La mort, le sang, la douleur et les entrailles. Il n'y avait que ça ici. Je ne sais pas où je suis, où sont les autres. Ca ne fait que quelques minutes que je suis là mais je ne veux pas rester plus longtemps. Alors que tantôt nous étions heureux et en sécurité, maintenant nous étions térorisés et en danger. Et encore, je ne savais même pas si mes amis allaient bien. Avions-nous râté le charme de Sachiko ? La chose qui aurais du nous réunir à jamais nous avait emené en Enfer. Il n'y avait pas d'autres mots pour décrire cet endroit. J'ai vu, j'ai entendu. Cet enfant, il a tué une personne. Sous mes yeux. Je n'ai pas pu quitter des yeux les ciseaux qui lui on transpercé la poitrine. Son visage s'est cripé dans une expression de pur douleur alors qu'elle s'écrulait au sol, au pieds du fou. Mais le petit garçon ne le laissa pas mourir de cette façon, si facilement. Il s'assit sur ses hanches pour lui oter toutes capacitées de s'échapper et rabbatit l'arme dans son torse à de multiple reprise. Je n'en pouvais plus, les cris de terreur de la victime m'emplissait les oreilles. Le son de l'outil meurtrié percer la chair à répétition me donnait envie de vomir. Mais je ne controlais rien, mon corp refusait de bouger. J'aurais du m'enfuir, m'éloigner de lui. Mais je restais là, pétrifier de peur face à ce carnage de sang et de chair déchiquetée. Et puis elle arrêta de se débattre, ses cris cessaires en même temps. Ses yeux grand ouvert étaient sans vie, elle était morte. Ce fut le rire ravit de l'enfant qui emplit le long couloir en décomposition. Mes yeux s'écarquillèrent devantage lorsqu'il se tourna vers moi. Son visage dans une grimace de folie, ses pupilles dilatées me fixaient d'une leur qui n'aurait pas du reffleté les iris d'un simple bambin. La folie, l'envie de tuer. Il allait me faire du mal. Je repris l'usage de mes membres et courus à l'opposé. Je courais, je courais, je ne savais pas où j'allais. Mais ça n'avait aucune espèce d'importance, je devais gagné le plus de distance possible entre lui et moi. Si il me rattrapais c'était fini, je finirais comme ce pauvre étudiant. Alors je courais à travers les couloirs de ce qui semblait être une anciènne école primaire. Mais le malheurme rattrapa, je tome trébuchais sur une planche ressortie du planché. J'entendais ses gloussements arrivés dans ma direction. Je craquais soudainement et éclata en sanglots. Que quelqu'un viennent m'aider. Me ramenner chez moi. Je veux revoir ma famille et mes amis. Il se rapprochait de plus en plus de moi. Ma cheville me lançait mais je me relevais pour reprendre ma course. Je ne voulais pas souffrir. Je ne voulais pas mourir. J'entrais brusquement dans la première pièce que je vis. La joie envahit mon visage, il y avait quelqu'un ici. Je n'était plus seule. J'allais le supplier de m'aider lorsque je viq son visage. La même folie meurtière baignait dans ses yeux. Mes traits se décomposèrent d'un coup, et je baissais la tête. Un couteau de boucher logai en plein milieu de mon estomac. Je sentis le goût âcre du sang emplir ma bouche. J'aurais du hurlé, me debattre. Mais aucun son ne franchit mes lèvres alors qu'il trifouillait mes entrailles avec ce même rire amusé. J'avais raison, cet endroit. Nous n'en sortirons jamais vivant. De toute manière il est trop tard pour moi. Un enfer, c'est un véritable enfer.