Salut ! Me revoilà avec une fanfiction de Percy Jackson, excepté que cette fois il s'agit d'une traduction d'un ensemble de OS écrit par Clichesbullet, qui m'a gentiment donné l'autorisation de faire cette traduction pour que je puisse partager cette histoire avec les lecteurs francophones. Il s'agit d'un ensemble de OS Leyna qui m'ont tous énormément plu dès la première lecture, et je me suis bien amusée en les traduisant (vous pourrez trouver le lien vers l'original dans mon profil). J'espère que vous les apprécierez autant que moi. N'hésitez pas à laisser des commentaires, je les ferais parvenir à l'auteur.
D'après l'auteur, ces OS sont de courts moments de la vie de couple de Léo et Reyna et peuvent être considérés légèrement AU.
Sur ce, bonne lecture !
I. LES FORMES DE VIE NON-ORGANIQUES NE SONT PAS JALOUSES
Léo aurait vraiment aimé que ses automates arrêtent de tomber sous le charme de Reyna. Il n'avait aucune idée de ce qui provoquait cette réaction, mais même Festus arrêtait d'écouter Léo à chaque fois que la prêtresseentrait dans la salle des machines habillée de sa toge pourpre et de son armure en or.
- Et bien, certaine personne pense que je me conduis comme un robot, dit-elle de son ton calme habituel.
Léo venait à nouveau de se plaindre à mi-voix alors que Buford accourait vers Reyna pour l'accueillir.
- Peut-être qu'ils pensent que je suis l'un des leurs, ajouta-t-elle.
Elle tapota le dessus de la table et alla s'assoir dans un coin pour regarder Léo travailler, comme elle le faisait souvent lorsque les choses devenaient trop ennuyeuses à la Légion. Cinq ou six automates se précipitèrent immédiatement vers elle, se bousculant et bataillant entre eux afin de pouvoir lui apporter un rafraichissement. Léo leva les yeux au ciel.
- Je t'ai dit ça une fois.
D'accord, c'était un mensonge. Il l'avait dit un bon millier de fois.
- Et on se disputait ! Tu peux pas laisser tomber ?
Il n'y a avait aucune trace de colère dans les yeux de Reyna. Mais il n'y avait habituellement aucune trace d'un quelconque sentiment, ce qui avait d'ailleurs été à l'origine de la remarque sur les robots. Mais Léo n'ouvrit pas la bouche. Reyna sourit alors qu'elle prenait le verre de jus d'orange que lui tendait un automate (légèrement amoché par la bataille) et se tourna vers Léo, l'expression sérieuse :
- Laisser tomber, tu dis ?
Elle le fixa un instant de plus et il lui rendit son regard. Ils se jaugèrent ainsi pendant quelques secondes, puis les yeux de Reyna s'arrondirent, elle pencha la tête sur le côté et dit d'une voix mécanique :
- In-for-ma-tion-su-ppri-mée. Pzz. Pzz.
Léo lui lança un regard noir.
Tout ce qu'il voulait c'était arrêter de fabriquer des automates qui tombaient amoureux de sa petite-amie.
