir une naine héritière.

J'étais donc aduler par ce peuple qui n'était pas le mien et sans comprendre la raison de cette adoration. Je ne me sentais pas plus Naine que Hobitt ... J'étais une tare de la nature à cause de ma mixité. Les autres me le montraient soit en m'adulant soit me haïssant.

En effet, en plus d'être enfermer dans les quartiers de ma famille et de ne jamais y être sorti, les rares fois où j'avais pu rencontrer des garçons, ils me traitaient tous soit comme un monstre difforme soit ils me courtisaient tout en ayant derrière la tête une seule et unique chose : l'argent de mon père.

Mes seuls amis étaient Kili et Fili. C'était les seuls en qui j'avais confiance. Pourquoi ? Car tous deux sont les neveux de Thorin Oakenshield fils de Thráin fils de Thrór roi-sous-la-montagne. Ils n'ont donc aucune vue sur mon héritage. Je les avais connues grâce à mon père.

En ce soir du 21 Décembre 1453 Thréör, organisait une grande réception en l'honneur de mes 70 ans (ce qui vaut a 20 ans Humain). C'était un bal masqué. Kili et Fili étaient tous deux invités et notre roi, Thorin Oakenshield, aussi.

Toute la haute société était invitée. Cependant je ne savais reconnaître personne hormis mes deux amis. A cause de mon enfermement je ne savais même pas à quoi ressemblait le Roi.

J'étais dans ma chambre et mes domestiques m'aidaient à m'habiller pour le soir.

L'heure d'arrivée des invités approchait à grand pas.

L'anxiété m'envahissait peu à peu que les minutes s'écoulaient.

D'ici quelques minutes tous seraient arrivés, même le Roi et se serait à moi de faire mon entrée.

Ça y est c'était l'heure.

J'abaissais mon masque de chat.

Je sortais de ma chambre.

Je me dirigeais vers le grand escalier. J'entendais les gens rire et discuter en bas.

Je m'engageais. Les discutions s'arrêtèrent.

Je dévisageais les invités et ne reconnaissais personne hormis mon père avec son masque de cerf.

Un jeune nain attira mon attention. Il était grand (pour un nain), avait une longue barbe noire tressée et ornée d'anneaux dorés. Il portait un masque de loup. Ses yeux bleus étaient aussi perçants que la mère sous une nuit de pleine lune. Nos regards ne se lâchèrent pas une seconde pendant ma longue descente. Cependant une fois arrive en bas mon père s'approcha de moi et me parla, me forçant donc à quitter du regard mon beau loup bleu.

" Mes chers amis ! S'exclama mon père. Je vous présente ma fille chérie Eléonore! Aujourd'hui elle fête ses 70 ans ! Alors qui prendra sa première danse ? "

Je priais intérieurement que ce soit lui qui la prenne.

Je senti alors une main chaude se poser sur mon épaule.

" C'est moi qui la prendrai. » Tonna une voie grave.

Voilà ce chapitre est terminé. En espérant qu'il vous aura plus. J'attends vos avis avec impatience. Les riviews sont les biens venues car après tout la seule récompense d'un écrivain c'est les commentaires de ses lecteurs (bons ou mauvais).