POV Santana

Je me réveille encore une fois avec rien à faire de ma journée. Mon rêve est d'être connue, mais je ne sais pas par où commencé, ni comment y arriver. Bref, je me lève, vais dans la cuisine et me sert un café que Rachel à fait avant de partir. Je dois dire que j'aime bien cette naine. Elle m'agace sur les bords mais elle est beaucoup moins pire qu'au lycée et en plus elle est sexy. Mais ça je ne lui dirai jamais. Ça fait 1 mois que j'habite avec elle et on a déjà nos petites habitudes. Par exemple, c'est la première levé qui fait le café. D'accord, c'est toujours elle qui fait le café, mais c'est normal. Qui à part elle lève à 6 heures du matin?

Je vais dans le salon avec mon café et m'installe sur le canapé et écoute mon émission d'hier que j'ai manqué. Je décide à un moment d'aller me faire une toast car mon estomac commence sérieusement à gargouiller. Je regarde l'heure et remarque qu'il est déjà midi. Je comprends maintenant pourquoi j'avais aussi faim. Je mange rapidement ma toast et décide d'aller m'habiller pour aller faire l'épicerie de la semaine.

Je viens tout juste d'arriver et il est 17h. Disons que mes courses ce sont légèrement allongé. J'en ai plus profité pour m'acheter du linge qu'autre chose, mais j'ai aussi acheté ce qui manquait donc sa devrait aller. En rentrant je remarque que Rachel est déjà là.

-Salut, le hobbit.

-Allo, Santana. Alors, t'as journée?

Elle fait exprès ou quoi?

-Devine? Pendant que toi tu faisais tes beaux petits pas de danse, moi je ne foutais rien.

Elle sort de sa chambre et soupir.

-À ce que je vois, tu ne t'es pas tant emmerdé que ça. Dit-elle en pointant les sacs.

-À oui ça. J'en ai juste profité pour acheter un peu de nourriture.

-À ce que je sache, il ne manquait pas une épicerie au grand complet!

Je soupir et lève les yeux au ciel. Qu'est-ce qu'elle peut m'agacer.

-J'en ai peut-être profité pour acheter des vêtements…

-Et avec quel argent?

-…

-SAN! Tu sais qu'on ne doit pas dépenser pour rien.

-Désolé, si je ne veux pas manquer de vêtements.

-Tu veux rire? Tu as une garde de robe complète!

Je soupir fortement pour lui montrer mon mécontentement, prend mes sacs et vais dans ma chambre.

-C'est ça, sauve toi, l'entendis-je marmonner.

Je range mes trucs et j'entends Rachel ranger de son côté également. Je me rends soudainement compte qu'elle a raison et que je ne devrais peut-être pas autant acheter. Sinon on ne rentrera jamais dans nos comptes.

Je sors de ma chambre et remarque que Rachel a commencé le souper.

-Je vais rapporter les vêtements de trop, dis-je

Elle me regarde et souris. Je lui souris en retour et m'avance pour l'aider avec le repas, mais elle me repousse en disant que c'est son tour de s'occuper de ça ce soir. Quand je vous disais qu'on a des habitudes.

-De toute façon, tu mets toujours trop de sauce piquante, croit-elle bon de rajouter alors que je sors de la cuisine non sans lui avoir mis un peu de nourriture sur le visage.

Je vais au salon qui est directement relié à la cuisine et m'installe confortablement dans mon canapé. Je dis MON car je l'ai payé seule et donc chaque fois que je le veux pour moi toute seule je sors cette excuse à Berry et elle me laisse la place. En râlant bien sûr. Mais bon, c'est plutôt rare que je ne veuille pas de mon minimoys de compagnie près de moi. N'ALLEZ SURTOUT PAS VOUS IMAGINEZ DES CHOSES! C'est juste que je préfère avoir des gens autour de moi que d'être seule, ça n'a absolument rien à voir avec le fait que j'adore quand Rachel pose sa tête sur mes genoux ou quelque chose comme ça... Pas du tout.

Enfin, j'allume la télé et commence à zapper quand Rachel ce met à chanter Happy days are here again. (Oui je connais toute les chansons de Barbra Streisand, mais que voulez-vous? Je vie avec Rachel Barbra Berry.)

-Berry ferme là un peu! Je ne peux même plus entendre ce qu'Emma dit à Regina! Comment tu veux que je m'occupe du fan club SwanQueen, si je ne connais pas toute leur conversation par cœur, hurlais-je en montant le son du téléviseur.

Je sens son regard furieux dans mon cou et je souris, fière de l'avoir fait taire. Mais ça s'était avant qu'elle ne se mette à s'égosiller sur ce qui semblait être ROAR de Katy Perry qui passe à ce moment à la radio. J'augmente encore plus le son de la télévision alors qu'elle continue de chanter de plus en plus fort. Soudain, alors que la naine et moi sommes en plein combat de qui entre elle et une machine pouvait chanter le plus fort, la porte s'ouvre à la volé laissant apparaitre Kurt avec les doigts enfoncés dans les oreilles.

-Vous ne pouvez pas baissez le son un peu? Je ne m'entends plus penser! Crie porcelaine.

Berry et moi nous nous tournons l'une vers l'autre d'un même mouvement et, dès que nos regards ce rencontre nous explosons de rire. Vous ne pouvez pas savoir à quel point un Kurt Hummel en colère est hilarant. Sa voix monte tellement dans les aigus que je ne suis même pas sûr que ce soit humainement possible et sa figure devient toute rouge et croyez-moi, ce teint ne lui va pas du tout. Quand notre fou rire fut terminé (et que lady Hummel eu retrouver son visage pâle), je ferme la télé sous le regard désapprobateur et outré de Kurt, ce qui suffit à me faire rire de nouveau. Rachel glousse, en me voyant faire mais ne rajoute rien et retourne s'occuper de ses petits plats après avoir demandé à son meilleur ami ce qu'il venait faire ici.

-Outre le fait que je suis venue vous dire d'arrêter de me détruire les tympans?

-Ouais Hummel, on sait tous que tu veux autre chose, alors crache le morceau qu'on en finissent, que je lui réponds agacé d'avoir fini par manqué mon épisode.

-C'était une question rhétorique Santana, soupira-t-il, mais bon je voulais vous demandez si je pouvais venir souper avec vous? Elliot n'est pas là ce soir et je n'aime pas être seul dans mon appartement. De plus vous êtes mes voisines et meilleures amies, donc j'ose espérer que vous...

-Bien sûr Kurt tu peux rester! Lui dit Rachel avec un large sourire depuis son chaudron.

-Tant que vous ne vous mettez pas à refaire toute les comédies musicales que vous connaissez les unes après l'autre ça me va. Rajoutais-je en soupirant, sachant que même si j'avais été contre (ce qui n'est pas le cas), porcelaine aurait partagé notre repas ce soir.