Voilà, je sais pas ce que vous en penserez, pour ma part, je trouve ça moyen, j'avais pleins d'idées mais j'arrive pas à les mettre à l'écrit, enfin... J'espère que ça vous plaira... N'oubliez pas les reviews...

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Début des hostilités

Durant toutes les vacances scolaires, Harry, Hermione et Ron avaient réussit à trouver et à détruire tous les Horcruxes. Après quoi, Harry avait tué Voldemort. Il n'avait pas voulu retourner à Poudlard, mais après quelques mois, Hermione et Ron ont réussit à lui faire changer d'avis.

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Il est onze heures moins dix, il faut qu'on parte. C'est chaque fois la même chose, tous les ans on est en retard.

-RON!

Oh! Non qu'est-ce qu'elle me veut encore?

-Oui, Hermione?

-C'est pas la peine de faire cette tête, je ne te parle toujours pas, c'est ta mère qui m'envoie, elle veut que tu descendes les valises.

Qu'est-ce qu'elle est belle… Euh, non, qu'est-ce que je dis moi, je la déteste, elle a… elle a… qu'est-ce qu'elle m'a fait déjà?

-ça tombe bien, moi non plus je ne te parle plus. Et je descendrai toutes les valises sauf la tienne!

Pourquoi j'ai dit ça moi? Voilà, elle me jette son regard de colère. Elle va m'engueuler? Non, elle ne va pas… Si, elle m'a giflé!

-ça va pas la tête non?

-Wingardium Leviosa…

Elle descend sa valise, là, je ne suis pas prêt de lui reparler.

-Ron, tu n'aurais pas dût dire ça!

-De quoi je me mêle?

-Harry a raison.

Oh non ! Voilà que ma sœur s'y met.

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On est dans la voiture, Hermione me boude toujours. Il faut que je m'excuse, oui, c'est une excellente idée.

-Ron?

-Quoi, Ginny?

-Tu devrais t'excuser…

-ça va pas la tête, c'est à elle de s'excuser, c'est elle qui m'a giflé.

Oh non, j'ai parlé trop fort, tout le monde me regarde, sauf Hermione. Je vois des larmes se former dans ses yeux, ses magnifiques yeux chocolats. J'y suis allé un peu fort, mais après tout, elle n'avait qu'à pas me gifler.

-Ron!

C'est ma mère, elle va me passer un de ces savons, c'est pas la peine, je culpabilise déjà suffisamment.

-Tu n'as pas honte?

-Non!

Pourquoi j'ai dit ça moi? Bien sûr que j'ai honte.

-Laissez Mme Weasley, c'est rien, je m'en moque.

Elle s'en moque, elle se moque de moi. Ha non, alors ça!

-De toute façon, miss Granger a toujours raison, elle va encore me faire retomber la faute dessus.

Oh non! Mais alors moi… Et voilà, alors là Ron, t'es dans la merde, la plus belle fille de l'Angleterre te déteste.

-Aïe!

Elle m'a encore giflé. Elle descend de la voiture, mais où elle va?

-Ron, t'es vraiment nul.

-Euh… toi aussi, Ginerva.

J'ai encore fait une bourde, je m'enfonce, décidément aujourd'hui.

-RONALD WEASLEY! TU N'ES QU'UN ENFANT GATE!

-Aller, viens, on va finir par rater le train.

-Oui.

-Ron.

-Papa?

-Tu prends la valise de Hermione!

-Pourquoi moi?

-Par ce que c'est ta faute si elle est partie directement et en plus Harry prend déjà celle de Ginny.

-Ah?

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Il est midi vingt, ça fait vingt minutes qu'on est dans le train et Hermione et toujours enfermé dans les toilettes, elle n'est même pas venue dans le compartiment des préfets.

-Tu devrais aller t'excuser.

Oh, non Harry, tu vas pas t'y mettre aussi?

-Pourquoi, je n'ai rien à me reprocher.

-Pff…

-Où tu vas?

-Essayer de faire sortir Hermione des toilettes!

Et voilà, ils me laissent tous, je dois vraiment être atroce, je fais pleurer Hermione, j'énerve ma sœur et je fais fuir Harry. Pff… Oh! Et puis, c'est pas ma faute, elle m'a cherché aussi. Ha, les revoilà, non, il n'y a qu'Hermione.

-Où est Harry?

-Il est avec Ginny, Ron…

-Quoi?

-Tu es vraiment le pire des idiots que je connaisse.

-Tu ne connais personne, en dehors de moi et Harry, tu n'as presque pas d'amis.

Qu'est-ce que j'ai dit, noooonnn…

-Tu veux la guerre?

-Oui!

Je ne peux plus reculer, maintenant.

-Très bien, tu vas l'avoir.

-Et que le meilleur gagne.

-Ne t'en fait pas, je gagnerai!

Elle ressort, elle me laisse seul… Elle va peut-être préparer sa première attaque. Il faut que je marche, sinon, je crois que je vais m'évanouir.

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Je marche, je marche et voilà que je tombe sur toute une bande de serpentards, il n'y a plus Malfoy, mais ils sont devenus pires depuis qu'il est parti. Aïe, j'ai mal, ils m'ont frappé, ils ont osé. Où suis-je? Je me sens bizarre, mais? Je suis à l'envers. Parkinson me tient du bout de sa baguette, je suis fichu. Voilà Hermione, je suis sauvé.

-Hermione à l'aide!

-Voilà que tu as besoin de moi maintenant? Et bien non, je ne t'aiderai pas, je ne vais même pas essayer de dissuader Parkinson de te mettre à poil. Et si elle le fait, je ne la dénoncerai pas, mieux, je témoignerai en sa faveur.

-Tu… tu ne vas pas faire ça?

-Je vais me gêner. Parkinson, si tu as quelque chose à faire, c'est maintenant ou jamais.

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Hermione m'a trahit. Un à zéro. Mais je me vengerai, dès que j'aurais trouvé mes habits. Personne dans le couloir, c'est parti. Vite, quelqu'un vient, dans le compartiment. Merde, c'est celui de Ginny, il y a Luna, Harry et… et Hermione. Elle éclate de rire, Harry et Ginny aussi. Je ressors, sans réfléchir, j'ai de la chance, il n'y a personne. Voilà mon compartiment. Personne non plus. Je ferme à clef et je tire les rideaux. Ma valise… QUOI? Elle… elle est vide, il ne reste que mon ancienne tenue de soirée, celle avec la dentelle. Hermine! Elle a osé! Ma vengeance sera terrible! Et le pire dans tout ça, c'est qu'elle a utilisé un sort de glu éternel sur la dentelle, je ne peux pas la découpé comme la dernière fois! Deux à zéro.